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Les Canadiens de plus en plus verts Charles Côté La Presse Avant la santé, la protection de l'environnement constitue la principale priorité des Canadiens en 2004, selon un sondage CROP/Environics réalisé pour le compte du Centre de recherche et d'information sur le Canada (CRIC). «C'était la première fois qu'on posait la question sur l'environnement et on est surpris de voir que c'est aussi important», a expliqué Gina Bishop, du CRIC. Le CRIC est une division du Conseil de l'unité canadienne. La question posée était la suivante: «Pour en arriver à un meilleur fonctionnement du pays, les actions suivantes devraient être considérées comment ?» On énumérait ensuite 11 sujets, dans un ordre qui différait d'un répondant à l'autre. Les personnes interrogées devaient répondre «grande importance», «importance moyenne» ou «faible importance». Au pays, 76% des répondants ont accordé une « grande importance » à l'environnement, ce qui est un peu plus que pour la santé (75%) et «l'accroissement de la collaboration fédérale-provinciale» (74%). En fait, la différence est à l'intérieur de la marge d'erreur. Ça ne veut pas dire que l'une de ces préoccupations est plus importante que l'autre, affirme le sondeur Claude Gauthier, de CROP. Cependant, les priorités se dégagent d'une région à l'autre du pays. C'est au Québec qu'on accorde le plus d'importance à l'environnement, avec 81% des répondants affirmant que c'est un enjeu d'une « grande importance », devant la santé (73%) et les relations fédérales-provinciales (71%). L'environnement est aussi le sujet le plus important pour les Ontariens (79%), devant également la santé (76 %). Dans les provinces de l'Ouest, l'environnement vient en troisième place avec 70 %, après les relations fédérales-provinciales (75 %) et la santé (73 %). Toute cette importance accordée à l'environnement est-elle surprenante ? «Moi, ça ne m'étonne pas, dit M. Gauthier. D'autres sondages montrent que la préoccupation de l'environnement est très, très forte. Quand on propose la santé, en général, elle sort en premier, mais l'environnement est de plus en plus valorisé.» C'est une question de circonstances, mais aussi d'évolution sociale, selon lui. Dans une période comme celle-ci, l'économie va assez bien, il n'y a pas trop de chômage, l'environnement est de plus en plus mentionné par les gens, dit-il. C'est un sujet qui devient important quand l'économie va bien. Mais on sent aussi que c'est quelque chose qui reprend de la vigueur depuis quelques années. Peut-on être «contre» l'environnement ? «En efft, il est difficile d'admettre qu'on est contre l'environnement, dit-il. Mais dans d'autres circonstances, le résultat aurait pu être différent. On aurait pu parler de création d'emplois, par exemple. Ça veut dire que l'environnement est actuellement un sujet auquel les gouvernements doivent porter attention.» Les trois sujets jugés les plus importants se démarquent nettement des autres. Seulement 55% des répondants considèrent d'une grande importance de réformer les institutions politiques «pour les rendre beaucoup plus ouvertes et démocratiques». Par ailleurs, 53% des répondants accordent une grande importance à la création d'un système pancanadien de garderies. Les jeunes sont particulièrement en faveur de cette option. Quarante-huit pour cent des répondants considèrent les réductions d'impôt comme une priorité. La réforme du Sénat demeure un enjeu important pour 40 % des Canadiens. Les autres possibilités proposées étaient: établir des relations plus étroites entre le Canada et les États-Unis (37%), améliorer la qualité de vie des peuples autochtones (29%), augmenter les dépenses militaires (29%) et donner plus d'argent aux grandes villes du pays (18%). Les firmes CROP et Environics ont interrogé au total 3202 personnes, CROP se chargeant de l'échantillon québécois de 1000 répondants et Environics de l'échantillon du reste du Canada. Le sondage a été effectué entre le 15 septembre et le 4 octobre 2004. Sa marge d'erreur est de 1,7 point de pourcentage 19 fois sur 20. Pour consulter les résultats du sondage: http://www.cric.ca/fr-re/portraits/index.html

Yessssssssssss !

A méditer... "Certaines vérités ne nous paraissent invraissemblables que, tout simplement, parce que notre connaissance ne les atteint pas." Amadou Hampâté Bâ

PP, Merci pour les nouvelles pubs ! Par contre, où sont passées celles de Réno-Dépôt ???

