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UBRANE

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Messages posté(e)s par UBRANE

  1. Devinez quoi ? Il paraît que l'été semble enfiiiiiiin arriver cette semaine (jusqu'à un feels like de 32°C, si si) : l'occasion d'en profiter pour se retrouver et d'apprécier une petite soirée en terrasse.

    Rejoignez-nous donc ce vendredi soir à partir de 21h00 pour notre rendez-vous hebdomadaire au Urban House Café histoire de vous détendre dans la bonne humeur autour de quelques verres.

    URBAN HOUSE CAFÉ
    4 Dundonald Street (Yonge & Wellesley)
    Métro Wellesley

    Détails : http://torontois.com/s/Get-Togezer

    Comme d'habitude, timides, nouveaux, habitués, chiens, chats, hamsters : TOUT LE MONDE EST LE BIENVENU ! Donc n'hésitez pas à répandre l'invitation autour de vous et même ramener du monde, on vous promet une sympathique soirée

    À vendredi soir !

  2. Les métropoles de l'Ontario et de la Colombie-Britannique continuent d'attirer les immigrants, mais elles perdent du terrain par rapport aux Prairies. En effet, selon l'Enquête nationale auprès des ménages (ERM) de 2011, publiée mercredi par Statistique Canada, Winnipeg et Calgary attirent de plus en plus de nouveaux arrivants.


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    La grande majorité des immigrants choisissent de s'installer dans quatre provinces, soit l'Ontario (53,3 %), la Colombie-Britannique (17,6 %), le Québec (14,4 %) et, dans une moindre mesure, l'Alberta (9,5 %).

    Près des deux tiers (environ 63 %) vivent ainsi à Toronto, Vancouver et Montréal. La métropole québécoise se fait toutefois talonner par Calgary, Winnipeg et Edmonton.

    Les immigrants sont résolument urbains, puisque 91 % d'entre eux habitent dans une des 33 régions métropolitaines de recensement (RMR) du Canada, comparativement à moins des deux tiers (63,3 %) des personnes nées au Canada.


    « Clairement, ce ne sont pas les régions qui les attirent. Il y a un effet d'entraînement. Ils vont vers les communautés qui sont déjà installées. » — François Nault, analyste à Statistique Canada


    Déclin des villes ontariennes

    Par ailleurs, le recensement de 2011 révèle que de nombreuses villes ontariennes perdent leur capacité d'attirer les nouveaux arrivants. C'est le cas de Hamilton, Kitchener-Cambridge-Waterloo, London et Windsor.

    « L'Ontario est moins le moteur économique qu'il a été. Il y a une transition vers l'Ouest. La migration interne au Canada est aussi vers l'Ouest. L'Ontario attire encore beaucoup, mais moins », explique François Nault, analyste à Statistique Canada.

    Toronto perd également du terrain. Si 40,4 % des immigrants choisissaient la Ville Reine en 2006 pour s'y établir, ils ne sont plus que le tiers (32,8 %) à choisir la capitale ontarienne en 2011, soit 381 700 personnes.

    Pour sa part, Montréal a accueilli 189 700 immigrants, soit 16,3 % du total. Enfin, Vancouver héberge 13,3 % des immigrants au pays, soit 155 100 personnes.

    Les Prairies suivent de près, Calgary ayant reçu 6,1 % des nouveaux arrivants; Edmonton, 4,3 % et Winnipeg 3,9 %.

    Si Toronto a accueilli moins d'immigrants en 2011 qu'en 2006, ce n'est pas le cas de Montréal, Calgary, Edmonton et Winnipeg, qui ont hébergé davantage de nouveaux arrivants.

    Les minorités visibles

    Tout comme les immigrants, les minorités visibles vivent principalement en Ontario, en Colombie-Britannique, au Québec et en Alberta. Sept personnes sur dix habitent dans les trois plus importantes régions métropolitaines au pays, soit Toronto, Montréal et Vancouver.

