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Gloup, Ici il y a moins de ce que tu appelles 'préférence nationale' que ce que tu as pu peut être connaitre en Europe. Qnad je vois le nombre de jobs ouverts aux immigrés non citoyens au Canada, je ne peux m'empêcher de penser qu'il est bcp plus élevé qu'en France. Rien que pour pratiquer la médecine ou la pharmacie en France, il faut posséder la nationalité française, ce qui n'est pas le cas ici. Ce n'est qu'un petit exemple. Dans tous les cas où la nationalité canadienne n'est pas requise pour un poste, les citoyens canadiens et les immigrants peuvent postuler à titre égal. Si tu es le meilleur et que tu peux démontrer que tu n'as pas été choisi à cause de ton origine étrangère, ça peut avoir des conséquences graves pour la boite. Ceci pour le principe. Maintenant je te mets dans la position d'un recruteur québécois: il a le choix entre deux personnes à qualifications 'égales'. L'un vient du village voisin, l'autre de Tataouine-les-Bains. Lequel choisira t'il à ton avis et comment personellement si tu étais à sa place tu aurais agi ? Je crois que la réponse est claire
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Je vis au Canada anglophone. Ici, les gens ont une peur bleue de l'indépendance du Québec, qu'ils appellent la 'séparation'. c'est compréhensible: il suffit de regarder une carte pour vir que le Canada serait dans ce cas coupé en deux. Pour certains d'entre eux, il y a la crainte que le ROC devienne avec ça très semblable aux Etats-Unis, étant donné que le fait français caractérise le Canada. Ca, bcp de québécois ne le savent pas, ils croient que tous les anglos sont contre eux. C'est faux. Ceci dit, bcp de Québécois ne trouvent pas leur compte dans le Canada d'aujourd'hui et surtout dans la marginalisation croissante du Québec. Les tentatives d'arrangements constitutionnels ont toutes échoué (lac Meech...). Et bcp de québécois ne trouvent plus d'alternative à l'indépendance. Mon sentiment personnel c'est que le Québec deviendra indépendant un jour. Le jour venu, ce sont tous les québécois qui décideront: de souche, immigrés, autochtones et anglophones. C'est donc tous ces gens qu'il va falloir convaincre. J'ai vu Boiscalir à la télé. Il m'a semblé bon communicateur, mais il manque singulièrement de charisme. Ce n'est ni Boucahrd, ni Levesque. La partie est loin d'être gagnée !
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B52, Le Français moyen ne trouve pas qu'il yait besoin d'immigration massive en France mintenant qnad il ya 10-11% de chomeurs. Par contre il y a yn réel besoin dans certains secteurs d'activité. Ce dont la France a besoin est probablement une immigration choisie, non subie, comme au Canada ou en austarlie par exemple. Et ce que lon soit Sarkozyste ou pas...
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Bonjour Zelda, Au Canada, le médecin de famille a bcp plus de responsabilités qu'en Europe. Il fait plus de choses, pose plus de gestes, fait aussi parfois le suivi des grossesses voire les accouchements dans certains cas, mettre des stérilets, etc... (moi je le fais, mais je travaille à Halifax, pas au Québec) Il envoie donc moins ses patients voir le spécialiste pour des bagatelles. Bref, rien à voir avec l'image du médecin généraliste que tu pourrais avoir en Europe. Il va falloir s'y habituer. Pour le suivi d'une grossesse, tu peux choisir de le faire soit chez le médecin de famille soit chez un gynéco. Maintenant, il peut être difficile d'en trouver c'est certain. Je ne connais pas bien la situation particulière de Montréal.
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Susanne, Des canadiens d'origine Libanaise, il y en a environ 300 000 au Canada. Tu ne seras ni la première ni la dernière à faire cette démarche, ni je l'espère à réussir. Je t'informe aussi si tu ne le sais pas que Montréal est en train de devenir une ville 'libanaise'. Tu y trouves tout ce à que tu es habituée au Liban, surtout la nourriture... Le problème que tu peux rencontrer c'est l'extrême lenteur de la procédure. J'ai vu les délais de traitement des demandes à Damas (c'est l'ambassade qui traite les cas libanais). Ils sont de l'ordre de 5 ans en moyenne. Peux-tu présenter ton dossier ailleurs (au Caire par exemple ?). Donc conseil, fais ta demande et essaye en même temps de trouver un emploi au Liban ou ailleurs en attendant et surtout, PATIENCE !
