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Tout ce qui a été posté par Zogu
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Correction: Certains québécois envient la manière de construire de belles grandes phrases qu'ont les Français, ils envient la fluidité du discours. Ils envient aussi certains aspects de la culture française. Parfois de manière réaliste... et parfois avec une vision romantique de la "douce France". Pour ma part, je suis conscient que le Québec a des défis linguistiques à relever, mais je suis aussi conscient que notre manière de nous exprimer n'a aucune incidence sur la qualité de nos réalisations, sur le génie de nos bâtisseurs, sur l'inspiration de nos artistes, sur l'étincelle de nos scientifiques. Nous n'avons plus à faire nos preuves. Tres beau morceau d'anthologie ! Une véritable perle ! C'est ce qu'on appelle ne pas cultiver un complexe d'infériorité vis à vis du Français ! Ça te déroute?
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Correction: Certains québécois envient la manière de construire de belles grandes phrases qu'ont les Français, ils envient la fluidité du discours. Ils envient aussi certains aspects de la culture française. Parfois de manière réaliste... et parfois avec une vision romantique de la "douce France". Pour ma part, je suis conscient que le Québec a des défis linguistiques à relever, mais je suis aussi conscient que notre manière de nous exprimer n'a aucune incidence sur la qualité de nos réalisations, sur le génie de nos bâtisseurs, sur l'inspiration de nos artistes, sur l'étincelle de nos scientifiques. Nous n'avons plus à faire nos preuves.
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La ville est bâtie sur le bord du fleuve Saint-Jean, sur un terrain de collines boisées. L'air y est pur et le climat est très supportable. C'est une grande ville avec tous les services, et elle est située sur une route majeure (la Transcanadienne). C'est la ville la plus importante dans le nord du Nouveau-Brunswick. Plus de 90% des habitants d'Edmundston parlent le Français. Si tu aimes le vélo, sache qu'il y a une longue piste cyclable entre Edmundston et Rivière-du-Loup (au Québec). C'est un parcours magnifique. http://www.umce.ca/sarmlt/petit_temis/ L'avantage d'Edmundston c'est la proximité de plusieurs cultures et régions: la Gaspésie, la Baie des Chaleurs (avec les villages acadiens à Caraquet par exemple), l'ile du Prince-Édouard, les plages, l'océan, les États-Unis du nord-est (Maine). L'inconvénient d'Edmundston, c'est que vous êtes relativement loin des plus grandes villes, du night-life, et des aéroports internationaux. Aussi, les gens sont accueillants... mais la ville compte très peu d'immigrants. Pour le reste, je vais laisser aux autres l'occasion de répondre, car j'ai visité cette ville et je l'ai traversée souvent... mais je n'y ai pas habité.
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Qui s,est qui demande ca aux Québécois ? Nelju (Mais puisqu'il vient de Vénézuela, il a probablement lui aussi un fort accent, que les Espagnols et les Cubains qualifieraient d'incompréhensible...)
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Il y a aussi un autre "regroupement", il s'agit de la Cité du commerce électronique: http://www.cce-ecom.com/
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Je recommande Antoine Laoun sur la rue Sainte-Catherine, station McGill. Ils sont très bien situés. En plus ils ont un bon choix de superbes montures de lunettes. En sortant de là, tu t'en vas écouter un bon film en VOA au Paramount, avec tes "nouveaux yeux"! J'achète mes lunettes là depuis au moins 8 ans et ils ont toujours un excellent service. ps: Si tu cherches un opticien d'ordonnance (OOD) tu peux aussi regarder dans les pages jaunes.