    Les minorités visibles forment ainsi plus de la moitié de la population du Grand Toronto (Markham, Brampton, Mississauga et Richmond Hill) et du Grand Vancouver (Richmond, Grand Vancouver A, Burnaby, Surrey et Vancouver).


    source : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2013/05/08/003-immigration-statistique-canada-provinces-villes-rmr.shtml

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  3. Tu as dû signer un contrat : tout est dessus.

    Un contrat ?! Au Canada ?! Euh... ben j'ai malheureusement jamais rien signé au Canada (et c'est pas ma 1ere job ici). Mais j’admets que ça aurait sûrement simplifié les choses en donnant un cadre un peu plus rigide et précis.

    Mais en tout cas, merci pour ton conseil.

    Fish

    pas de contrat cela signifie que tu as un preavis de 15 jours uniqument il me semble.

    J'ai un contrat signe donc je suppose que oui, cela se fait de signer des contrats au Canada.

    Oui, je confirme : ça se fait :smile: Je n'en suis d'ailleurs pas à mon premier depuis que je suis au Canada.

  4. Salut,

    Tu as dû signer un contrat : tout est dessus.

    Si c'est le boulot de tes rêves qui t'attend, je n'aurai aucun scrupule à ta place pour changer : c'est peut-être une opportunité qui ne se représentera pas.

    Ce n'est que mon point de vue bien sûr, on est tous différents.

    Après, il faut aussi penser à partir en bon termes avec ton employeur actuel (donc prendre un bon mois de préavis de départ par exemple, et pas juste les 15 jours légaux du code du travail canadien), mais il est certainement possible qu'il aurait fait la même chose à ta place.


  5. Comment une fois arrivé au Canada bien se comporter en public?
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    Comment m’adapter et bien m’intégrer? Chaque année, près de 300 000 nouveaux immigrants au Canada et futurs Canadiens venus de l’étranger doivent répondre à cette question. Certains le font plus rapidement que d’autres en augmentant, par exemple dès leur arrivée au Canada, leur niveau de connaissance d’une des deux langues nationales.
    Aujourd’hui, à travers la première de trois entrevues, vous allez découvrir comment les Canadiens se comportent entre eux à table lors des repas d’affaires ou des repas entre amis. Les experts canadiens de l’immigration sont unanimes sur ce point : sans un apprentissage de la langue des Canadiens, un nouvel immigrant ne passera jamais à travers de qu’on nomme le « choc culturel ». Ce choc culturel se produit invariablement chez tout nouvel arrivant et peut avoir une durée de quelques semaines ou de plusieurs années et il comporte chaque fois quatre étapes qui sont incontournables.

    Étape 1 : Enthousiasme et fascination. Avant votre arrivée au Canada, il est normal d’avoir de grands espoirs et de grandes attentes.
    Étape 2 : Désenchantement, émotions contradictoires, frustration et irritation. Dans les mois qui suivront votre arrivée, vous éprouverez des frustrations, de la confusion et de la déception.
    Étape 3 : Adaptation graduelle. Vous commencez à mieux comprendre le Canada et comment vous adapter à la vie au Canada.
    Étape 4 : Adaptation réelle. Vous vous êtes fait des amis et vous participez davantage à la vie de votre nouveau pays. Vous avez enfin une meilleure compréhension de la façon de faire les choses au Canada.

    Comment se comporter en public au Canada
    Aux yeux des immigrants étrangers, les Canadiens de souche apparaissent facilement distants aux premiers contacts et parfois presque aussi froids que de la neige. Voilà la première chose qui frappe le nouvel arrivant.
    Certes, lorsqu’ils sont en famille ou entre amis les Canadiens sont facilement grivois, et bouillonnants d’affection, mais en public, c’est un fait, ils semblent beaucoup plus réservés que d’autres nationalités et le contact peut devenir encore plus froid à l’égard des nouveaux arrivants qui n’ont pas apprivoisé pas certains habitudes ou comportements.

    L’intégration des immigrants passe naturellement par l’apprentissage graduel des us et coutumes des Canadiens.

    Au Canada par exemple, piquer en travers d’une file d’attente pour l’autobus; approcher de trop prêt un passant sur la rue pour lui demander un renseignement ou parler fort dans certains lieux publics peut être très mal vu.

