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Salut, Je te conseille ce site pour commencer tes lectures. Il s'agit du site du ministere de la sante du Quebec. C'est eux qu'ils faut contacter en premier quand on est dilpômé d'un faculté de médecine hors Canada et Etats-Unis: www.msss.gouv.qc.ca/sujets/organisation/medecine/rsq.html Il ne faut pas non plus oublier qu'au Canada il n'ya pas que le Quebec. Toutes les provinces, ou presque, ont besoin de médecins. Les procédures d'exercice sont souvent moins fastidieuses qu'au Québec. Mais bien sur, à ce moment, il faut maitriser l'anglais. Moi, j'ai choisi de m'installer en Nouvelle-Ecosse après avoir commencé la prcédure quebecoise et m'être rendu compte qu'elle était tout à fait ridicule (voir l'article à propos de notre collègue belge).
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Je confirme qu'il n'y a toujours pas de contrôle à la sortie du Canada. Il y en a seulement à l'entrée au Canada.
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Gingko, Dans ce temps-là, les Libanais vivaient sous occupation ottomane. C'était un empire très opresseur. Le pays manquait cruellement de liberté. Il y avait aussi une pauvreté assez généralisé sauf chez les collaborateurs des ottomans. Ceci a poussé les Libanais à émigrer. Souvent, ils ne connaisaient rien concernant leur destination finale. Il n'y avait ni visa ni carte de RP ! Ils prenaient un billet de bateau et débarquaient au terminus. Certains se sont retrouvés au Brésil, s'autres aux US ou au Canada, certains même au Sénégal ! Comme Halifax était la porte d'entrée du Canada, certains y sont arrivés et ils y sont restés. Aujurd'hui, il y a environ 12000 Libanais à Halifax. CQFD.
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Gingko, Des Libanais y en toujours eu au Canada. Je lisais l'autre jour un livre sur la Nouvelle Ecosse. Les premiers Libanais y sont arrivés en 1880. Bcp de ces Libanais et de leurs descendants se considéraient et se considèrent toujours comme fondateurs du Canada au même titre que les Français, Anglais, Ecossais et autres...N'oublions pas qu'en 1880, Toronto, Calgary, Edmonton et Vancouver n'étaient que des bouragdes peuplées d'à peine quelques milliers d'habitants. Le mouvement d'immigration s'est accentué après la guerre dite civile. Pour le Québec, la francophonie et le caractère 'catholique' de la province ont joué un rôle majeur dans l'attraction d'une grande communauté Libanaise chrétienne et francophone.
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Bonjour, Moi, je suis Franco-Libanais. Partout au Canada Il ya des Libanais. Selon le dernier recensement, ils seraient au moins 200 000. Ils sont très visibles à Montréal mais il y en a même à Vancouver avec églises et mosquées de tout rite !
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La ministre de l'immigration du Canada...
mimile a répondu à un(e) sujet de Laurence Nadeau dans Québec
Cette forme de danse est quand même une forme de prostitution puisqu'on vend son corps pour un bénéfice matériel. Jusqu'à quand la prostituttion va continuer à être légale au Canada et Pourquoi il y a si peu de discussion concernant son abolition pure et simple dans un pays qui se dit 'un pays des droits de la Femme' ? -
A Arslan. Très beau cher collègue. Bonne chance pour la suite.
