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Tout ce qui a été posté par JayJay
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Maudit que chu d'accord! C'est comme Ludlum. À peine plus sophistiqué que du Danielle Steel... Bah, pas tous. L'histoire de la mémoire-machin, c'est pas pire, mais qu'est-ce que c'est cul-cul par moment. Oh, j'oubliais, mon auteur policier-espionnage presque favori : Nelson DeMille Le déshonneur d'Ann Campbell¸ Up Country (au Vietnam, c'est écoeurant) Charm School Rivers of Babylon (incroyable) J'aime beaucoup les Imagiers (ou les Imageries) de mon fils. Mon aîné adore "Le corps". Moi je dis qu'il va faire médecine...
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Ecoles maternelles et primaires sur Villeray
JayJay a répondu à un(e) sujet de Betty Boop dans Québec
Hein? Vous avez déjà envoyé une demande d'info? Faut être patient pour les réponses hein... -
Même chose ici. Je commence à craquer grave... C'est ce que j'apprécie de U2. Des mélodies pas nécessairement évidentes au départ, une recherche, une sophistication, des influences (PAS de la copie). Des paroles inspirées, que tu dois écouter et ré-écouter pour en saisir la vraie essence. La balade la plus sirupeuse cache un essai politique... L'hymne le plus rageur est en fait une chanson d'amour... Il y a longtemps, on m'avait refilé un enregistrement d'un concert de U2 alors qu'ils n'étaient pas connus hors du Royaume-Uni/Irlande, dans une petite salle plutôt connue de Londres, me souviens plus laquelle. Je me donnerais des baffes, mais je l'ai perdue. Pendant une chanson, Bono criait mon prénom (qui se trouve dans l'une de leurs chansons, je vous rassure, c'est pas "Gloria")... je vous dis pas l'état de mon coeur d'adolescente... Mais bon, ça été ma première fascination vraiment adulte, je ne voulais pas me marier avec, rien (contrairement à Julian Lennon!). Ça ne m'a pas empêchée d'aller faire le pied de grue devant leur hôtel quand j'avais 20 ans, des fois que... Quand je pense que Prune s'est fait écraser le pied par Bono, LE RÊVE. "The only pain is to feel nothing at all". (la "7" sur le dernier album!)
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Les Piliers de la Terre, Ken Follett (WOW) Thérapie, David Lodge (intéressera les fans de Kierkegaard!) La Constance du jardinier, John Le Carré Le Directeur de nuit, John Le Carré (se passe en partie au Québec!) Le Monde de Sophie, Jostein Gaarder Les bâtards de Voltaire, de John Saul L'Esprit du Don, Jacques T. Godbout et Alain Caillé (essai philosophique-politique qui a marqué un tournant dans ma vie académique) Dans ma table de chevet, j'ai une pile de Chomsky à lire, j'ai le Dictionnaire visuel qui traîne toujours, le Larousse, La Presse, l'Actualité, le Coup de Pouce et bien sûr, le Publisac.
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Ecoles maternelles et primaires sur Villeray
JayJay a répondu à un(e) sujet de Betty Boop dans Québec
Betty... désolée de t'avoir laissée tomber... ... As-tu essayé le forum www.magicmaman.com? Forum Canada (quoiqu'il n'est pas très fréquenté), ou alors forum "école". On ne sait jamais, il y a parfois des Québécoises qui y passent. -
Il y a trois méthodes pour apprendre une langue seconde. L'exposition dispersée qu'on connaît bien. Une heure ou deux par semaine pendant 15 ans. Ou encore, encore plus ridicule, une heure ou deux par semaine d'anglais pendant un an, et une heure ou deux par semaine d'allemand pendant un an, et retour à l'anglais, et retour à l'allemand (avec résultat qu'au bout de 15 ans on ne sait ni l'une ni l'autre). Méthode préconisée dans l'Est de la France et qui s'avère un désastre total comme le prouvent les enfants de mon mari. Il y a l'immersion. L'enfant qui ne connaît pas du tout la langue seconde est plongé pendant plusieurs années (en général, la totalité du primaire), avec pour but d'acquérir des compétences avancées. Il effectuera la totalité de son apprentissage dans la langue seconde, y compris pour les matières comme les maths, les sciences, les arts plastiques. Cette méthode est très, très exigeante, et parfois traumatisante pour certains enfants. J'ai deux collègues, franco-ontariens qui ont perdu leur français, qui ont décidé d'y mettre leurs enfants, et ils vivent des difficultés importantes. Ils ont du mal à aider les enfants à faire les devoirs, bien souvent ils ne comprennent pas eux-mêmes les devoirs. Bref, cette méthode a été complètement