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J'exerce depuis 6 mois en Nouvelle-Ecosse en tant que médecin de famille. Voici l'adresse web si tu veux avoir plus de renseignements: www.cpsns.ns.ca tu pourra trouver des infos concernant la démarche à suivre pour obtenir la licence d'exercice. Globalement, ça prend moins de temps qu'au Québec mais c'est plus couteux. si tu as besoin de plus d'info, dis-le moi.
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A PP et tous les forumistes Si ce n'est pas la guerre civile, ceci lui ressemble très fort...Les responsabilitées sont largement partagées, il n'y a pas les bons d'un côté et les mauvais de l'autre: Les français de souche, dans leur majorité, n'ont pas fait la place aux immigrés venus du Maghreb qui , pour bcp d'entre eux en tout cas ne, voyaient aucune obligation de s'intégrer...Celui qui sème le vent récolte la tempête.
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Ce débat sur l'intégration des immigrés, il me semble qu'il ne se passe qu'au Québec !!! Je n'ai jamais entendu ce type de débat dans le ROC. Allez demander aux habitants de Toronto si l'intégration se passe bien là-bas, ils vous rigoleront au nez. La raison: 50% des torontois ne sont pas nés au Canada. Leur présence dans cette ville est le meilleur indicateur de leur intégration. D'ailleurs, à Halifax par exemple, je n'ai jamais entendu le mot étranger pour désigner quelqu'un. Si on cite parfois l'origine des gens, c'est juste pour mieux montrer la diversité et pour comprendre qu'on peut ne pas agir de la même façon car on n'a pas le même 'background'. Personne ici ne dirait à la manière de Cherry: je travaillais avec des 'grecques et des italiennes'. Ici on aurait dit des canadiennes d'origine grecque ou italienne pour être plus informatif, si on veut l'être. Ce qui fait que Cherry utilise cette formule c'est qu'elle a du mal à les considérer comme québécoises puisque dans sa tête, probablement, un québécois est français, blanc, catholique au départ, etc... Tout ceci a donc à voir avec nos représentations de l'autre. Tant que 'l'autre' est celui qui n'appartient pas au 'mainstream', il restera tjs un problème pour nous. Et puis encore une fois, il n'y a pas que le Québec au Canada !!!!
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Et alors, Rayan ?
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Il y a quelques semaines l'université de Shanghai a établi une classification de toute les universités du monde. Puisque ta question concerne le Canada, voci le classement: 1-Université de Toronto 2-Université de Colombie Britannique 3-McGill 4-McMaster 5-Université de L'Alberta 6-Queen's 7-Université de Montréal....
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Ce que je trouve personnellement dommage, c'est qu'aucun arrangement constitutionnel n'a pu être trouvé jusqu'ici entre le Québec et le reste du Canada. Et je crois que la faute dans ce cas est un peu partagée. En tout cas, moi je vis en Nouvelle-Ecosse et je vois que, véritablement, il y a deux pays au Canada. Les anglophones d'ici ne connaissent presque rien de la culture québécoise: la plupart des gens ne connaissent aucn chanteur, acteur ou auteur québécois. Mais de là à l'indépendance pure et simple, le chemin parait très long: d'une part parceque le gouvenement québécois actuel est libéral, et donc anti-indépendance et d'autre part par les sauts d'humeur des québécois dont l'opinion à ce sujet varie bcp selon les sondages. J'ai remarqué, et ça me fait rire, que bcp de québécois 'souverainistes' deviennent des 'fédéralistes' dès qu'ils décrochent un job dans le gouvenement fédéral Par contre, je n'ai que de la pitié pour ceux qui se croient avoir plus de drois que les autres parcequ'ils sont nés ici. C'est si anti-canadien de se considérer 'ayant plus de droit que son voisin' En tout cas, la plupart des 'immigrés' vivant au Québec (à part peut-être les français) votent systématiquement contre l'indépendance du Québec. C'est ce qui a fait dire à Jacques Parizeau, dans une gaffe monumentale après le référundum de 1995: nous avons été vaincus par l'argent et le vote ethnique ! Tout compte fait, je trouve tout à fait normal que quelqu'un qui veut s'établir dans un pays s'intéresse à ce qui peut se passer dans ce pays dans l'avenir !
