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UBRANE

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Messages posté(e)s par UBRANE

  1. Tout juste publiée aujourd'hui, la dernière enquête de la firme Mercer est disponible:
    "Enquête internationale Mercer 2014 sur le coût de la vie", ou le classement des villes les plus chères au monde pour les expatriés
    Comment ça marche ?
    Tout d'abord, il faut savoir que Mercer établit ce classement dans le but d'aider les gouvernements mais aussi les entreprises multinationales à rémunérer convenablement leur personnel lorsqu'il est affecté à l'international: ce qui nous intéresse en tant qu' "expatriés".
    Ensuite, l'enquête a été faite sur 211 villes réparties entre cinq continents et compare les prix de plus de 200 produits et services dans chaque ville tels que le logement (qui reste le critère le plus important), mais aussi les transports, la nourriture, l'habillement, les produits ménagers ainsi que les divertissements.
    Comme d'habitude chez Mercer, la ville de New York est utilisée comme référence et la fluctuation des monnaies a été mesurée par rapport au dollar américain.
    Mais j'arrête le suspens et vous dévoile donc le résultat pour 2014.
    Bien que nétant pas généralement reconnues comme des villes riches, Luanda en Angola est la ville la plus chère du monde pour la deuxième année consécutive.
    En bas du classement, la ville la moins chère du monde est Karachi au Pakistan.
    Bonne nouvelle: les villes canadiennes ont chuté au classement, avec en tête Vancouver qui est en baisse de 32 places (96e place dans le classement cette année). Toronto (101e place) a chuté de 33 points et devient la 2e ville la plus chère du Canada. Suit ensuite dans l'ordre Montréal (125e place), Calgary (125e place) et Ottawa (152e place). la raison: le dollar canadien qui s'est affaibli de manière significative par rapport au dollar américain et l'augmentation des prix de biens de consommation qui est moins considérable que dans d'autres villes, comme New York.
    Les villes françaises, en revanche, ont connu un bond très important dans le classement, avec notamment Paris, qui se hisse à la 27e place du classement des villes les plus chères au monde.
    Top 5 des villes canadiennes les plus chères :
    1. 96e : Vancouver (64e en 2013)
    2. 101e : Toronto (68e en 2013)
    3. 123e : Montréal (95e en 2013)
    4. 125e : Calgary (97e en 2013)
    5. 152e : Ottawa (118e en 2013)
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    Voilà, pour plus de détails, je vous laisse parcourir un article à lire en français ici :
    Bien que le classement ait comme chaque année de quoi surprendre, comprenez bien que ces résultats regardent les expatriés et les multinationales qui les emploient en poste è l'étranger.
    :smile:
  2. Petit rappel pour reprendre la discussion initiale :)

    Le 14 Juillet approche : réservez votre dimanche après-midi si vous êtes à Toronto !

    Encore une fois, l’ensemble des activités de la journée sera gratuit et ouvert à tous à l’exception du bal populaire, dont l’accès sera payant : 10 dollars pour les adultes (gratuit pour les enfants de moins de 12 ans). Chaque ticket d’entrée pour le bal donne droit à un verre de vin gratuit, une dégustation sucrée et permet de participer à une tombola (de beaux prix à gagner comme un billet Air France).

    Pour les détails, tout est sur le message de départ de ce fil de discussion :)

  3. Mais ça ne te gêne pas qu une fête française pour des français (cadre de ce post) soit désignée ici en anglais? C est clair que lorsque tu expliques a un anglais ce que c est le 14 juillet tu peux le nommer en anglais... mais là. J arrête là, sujet sans importance de toute façon.

    Oui et c'est pour cela que j'en parle! Ce titre devrait être en français! Mais que veux-tu ce sont des Français qui l'ont écrit alors tout est parfait!

    Pour la petite explication, le titre se lit dans les deux sens (Bastille Day, célébrons le 14 Juillet) car Toronto est avant tout une ville anglophone et seulement 2% de sa population totale est francophone.

    Le "Bastille Day" n'est pas seulement l'occasion de célébrer la fête nationale française entre Français mais aussi d'inviter tous les "francophiles" de Toronto: pas forcément ceux qui parlent français donc, mais aussi ceux qui aiment la culture française. L'occasion de réunir toutes les communautés francophones de Toronto (car la francophonie est vaste).

    C'est pour cela que le titre de l'évènement est bien "Bastille Day, célébrons le 14 Juillet": parce que 14 Juillet en anglais se dit Bastille Day et parce que tout le monde y est le bienvenu, qu'il soit anglophone, francophone ou juste francophile.