    En Afrique, dans certains pays, on peut frapper un enfant, ça fait partie d’une mesure de discipline acceptable. Ici, ce n’est pas permis. Cracher en public ou jeter ses déchets au sol devient carrément insultants pour certains citoyens.

    ...

  6. Je confirme l'option #2 citée par Dentan ci-dessus : c'était mon cas.

    Tant que tu bosses pour une compagnie canadienne, pas de souci, tu ne perds pas de jours à chaque sortie du territoire pour ton prochain renouvellement de RP.

    EN REVANCHE, tu seras obligé de décompter toutes ces sorties lors de ta future demande de citoyenneté ! Sachant qu'il faut trois ans de présence dans les quatre dernières années précédent la demande, ça peut vite devenir compliqué : je parle en connaissance de cause car à force de travailler à l'étranger, j'ai pu de justesse faire ma demande de citoyenneté à... 5 jours prêt ! (j'ai des collègues qui sont même obligés de vivre avec la RP car incapables de cumuler ces trois ans par tranche de 4 ans) Bref, un détail important à prendre en compte.

  7. ai-je bien compris ? tu paies 3000$/an pour assurer une voiture , quel est le prix de cette voiture ?

    Au final j'ai pris une assurance qui me coûte un peu plus de 3000$/an...il me fallait un véhicule :s.

    Merci à tous pour vos réponses. Vos conseils me serviront aussi dans pas longtemps puisque je déménage bientôt au Québec. J'en profiterais pour résilier et effectivement coupler habitation + auto.

    ma soeur paie 700$/an au Québec

    Sauf qu'on parlait ici de l'Ontario... Les modalités d'assurances ne sont pas les mêmes d'une province à l'autre, et l'Ontario est tristement la plus chère du Canada dans ce domaine : 3,000$/an est d'ailleurs même un prix correct pour un nouvel immigrant fraîchement arrivé, qu'importe son expérience de conduite.

  8. Franchement, à part quelques petites expressions (Eh !, loonie, toonie, double-double, etc), perso je n'entends pas de différences...

    Pourtant, dans mon boulot j'ai, entre autres, des collègues canadiens et américains : ces derniers me disent que l' "autre" a effectivement un accent. Comme quoi :smile:

    Ce doit être un peu comme les Français et les Belges : pour un anglais il ne doit pas y avoir de différence à l'écoute.

    http://youtu.be/ItpuAaFBi-I

  9. Bonjour,

    Je viens de récupérer mon passeport ce matin et je voulais savoir s'il fallait que je me serve du passeport français pour quitter le sol français (vu que je suppose que je devrais m'en servir pour rentrer en France) ?

    Je quitterais la France avec le passeport français et j'entrerais au Canada avec le passeport canadien. Aux douanes tu seras considéré comme un Canadien qui revient après plus d'un an et tu n'auras pas les mêmes limtes pour ce tu apportes avec toi.

    Oui et surtout tu ne seras pas obligé de passer 1h à la douane !

    Tout à fait !

    Je voyage régulièrement : j'utilise mon passeport français partout où je me rends (car certains pays imposent un visa voire même des taxes d'immigration avec le passeport canadien, comme en Amérique du Sud par exemple) et je me sers du passeport canadien quand je rentre au Canada ou quand je vais aux USA (pas besoin d'ESTA).

  10. Toute ma compassion à nos compatriotes expatriés aux USA :)

    Le Figaro, 10 avril 2013

    La mimolette interdite de séjour aux États-Unis

    Les autorités américaines bloquent une demi-tonne de fromage dans un entrepôt du New Jersey. En cause, les acariens microscopiques, ouvriers bâtisseurs de la noble croûte.