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Les femmes du Nord-du-Québec représentent moins de 0.1% de la population, donc on peut très bien se concentrer sur les autres aspects du "problème du stress" au Québec. Mais tant mieux pour elles, hein. LE DÉVELOPPEMENT URBAIN Je dirais que la principale composante du stress montréalais est le développement urbain quasiment hors de contrôle depuis la fin des années 1970. La région métropolitaine de Montréal s'est construite un peu n'importe comment, sans plan concerté. Il y a des immeubles d'habitation tout le long des autoroutes, beaucoup de secteurs sont bruyants, et le système routier est absurde. Par exemple, à Longueuil ceux qui veulent prendre le métro pour éviter la congestion des ponts... doivent tout de même emprunter les routes d'accès au pont Jacques-Cartier! Heureusement de ce côté, on annonce des travaux de réaménagement. Oui mais ça fait quand même plus de 20 ans que c'est le bordel. LES PONTS Le problème numéro 1 dans la région métropolitaine se résume en un mot: PONT. Il est difficile de "passer" sur l'île de Montréal à partir des banlieues. Il n'y a pas assez de ponts, pas assez de voies réservées pour les autobus, pas assez de transports alternatifs (métro, tram)... LES TRANSPORTS Le second problème porte un numéro: 40. Il s'agit de l'autoroute Métropolitaine sur l'île de Montréal, qui est construite de manière à concentrer tous les problèmes possibles sur un tronçon de quelques km, qu'il est à peu près impossible à contourner. Allez hop, amenons les automobilistes de la 13 et de la 15 en "collision" avec ceux qui ont un trajet est-ouest, rendons cette barrière impossible à franchir pour ceux qui sont sur Papineau et sur Berri, et ça donne un blocage quasi constant... En 15 ans, il s'est bâti moins de 50 km de nouvelles voies d'autoroutes dans la région métropolitaine, alors que le volume de voitures par heure a augmenté en moyenne de 21%. Il y a de quoi être stressés. LES CAPTIFS Ajoutons à cela une certaine concentration de la population qui est souhaitée par les autorités, mais qui n'est pas gérée de manière responsable. Pénurie des logements locatifs, pénurie de places de stationnement, sur-concentration de l'économie à Montréal. Vous trouvez cela normal que la moitié des gens que je connais DÉSIRENT quitter Montréal mais se sentent OBLIGÉS d'y rester parce que l'immense majorité des entreprises de leur secteur d'emploi sont installés sur l'île de Montréal? On en dira ce qu'on voudra, mais des gens qui habitent une ville MALGRÉ EUX ne sont pas des gens heureux. LES EXILÉS Il y a plus de Gaspésiens et d'Abitibiens à Montréal que dans leurs régions respectives. Vous me direz que c'est normal, que leur région est un trou sans emplois... mais au-delà du cynisme de nos dirigeants, on est en droit de se demander: est-ce que ces exodes de population sont absolument nécessaires et inévitables? LES CHANGEMENTS SOCIAUX Les Québécois sont passés d'un mode de vie axé sur l'agriculture vers un mode de vie strictement urbain, et ce en 3 générations. Lorsque j'étais petit, la plupart de mes amis avaient encore un oncle ou un grand-père qui avait une ferme. Nous allions travailler dans les foins, prendre soin des vaches, s'occuper des chevaux. D'ailleurs mes premiers emplois d'été (et ceux de mes amis) étaient dans le secteur agricole: cueillette de fraises ou de concombres, sarclage, travaux dans les champs de maïs, supervision de l'auto-cueillette, conduite de tracteur, moissonneuse, etc. Le champ de fraises où j'ai travaillé quand j'avais 14 ans a été vendu; il s'agit maintenant d'un champ de soja qui appartient à un propriétaire hors-région. Toutes les écuries et pensions à chevaux de ma ville natale (Mascouche) ont fermé leurs portes... pour faire place à la banlieue plate et aux centres commerciaux. L'éclatement de la famille traditionnelle a causé bien des maux de tête. La société québécoise a été "malade de ses enfants" pendant au moins une génération; maintenant, la courbe des naissances montre un léger fléchissement vers le haut. Mais il était très mal vu d'avoir plus de deux enfants pendant les années 1990, par exemple; certains parents se faisaient apostropher dans les supermarchés. La société québécoise a perdu certains repères, et cela cause bien du stress. LA FAUTE À LA TECHNOLOGIE? Contrairement à l'article qui a été posté plus haut, je ne crois pas que la technologie soit un amplificateur de notre taux de stress élevé. Peut-on imaginer que la technologie rende les Québécois plus stressés que les autres Canadiens, par exemple? Il est plus facile de blamer les courriels et les fax... que de se rendre compte que notre mode de vie individualiste, surtout en milieu urbain, cause la solitude et le malheur. Et ce mode de vie, il existait avant que les courriels ne deviennent populaires. Les ti-vieux sont-ils abandonnés au profit de Windows? Les patrons demandent-ils à leurs employés de se tuer au travail depuis l'arrivée du iPod? Non. Le problème est plus profond.