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Personellement, ce qui me dérange dans la démarche concernant la citoyenneté canadienne, c'est de devoir prêter un serment de fidélité à Elisabeth II 'reine du Canada' et 'à ses successeurs'. Fidèle à ses successeurs, je trouve ça un peu difficile quand eux ils sont pas fidèles dans leurs relations. Est-ce-que ce point particulier, à savoir prêter un serment de fidélité à la 'reine du Canada' perturbe certains forumistes ? Par ailleurs, est-ce-que certains sont perturbés par le fait que dans un pays démocratique, le représentant du chef de l'état est désigné et non élu par le peuple ?
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Ici, un français sympa, c'est un belge.
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Bonjour cher collègue, Juste un petit mot pour te dire que le Québec n'est pas la seule province canadienne qui a besoin de médecins. Premier conseil: pour peu que tu parles l'anglais tu peux voir aussi ce qu'on demande dans d'autre provinces. Deuxième consiel: ne viens pas ici avant d'être certain de trouver du travail car ici il ya des centaines voire des milliers de médecins à diplôme étranger qui n'ont pas réussi à avoir une autorisation d'exercice. Bon courage !
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Salut JayJay, Je comprends bien ton point de vue. Cependant la notion de préséance me gêne beaucoup. Car elle exprime la notion d'avoir des citoyens de premier, de deuxième et de nième grad. En toute logique donc ce systéme aboutirait à ce que par exemple un demandeur d'emploi doit se voir refuser un emploi parceque quelqu'un d'autre a été citoyenne plus longtemps que lui. Avoue que c'et quand même contraire à ce que le Canada proclame haut et fort et contraire même aux lois canadiennes (dont la charte des droits). Finalement même les Québécois de souche dont tu fais apparemment partie ne sont que des immigrés sur la terre canadienne. Que certains aiment ça ou pas. Je veux te dire enfin que de nombreux immigrants choisissent le Canada parcequ'ils croient, à tort ou à raison, (et j'espère à raison) que personne justement n'y a préséance. Il est clair qu'un immigrant n'a pas les mêmes doits légaux qu'un citoyen (vote, passeport canadien...) mais du moment où il devient citoyen, alors là il ne devait pas y avoir de différence. Personnellement, je n'accorde la préséance à personne. Mais je serai profondément reconnaissant à ceux qui avant moi ont construit ce pays que j'aime et qui est à moi autant qu'à toi, déjà !
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Oreste, Toutes les provinces canadiennes ont besoin de médecins. Les provinces pour lesquelles l'obtenton d'un permis est la plus difficile c'est le Québec et l'Ontario. Par contre pour La Nouvelle-Ecosse, Le Manitoba le Saskatchewan et L'alberta, les choses sont différentes. En plus du EEMCC et si ton dossier est accepté par le collège des médecins, on te fait passer un examen de 3 jours à L'Université du Manitoba. Si l'évaluation est concluante, tu peux commencer à pratiquer immédiatement avec un permis restrictif. Premier avantage par rapport au Québec: pas besoin de stage obligatoire ! Deuxième avantage: dès que tu as passé les autres examens du Conseil Médical du Canada et du collège des spécialité ou de médecine de famille, tu obtiens un permis définitif. Tu peux t'installer donc où tu veux dans ces provinces. Troisième avantage donc: pas besoin de passer 6 ans dans un 'goulag au Québec' avec un permis restrictif(l'expression est du président du conseil des médecins du Québec !). Moi, dans un mois, je m'installerai à Halifax (Nouvelle-Ecosse). Je suis passé par les procédures du Collège des médecins de cette province. J'y ferai de la médecine de famille !
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Un petit consiel Cher collègue Oreste: Il n'y a pas que le Québec au Canada ! Il faut essayer dans d'autres provinces si vous maitrisez l'anglais !
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Bonjour à tous ! Etant donné que c'est moi qui ai lancé ce débat après lecture de cet article, je tiens à vous remercier tous de vos réponses qui ont permis, j'en suis certain, de voir et de comprendre le sujet sous divers angles.
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Concernant les médecins j'ai lu un rapport de l'ordre des médecins du Québec qui affirme maintenant vouloir donner aux médecins étrangers un permis dit définitif une fois qu'ils auront passé tous les examens requis. Or que est proposé aux médecins étrangers maintenant n'est qu'un permis dit restrictif, valable pour un établissement et obligatoire pendant 6 ans, même si on réussissait tous les exmanes requis pour avoir un permis définitif. Le président de l'ordre dit lui-même ne pas vouloir que le permis restrictif deveienne le 'Goulag des médecins étrangers'...Il est vrai que les postes proposés pour les étrangers sont spécifiquement dans des régions du Québec qui ont tout d'un goulag...DONC CA BOUGE !