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Bonjour Amis forumistes, Gardons notre calme svp. Valens pose des questions pertinentes auxquelles il faudrait répondre aussi pertinnemment. Il est évident qu'il y a bcp trop de professionnels au Canada qui ne trouvent pas d'emploi dans leur domaine. D'abord, il me semble que la problématique du MF n'a rien à voir là-dedans. Essayons donc de ne pas en parler. Deuxièmement, il me semble également que les gouvernements canadien et québécois sont maintenant bien conscient de ce problème. vous n'avez qu'à lire toute la récente littérature de CIC et du gouvernement du Québec pour se rendre compte que les choses bougent. Le Canada perd chaque année 5 milliard de dollars par manque de reconnaissance des compétence des immigrés. La question vous le voyez n'est donc pas qu'humanitaire. Le problème au Québec concerne essentiellement les profession réglementées, qui étaient jusqu'à des dates récentes hermétiquement fermés aux immigrés. Des efforts sont faits actuellement pour proposer d'abord une information concernant ces ordres et la façon de faire pour y entrer, parfois à partir de l'étranger et ce avant mème de venir au Canada. Ceci concerne essentiellement les médecins, les dentistes et les infimières. Mais attention: ceci ne veut pas dire que tous seront pris. Le Canada devant une offre de compétence qui excède sa demande a le doit et l'obligation de choisir les meilleurs. Et pour ça, je suis personnellement pour une sélecton drastique car je veux être certain que le docteur que je veux utiliser, si je suis malade, est compétent. La solution qui semble se dessiner c'est que les immigrant seront conseillés dans l'avenir de s'insrcire à ces ordres avant de venir au Canada. Ceci évitera d'énormes frustrations. Je voudrais enfin vour parler de mon cas. Je suis médedin français devenu résident permanent en juin 2004. Nous avons commencé nos démarches pour le Québec en 2001. Entre temps, je me suis préparé et passé avec réussite plusieurs des examens nécessaires pour pouvoir paratiquer la médecine. J'ai eu plusieurs offres d'emploi avant de venit au Québec. Finalement, j'ai décidé de m'installer en Nouvelle-Ecosse et de pratiquer là-bas pour commencer. Moralité: 1) il faut se préparer longtemps à l'avance, 2) le Canada est très grand et s'il ya des difficultés au Québec, il y en aura peut-être pas autant ailleurs, 3) la constance paye au long cours. Le taciturne dit: Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer. Sur ce, bonne journée à tous.
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Pour devenir français, il y a deux possibilités: le doit du sang et le droit du sol. Le droit de sang signifie que chaque enfant né d'au moins un parent français est automatiquement français. Il est né français, indépendamment du lieu de naissance. Le droit du sol signifie que l'on peut être naturalisé français, sans avoir un parent français, après en avoir fait la demande. Le droit du sol ne suppose donc pas le fiat d'avoir un parent français. Mais attention, l'octroi de la nationalité n'est pas dans ce cas un droit pour l'individu mais un 'honneur' qui lui est accordé par la France. Pour certains pays francophones, dont le Canada, la durée de résidence minimale pour pouvoir faire la demande de naturalisation est de 2 ans au lieu de 5 normalement (privilège pour les francophones) Il ne suffit donc pas d'avoir des 'ancêtres' français lointains pour être français. Les seul ancêtres admissibles dans cette catégorie sont donc les parents !
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Bonjour Schumarette, Je me demande comme le fait Redflag à quoi ça sert de s'installer dans une région que les locaux quittent en masse ? Il faudrait plutôt s'intaller dans des régions dynamiques dont la population est en croissance ce qui signifie qu'elles sont attractives, au moins économiquement (au Québec, il s'agit du Grand Montréal, de Québec et de L'Outaouais). Le Saguenay-Lac Saint Jean a longtems été une région très isolée. Il ya même une fréquence élevée de certains maladies génétiques particulières à cause de la cosanguinité . C'est une grande famille, les habitants du Saguenay-Lac St Jean ! Il est donc 'compréhensible' que les gens réservent les emplois rares à leurs enfants pour les dissuader de partir 'en ville'.
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Salut la gang, Le fait de dire bonjour, de sourire aux autres systématiquement ou de tenir la prote font partie des codes sociaux qui varient d'un pays à l'autre. Là, il n'ya pas de règle universelle. Les Libanais s'ambrassent souvent 3 fois qd il se voient entre hommes...Les norvègiens ne serrent la main qu'au moment de la première rencontre alors que les français se font la bise entre hommes et femmes tous les jours, un ehabitude que bcp de québécois trouvent pénibe...Tenir la porte à une norvégienne c'est presque l'offenser étant donné que ce sont de manières latines et machistes, alors que c'est preuve de bonneéducation en France... Les codes sociaux n'ont donc rien avoir avec la politesse. Ce sont simplement des codes sociaux qu'il faut apprendre et pratiquer là où on n'est. La politisse véritable c'est le respect au'on a pour votre personne.
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BHR, tu devrais préciser si tu es résident au Canada ou non. Par ailleurs, la citoyenneté québécoise n'existe pas encore, au grand regret de bcp de québécois...