remise en question ces dernières années. On s'est aperçus en plus que même au bout de plusieurs années, les enfants avaient du mal avec la prononciation. Des écoles alternatives ont mis en place une troisième méthode : le bain linguistique, ou "programme intensif", avec pour but un apprentissage peut-être un peu moins avancé que l'immersion, mais tout de même nettement plus efficace que l'enseignement "par dispersion" (la méthode classique). Sur une période relativement courte, on focalise sur l'enseignement de la langue seconde. Cette méthode est destinée plutôt aux enfants de 5è et 6è année, qui ont une excellente maîtrise de leur langue maternelle, et ont intégré les schémas grammaticaux de leur langue. Il faut savoir que HORMIS LE CAS D'ENFANTS AYANT APPRIS UNE DEUXIÈME LANGUE DÈS LA PETITE ENFANCE, la façon la plus efficace d'apprendre une langue étrangère est lorsque les schémas grammaticaux de la première langue ont été bien acquis et sont maîtrisés. L'aménagement du temps, en bain linguistique, diffère selon les écoles qui l'ont essayé. Ça peut-être par exemple, une demi-journée passée en anglais, sur toute l'année. Ça peut-être une journée complète, mais sur une période de 4 mois. Au total, environ 450 heures, alors que dans le stupide programme de base, à peine 120 heures. À la suite de cette année, soit les enfants retournent à la méthode traditionnelle (évidememnt les cours seront plus soutenus, et plus fréquents, puisqu'ils seront désormais au niveau secondaire) ou alors ils intègrent un programme d'immersion, sans le traumatisme que le programme d'immersion seul cause. Voilà, j'ai essayé de bien expliquer, pas évident, j'espère que c'est clair. Après, c'est sûr qu'il y a des critères de sélection (les programmes étant juste au niveau "pilote" pour l'instant), il faut s'assurer de la collaboration des parents, etc. Il y a une vaste documentation à ce sujet : Peter, Wesche, Spada. J'en oublie certainement. En 93 (je crois), j'ai fait un reportage sur une école de Sept-Iles qui a fait un programme-pilote de bain linguistique, l'école Gamache. Les avis étaient dithyrambiques, même si c'est une méthode dénoncée par certains groupes de défense du français plutôt radicaux (je n'en fais pas vraiment partie).
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Alors là, tu vas les larguer. Même moi je ne sais pas ce que c'est (on n'avait pas le droit de regarder TVA à la maison - trop quétaine Ma mère est de Québec, que voulez-vous ). Prune, Prune, tu sais bien que je ne pense pas ça de toi... Mais t'es hors du commun, tu lis les Publisacs après tout... Je suis plutôt favorable à la méthode du bain linguistique (probablement plus efficace que l'immersion). Cela dit, Prune, ta fille ira dans une école où les enfants sont sélectionnés sur concours, et dont on peut penser qu'ils ont une relative précocité. Ils sont donc peut-être plus aptes à démarrer dès la première année. Quant à moi je privilégierais plutôt un bain linguistique vers la 5è année. Il y a 15 ans j'ai fait un reportage là-dessus à la SRC, j'avais parlé à plusieurs experts et c'est l'âge qu'ils disaient privilégier, à l'époque du moins, alors que les schémas de la première langue sont bien intégrés. Je suis par contre opposée aux inutiles cours qu'on saupoudre tellement finement qu'ils en deviennent inefficaces. Autant focaliser sur l'apprentissage de la première langue, des sciences et, pourquoi pas, soyons fous, de l'HISTOIRE. Autrement, pour ceux que ça intéresse vraiment et qui veulent habituer leurs enfants, je vous conseille l'émission Dora l'Exploratrice. Mon fils aîné adore. Il regarde la version française avec "introduction à l'anglais" et la version américaine avec "introduction à l'espagnol". Il s'habitue aux sonorités, aux phonèmes et je suis sûr que son apprentissage, plus tard, en temps et lieu, en sera facilité. Allez, je vais me boire une petite Bénédictine de Fécamp. Cheers, tout le monde.
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C'est pas top, dans le bac à recyclage...
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Mmmmé.... la laisse-t-on spéculer?... Un indice : ça s'utilise au lit. Ça s'étend sur une table de cuisine... Certains marginaux s'en servent pour décorer leur bac à recyclage... Les belles-mères françaises ADORENT...
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Moi t'imagine, j'étais en train de manger un bout de chou-fleur cru... C'est pas des choses à faire!
