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mimile

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Tout ce qui a été posté par mimile

  1. Je ne suis pas d'accord avec Jimmy et Peanut. D'abord, je reconnais qu'un ministre de la francophonie qui ne parle pa français, c'est de la provocation. Deuxièmement, le français n'est pas encore mort dans le reste du Canada. Dire ça, c'est vraiment méconnaitre les sacrifices et la lutte de tous ceux qui le font vivre ou (re)vivre. Je vis en Nouvelle-Ecosse, à Halifax précisément. Depuis plusieurs années, les acadiens d'ici font des efforts inouis pour réaprrendre le français à leus enfants et petits-enfants alors que pendant des décennies, le français ici était la langue des 'nègres blancs', excusez du terme. Ils avaient presque honte de parler français. Aujourd'hui, la fierté est retrouvée. Halifax est une ville archi-anglaise par son histoire et ses préférences. Et bien, il ya un lycée francophone, un collège francophone qui deviendra bientôt un lycée, une université francophone, des activités culturelles en français et même un projet de radio communautaire francophone. Ce n'est pas rien quand les francophones d'ici (acadiens + québécois + libanais) ne comptent pas plus de 20000 personnes ! D'accord, la qualité du français à l'école laisse parfois à désirer, mais voyez l'effort ! Maintenant si vous me dites que les anglophones se foutent du français, ceci est vrai pour l'écrasante majorité d'entre eux. Enfin, pourquoi s'attendre à l'inverse de leur part ? c'est aux francophones de défendre le français au Canada.
  2. mimile