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Excellente chronique JayJay. Cependant puisque tu t'adresses à 'nous immigrés' qui selon toi ne comprenons pas la nécessité de l'apprentissage du français, j'aimerais te dire que bcp d'immigrés choisissent le Québec justement à cause du fait français. J'ai cru comprendre que c'était le cas de bcp de personnes, sur ce forum au moins. Quand à la mort du français que tu juges inéluctable, permets-moi d'être en désaccord avec toi là-dessus. Je crois que les Français de France continueront de le parler encore très longtemps. Je crois qu'il en est de même pour les Québécois. Quand on pense aux sacrifices et aux efforts qu'ils ont fourni dans les siècles passés contre un pouvoir largement oppresseur pour le français et qu'ils ont réussi à sauvegarder cette langue en Amérique du Nord, je ne peux m'imaginer qu'ils cèderont aujourdh'hui, avec tous les moyens de communication à leur disposition. L'immigration francophone pourrait jouer elle-aussi un rôle important contre le tropisme anglicisant de certains immigrés qui se croient aus US tout en étant à Montréal (Personnellement, je ne peux m'imaginer mettre mes enfants dans une école anglaise). Enfin, je crois que les Québécois devraient expliquer peut être plus et mieux leur histoire et le sens de la lutte pour la survie et l'apprentissage du français afin que cette cause soit perçue non pas comme un chauvinisme d'un autre âge ou d'un facteur d'exclusion (je connais certains immigrants qui perçoivent cette lutte ainsi...), mais au contraire comme un symbole de survie identitaire, d'inclusion dans la société d'accueil (pour une meilleure compréhension mutuelle) et d'ouverture sur une grande culture humaine VIVANTE, la culture francophone.
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Je trouve ça simplement génial. Ces gens sentent que leur intégration passe par le français. Et dire qu'il y a certains qui critiquent encore le loi 101...
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Réponse rapide: c'est en Alberta que les impôts sont les moins élevés.
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Salut la gang, Je n'ai personnellement jamais entendu parler de la possibilité d'exercer au Québec avec une fellowship. Les deux modes d'exercice possibles sont le permis restrictif et l'équivalence de dilplôme (voir le site du collège des médecins du Québec, je vous conseille aussi de les appeler). Attention à un autre détail important là-aussi: Quand on parle de permis ou d'équivalence au Québec, on parle de médecins qui ont déjà leur diplôme de médecin. Il n'ya pas 'd'équivalence' pour les années intermédiaires d'étude, avec ou sans CSCT !. L'équivalence ici exige un diplôme de médecine, l'acceptation du dossier par le Collège, une année de stage obligatoire au Québec et enfin la réussite aux examens nécessaires (examen d'évaluation, examen qualifiant I et II du Conseil Médical du Canada, et examen de spécialité ou de médecine de famille). L'autre solution c'est le permis restrictif: examen d'évaluation, trois mois de stage obligatoire, travail en région plus ou moins éloignée.. Dans vos démarches, certaines choses vous paraitront bizarres voire injustes (ce fut le cas pour moi à plusieurs reprises). Il faut pourtant voir les réalités telles qu'elles sont, non pas comme on voudrait qu'elles soient, et surtout ne pas croire que tout se passe au Québec comme en France. Comme Herbe 15 vous l'a dit, vous pourrez passer l'examen d'évaluation à Paris. Cet examen exige un minimum de préparation. Herbe 15 a certainement des références, le conseil médical du Canada vous en donne également. Moi aussi j'en ai. La réussite à cet examen est la porte d'entrée, nécessaire mais insuffisante, à tous les permis. Les résultats de cet examen sont valables pendant 5 ans. Ce qui veut dire qu'il faut passer l'examen qualifiant I dans un délai de 5 ans après la réussite à l'examen d'évaluation, sinon il faut repasse de nouveau l'examen d'évaluation. Attention, les examens qualifiants se passent exclusivement au Canada, ils sont un peu plus difficiles que l'examen d'évaluation. Je crois qy'il ya un avantage certain à demander un CSQ d'abord, même si vous comptez exercer dans une autre province canadienne. Ca vous laisse 3 ans pour partir au Québec et au Canada (le visa candien n'est valable qu'un an après l'examen médical). Pendant ce temps vous pouvez vous préparer à votre départ. Dès que tout est prêt (permis d'exercice, travail) vous pouvez demander le visa canadien et partir. L'étape (demande de visa canadien + examen médical + obtention du visa) ne nous a pris que 3 mois. C'est comme ça que j'ai personnellemet procédé. Bref, je vous conseille de vous renseigner avec soin même pour des choses qui vous semble évidentes a priori afin d'éviter les surprises. Comme disent les anglos: It is better to be safe than sorry ! Bonne chance !