Entièrement d'accord !!!

Non, je pense que le anti-américains se fabriquent déjà très bien tout seul et sans ça. Y a la France pour ça, une belle usine d'anti américains et de racistes en tout genre. Désolé Seelab, mais je crois que tu y vas un peu fort non ? Puisque tu es belgo-suisse, je signale quand même que ces deux pays ne sont pas des modèles du genre, loin de là même ! Quant à l'anti-américanisme primaire, je considère également cela comme une absurdité. Les réflexions du style "Mais qu'ils sont bêtes ces américains de voter pour Bush !" me font hurler...

Vive le haut débit ! On perçoit la différence par rapport au 96 kB/sec...

Je crois que ce graphique est bien plus parlant : http://fr.beta.finance.yahoo.com/q/bc?s=EU...l=on&z=m&q=l&c= Il n'y a pas de quoi s'alarmer...

C'est ce qu'on appelle du bon boulot ! Longue vie à Radio Caribouuuuuuuu !!!

Merciiiiii !

Zogu virulent ? Ah bon...

Voila le lien vers un reportage de Radio-Canada traitant du sujet : http://www.radio-canada.ca/Medianet/RDI2/L...410291759_1.asx

Nouveau plan de promotion de la langue et de la culture françaises et d'amélioration du rendement des élèves Le 26 octobre 2004 TORONTO ? Le gouvernement McGuinty introduit un nouveau plan pour promouvoir la langue et la culture françaises et pour améliorer le rendement des élèves, a annoncé aujourd'hui le ministre de l'Éducation Gerard Kennedy. « Il s'agit d'une importante occasion pour l'éducation en langue française en Ontario », a déclaré M. Kennedy. « Avec le lancement de la Politique d'aménagement linguistique, nous avons mis au point une feuille de route qui permettra de recentrer nos énergies sur la création d'une vision commune pour l'éducation en langue française. » Lors d'une conférence à laquelle assistaient plus de 400 représentantes et représentants de la communauté éducative de langue française, le Ministère a lancé la nouvelle politique qui représente une première mesure en matière de préservation de la langue et de la culture françaises en Ontario. La culture francophone est caractérisée par une assimilation accrue. Le pourcentage de jeunes francophones qui parlent anglais à la maison est passé de 36,9 pour cent à 40,3 pour cent de 1991 à 2001, et de nombreux élèves inscrits aux écoles de langue française ne parlent que peu, voire pas le français à leur entrée dans le système scolaire. Le nouveau plan à aider les élèves franco-ontariens à préserver leur culture, à améliorer leur rendement scolaire et à renforcer leur amour-propre. Par ailleurs, elle permettra de garder un plus grand nombre d'élèves franco-ontariens dans les écoles de langue française. Le plan est un guide à l'intention des conseils et des administrations scolaires de langue française pour leur collaboration avec leurs communautés ? personnel enseignant, parents, élèves et organismes communautaires ? en vue d'élaborer une approche locale pour améliorer les résultats des élèves et les taux de rétention scolaire. « Notre gouvernement comprend le besoin pressant d'une stratégie d'éducation en langue française », a dit le premier ministre Dalton McGuinty. « Offrir une éducation en langue française adéquate permettra aux élèves franco-ontariens de réussir, ce qui contribuera à rendre l'économie plus florissante et à améliorer la qualité de vie de toute la population ontarienne. » « L'établissement de solides alliances avec les parents et de partenariats efficaces avec la communauté de langue française élargie sera la clé du succès de la Politique d'aménagement linguistique », a ajouté la ministre déléguée aux Affaires francophones Madeleine Meilleur. « Cette politique est essentielle pour aider le système d'éducation en langue française de l'Ontario à s'acquitter de son mandat consistant à protéger et à promouvoir la langue et la culture françaises. » « Il s'agit d'une importante initiative pour la préservation et la promotion de la langue française en Ontario », de dire Claire Thibideau, présidente de l'Association des directions et directions adjointes des écoles franco-ontariennes. « Les directions et directions adjointes francophones sont heureuses de constater que la politique reconnaît aussi la contribution qu'apportent tous les partenaires pour assurer la réussite des élèves et la vitalité de la communauté francophone. » « Le gouvernement McGuinty apprécie l'importance de la langue et de la culture françaises en Ontario, et nous continuerons d'encourager le développement et la vitalité de nos écoles francophones », a conclu M. Kennedy. « Nous ferons de l'éducation financée par les fonds publics de l'Ontario, y compris l'éducation en langue française, la meilleure éducation du monde. » Lien vers le communiqué : http://www.edu.gov.on.ca/fre/document/nr/04.10/1026f.html