    les laveuses frontales

    Redflag a dit. Point final.
  3. Equinox, Je n'ai malheureusement pas travaillé au Québec bine que ce fut notre destination initiale. L'histoire du stage d'évaluation dont on ne sait jamais qunad on va l'avoir et qui est payant ne m'a pas plu. J'avais mon cabinet en Norvège. J'avais donc besoin de planifier mon départ. Avec l'incertitude vis-à-vis de ce stage, son cout et l'existence d'une famille à nourrir immédiatement, j'ai renoncé au Québec. En Nouvelle-Ecosse, je travaille essentiellement an anglais. J'ai quelques patients francophones. La vie est cool, les distances ici sont courtes, la ville a tout ce qu'il faut. Les canadiens qui arrivent ici disent de Halifax que c'est le secret le mieux gardé du Canada. La population est sympathique et chaleureuse. Tous me souhaitent la bienvenue et espèrent que je reste. Il faut dire que bcp de médecins diplômés à l'étranger repartent ensuite en Ontario ou en Alberta ou même au EU, où ils peuvent gagner bcp plus. Je travaille de 8:30 à 15:30 du lundi au vendredi. La garde dure de 17:00 à 21:00 en semaine et de 09:00 à 21:00 en fin de semaine. JAMAIS DE TRAVAIL DE NUIT ! Les gardes sont peu nombreuses et elles se font au cabinet. Sinon, les collègues sont moyennement sympas. Le personnel est très serviable. Les secrétaires passent 70% de leur temps à sortir les dossiers et à ranger les examens ! Pas d'informatique ici ! Ce aui me sidère ici, ce sont les listes d'attente pour les interventions. j'ai une patiente du Saskatchewan qui était en visite ici chez sa fille. Elle a une sténose des coronaires à plus de 70%. Vu le manque de chir.cardiaque là-bas elle était sur la liste d'attente pour un pontage. Elle a fait un infarctus ici. Finalement, elle fut admise à l'hôpital, APRES AVOIR FAIT SON INFARCT !!! . Besoin de plus d'info ?
  4. Cher Oreste, J'ai pratiqué la médecine dans 3 pays différents: France, Norvège et Canada. J'ai constaté partout que les médecins locaux ont un certain complexe de supériorité vis-à-vis de leurs collègue étrangers !!! Chacun considère à tort ou à raison que sa formation médicale est la meilleure. Ils ont donc tous tort puisqu'il ne peut y avoir qu'un seul meilleur, à mon avis la Suède. Cette méfiance et ce complexe de supériorité sont les raisons pour lesquelles nous sommes soumis à 'l'évaluation' avec comme question fondamentale: ce médecin pourra-t-il fonctionner comme les nôtres ou pas ? Il ne s'agit pas donc de savoir si ce que tu fais est vrai mais si tu fonctionnes comme 'eux'. Les provines anglophones par exemple considèrent que les formations anglaise, irlandaise, australienne et sud africaines sont équivalentes à la formation canadienne, ce que le Québec ne fait par pour la France, la Belgique ou la Suisse pour ne citer que ces pays. Ceci dit, le médecin canadien a à mon avis plus de responsabilités que le médecin en France. Il doit faire ce qu'il peut pour éviter de référer son patient aux spécialistes. Par contre, le niveau d'équipement des centres de soins primaires reste assez ....primaire. En Norvège, nous avions au cabinet un appareil à ECG, de spirométrie, d'audiométrie, de tympanométrie...Ici il faut envoyer les patients chez un spécialiste pour obtenir ces tests. Les patients peuvent attendre parfois plusieurs semaines pour une audiométrie. Je crois que la différence fondamentale dans la pratique se résume à ces points pour la médecine de famille: - compter bcp plus sur les examens cliniques, moins sur les examens complémentaires, - avoir une pratique basée sur l'évidence (evidence-based medicine) - moins d'accès aux spécialistes donc un rôle plus important du médecin de famille dans la prise en charge des patients et l'organisation des soins (tt des diabétiques, des hypertendus + bcp de gynéco au cabinet alors que ce sont les cardiologues qui le font en France). Un seul conseil que je peux te donner: La pire attitude est celle du 'Monsieur qui sait tout'. Ne stresse pas, montre ce que tu sais faire, n'hésite pas à poser des questions quand tu ne sais pas. Les autres seront heureux de pouvoir t'aider. Chère Micheline, L'examen d'évaluation est relativement simple. Personnellement, et sans vouloir me vanter, je l'ai passé sans préparation spéciale. je crois que quelqu'un qui pratique la médecine et qui est à jour quant à ses connaissances médicales n'aura aucun probléme à l'avoir, comme 60% des gens qui le passent. Certains ne l'auront probablement jamais à cause de leur mauvaise formation médicale. Pour la petite histoire, quand je l'ai passé à Londres il y a 3 ans, j'ai rencontré des médecins qui le passaient pour la 6ème ou 7ème fois. Certains d'entre eux semblaient même se connaitre depuis longtemps: ils formaient la 'fraternité' de ceux qui se présentaient à L'EE de façon répétée sans jamais l'avoir. Le malheur les avait rassemblés ! Il y en a même qui m'ont souhaité un Au Revoir à la fin de l'examen. Ils croyaient à tort que j'allais me joindre à la fraternité Pour les autres parties, le Toronto notes est à mons avis le livre le plus utile. Nécessaire et suffisant.
  5. Oreste, Je ne suis pas passé par ce stage de trois mois. L'incertitude quant à ce stage m'a même poussé à pratiquer en Nouvelle-Ecosse. Ce que je sais là-dessus, c'est que tu auras à payer 6000$ pour ce stage. Tu seras supervisé et évalué pendant toute cette période. A la fin, ton 'évaluateur' va émettre un rapport qui, s'il est positif, te permettra d'avoir le permis restrictif. D'après certains messages sur le forum, j'ai cru comprendre que certaines personnes échouent à ce stage. As-tu essayé de voir dans d'autres provinces, ou bien tu veux absolumant pratiquer au Québec ?
  6. mimile