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Binevenue Cher collègue, Nous avons à peu près, vous et moi, la même situation. Moi aussi j'aimerais exercer mon métier au Québec et j'ai déjà fait bcp de démarches. Je suis même devenu résident permanent il y a quelques semaines. D'abord les bonnes nouvelles: Oui, tu pourras exercer au Québec. Oui ils ont besoin de psychiatres. Oui ils aimeraient bien avoir des médecins français. Mais: ça te prendra du temps. Il existe actuellement un unique service, Recutement Santé Québec (RSQ), qui a la responsablité du recrutement des médecins étrangers au Québec. Voici le site internett de ce service: www.msss.gouv.qc.ca/sujets/organisation/medecine/rsq.html En général, la voie choisie est celle qu'on appelle celle d'un permis restrictif: ceci veut dire qu'il va falloir passer un examen dit l'examen d'évaluation du conseil medcal du Canada (tu pourras le passer à Paris et en Français), faire ensuite une demande à RSQ qui l'enverra au Collège des médecins (qui lui, donnera un avis de recevabilité), ensuite prendre contact à travers RSQ avec un ou des employeurs potentiels, faire en examen dit ALDO (aspects législatifs, déontologiques et organisationnels), faire un stage OBLIGATOIRE de trois mois payé par tes soins , faire une demande en bonne et due forme pour le permis restrictif et enfin, s'occuper de ton immigration.... c'est long (il faut compter 18 mois au moins) fastidieux, ça coute bcp de sous mais c'est jouable. Concernant ton épouse, je crains qu'elle ne puisse pas continuer ses études de médecine ici sans être trop rétrogradée. Il vaut mieux peut être qu'elle finisse médecine en France avant de venir. Elle pourra par contre tenter sa chance en tant que pharmacienne (voir avec l'Ordre). De toute façon, le Québec a et aura encore besoins de médecins étrangers pendant au moins 10 ans ! Conseil de collègue: JAMAIS ne viens ici et ne démissionne pas de ton travsil actuel avant d'avoir fait tes démarches et d'avoir trouvé du boulot ici. Il ya des centaines de médecins étrangers qui sont au Québec depuis des lustres et qui n'ont jamais réussi à avoir le moindre permis d'exercice. La plupart d'entre eux sont dans la restauration ou chauffeurs de taxi, métiers honorables certes, mais qui correspondent peut être pas à ce que tu as envie de faire en venant. Bonne Chance !!!
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Je ne crois pas que les canadiens soient majoritairement pour un système de santé privatisé. Il faut savoir que lorqu'on pronoce ce ce mot 'privatisé' les canadiens pensent au modèle, je dirai même contre-modèle, américain. Aux US, il ya entre 40 et 60 millions de personnes qui n'ont pas de couverture sanitaire. Ca, les canadiens n'en veulent pas. Ils préféreront un système engorgé mais égalitaire à un autre où seuls les riches seront bien soignés. Là, Bouchard a raison quand il dit que c'est une question 'idéologique' voire dogmatique. Ceci ne vaut pas dire qu'il n'y a pa d'améliorations possibles du système actuel. Au Canada, le ticket modérateur n'existe pas et l'accès aux soins est libre de toute charge financière. Les CLSC et autre cabinets de médeicine de famille sont engorgés. l'Allemagne vient d'introduire le ticket modérateur, le nombre de consultations a baissé d'environ 10%. L'état d'équipement et le niveau de soins effectués dans les CLSC et les cabinets de médecine de famille sont très inférieurs à ce qui se pratique en Scandinavie par exemple, ce qui amène à plus de recours aux hôpitaux, qui sont engorgés à leur tour par des bagatelles... Il ya le problème du vieillissement de la population surtout au Québec. Ce sont les plus âgés qui consomment le plus de soins. Plus une population viellit, plus il faut dépenser. C'est inexorable. Faudrait-il revoir la politique familiale, encourager les Québécoises à faire plus d'enfants à travers une politique généreuse d'allocations familiales ? Ceci semble difficile dans une province endettée jusqu'aux oreilles. Enfin, il ya le problème des nouvelles technologies de leur coût et de leur production. Contarairement à ce qu l'on croit généralement, tout ce qui est nouveau n'est pas nécessairement meilleur que l'ancien. Se pose donc le problème de l'évaluation des nouvelles technologies. La production de nouvelles technologies coûte souvent moins cher que leur achat aux autres. C'est normal: les autres se font de bons bénéfices en vendant, surtout en situation de monopole. Là, mon regard se tourne vers le sud du 49ème parallèle d'où le Canada achète beaucoup de nouvelles technologies avec du bois et du pétrole et de l'électricité.