    Depuis début mars, les importations de ce fromage orange, originaire du nord de la France, restent bloquées à la frontière des États-Unis. «Plus de 500 kilos de mimolette sont retenus par l'autorité sanitaire américaine, la Food and Drug Administration (FDA), dans un entrepôt du New Jersey», confirme ainsi Benoît de Vitton, responsable du bureau commercial aux États-Unis de l'entreprise normande Isigny Sainte-Mère, premier producteur de mimolette. Les raisons? Les «mites à fromage», des sortes d'acariens microscopiques cultivés à dessein sur la croûte pour affiner le fromage, seraient allergènes, estiment les autorités sanitaires américaines.

    source : http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/04/10/20002-20130410ARTFIG00992-la-mimolette-interdite-de-sejour-aux-etats-unis.php

  11. votez-en-2013-ccc94.jpg
    Suite aux décisions d’annulation prononcées par le Conseil constitutionnel le 15 février dernier (pour les potins, explications à lire sur Français du Monde), des élections législatives partielles vont être organisées dans la circonscription n°1 (Canada et États-Unis).
    Les Français inscrits sur les listes électorales consulaires de la circonscription pourront exprimer leur suffrage au moyen des mêmes modalités de vote qu’en 2012 : à l’urne, par procuration, par correspondance ou par Internet.
    Le vote à l’urne aura lieu le samedi 25 mai 2013 pour le premier tour et, dans le cas d’un second tour, le samedi 8 juin.
    Le vote par voie électronique sera ouvert du mercredi 15 mai 2013 à 12h00 au mardi 21 mai à 12h00 (heures de Paris) pour le premier tour, et du mercredi 29 mai à 12h00 au mardi 4 juin à 12h00 (heures de Paris) pour le second tour.
    Chaque électeur sera informé individuellement, par courrier, des modalités de scrutin et pourra obtenir des informations sur le site du ministère des affaires étrangères (votezaletranger.gouv.fr) et sur ceux des postes diplomatiques et consulaires concernés.
    --------------------------------------------
    Comment voter au Canada ?
    - Je suis déjà inscrit sur la liste électorale consulaire de la circonscription : je n’ai rien à faire, je pourrai continuer à voter à l’Étranger en 2013.
    - Je ne suis pas inscrit sur la liste électorale consulaire de la circonscription : je me rapproche au plus tôt de mon Ambassade ou du poste consulaire de ma résidence.
  12. Hello à tous,

    Une canadienne m'a dit qu'avant, les immigrés pouvaient demander la nationalité canadienne après juste 1 an sur le territoire ! Légende urbaine ? J'ai cherché sur internet mais rien trouvé sur le sujet... Il semble que les 1095 jours de présence au Canada soient en vigueur depuis 1977.

    Vous auriez des infos là-dessus ? Ca me parait fou quand même...

    Merci :smile:

    Sujet intéressant.

    Effectivement, depuis le 15 février 1977, il faut justifier 1095 jours de présence sur le territoire pour qu'un immigrant puisse devenir citoyen.

    Mais la toute première Loi sur la Citoyenneté au Canada date du 1er janvier 1947 : c’est à ce jour que le terme "citoyen canadien" a acquis sa reconnaissance juridique.

    À cette époque, cette loi stipulait entre autres que : les immigrants qui étaient déjà sujets britanniques ne perdaient pas leurs droits existants, y compris le droit de vote après avoir résidé au Canada pendant seulement un an, et que les immigrants qui avaient servi dans les Forces armées canadiennes lors de la Première ou de la Seconde Guerre mondiale étaient admissibles à la naturalisation après un an seulement.

    Ton amie canadienne parlait peut-être de ces cas en particulier :smile:

    Pour le texte dans son intégralité, c'est ici :

    http://www.cic.gc.ca/francais/ressources/publications/patrimoine/chap-5.asp#chap5-2

  13. Pour les sous-vêtements chauds, il vaut mieux acheter au Canada : je trouve que c'est bien moins cher qu'en France.

    Pas trouvé non plus de Damart mais pour le produit équivalent, le top reste la laine mérinos : on en trouve à la MEC (le plus économique) ou encore chez Atmosphère (qui vend plutôt de la marque, donc plus cher), voire peut-être Sport Experts.