    Départ

    Nous sommes à Halifax depuis notre arrivée. Notre intention première était de nous établir au Québec. Malheureusement, la procédure d'obtention de la licence d'exercer la médecine au Québec nous a semblé longue et très couteuse. Alors nous sous sommes établis en Nouvelle Ecosse. Nous ne le regrettons pas du tout.
  7. Assez d'accord avec PP sur le parcours des médecins ici. Bien sur, il faudrait que les ordres soient plus ouverts. Il faudrait aussi que l'évaluation des candidatures soit plus standardisée et transparente. Les provinces anglophones reconnaisent facilement l'expériense acquise dand les pays anglophones (GB, Australie, Nouvelle-Zélande) en considérant qu'ils ont une formation équivalente et un système de santé semblable. Ce que le Québec ne fait pas par exemple pour La France, La Suisse et la Belgique pour ne citer que ces pays... Cependant, il ne faut pas oublier que tous les médecins formés à l'étranger n'ont pas le niveau acceptable pour pratiquer ici. Souvent, ils ne réussissent pas aux examens par lesquels les diplômés d'ici doivent passer. Pourquoi dans ce cas leur faire un traitement de faveur ? D'autre part, certains n'ont plus travaillé en tant que médecin depuis plusieurs années. Ils ont pratiquement perdu leur compétence (50% de ce qu'on a appris il y a 5 ans est obsolèle !!). D'autre part, il est normal de réserver les places en priorité aux gens formés ici. Le marché de la main d'oeuvre médicale n'est donc pas un marché ouvert comme celui de l'informatique par exemple. Ici toute erreur peut couter en terme de vie humaine, ce qui n'est pas le cas dans bcp d'autre professions. Chaque état doit être responsable de la démographie médicale sur son territoire et imposer des normes d'excellence strictes. Personnellement don, je ne serai pas d'ccord pour donner le droit d'exercice à tous les diplômés à l'étranger. Je n'irai en tout cas jamais chez un médecin qui n'a pas pratiqué depuis plus d'un an ! Enfin, dernier conseil que je répète souvent: pour les professions médicales, avant de venir ici, il faut s'assurer de posséder une licence d'exercice et étudier soigenusement l'installation sinon on risque de venir pour rien. L'exemple récent du forumiste Arslan est riche d'enseignements !!!
  8. Arslan, Ton cas n'est malheureusement pas un cas isolé: Des milliers d'immigrants bien qualifés se trouvent au Canada sans que leur compétence soient reconnue ici. Je sais ça ne t'aide pas quand je dis ça mais c'est la vérité cruelle. C'est à toi de savoir ce qui est mieux pour toi et ta famille. Est-ce que tu es sur que le pays qui n'a pas pu t'assurer à toi une bonne qualité de vie pourrait à l'avenir l'assurer à tes enfants ? De l'autre côté, je sais qu'on peut vivre ici avec 3000 dollars par moi comme on peut vivre avec plus. Le plus important est donc de trouver un travail qui te permettre de vivre dignement (c'est ce que j'aurais fait si j'étais à ta place). C'est ce que bcp d'immigrés font. J'en connais masse qui ont fait ça à Halifax en montant des petites entreprises. Ils se portent très bien. Qui sait ce que l'avenir ici peut te réserver ? Peut être que les ordres professionnels débiles vont finir par bien évaluer les compétences acquises ailleurs. A ce moment tu pourras faire valoir ce que tu sais faire. Bon courage en tout cas. Je sais que ce n'est pas faciel d'être tiraillé comme ça.
  9. Voir l'article complet dans le Globe and Mail, détaillant le plan ainsi que la 'riposte canadienne' http://www.theglobeandmail.com/servlet/sto.../BNStory/Front/
  10. Senalco, C'est l'argument que ces gens utilisent pour faire tomber les gens dans le piège ! attention au piège !!
  11. Le problème pour Le Liban, c'est la durée des traitements des dossiers à Damas, qui est excessivement longue. Bien que ça soit dans la mentalité de ce pays de se chercher des intermédiaires, ceci n'est pas du tout utile. Tu vas perdre ton argent pour rien. La procédure canadienne est transparente. Si tu remplis les critères, tu seras pris. Il va falloir à apprendre ce qu'est un état de droit.
  12. Félicitations pour l'achat de votre maison. C'est vrai que les prix des maisons est moins cher qu'en Europe à l'achat. Cependant, ile ne faut pas oublier qu'il faut payer annuellement des taxes municipales que je trouve particulièrement élevées. Ces taxes dépendent de la province où on habite et de l'ancienneté de la maison. A Halifax par exemple, pour une maison neuve qui coute 180 000 euros, il faut payer environ 4500 dollars de taxes par année. Je ne sais pas comment c'est à Montréal. A savoir donc et prévoir.
  13. En anglais si tu le parles, je te conseille les livres de Pierre Berton, entre autres: Why we act like canadians. Petit livre très instructif.
  14. mimile

    Pas si fous, ces Français!