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Étant hors du pays, aurait-il accès à la Télé-Université? Il pourrait faire des cours à distance. http://www.teluq.uquebec.ca/ Évidemment, tout dépend de son domaine d'études et de la "compatibilité" des cours qu'il prend avec son futur départment (car même entre les universités québécoises, il y a parfois des équivalences de cours qui sont difficiles à établir, étant donné que les programmes d'études diffèrent en contenu).
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Tsé, l'expression "les régions" est utilisée couramment, et pas seulement par des Montréalais, mais par des gens... des régions justement, qui cherchent eux-mêmes à se distinguer de la grande ville arrogante qu'est Montréal, la seule métropole du Québec. En plus, un peu comme à Paris, beaucoup d'habitants de Montréal viennent eux-mêmes des régions! Oui, ces régions sont toutes différentes les unes des autres, mais elle sont liées d'une certaine manière: campagne, nature, espace, calme... et villes à taille humaine et petits villages. Non, il ne faut pas généraliser, mais un petit village reste un petit village, avec ses avantages mais aussi ses inconvénients. L'absence d'anonymat en est un, en tout cas pour moi. Et la rareté des immigrants quand on compare à Montréal (un tier de la population) explique que parfois, il y a un petit choc culturel, d'un côté comme de l'autre. On peut transposer ça partout dans le monde. Oui c'est sûr... mais tu vois, nous avons encore cette fixation sur les petits villages... alors que la population des régions est plutôt urbaine (concentrée dans les villes moyennes). De ces villes, celles qui ont un Cégep ou (surtout) une Université ont vraiment une ambiance différente. De là l'importance de dire: parle-t-on du village de 300 habitants au coucher de soleil merveilleux et au chomage endémique, ou bien de la ville industrieuse et culturelle qui attire les étudiants africains? Et même là... on peut difficilement comparer La Malbaie et Magog... qui sont pourtant deux "villes moyennes" en région... Je dirais que ceux qui visent les villages ou les villes de moins de 5000 habitants s'embarquent dans un projet autrement plus complexe et risqué. Comme tu dis Cherry, c'est vrai pour le Québec et c'est vrai pour le reste du monde. Immigrer dans un espace social restreint demande d'avoir une personnalité très positive, charismatique même, sans quoi on demeure un étranger même après 10 ans... ps: Je n'ai pas peur de le dire, j'habite au Bic depuis 2 ans et demi.. et je ne suis pas encore considéré comme une personne "de la place". Or mon cercle social s'étend lentement. Les caissières du Richelieu ont enfin commencé à nous reconnaître et à se souvenir que nous ne sommes pas des touristes. C'est long, faut être patient... mais justement, la patience n'est-elle pas l'une des qualités nécessaires à la réussite d'une immigration (ou même d'un simple "changement de région" / relocalisation)?
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Bonjour! Peux-tu élaborer un peu plus sur ce qui t'attire -- tu parles de "tout ce qui est américain". Penses-tu trouver cela au Québec? Quels aspects de "l'américanité" t'attirent le plus, sont importants pour toi? Bien entendu, le Québec étant en Amérique du Nord, notre société a beaucoup de points en commun avec les États-Unis et le "reste du Canada"... mais en même temps, le Québec un "état" particulier et une terre de contrastes. Si ce que tu n'aimes pas en France c'est les syndicats, la fonction publique, le filet social et ses parasites, les impôts élevés, les grèves et l'état interventionniste... alors tu ne seras pas heureux au Québec. Autre chose: la part de rêve... celle qui nous fait voir un pays ou une région à travers le cinéma et une idéalisation de la culture. Ainsi, dans tous les films hollywoodiens, les gens habitent dans des grosses baraques avec un hall d'entrée immense (et c'est la vision romantique de la "classe moyenne")... alors que dans la réalité, la classe moyenne habite dans des banlieues anonymes dans des petites maisons bien ordinaires. Donc ton idéal de l'Amérique et du Québec... où se situe-t-il? S'il y a décalage avec la réalité, nous pourrons t'aider à ajuster ta vision et à étoffer ton projet.