L'Aéroport de Mirabel change de vocation (Radio-Canada) Mise à jour le vendredi 29 octobre 2004, 14 h 39. Dès lundi, l'aéroport de Mirabel ne verra atterrir sur ses pistes que les avions-cargos. Les vols passagers seront transférés à l'aéroport Pierre-Elliot-Trudeau. La fermeture de Mirabel intervient alors qu'Aéroports de Montréal affiche des chiffres records d'achalandage. Près de huit millions de passagers sont passés par les aéroports de Montréal au cours des neuf premiers mois de l'année en cours. Ce qui représente une augmentation de 17 % par rapport à la même période, l'année dernière. Inauguré en octobre 1975, l'aéroport de Mirabel devait, selon les prévisions, accueillir 40 millions de passagers en l'an 2000, grâce à ses six pistes d'atterrissage. Mais, situé trop loin de Montréal (60 kilomètres), mal desservi par un réseau routier inadéquat, boudé par les grandes compagnies aériennes, Mirabel n'accueille plus aujourd'hui que 50 vols par semaine, comparativement à 1500 pour l'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau (Dorval). Depuis 1997, l'aéroport n'accueille plus que les vols nolisés, qui seront transférés à Trudeau dès lundi.

Quelqu'un a-t-il la preuve de ceci ? Un lien vers un site officiel ??? Voici la seule chose que j'ai pu trouver sur le site d'Immigration Québec à propos des stages : Stage Il s'agit de l'expérience acquise à temps plein ou à temps partiel dans le cadre de stages rémunérés ou non rémunérés en cours d'apprentissage, de formation ou de spécialisation sanctionnés par un diplôme, et ce, durant les dix années précédant la date du dépôt de la Demande de certificat de sélection (DCS). Lorsque l'expérience n'est pas acquise en cours d'apprentissage, de formation ou de spécialisation sanctionnés par un diplôme, elle doit l'être dans le cadre de stages rémunérés.

Merci pour vos réponses. D'autre avis ?

Qui a dit que c'était le mc do ??? Bien vu !!!

Voilà, ma copine s'est décidée à remplir la DCS. Je sais qu'il faut 6 mois d'expérience professionnelle minimum pour obtenir le CSQ. Mais elle vient à peine de terminer ses études (BAC+4 en info) et son expérience est donc limitée... En comptant les jobs d'été, le stage pour l'université et jobs divers, elle arrive à 1140 h de travail environ. Mes questions sont donc les suivantes : - Pensez-vous que ses 1140 h suffiront ou est-ce trop juste ? (à priori cela devrai passer car 6 mois ou 26 semaines x 40 h/semaine = 1040 h) - Dans l'attestation de l'employeur à fournir, il n'est pas nécessaire de préciser le nombre d'heures de travail hebdomadaires. Or, elle a travaillé environ 5 mois dans un fast food mais seulement 13 h/semaine. Peut-elle indiquer 20 h/semaine par exemple dans la DCS (ce qui "gonflerai" son total d'heures) ou est-ce un trop gros risque ? Iront-il vérifier ? J'espère avoir été clair. Merci de vos réponses.

Ne compte pas sur moi pour polémiquer sur nos voisins et amis français !!!

Entièrement d'accord !!!

Merciiiiiiiiii à toi PP ! Excellent !!!

En tous cas, on peut dire que la Chambre immobilière de l'Outaouais fait bien sont travail !!! http://www.avecunagent.com/francais/outaouais/index.html

Voici un titre dont on ne peut être très fier ! Mais apparemment, il y aurait des "circonstances atténuantes"... http://www.cyberpresse.ca/technosciences/a...04,801262.shtml

Pour confirmer tout cela, je vous renvoie à un excellent article du journal Le Droit. Quand le Québec attire l'Ontario : http://www.avecunagent.com/db/PDF/Quebec_attire_Ontario.pdf

Tout le monde (ou presque) en a profité pour changer d'avatar !!!