    Merci Laurent pour cette information. J'ai lu les deux livres il ya plus d'un an. Le premier 'Les Français aussi ont un accent' est plutôt du type amusant. Le deuxième 'sixty million frenchmen can't be wrong' est une analyse en profondeur de la société française, de sa structure et de ses modes de fonctionnement, ce qui explique en partie les différences d'approche entre français et nord-américains. Plus sérieus donc. Je recommande vivement ces deux livres aux français d'ici et aux francophones et québécois qui désirent mieux connaitre la France et les français qui ne sont pas tous maudits...
  15. mimile

    accent de vos enfants

    Ce n'est pas du tout l'accent de mes enfants qui m'embarasse, je trouve bien qu;ils parlent avec l'intonation des gens d'ici. Ce qui me gène, c'est surtout qu'ils commencent à parler un mauvais français: comme par exemple dire je t'ai besoin au lieu de j'ai besoin de toi, il ne regarde pas comme quelqu'un pour dire il ne ressemble pas à quelqu'un. De plus en plus les profs acceptents le mot chevals au lieu de chevaux... Ce qui me semble être la différence linguistique fondamentale entre le français de France et celui d'ici, ce n'est pas l'accent. Les francophones d'ici utilisent des mots français mais ils les utilisent mal, mauvaise syntaxe, influence de l'anglais. Les français de France utilisent des mots d'anglais mais la syntaxe correspond au français classique, tel qu'on l'apprend à l'école. L'argot existe de partout. Parler français pour les québécois s'est maintenir leur identité, pour une large part. Force est de constater que ce n'est plus le même français, qu'on aime ça ou pas. il y a un bien un français de France et un français d'ici. C'est un fait. Comme il ya l'anglais américain et l'anglais d'Oxford.
  16. [ 1) le Québec choisit ses immigrants. Dans la limite d'un nombre global fixé périodiquement, le choix se fait, non pas par l'application de quotas géographiques ou encore moins ethniques, mais grâce à une "grille" de sélection qui comporte plusieurs critères: -la langue (le français en priorité) Mon commentaire là-dessus, c'est que officiellment il n'y a pas de quotas géographiques. Cependant dans les faits, il y en a. Je m'explique: Chaque bureau d'imigration a une enveloppe budgétaire. Cette enveloppe lui permet de traiter un nombre défini de dossiers. La dotation d'un bureau d'immigration ne dépend pas de la quantité de demandes reçus. Elle dépend de critères établis par le gouvernement du Canada. Dans les régions du monde où l'immigration est souhaitée par le gouvernement canadien, la dotation budgétaire est importante, d'où un nombre important de dossiers traités et par conséquent, un nombre important de personnes admises annuellement (traitement préférentiel). Dans les autres régions, petit budget, petit nombre de fonctionnaires, et donc peu d'admis. A titre d'exemple: 6 mois pour traiter un dossier d'immigraion à Londres (Europe) contre 5 ans en moyenne à Damas (Proche Orient). Le Canada ne peut pas dire officiellement qu'il y a des quotas. Ca va contre l'image que le Canada aimerait donner: justement, une chance égale pour tous. Le Québec essaye d'être plus transparent sur ce point. On parle 'd'objectifs par zone géographique'.
  17. Le problème de la loi proposée est de faire de tout étranger qui entre en France un suspect, y compris les conjoints de Français qui doivent maintenant attendre entre 4 et 5 ans avant de devenir Français et les étudiants étrangers. Le problème de la France ce ne sont ni les conjoints de Français ni les étudiants. Ce sont les clandestins d'un côté, qui n'ont pas leur place en France, et l'échec cinglant de la politique dite 'd'intégration' des Français d'origine maghrébine et africaine, essentiellement de confession musulmane. Dans ce dernier cas, la responsabilité de l'échec est partagée entre une société Française qui, dans sa majorité, n'a jamais bien accepté cette immigration et certains de ces immigrés qui n'ont jamais voulu s'intégrer. Mon sentiment c'est que cette loi apporte un remède qui ne va pas guérir le mal. Ca pue le populisme. Sarkozy et de Villepin savent que le sentiment anti-immigrés est devenu très négatif dans la société Française. En bons candidats à la présidence, ils essayent de surfer sur la vague. Bref de faire du Le Pen sans Le Pen. C'est de très mauvaise augure.