    Ce n'est pas donné (minimum 50$ pour un simple t-shirt de corps par exemple) mais c'est vraiment efficace. En plus d'évacuer l'humidité et de tenir chaud (selon l'épaisseur de la maille), la laine mérinos a le gros avantage de ne pas sentir. On peut donc la porter plus souvent, ça passe moins en machine donc ça se garde plus longtemps : bref, économique sur la longueur.

    Sinon moins cher, il y a aussi le synthétique, mais je trouve que ça dure moins longtemps.

    Mais bon, franchement, pour la ville ce n'est pas non plus nécessaire : on s'en sort très bien avec un t-shirt en coton, un pull ou gilet et un bon manteau par dessus. Pas besoin d'aller forcément acheter des produits "techniques".

    :smile:

  14. Une info utile pour ceux qui ont le budget serré :

    Canoe.ca - 27 mars 2013
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    Un vol au départ de l'aéroport de Montréal est en moyenne 96 % plus coûteux qu'un autre à partir des aéroports de Plattsburgh ou de Burlington. L'aéroport international de Plattsburgh ne s'en cache d'ailleurs pas avec ce slogan, en grosses lettres sur son site web: «L'aéroport américain de Montréal».
    Ailleurs au Canada, les différences de prix sont appréciables. Un vol qui décolle de Vancouver est 44% plus cher qu'à l'aéroport de Bellingham, dans l'État de Washington, près de la frontière avec la Colombie-Britannique. Le prix d'un départ de Toronto est 20% plus élevé qu'à Buffalo, de l'autre côté du lac Ontario.
    De Vancouver à Montréal, cette «fuite des voyageurs» représente l'équivalent de cinq millions de vols en 2011 (un Canadien peut prendre plus qu'un vol), selon une étude du Conference Board du Canada.
    Origine des écarts de prix
    Contrairement à ce que l'on pourrait croire, les transporteurs canadiens ont des revenus et des coûts plus élevés que leurs concurrents américains, estime M. Armstrong.
    «Le transport aérien au Canada n'est pas un monopole qui s'en met plein les poches au détriment des consommateurs», a-t-il affirmé, soulignant que cette industrie doit assumer davantage de coûts qu'aux États-Unis.
    Par exemple, le coût des équipements est 25% plus élevé au Canada qu'aux États-Unis. L'écart est de 10 % pour les coûts de main-d'œuvre, notamment parce que la réglementation canadienne est plus exigeante. Le coût du carburant est également 10 % plus élevé au Canada que chez nos voisins du Sud. Et les normes de sécurité sont plus sévères au Canada.
    Les frais aéroportuaires, si décriés par l'industrie touristique canadienne, aggravent le portrait. Les aéroports canadiens doivent payer des loyers fonciers au gouvernement fédéral ainsi que des taxes municipales.
    Aux États-Unis, il n'y a pas d'obligation de ce genre. Les petits aéroports américains reçoivent davantage de subventions par passager et peuvent financer leurs coûts avec des obligations exemptes d'impôts, ce qui n'est pas le cas au Canada.
    En somme, tout désavantage les transporteurs et les aéroports canadiens, a souligné Martin Armstrong.
    L'économiste a précisé que les Canadiens en voyage d'agrément sont particulièrement sensibles aux différences de prix, surtout lorsqu'ils ont le temps de traverser la frontière. La clientèle d'affaires, pour sa part, est plus sensible au facteur temps qu'au prix.
    Le Conference Board n'a pas chiffré l'ampleur des pertes financières pour l'industrie touristique canadienne.
    Renverser la vapeur
    Le Conference Board suggère aux gouvernements et à l'industrie de repenser la structure de coût des aéroports. Par exemple, l'organisme propose de ne plus baser les loyers des aéroports en fonction des revenus, d'appliquer certains frais en fonction des vols et non par passager, d'harmoniser frais et taxes de chaque côté de la frontière, ce qui suppose des négociations entre les gouvernements du Canada et des États-Unis.
  15. Pour le fédéral, désolé de te contredire,

    mais étant donné le volume et les contraintes, ce sont souvent les grosses

    entreprises de traduction qui en héritent.