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Ah tiens, un autre truc. Marie ma cousine si tu me lis tu vas rigoler. Mettons que t'es obligé de demander à un Québécois un "lift". Pour les néophytes, un "lift", c'est une "ride", bref quand qq'un te raccompagne chez toi ou ailleurs. Là, un peu gêné, tu dis "Ouin, t'es sûr que c'est correct???" Et là on te répond avec un ton un peu bourru : "Ben non, ça me dérange pas". Pas "ça me fait plaisir", mais... "ça me dérange pas". Ouin, c'est pq je voudrais que ça te FASSE PLAISIR sinon ça me gêne, tu comprends???
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Mon Dieu, j'en tremble d'excitation.
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Christophe, j'ai mis une heure à la comprendre... duh... elle est très drôle. T'es un vrai Québécois alors!
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Personnellement, je ne sais pas trop de quoi tu parles. Effectivement, il y a eu un changement dans la distribution d'allocations familiales. À partir de janvier 2005 (ils ont avancé la date à décembre, en fait), les familles qui comptent deux enfants peuvent avoir droit à un maximum de 3 000 $ annuellement selon certaines conditions de ressources (le montant est régressif plus les revenus augmentent). Dixit le site Web de la Régie des rentes du Québec : "Le paiement de soutien aux enfants est versé à toutes les familles du Québec ayant des enfants à charge de moins de 18 ans. Il est versé directement aux familles en cours d'année. Les montants de cette mesure remplacent : les prestations familiales; le crédit d'impôt de base pour un enfant mineur; la réduction d'impôt à l'égard des familles."
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Ça vous arrive de lire les pages des lecteurs dans les journaux? D'accord, on ne fait pas des manifs impressionnantes, on ne paralyse pas des villes entières, on n'est pas en grève une fois par semaine... mais il reste qu'il y a quand même des gens qui défendent publiquement leur opinion. Je trouve qu'en fait on a beaucoup plus accès aux centres décisionnels, même si l'idéal est toujours, bien évidemment, de rester coincé dans un ascenseur avec le président du Conseil du Trésor (dixit Claude Morin je crois). Votre député est accessible, vous avez toujours la possibilité d'être publié dans les grands journaux si vous avez un tant soi peu de verve... C'est une méthode que je préconise beaucoup.
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Ah mais cher Stadak, vous êtes une source d'inspiration!
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Tiens, y a un autre truc. On dirait que les hommes québécois (sauf mon papa qui sentait toujours bon) pensent que c'est moumoune de mettre de l'après-rasage, voire de l'eau de toilette. J'en ai tordu des bras, vous pouvez pas savoir. Avec mon Français qui vire sur le Québécois, j'ai dû faire aussi un peu de tordage de bras, mais on a finalement trouvé un consensus (qui s'appelle Vétiver de Guerlain).
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Mon point c'est que de un, les Québécois sont sans conteste les plus bilingues au Canada, et que de deux, je ne vois pas l'urgence immédiate pour les gens qui habitent le nord du Québec d'être bilingues. En quoi est-ce que ça gêne qu'ils ne puissent pas s'exprimer en anglais comme si c'était leur langue maternelle? S'ils voyagent, comme c'est le cas de mes amis du Lac St-Jean qui habitent la France, t'en fais pas pour eux, ils sauront s'exprimer et se faire comprendre. Mais qu'on arrête de nous brandir le spectre du chômage et de la déchéance parce que y a trois pékins à Jonquière qui ne parlent pas anglais, c'est ridicule. La vaste majorité des Québécois que je connais savent au moins se débrouiller, suffisamment pour voyager et effectuer leur travail. La majeure partie est "bilingue fonctionnel" et obtiendrait un niveau C au gouvernement. Eh bien voilà, on a mis les points sur les "i". Je pense que nous nous sommes trompés lorsque nous avons tant insisté pour dire que nous ne sommes pas la France en Amérique du Nord, mais des Nord-Américains parlant français. Nous ne sommes ni l'un ni l'autre. Nous sommes des Québécois. Et je constate avec surprise, car je ne l'avais jamais supposé, que bien des immigrants européens arrivent ici dans l'esprit de vivre la vie américaine, en anglais. C'est ironique qu'on ait focalisé sur la France et les autres pays francophones dans l'espoir de faire remonter notre cote démographique... alors qu'en fait, c'est la vie en anglais, qui vous attire. Eh ben si c'est le cas, fine, mais vous vous trompez de pays et autant que vous le sachiez. J'étais très choquée lorsque j'ai entendu un de mes copains immigrant aux US qu'il ne voyait pas la nécessité que sa fille apprenne le français, et qui se mettait lui-même à lui parler anglais. Je m'aperçois qu'en fait, c'est le rêve secret de bien des immigrants. Étonnant. Tiens, mon mari enseigne à un haut fonctionnaire d'une agence très importante du Canada (dont on a entendu pas mal parler cette semaine pour des raisons plutôt tristes). Il est Franco-Ontarien et a habité partout au Canada. Mon mari lui enseigne... pq il a perdu son français, tiens, tiens. Il a dit à mon mari : "Nous les Franco-Ontariens, on n'a pas essayé de se battre contre la vague. On a nagé avec. Puis à un moment donné on s'est rendus compte que la rive était trop loin. Avec le résultat que je dois maintenant ré-apparendre la langue de mes parents".