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Voci un article du monde d'hier. Son auteur est en professeur à Laval Sans commentaire de ma part. 'Si le combat des Québécois pour la défense du français est connu, on connaît moins leur division sur le type de français qu'ils désirent employer. La majorité veut parler une langue proche de celle des autres francophones. Mais certains, les "aménagistes", considèrent le français standard comme un modèle linguistique étranger et prônent la création d'une "norme québécoise". Cet objectif est en rapport avec l'attitude ambiguë de certains Québécois à l'égard de la France. Ils considèrent qu'ils sont ou ont été colonisés par ce pays, alors que le Québec n'a plus de lien juridique avec lui depuis 1763 ! Ainsi, Line Beauchamp, ministre de la culture, a déclaré : "Les différents Etats qui ont été colonisés par des sociétés européennes se sont tous donné leur propre dictionnaire. Il est assez particulier de voir que le Québec ne s'était pas encore donné un tel ouvrage." En fait, les colonisés sont les Amérindiens et les Inuits. Quant aux colonisateurs, ce sont... les ancêtres des Québécois d'aujourd'hui et les Anglais. Un sentiment antifrançais et anti-langue française de France est ancré dans une partie de la population. Un journaliste critiquait ainsi la décision du gouvernement québécois de choisir la chanson La Langue de chez nous, d'Yves Duteil, pour commémorer l'adoption de la Charte de la langue française : "La langue que Duteil y célèbre n'est pas celle de chez nous, mais celle de chez lui." Cette distinction entre "nous autres" et "eux autres" (les Français) est caractéristique de ce courant. Certains vont jusqu'à considérer comme des "colonisés" les Québécois qui franchissent cette limite ethnique et optent pour le français standard. Denise Bombardier se disait récemment "troublée par l'impossibilité de discuter raisonnablement de la qualité de la langue parlée chez nous. La réaction épidermique consiste à discréditer quiconque s'y hasarde en le traitant (...) de vendu. Le fait que, parmi les jeunes, on -en- trouve tant qui expriment un dédain, pour ne pas dire une haine de la France et des "maudits Français", en dit long sur notre libération collective." Pour les aménagistes, le "dictionnaire national" représente l'objet symbolique qui marquera la libération du peuple de l'impérialisme français. "Après s'être affranchis des Français dans la littérature, le film, la chanson, les Québécois s'apprêtent à affirmer leur identité par le dictionnaire", a écrit le linguiste Claude Poirier. Si cet affranchissement s'était fait en faveur, par exemple, du film québécois, il y aurait de quoi se réjouir. Mais l'"expansion" des films québécois (13 % du marché) a été favorisée par... l'effondrement des films français (9 %) face au rouleau compresseur américain (78 %). Est-ce un "affranchissement" ou une autre "colonisation"? Les aménagistes ont investi les lieux de pouvoir : secrétariat à la politique linguistique, Conseil et Office de la langue française, ministère de l'éducation... On peut mesurer leur progrès en comparant deux définitions officielles à vingt-cinq ans de distance : "La norme qui, au Québec, doit régir le français dans l'administration, l'enseignement, les tribunaux, le culte et la presse, déclarait l'Office de la langue française en 1965, doit, pour l'essentiel, coïncider à peu près entièrement avec celle qui prévaut à Paris, Genève, Bruxelles, Dakar..." En 1990, le Conseil de la langue française affirmait qu'il y a maintenant "consensus au Québec quant à l'existence d'un français standard d'ici dont la description constitue la prochaine étape obligée du projet collectif québécois d'aménagement de la langue". En réalité, il n'y a pas de consensus. Le Conseil n'a écouté que ceux d'ac- cord avec la création d'une "norme québécoise". La rédaction d'un Dictionnaire normatif du français québécois est en cours. L'ouvrage sera dans la ligne politico-linguistiquement correcte (aménagiste, nationaliste, féministe). Sa conception repose sur un principe erroné. Selon son initiateur, Pierre Martel, le français québécois doit se concevoir "comme la langue d'une communauté linguistique pour laquelle il n'existe pas de variété témoin". Ce séparatisme linguistique va à contre-courant de la tendance à l'homogénéisation du marché linguistique francophone international. Le français du Québec en fait partie intégrante. En interaction constante avec la variété hexagonale, il se distingue de moins en moins du français des autres francophones. Cette idéologie masque le désir d'un groupe d'universitaires et de fonctionnaires d'imposer à la société sa conception de la norme. "L'Etat doit exiger le respect de la norme du français québécois", dit Martel. Se reflète ainsi la volonté d'une partie de la petite bourgeoisie intellectuelle de se créer un créneau politique et économique en se positionnant comme intermédiaire obligé entre les Québécois et le reste de la francophonie. Les aménagistes pensent avoir trouvé, avec leur "français québécois standard", la formule qui établira leur domination. L'enjeu est de taille : il s'agit, en créant une mesure protectionniste, de s'assurer le monopole du marché du livre scolaire et des industries de la langue et de la culture. Comme quoi idéologie linguistique et intérêts économiques font bon ménage. Les victimes de ce séparatisme linguistique seront les Québécois, confinés à un marché de 6 millions de personnes, ghetto linguistique et culturel ni anglais ni français, première étape vers l'anglicisation complète. Lionel Meney est ancien professeur à l'université Laval de Montréal et auteur du Dictionnaire québécois-français' Quen pensez-vous ?
