O'Hana
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Dans ce cas Nina, avec Real One Player (ROP), il faut que tu ailles dans les options de fichier du logiciel et choisir ROP comme logiciel d'écoute de tous tes types de fichier audio et video. Car il semble qu'actuellement, ça soit ton lecteur DVD incorporé qui soit le logiciel sélectionné pour écouter les fichiers de Fréquence Caribou. O'Hana
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Ou Real One Player O'Hana
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Salut Toronto777, Si je me rappelle bien, les formulaires d'immigration proposent deux indications d'adresse : celle de correspondance et celle de résidence. Si tu indiques celle de Toronto comme adresse de correspondance, CIC va considérer que s'ils veulent te contacter, ils adresseront leur courrier à cette adresse. Tu pourras aller où tu veux au Canada, aucune restriction à ce niveau-là. O'Hana
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Salut Ayyub, Si je comprend bien, tu es sous visa visiteur au Canada en étant marié à une personne réfugiée avec laquelle tu as eu un enfant née au Canada, c'est bien ça ? De quelles démarches parles-tu ? En tant que touriste, tu as le droit d'aller où tu veux au Canada sans avoir nécessairement de démarches à faire. Quoiqu'au Québec, si on parle ici d'une installation permanente, il y a aura les démarches pour la RAMQ entre autre. Pour ta femme, je ne connais malheureusement pas suffisamment le statut de réfugié au Canada pour pouvoir me prononcer. Mais je sais qu'à ce titre, elle est suivie par un agent du MRCI : l'avez-vous contacté ? Rentrer où ? En France ? En tant que touriste, tu peux rester avec eux en faisant des prolongations de ton visa visiteur mais tu ne pourras pas travailler au Canada, mais ça, je pense que tu le sais déjà. Quant à ta femme, peut-être y'aura-t-il des difficultés pour qu'elle te suive en France, en étant déjà réfugiée au Canada ... Pour prolonger ton visa touriste, regarde ici. Tu y trouveras également des informations pour comment obtenir un permis de travail. Bonne chance, O'Hana
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Salut Normal, Voici une page d'Emploi-Québec qui donne une vue d'ensemble du secteur Agriculture et Pêche au Québec avec des liens vers les principales professions, statistiques, etc. O'Hana
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Salut la gang, Met-en, surtout quand tu arrives seul : les amis deviennent alors ta famille de substitution ici en plus d'être "que" des amis ! Dans mon cas, plusieurs facteurs m'ont "poussé" à aller vers les québécois : 1- des calédoniens, il y en a pas des milliers ici ... 2 - j'avais un visa d'études, donc, pas le choix de côtoyer quotidiennement mes collègues de classe (faire des travaux d'équipe, interagir dans une discussion, luncher ensemble, aller aux 5 à 7, etc). À la longue, des liens se créent forcément. 3 - les québécois sont très curieux et très ouverts à tout ce qui est exotique : ma couleur de peau les a donc intrigué et ils étaient encore plus intrigués quand je leur disais que j'étais français (parce que je ne suis pas "blanc"). Alors forcément, ils voulaient savoir un peu mon parcours de vie, etc. Ca m'a aidé, c'est certain. Par ailleurs, pour parler du forum, je ne l'ai découvert qu'une fois mon processus d'immigration complétée : je n'ai donc pas développé de relations d'amitié avec des forumistes avant ou en arrivant au Canada. Depuis, je me suis rattrapé mais j'avais déjà un solide réseau d'amis québécois Le plus décourageant, je pense, au début est de lancer des lignes tout partout, à la moindre occasion et de voir finalement que ça mord peu, voire pas du tout. La tentation est alors grande de rechercher du connu (i.e. des expatriés comme soi-même) pour se sécuriser, se redonner confiance et se persuader qu'on est pas la seule personne à vivre cela (à la limite, se demander :"suis-je normale ?"). De ce fait, je n'ai rien du tout contre le fait de rechercher des expatriés comme soi car cela peut aider à mieux gérer sa solitude, pouvoir partager et échanger sur des situations que seul un immigrant peut comprendre parfois et ainsi, effectuer une douce transition vers des amis québécois par l'entremise d'expatriés. Ce premier cercle d'amis doit donc être un tremplin vers autrui et certainement pas une cage qui nous retient ou on s'y réfugie. Là, le communautarisme n'est pas loin. O'Hana