    Aurai-je aussi dû dire "soccer" plutôt que "foot" pour la finale de la coupe du monde, tant qu'à faire ?

    Et "Volley-ball", je dois dire ça comment ?

    Franchement...

    Donc oui, le titre est bien écrit par un Français : un Français et un immigré au Canada, devenu Canadien et qui vit dans une ville anglophone.

    Décidément, je ne pensais vraiment pas lancer une polémique en lançant cette invitation... Désolé.

  4. Salut Bluesmile,

    Quand je te lis, j'ai l'impression que tu t'es un peu embrouillé les pinceaux (ou alors c'est moi qui n'ai pas compris ce que tu voulais dire).

    Juste pour être clair:
    Pour obtenir un permis de travail, il te faut tout d'abord une offre d’emploi temporaire de la part d’un employeur canadien.
    C'est cet employeur qui devra fournir une confirmation écrite de la part de Ressources Humaines et Développement Social Canada (RHDSC) indiquant qu’un travailleur étranger peut combler ce poste. Si la demande est acceptée, le gouvernement de Canada délivrera à cet employeur un "avis sur le marché du travail" (c'est ça l'AMT).
    Bref, ce n'est pas toi qui décide de faire un AMT. Il faut d'abord trouver un employeur qui en fera la demande auprès du gouvernement. Pour être simple, il te faut en premier lieu trouver un employeur qui voudra bien te faire signer un contrat de travail.
    Pour faire une demande de permis de travail :
    Ensuite, si ça marche, ta fille pourra t'accompagner au Canada et y faire des études le temps du permis de travail (donc peut-être juste un ou deux ans seulement).
    Pour y faire ses études complètes, il lui faudra un visa d'étudiant. Pour être admissible, il lui faudra avant tout avoir une lettre d'acceptation d'une école ou d'une université canadienne. Pour obtenir cette lettre, il faut contacter la faculté qui intéresse ta fille puis entamer la demande de visa, sans oublier aussi de payer les frais de scolarité (n'espère malheureusement pas de bourse).
    Pour faire une demande de visa étudiant :
  5. N'oubliez pas: c'est ce dimanche que nous célèbrerons le 14 JUILLET avec notre traditionnel pique-nique champêtre et en prime une grosse programmation festive au rendez-vous. Alors n'hésitez pas à ramener votre bonne humeur, à inviter vos amis, à partager l'évènement et surtout à venir très nombreux! On compte sur vous :)

    Et que les footeux se rassurent, un écran géant nous retransmettra la finale de la Coupe du Monde en direct!

  6. Urbane tu dis que ce ne sera pas plus facile ? Ce sera sans doute le seul moyen bientôt...

    Si, je disais tout l'inverse : les futurs PVT auront justement plus de chances de s'établir, car ils auront une année de plus :smile:

    On s'était peut-être mal compris dans mon dernier message où je faisais la comparaison entre PEQ (Quebec) et la catégorie de l'Expérience Canadienne (hors-Quebec).

  7. 6750 candidats potentiels pour le peq donc.

    Ce sera + que les demandes de travailleur qualifiés étrangers.

    Ce serait extrêmement surprenant que ça reste en l état.

    Tout à fait, sauf que les 6750 PVT annuels ne se dirigent pas tous au Quebec, le Canada est vaste.

    :smile:

    Je ne polémique pas mais juste pour préciser, le PEQ ne concerne que le Quebec et permet juste de délivrer plus rapidement un CSQ. Ensuite la procédure au niveau fédéral reste la même et n'est pas plus rapide. Donc là-dessus, oui je suis d'accord avec toi, ça n'aidera pas énormément plus car il faudra compter un délai d'environ deux ans au total pour un PVT Français au Quebec qui compte faire sa demande de RP (délai PEQ/CSQ + encore 15 mois pour le Fédéral selon les statistiques du CIC).

    En revanche, les PVT hors Quebec ont un accès plus rapide car le CSQ n'existe pas et car le délai au niveau Fédéral, via la catégorie de l'Expérience Canadienne, est plus rapide (13 mois, toujours selon les statistiques du CIC, quoique je connais plusieurs cas qui ont obtenu leur RP en 6-10 mois seulement à Toronto).

    Pourtant, des amis Français ayant dernier leurs programme et ayant demander le PEQ celas ne leur a pas prit 15 mois du tout.... ils ont eu leur RP en 9 mois. Il y a quelque mois de cela.....

    Comme quoi, les statistiques du CIC ne sont pas forcément fiables...