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Pour moi, ça va de soi que si on choisit de devenir citoyen d'un pays, c'est qu'on s'engage non seulement à en profiter en temps de paix mais aussi à le défendre en temps de guerre. Et la mort, on la risque quand on se bat...
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Ca me rappelle une histoire citée par Pierre Berton dans un de ses livres consacrés au peulplement de L'Ouest. Il raconte l'histoire de certains anglais qui venaient d'Angleterre à ce moment-là pour faire fortune au Canada. Ils se comportaient en territoire conquis et voulaient labourer la terre en 'portant des chaussures en mocassin'. Après un certain moment, plus personne ne voulait employer d'anglais dans le Canada dit 'anglais'. Il y avait partout des annonces qui disaient: 'We have jobs, No english need to apply'. C'est marrant comme l'histoire se répète.
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Excusez-moi mais je remarque une chose: ceux qui se plaignent de la mauvaise qualité du français sont ceux qui font généralement le plus de fautes ! Totof06, moi j'en ai vu deux de fautes
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Eh bien, moi j'aimerais savoir à quoi sert un forum de discussion si ce n'est à discuter ? Et si discuter veut dire qu'on doit tous avoir une 'pensée unique' alors vaut mieux ne pas discuter. Tout ceci pour dire que chacun devrait pouvoir exprimer ses idées et son vécu en toute liberté. Chacun a le droit de répondre à ce point de vue, plutôt de façon polie et avec respect. c'est de dernier côté qui manque dans certaines réponses à ceux qui sont souvent considérés comme des MF...Comme le dit Voltaire: je ne suis pas d'accord avec ti mais je suis prêt à mourir pourque tu puisses exprimer ton point de vue. Je me pose aussi la question question suivante: prenons un citoyen du monde lambda qui a décidé de partir de son pays et qui se dit: quel serait pour moi et pour mes enfants le meilleur pays possible ? quel est le pays du monde qui ouvre ses portes aux immigrés qu'il choisit ? quel est le pays développé, où je serai respecté en tant qu'individu quelle que soit ma religion ou ma couleur de peau ? quel pays pourra assurer à mes enfants une bonne éducation et un bon avenir ? quel est le pays où il n'y a pas eu de révolution ni de guerre civile ? Eh bien je suis presque certain que ce citoyen lambda classera en premier LE CANADA ! Car même si les choses ne sont pas parfaites au Canada, elles ne sont probablement pas mieux ailleurs, sinon on le saurait. Moi, j'au vu bcp plus d'étrangers heureux au Canada que dans les autre pays que je connais (France, Suisse, Norvège, Danemark).
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Bonjour Nelle et Bonne Année à toi aussi ! A mon avis il ya deux avantages à travailler hors du Québec: 1) d'abord en ce qui concerne la procédure d'obtention de l'autorisation d'exercice: les choses sont plus simples ailleurs. Il n'y a pas de stage obligatoire de 3 mois payé par tes soins. On te fait passer des examens, si c'est bon tu peux commencer à travailler directement (voir les sites web des collèges de médecins en Nouvelle Ecosse, au Manitoba et en Alberta par exemple). 2) les salaires sont en moyenne plus élevés ailleurs même si on travaille moins au Québec. Au Québec, il y a un plafonnement des honoraires ce qui veut dire qu'après une certaine somme gagnée, la province ne te paye plus, donc tu travailles gratuitmenet