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Je ne suis pas certain de comprendre ta question. Parles-tu d'accès Internet via la connexion d'un téléphone cellulaire? Par exemple, il y a la palette de services EUPHORIK de TELUS... (télé sans fil, stations de musique sur réseau sans fil, internet sans fil, jeux, messagerie, etc) http://www.telusmobilite.com/qc/wweb/index.shtml
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Bah, on peut parler des régions, DES régions... UNE à la fois, en la nommant. Ça évite les généralisations excessives. Sinon, on accepte les termes du débat et on balance allègrement tous les patelins dans la même marmite: allez hop, Matagami, Mont-Laurier, Acton Vale, Bonaventure, Rimouski, La Malbaie, Saint-Tite... ce n'est pas Montréal, donc c'est "la" région. Laquelle? Peu importe, c'est du pareil au même. Très utile pour que les immigrants se fassent une idée, même imprécise, de ce qui existe au Québec.
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Zogu, Mon copain est allophone et il a appris ce fameux français "international", donc oui ça existe, même si ça semble bizarre !!! Aussi, bien qu'il vive au Québec depuis plusieurs années, il n'a pas pris l'accent québécois, son français n'a pas d'accent. Paméla Ce que je veux dire, c'est qu'on demande aux Québécois de changer leur manière de parler. Mais on ne le demande pas à d'autres groupes de gens (disons les Parisiens), qui ont pourtant un très fort accent, très loin du Français international et TRÈS loin de la prononciation phonétique suggérée, qu'on trouve dans le Larousse par exemple.
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L'expression "bande de ploucs" visait précisément ces gens-là, pas les Rimouskois en général, c'est du moins ce que moi, j'ai compris. Enfin, je crois. Certains témoignages de ce fil de discussion (et dans les articles de journaux cités) ne jouent pas dans la subtilité. Des anecdotes, oui... mais qui se fera une opinion réaliste de ces régions, qu'on présente comme des repaires de paysans arriérés et consanguins?
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Mais qui parle le Français international, au juste? Les Parisiens? Laissez-moi rire.
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Zogu, le prends pas perso! Elle a dit comment elle se sentait, elle est peut-être tombée sur la paire de ploucs de la région, qui sait? Il y en a partout, des ploucs, ici comme ailleurs (tiens, j'aime bien ce mot, plouc, je crois que je vais l'ajouter à mon vocabulaire... ). Je ne le prends pas personnel. Je n'aime juste pas le négativisme crasse et la généralisation à outrance.
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Peut-être devrions-nous sortir des anecdotes où il a été question de choses positives comme l'inclusons, l'accueil, la compassion. Tiens, qui se souvient des 6 étudiants africains de l'UQAR (Université du Québec à Rimouski) dont l'appartement a été détruit par un incendie? Eh bien, avant même qu'un article de pleine page ne paraisse dans les journaux locaux, ils avaient déjà reçu des vêtements, de la nourriture, des matelas, etc, de la part des gens de la ville. Après publication de l'article, ils ont été inondés de dons, d'invitations au restaurant, etc. On les saluait dans la rue et demandait de leurs nouvelles. Voici un scan de l'article d'origine: http://www.seshat.ca/Hugo/uqar2.jpg Nous en avions déjà parlé sur immigrer.com (et je remercie ceux qui ont envoyé un don à ces étudiants malchanceux). Alors, Rimouski est-elle une ville de ploucs racistes?
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Nous n'avons pas encore maîtrisé l'électricité. Notre plus grande richesse est le charbon.
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Il y a quelques collines fort jolies (et des îles)... mais je dirais que Le Bic est surtout un coin agricole avec vue sur la mer.