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Salut, Ce dont il faut toujours se rappeler c'est que notre liberté s'arrête quand commence celle des autres. Liberté rime aussi avec responsabilité. Ceci inclut le droit de dire ce qu'on veut à condition de ne pas insulter les autres. Et voilà que tous les étudiants de Laval, qui s'ont d'origine étrangère, sont devenus des nantis, des pourris et des enfants de pourris selon l'animateur ! Quelle insulte au bons sens, aux sacrifices souvant faits par bcp de parents pour envoyer leurs enfants dans les meilleurs universités et surtout quelle généralisation ! C'est ce genre de propos qui fait le lit du racisme et de la xénophobie. Je crois, au risque de choquer certains, que la décision prise est une bonne décision.
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Salut, Officiellement, il n'y a pas de quotas par pays. Il y a un objectif annuel à atteindre pour le Québec et pour le Canada. Dans les faits, le gouvernement canadien et le gouvernement du Québec ont la possibilité d'influencer la rapidité avec laquelle les immigrants peuvent obtenir leur visa. Ceci se fait au moyens des budgets alloués à chaque ambassade ou délégation. Le budget détermine donc la quantité de travail qui peut être faite et donc le nombre de dossiers qui peuvent être traités et par conséquent, les délais et le nombre de personnes admises à partir d'un pays ou d'un bassin d'immigration donné. Par ce moyen, le nombre et l'origine des admis au Québec et au Canada sont relativement contrôlés même si, officiellement, tous les demandeurs ont une 'chance égale'.
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J'ai deux visas russes dans mon passeport. Ca n'a posé aucun problème.
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Cousins ou pas, voici une question intéressant. J'aimerais apporter ici une petite contribution, côté Français bien entendu. Les québécois sont pour bcp de Français des cousins. Ils sont considérés comme faisant partie de la nation Française au sens large. Ca n'a rien avoir avec une quelconque vision raciste des choses, le Québec comme la France se sont enrichis au cours des siècles de vagues d'immigration successives. Pour bcp de Français, les Québécois sont un peuple qui dans leur majorité sont d'origine française, qui ont lutté pour garder la langue française malgré les difficultés, qui ont conservé les traditions de leurs ancêtres français et qui ont réussi à maintenir vivante cette langue et cette culture française en Amérique du Nord malgré la domination des anglo-saxons. Le sens de la lutte québécoise pendant des siècles a été la conservation de ce qui leur était spécifique, leur francité justement. Les Français n'ignorent cependant pas que des siècles de séparation et l'expérience nord-américaine ont façonné petit à petit ce peuple. Le fait de dire 'nos cousins québécois' montre parfaitement ce qu'il en est: des sources nationales et culturelles communes (proximité, comme dans une famille) et l'expérience particulière (distance, on n'a pas les mêmes parents). Pour moi ça convient parfaitement.
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Petit-prince, c'est quoi le hateisme ?
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Salut les amis ! De Gaulle, c'était pas un irréfléchi. Tout ce qu'il disait était prémédité. Chaque mot avait son poids et sa place. Il avait l'idée comme quoi les Québévois faisaient partie de la 'Grande Nation Française' qui incluait aussi les Wallons. Il a consiédéré que l'élan de la nation québécoise a été stoppée par l'invasion des anglo-saxons. Il s'agissait donc de donner le soutien morla de la France à une partie de 'ses enfants' qui ont été laissés dans le temps à leur triste sort. Il y voyait clairement le 'destin historique' du Québec qui, à ses yeux, ne méritait pas moins que d'autre nations l'indépendance complète (il citait le cas de Belize par exemple). L'histoire a montré que de Gaulle avait souvent raison.