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À mon lecteur favori de Publisacs! Mais c'était une boutade seulement, je vous rassure...
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Elle se cherche-tu un mari, ta belle-mère? Pq je peux te filer un nom...
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Non, tu salis la cuisse du pantalon, comme je le fais systématiquement en attachant les bébés dans leur siège. Ah ouais les fameux beignes Tim... C'est jour de fête quand les collègues en apportent. Ça murmure dans les couloirs : "Heille, Pierre a apporté des beignes, vite, dépêchez-vous avant qu'il n'en reste plus"... comme si c'était l'oeuvre gastronomique du siècle. Le pire, c'est ceux qui ont du sirop (j'ose pas appeler ça de la confiture, Bonne Maman se retournerait dans sa tombe) avec plein de tite-poudre-sucrée blanche... qui finit systématiquement sur le pantalon noir, allant rejoindre le sel crasseux du char. Magnifique.
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Non ma belle, c'est le 27 mars qu'elle finit. J'ai consulté mon Publisac, ne t'en fais pas. Oh!!! Ça me fait penser à un autre cliché du Québécois!!! La lecture du Publisac!!! Au lit, c'est encore meilleur. Mais j'avoue que je suis particulièrement friande de ces matins où je me lève pour constater que mon poupoux l'a bien éparpillé comme il faut sur la table de la cuisine. Mmmmm...
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Une solution pour pallier ce problème épineux (et je vous assure que j'ai du vécu dans ce domaine) : Le pantalon imperméable préférablement en goretex. Le midi à mon bureau, tu n'entends que des "swoosh swoosh swoosh". Ce sont les filles qui mettent leur pantalon imperméable pour aller faire leur marche santé. C'est la grand mode, un peu comme les espadrilles et le tailleur à NYC.
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Frblcan... you're a respectable unmarried woman, you're not supposed to make jokes like that... Allez, pour clore cette soirée dans un esprit bon enfant, une petite joke typiquement ouest-canadienne, en anglais parce qu'en français ça rend mal. A French guest, staying in a hotel in Edmonton phoned room service for some pepper. -"Black pepper, or white pepper?" asked the concierge. -"Toilette pepper!"
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Eh ben Poupoux et moi on est des vrais clichés québécois d'abord! Gougouneux de luxe (80 $ et +) On a peinturé notre chambre en VERT POMME l'automne passé, et en turquoise pâle pour les gars. Il a fallu que je retienne Mr. pour ne pas peindre la salle de jeux en jaune flash. Et je suis due pour faire ma cuisine, comme une certaine forumiste aime à me le rappeler. Alors, pour tout vous conter, je veux faire un look patiné à mes vieilles armoires de cuisine (ça va être dur, j'en ai à peu près 45). Je vire folle si je ne mange pas mes 10 portions de fruits-légumes chaque jour, dont au moins trois légumes verts. J'exagère à peine. Mr. se concentre sur les légumes de type parmentier, c'est déjà ça. On adore le BBQ et dès avril on mange dehors sur notre table à jardin. À ce propos, les nouvelles tables à jardin commencent à sortir chez Sears. On adore pelleter, mais sans souffleuse SVP. Je rêve d'un mur de briques. C'était le must du chic autrefois, un appart sur le Plateau avec un mur de briques, ça se louait au moins 1000 $ par mois (à l'époque c'était très cher). Les Anglos, eux, ont tendance à se faire des faux murs de briques : ils mettent du papier peint. En bonne Québécoise, je suis fana de primes de produits de beauté de luxe. D'ailleurs faut que je passe chez Sears demain, en revenant du Réno-Dépôt et du Costco. Maudit que c'est l'fun d'être au Québec!!! Gommette d'extase.