  18. Oui, votre enfant est canadien, puisqu'il est né ici. Peu importe votre statut. En fait, vous avez probablement rempli une déclaration de naissance à l'hôpital là où il est né. L'hôpital fera parvenir cette déclaration au bureau provincial de statistique. Après quoi, il suffit de demander (par internett SVP) un certificat de naissance du bébé, qui tient lieu de certificat de nationalité canadienne ! c'est d'une simplicité à faire pleurer !
  19. A mon avis, il ne faut pas sous-estimer le PLC, même si c'est un parti corrompu (le scandale des commandites). Dans l'esprit de certains canadiens vivant dans le ROC, cet argent aura été utilisé pour 'la bonne cause', à savoir le maintien du Québec dans la confédération. Les libéraux ne manqueront pas pas d'utiliser cette défense et bcp de gens dans le ROC leur pardonneront à cause de ça.
  20. Je confirme ce que Didi dit. Tu vas recevoir ta carte tôt ou tard. Il suffit que quelqu'un te la renvoie ensuite en France.
  21. François2005, Deux altenatives là: 1) vous êtes marié ou conjoints de fait et tu veux vivre en CB. Tu peux rester avec ta chérie et faire ta demande au Canada. Pas besoin d'en sortir. Pas besoin de passer par le Québec. 2) vous n'êtes pas mariés ou conjoints de fait. Il faudra faire ta demande de l'extérieur du Canada (indépendant, système des points). Si tu comptes vivre au Québec, il faut passer par l'étape québécoise (CSQ). Si tu ne comptes pas t'établir au Québec, tu peux faire ta demande directement au fédéral, ce qui va t'épargner du temps et de l'argent. Voilà
  22. Wassila, Pour nous ça c'est très vite passé à Londres (7 mois en tout: envoi de sossier, VM, Envoi des passeports, visa reçus...). Comme toi, nous habitions en Norvège, à Stavanger plus précisément. La VM se passe soit à Oslo soit à Bergen (seuls médecins reconnus par l'ambassade). Nous avons la nationalité française. Je ne sais pas si les délais pour algériens et français ce sont les mêmes. Bonne chance pour toi !
  23. Cherry, Merci pour la correction que tu as faite. A mon avis, 45% d'univesritaires, c'est pas si mal. c'est un chiffre qui serait envié par pas mal de pays. Cependant, le Canada n'a pas besoin que d'univeraitaires. Plusieurs secteurs sont en manque, notamment dans l'industrie et dans les métiers de la bouche. Un ami à moi, qui est patissier-boulanger a eu sa demande acceptée étant donné que le besoin dans le secteur sont importants et qu'il n'aurait aucun mal à trouver du travail en arrivant. Et puis quand on voit le mal qu'ont les universitaires à faire reconnaitre leur compétences ici....
  24. Cherry, Tes chiffres sont très exacts. Cependant, il ne faut pas oublier que les gens immigrent aussi en famille. C'est toute la famille qui vient donc au Canada. Même si le demandeur principal est très qualifié, sa famille ne l'est pas nécessairement. Je te donne notre exemple à nous: ma femme et moi avons tous les deux fait des études universitaires. Nos enfants ne l'ont pas fait. Ils se trouvent tout de même dans les statistiques que tu présentes comme n'ayant pas fait d'études. J'espère que ceci va t'aider, ainsi que les autre forumistes, à mieux comprendre ces statistiques.
  25. Rien à redire à propos de cet atricle. Excellent !!!
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