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C'est quoi un ingénieur commercial???
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Je vais parfois dans leur boutique pour accéder à Internet ou imprimer des documents. Ils sont très sympa.
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Étonnant, surtout quand on sait que Rimouski est une ville universitaire avec des étudiants du Cameroun et de l'Inde. Et tu parlais à ton copain de manière normale et sans hurler???
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OUI!!! Il y en a. Et pour ceux que la peinture rebute, il y a aussi les salles de tag au laser (Laser Quest, QZar). Pour le Paintball il y en a un qui est très bien situé dans un grand entrepôt près du tunnel Lafontaine: Action Commando. Du côté du Paintball en plein air, on en trouve évidemment beaucoup en banlieue extérieure (Mascouche, Saint Roch, etc). Le site suivant te donnera accès à la communauté de Paintball de la région métropolitaine et aux coordonnées de QUELQUES terrains: http://www.paintballmontreal.com/ Il ne liste pas tous les terrains existants, cependant. Note que tu peux acheter ton équipement chez Canadian Tire et dans certaines quincailleries, mais le mieux est de louer sur place et (éventuellement) de trouver un détaillant spécialisé, qui te vendra du meilleur matériel. ....... ....... Voilà j'ai finalement trouvé celui que je cherchais. Bigfoot Paintball, dans la région de Joliette. HALLUCINANT!!!! Ils ont des terrains, des missions, des "wargame" grandeur nature, etc. Je n'y suis jamais allé mais j'ai des amis qui font des sorties "entre collègues de bureau" à cet endroit et ils en parlent pendant des semaines avant d'y aller... http://www.bigfoot-paintball.com/
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En Octobre les températures sont encore très clémentes, quoique les soirées commencent à être fraîches. Le début d'octobre est agréable et ensoleillé, ensuite les températures de jour baissent graduellement et se tiennent dans les 15 à 25 degrés. S'habiller normalement (en pantalons ou en jupe longue, c'est selon)... et surtout prévoir une petite veste, un blouson ou un tricot pour le soir et pour les journées plus fraîches. En Novembre, là, ça se gâte. Il y a souvent de la pluie assez froide et des grands vents. Prévoir un coupe-vent en nylon, quelques vestes... et des petits gants de laine et un chapeau si vous êtes frileux. Surtout, n'oubliez pas d'acheter un parapluie en arrivant!!! Vers la fin de novembre, les températures peuvent frôler le zéro degrés, sans que ça ne gèle vraiment; un manteau d'automne serait le bienvenu, avec une écharpe pour couper le vent frais. Du côté des pieds, vous pouvez porter des chaussures de ville ordinaires, pas besoin de bottes. Assurez-vous d'avoir des chaussures fermées (bref, évitez les sandales et les machins d'entraînement avec les trous d'aération). Notez bien qu'en tout temps au Québec, il faut s'attendre à des températures imprévisibles et à de fortes oscillations du termomètre. On voit parfois des variations quotidiennes de l'ordre du 15 degrés en automne et au printemps. Les vents sont changeants aussi et la pluie s'installe ou décolle selon un rythme capricieux, pour des durées tout aussi capricieuses.
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C'est pas toi qui se plaignait du vent hivernal à Rimouski? Pffff. Moi j'irais bien passer quelques semaines par année dans un coin complètement perdu en France, où il y a des p'tits villages, des villes pas compliquées, et un terroir fantastique. J'ai trouvé cela en Ariège déjà, je suis sûr que ça existe ailleurs en France (plus près du centre, peut-être? l'Auvergne?)... Mais bon... je suis Québécois, et le thème de cette discussion est la nostalgie de l'espace méditerranéen, ce qui dépasse mon expérience personnelle. Le sujet devrait d'ailleurs s'appliquer aussi aux Libanais, Marocains, Algériens, etc, du forum... car ils quittent eux aussi cet espace aux odeurs et aux couleurs si particulières. Disons que la figue achetée sous cellophane à Montréal n'a rien à voir avec celle cueillie à Murcia (et c'est un cas vécu!!!) ou bien à Alger, à Toulon...