    - délai de traitement de RP via l'Expérience Canadienne, hors Quebec :

    http://www.cic.gc.ca/Francais/information/delais/perm-ce.asp

    - délai de traitement de RP au niveau fédéral après CSQ (Quebec) :

    http://www.cic.gc.ca/Francais/information/delais/perm/qualifies-que.asp

  8. 6750 candidats potentiels pour le peq donc.

    Ce sera + que les demandes de travailleur qualifiés étrangers.

    Ce serait extrêmement surprenant que ça reste en l état.

    Tout à fait, sauf que les 6750 PVT annuels ne se dirigent pas tous au Quebec, le Canada est vaste.

    :)

    Je ne polémique pas mais juste pour préciser, le PEQ ne concerne que le Quebec et permet juste de délivrer plus rapidement un CSQ. Ensuite la procédure au niveau fédéral reste la même et n'est pas plus rapide. Donc là-dessus, oui je suis d'accord avec toi, ça n'aidera pas énormément plus car il faudra compter un délai d'environ deux ans au total pour un PVT Français au Quebec qui compte faire sa demande de RP (délai PEQ/CSQ + encore 15 mois pour le Fédéral selon les statistiques du CIC).

    En revanche, les PVT hors Quebec ont un accès plus rapide car le CSQ n'existe pas et car le délai au niveau Fédéral, via la catégorie de l'Expérience Canadienne, est plus rapide (13 mois, toujours selon les statistiques du CIC, quoique je connais plusieurs cas qui ont obtenu leur RP en 6-10 mois seulement à Toronto).

  9. Et ce sera encore plus le cas en 2015 lorsque le PVT passera de 12 à 24 mois où il sera encore plus facile de rester.

    :smile:

    Vu qu'il n y a pas vrai sélection pour les PVT, cela m’étonnerait que cela devienne vraiment plus facile d'immigrer avec un PVT de 24 mois => on est plus sur un resserrement de sélection qu'à un élargissement sans controle...

    Je n'ai pas dit que ce serait plus facile d'immigrer, mais qu'il sera plus facile de rester pour ceux qui auront désormais le PVT de deux ans (effectif dés l'année prochaine).

    Ça se resserre effectivement chaque fois plus car le PVT devient de plus en plus populaire, on est d'accord, mais le quota reste quant à lui toujours le même (6750 places depuis 2012, avec peut-être même une augmentation à 7000 à partir de 2015).

    :)

  10. Le but du PVT ce n'est pas de permettre aux gens d'entrer plus facilement au Canada pour préparer leur demande non.....

    Le PVT c'est une occasion de vérifier si on aime le pays et si éventuellement on aimerais préparer une demande.

    Pas forcément. En général, ceux qui restent après un PVT aiment le pays et veulent s'y installer au long terme. C'est aussi l'occasion et une chance pour beaucoup de jeunes de rester après leur PVT en obtenant un permis de travail, car il y a plusieurs manière officielles d'obtenir un RP (il n'y a pas que la voie directe à partir de l'étranger).

    Et ce sera encore plus le cas en 2015 lorsque le PVT passera de 12 à 24 mois où il sera encore plus facile de rester.

    :)

  11. C'est surtout qu'en Ontario ils se font moins saignés par les taxes et impôts.

    Oui et non, ça dépend. Mais il ne faut pas généraliser non plus.