    On ne doit pas fréquenter les mêmes réseaux de traducteurs. Je sais que les boîtes

    sérieuses demandent un diplôme en traduction. Il y a des contraintes

    différentes au Canada, différentes terminologies. Je connais aussi pas mal de

    réviseurs très pointilleux...

    Je confirme ce que dit Emi : il ne faut pas confondre les postes bilingues en général (où on peut appliquer sans forcément de diplômes spécfiques) et les postes officiels de traducteurs (milieu plus reconnu où il faudra montrer patte blanche).

  16. Sans neige du tout, non.

    La meilleure météo du Canada se trouve dans la Vallée de l'Okanagan (B-C) : Pennticton, Kamloops, Kelowna pour les villes les plus connues. C'est l'endroit où l'hiver est le plus court (en moyenne "que" 0°C). Le climat y généralement chaud, ensoleillé et sec. La majeure partie de la vallée reçoit en moyenne un bon 2000 heures de soleil et seulement 250 à 400 mm de précipitations par année.

  17. Bonjour,

    Me revoilà pour une nouvelle question!

    Nous nous préparons à acquérir un véhicule neuf et vient la question de l'assurance auto.

    J'ai déjà contacté Desjardins, Johnson et Hub. Parmi ceux-ci, je n'ai reçu d'estimation que de la part de Desjardins...3945$/an...ouch!

    Je cherche des conseils à ce sujet. Les prix que vous avez pu obtenir en tant que "nouveau" conducteur au Canada, chez qui, quelles compagnies éviter...

    Merci beaucoup!

    Salut Denden,

    Hélas, l'Ontario est la province la plus chère concernant l'assurance automobile... Et les taux ne cessent d'augmenter.

    Pour en connaître la raison, un article intéressant à lire (en anglais) ici :

    http://www.kanetix.ca/about-auto-insurance-rates-Q1-2011

    Tout ça pour te dire que le devis que tu t'es fait proposé par Desjardins est malheureusement dans les prix...

    En plus de cela, toujours en Ontario (car au Quebec ce n'est pas le cas par exemple), toutes tes expériences de conduite antérieures en dehors du pays ne sont pas reconnues. Pour faire simple, tu vas être considéré "jeune conducteur" pour le plus grand bonheur des assureurs ($$$).

    Ce que tu peux faire, c'est de négocier fermement en montrant à ton assureur un relevé de police d'assurance français accompagné d'une lettre de recommandation de ta compagnie d'assurance française. Aussi, privilégie une voiture américaine (Ford, Chevrolet, etc) à une voiture japonaise: selon les conseils de mon assureur, ça fait baisser un peu la prime aussi. Et essaye de passer par un broker pour dénicher l'assurance la moins chère, ils font ça très bien. Avec tout ça, tu pourras peut-être espérer descendre à 2,000/3,000$. Au bout d'un an d'assurance en Ontario, si tu n'as pas eu de cartons, tu auras pris assez d'ancienneté pour aller voir ailleurs et re-marchander.

    Enfin, regarde aussi le comparatif de polices d'assurance de Kanetix : https://www.kanetix.ca/

    Ça devrait t'aider à choisir la meilleure compagnie. Ensuite négocie, négocie, négocie.

  18. Tout à fait Clarane.

    Tu m'as mal lu : je ne faisais que répondre à Miss Cerise plus haut. Bien que l'UK ne soit pas signataire de l'espace Schengen, la carte d'identité suffit pour les ressortissants français tel qu'indiqué sur le site de leur ambassade.

    Pour un Canadien, bien sûr qu'il faudra présenter un passeport comme je l'ai dit en message #2.

    :wink:

  19. Montréal en 134eme position !!! il me semble pourtant que c'est la ville où il y a le plus d'immigrer au Québec non?

    C'est donc peut-être pas un si bon choix alors !

    Au Quebec, oui. Mais il faut remettre cet article dans son contexte : l'étude ne concerne pas que les francophones et a été faite sur tout le Canada.

    Les villes qui attirent le plus d'immigrants des quatre coins du globe (donc pas que francophones) au Canada sont respectivement Toronto et Vancouver.

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