    Pour la plupart des gens, la différence en ce qui concerne les impôts sera minime : c'est seulement environ 1 à 2% de moins pour l'Ontario. L'écart est surtout intéressant pour les gros salaires (50,000$/an et plus) où l'Ontario se distinguera effectivement par une imposition sur le revenu plus faible (la deuxième province la plus attractive après la Colombie-Britannique, toujours pour les gros salaires).
    Mais attention aussi: les impôts fonciers sont beaucoup plus élevés en Ontario qu'au Quebec !
  12. Un article intéressant pour se faire une idée du coût de la vie entre Toronto et Montréal :
    Les prix à la consommation : 13 % plus bas à Montréal qu’à Toronto selon Statistique Canada
    Selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), un appartement coûte de 35 à 40 % moins cher à louer à Montréal qu’à Toronto. Les prix des maisons neuves ou en revente sont de 40 % à 50 % moins élevés à Montréal. Pour l’électricité résidentielle, selon Hydro-Québec, c’est 40 % moins cher à Montréal. Au Québec, la garde d’un enfant coûte 7 dollars par jour ; en Ontario, c’est quatre à six fois plus cher.
    Il y a quelques produits dont les prix sont plus élevés à Montréal qu’à Toronto. Des exemples : l’essence, le riz, la bière, les tomates, les courses de taxi. Ce sont les exceptions qui confirment la règle.
    Mais sortons des exemples particuliers et considérons le portrait d’ensemble que trace l’enquête mensuelle de Statistique Canada sur les prix à la consommation. Cette enquête est basée sur un échantillon de 80 000 relevés de prix de 600 produits de consommation à travers le Canada. Selon les indices comparatifs que l’organisme publie périodiquement pour les grandes villes canadiennes, les prix à la consommation étaient en moyenne 13 % plus bas à Montréal qu’à Toronto en octobre 2012.
    Le tableau ci-dessous présente les résultats d’octobre 2012 pour divers groupes de biens et de services. Parmi les articles qui affichaient des prix beaucoup plus bas à Montréal qu’à Toronto, on note le logement (locatif ou en propriété), l’électricité, la garde d’enfants, les dépenses d’automobile autres que l’essence et les droits de scolarité universitaire. Par contre, l’essence ressort plus chère à Montréal qu’à Toronto.
    Tableau. Écarts entre les prix de divers groupes de biens et de services à la consommation à Montréal et à Toronto en octobre 2012 :
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    Statistique Canada estime qu’en moyenne, en 2012, les prix de la consommation privée des ménages étaient 13 % plus bas à Montréal qu’à Toronto. Un document du Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal préparé par M. Vincent Geloso a récemment contesté cette estimation de l’agence statistique et affirmé qu’elle surestimait l’écart de coût de la vie entre les deux villes.
    L’analyse des arguments avancés par M. Geloso pour soutenir son affirmation fait ressortir trois conclusions :
    1) L’écart de 25 à 30 % dans le coût du logement entre Montréal et Toronto estimé par Statistique Canada traduit non pas le fait que les Montréalais occuperaient des logements de moins bonne qualité, mais plutôt le fait que les prix sont vraiment inférieurs à Montréal pour des logements de caractéristiques et de qualités identiques.
    2) Les prix subventionnés de l’électricité, de la garde d’enfants et de la scolarité universitaire sous-estiment le vrai coût de ces biens et services pour la société. Mais, pour mesurer le niveau de vie, les volumes réels consommés de ces produits ne peuvent être obtenus qu’en divisant les dépenses de consommation subventionnées par ces prix subventionnés.
    3) Au Québec un certain nombre de biens et de services commandent des prix relativement élevés, au point d’exiger des Québécois qu’ils travaillent plus d’heures qu’en Ontario pour les acquérir. Toutefois, ces biens et services ne sont pas statistiquement représentatifs de l’ensemble. Ils excluent notamment le logement.
    Au sens strict, il faut reconnaître que l’écart des prix à la consommation entre Montréal et Toronto publié par Statistique Canada – 13 % en 2012 – ne peut pas être totalement interprété comme un écart de coût de la vie entre les deux villes. C’est principalement 1) en raison du traitement du logement en propriété, qui est basé sur l’équivalence locative plutôt que sur les débours des propriétaires, et 2) en raison également des impôts plus élevés qui sont nécessaires au financement des produits subventionnés (électricité, garde d’enfants, scolarité universitaire).
    Cependant, afin d’obtenir le volume réel des biens et services consommé qui mesure le vrai niveau de vie des ménages, il est parfaitement approprié de diviser leurs dépenses de consommation en dollars par les prix à la consommation estimés par Statistique Canada. Lorsqu’on compare Montréal et Toronto, l’écart de prix de 13 % est celui qu’il faut utiliser à cette fin.
    Par ailleurs, lorsqu’on passe d’une comparaison de niveau de vie entre Montréal et Toronto à une comparaison entre l’ensemble du Québec et l’ensemble de l’Ontario, la différence estimative des prix à la consommation pour 2012 est de l’ordre de 8,6 % plutôt que de 13 %. L’écart entre les deux provinces est plus petit que l’écart entre les deux métropoles. Cela s’explique par le fait que les prix de Montréal ne sont que légèrement supérieurs à ceux du reste du Québec, tandis que les prix de Toronto sont nettement plus élevés que ceux du reste de l’Ontario.
    Comme les dépenses de consommation par habitant des Québécois en dollars ont été inférieures de 9,6 % à celles des Ontariens en 2012, mais que les prix à la consommation du Québec ont été plus faibles de 8,6 %, il faut conclure qu’en matière de consommation privée le retard du niveau de vie du Québec par rapport à celui de l’Ontario a été de 1,0 %.

  13. Voiture : acheté y'a 2 jours mais quel bordel, j'avais lu nulle part qu'il fallait acheter sa propre plaque d'immatriculation :Crylol:

    SIN : fait, et je suis surpris d'avoir lu aucun sujet sur ça alors que c'est le truc à faire en premier : dès votre arrivée, faire une demande de SIN (social insurance number) ça vous permettra de bosser, et ça sert de pièce d'identité aussi

    Pourtant, tous les premiers pas sont bien expliqués en détail sur le portail :

    http://www.immigrer.com/page/Sinstaller_Les_demarches_a_larrivee.html

    :)

  14. Ensuite, ce n'est pas vraiment un transfert interne, dans le sens où je pourrai rester à Montréal et toujours travailler dans une équipe de Vancouver par exemple. C'est un choix personnel de bouger un peu.

    Je pense éviter Toronto et je dois maintenant choisir entre Calgary ou Vancouver, me rappeler mes bons souvenirs du temps du PVT, avec un pouvoir d'achat pas mal plus élevé maintenant ceci dit.

    Vancouver sera indéniablement plus vivant que Calgary, il n'y a pas photo.

    Mais plus cher aussi, il n'y a pas photo non plus.

    Oui, je l'avais déjà précisé plus haut ;)

  15. Ensuite, ce n'est pas vraiment un transfert interne, dans le sens où je pourrai rester à Montréal et toujours travailler dans une équipe de Vancouver par exemple. C'est un choix personnel de bouger un peu.

    Je pense éviter Toronto et je dois maintenant choisir entre Calgary ou Vancouver, me rappeler mes bons souvenirs du temps du PVT, avec un pouvoir d'achat pas mal plus élevé maintenant ceci dit.

    Vancouver sera indéniablement plus vivant que Calgary, il n'y a pas photo.

  16. Tu tapes dans les 3 villes les plus chères du Canada. Je ne m'étalerai pas sur celles-ci puisque tu dis que tu les connais déjà, mais en ce qui concerne le coût de la vie et pour un même salaire, tu seras sensiblement au même niveau.

    Selon le classement annuel Mercer mondial sur le coût de la vie, Toronto était la ville la plus chère du Canada en 2012 et Vancouver vient de remporter le titre en 2013 (on verra en 2014, l'enquête n'est pas encore sortie). Mais comme je te dis, les villes se touchent du coude, ça se joue à un ou deux points d'écart. Calgary sera un poil plus économique, au même niveau que Montréal (toujours selon Mercer).

    Reste à surtout savoir où tu veux vivre. Je pense que la "qualité de la vie" prime avant tout, quitte à se serrer la ceinture (du moins, c'est mon point de vue). Regarde surtout ce que tu veux toi. Et à te lire, j'ai l'impression que ton choix se porte déjà plutôt sur Vancouver, non ? Donc fonce, tu risquerais d'avoir des regrets sinon.

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    Une tradition depuis 2007 et un succès grandissant à chaque fois: nous sommes heureux de vous inviter à la 8e édition de notre traditionnel PIQUE-NIQUE champêtre pour célébrer le 14 JUILLET.
    Et cette année sera un rendez-vous très particulier car en plus de la 8e édition de notre pique-nique, nous nous unissons avec l'ensemble des institutions, organismes et associations françaises de Toronto pour faire de ce 14 Juillet un évènement exceptionnel! En effet, en plus du pique-nique, la journée continuera jusqu'à 22h00 avec une kermesse, un marché de produits français, des jeux, des animations, un concours de pétanque, du volley-ball, de la musique, une grosse tombola avec de nombreux prix et un même un bal populaire comme le veut la tradition!
    Quand ?
    -> Dimanche 13 Juillet à partir de 12h00
    Où ?
    -> Wychwood Barns (St Clair & Bathurst)
    On garde toujours le même principe: un pique-nique franchouillard et à la bonne franquette, chacun amenant de quoi grignoter pour lui (et éventuellement partager). Le but étant de profiter de l'occasion pour nous retrouver dans la joie et la bonne humeur, faire de nouvelles connaissances, bref passer du bon temps au grand air!
    Les nouveaux, les anciens, les familles, les enfant, les chiens, les chats, les hamsters, TOUT LE MONDE EST LE BIENVENU! Alors n'hésitez pas à répandre largement la bonne nouvelle autour de vous, invitez vos amis et surtout... venez nombreux!
  18. Fouillez bien, vous avez certainement des documents prouvant une vie commune.

    Comme dit Sandy, regardez par exemple vos factures de l'un et de l'autre prouvant que vous avez été à la même adresse ou même du courrier que recevait madame sous ton toit et vice-versa, etc. Et si vraiment il n'y a rien, regardez voir si vous n'avez pas des photos de vous en couple (par exemple en vacances, dans un endroit précis, au restaurant, au fil des années).

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