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Salut, Conseiller en emploi en ce qui me concerne et par accident : c'est ma petite expérience en ressources humaines qui m'a aidé sur ce coup alors que j'ai surtout un profil sup de co à la base. Ca m'a bien aidé car, cinq ans après, je travaille toujours avec grand plaisir dans les ressources humaines et l'employabilité ! Ma principale difficulté au départ : faire reconnaître ma formation en administration et je faisais pas le poids face aux MBA et autres BAA québécois. Cela a d'ailleurs un des facteurs qui m'a poussé à retourner sur les bancs d'école ici. O'Hana
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Salut Livz, Votre situation est soumise à la mesure de CIC qui impose une résidence légale (visa de travail ou d'études) d'au moins un an au Canada pour pouvoir y déposer une demande d'immigration depuis ce pays ; ou sinon, déposez votre demande auprès d'une ambassade d'un pays dont vous êtes citoyen. Dans votre cas, ça serait la France : à ce titre, rien ne vous empêche de déposer maintenant un dossier à la DGQ (pour le CSQ) puis à l'ambassade du Canada (pour le visa) de Paris. Théoriquement, suivant la mesure de CIC, vous ne pourriez pas déposer une demande depuis le Canada (car c'est là où vous résidez actuellement) car cela ne fait pas au moins un an que vous y êtes : ainsi, la DGQ de New-York et le consulat canadien de Buffalo aux USA vous sont interdits en principe (ce sont les services d'immigration à l'étranger les plus proches du Canada où se déposent généralement les demandes faites depuis le Canada). Ceci dit, je sais qu'il existe un petit "flou" dans la réglementation à savoir que si vous détenez une autorisation légale d'une durée minimum d'un an, CIC peut alors vous mettre dans la catégorie des résidents d'au moins un an ici ... même si dans les faits, ce n'est pas encore le cas. Ma suggestion serait alors de rencontrer un(e) conseiller(e) d'un carrefour d'intégration du MRCI le plus près de chez vous (voir les pages bleues du bottin) qui saura vous conseiller judicieusement sur la marche à suivre considérant votre situation. Il ou elle vous dira si vous pouvez déposer maintenant une DCS et si oui, dans quelle DGQ. Un visa de travail est renouvelable assez facilement normalement car vous en avez déjà un : cependant, les règles ont pu changer (voir ici un centre CIC). La règle de 3 ans pour déposer une demande de résidence permanente alors que vous êtes sous visa de travail est, à ma connaissance, une mesure que l'ex-ministre fédéral de l'immigration Denis Coderre avait proposé d'instaurer mais qui n'est pas encore en vigueur il semblerait. Qu'on me corrige si nécessaire O'Hana
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Tu perds pas le nord surtout !! Bienvenue sur le continent de la libre-entreprise ! O'Hana
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Ha ben dans ce cas Pom, M'a appeler ma chum Julie (prénom de la courageuse qui s'est essayé de nous prendre en photo) et lui dire qu'elle a gagné ses galons de reporter de guerre C'est vrai que dans le tas de gars, y'en avait une couple de 6 pieds 3 et 200 livres et plus ... Finalement la Julie, elle devait être pas mal téméraire ou saoûle !! O'Hana
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Salut la gang, Petit bémol même si je partage l'essentiel des avis partagés plus haut : Pour travailler souvent avec les services RH d'entreprises, ces derniers ont cependant des petits indices pour connaître approximativement l'âge du candidat : - l'année où il a finit ses études (ex : une personne qui a complété son secondaire V en 1970, cela donne une idée de son âge quand même ...) - certaines personnes, étant passées directement des études au marché du travail, se retrouvent après 20-25 ans sur le marché, à devoir appliquer de nouveau après une mise à pied par exemple. Leurs connaissances des c.v. sont donc, au mieux, en date d'il y a 20--25 ans, au pire, quasi-inexistantes. On se retrouve donc avec des NAS et des dates de naissance inscrits explicitement sur le c.v. - en lien avec le premier point, avoir travaillé pendant 15 ans chez Bombardier par exemple, indique que la personne a un certain âge aussi (ou un âge certain, rayer la mention inutile) - et ce qui me fait capoter : certains gestionnaires se fient carrément sur le prénom du candidat pour déterminer son âge ! Par exemple, les Réginald, Robert, Ginette ou Aline sont rarement des prénoms de personnes de 25 ans et moins. Ca me fait suer et ça montre qu'il y a encore du travail à faire ... O'Hana
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Pom, peut-être aurai-je dû préciser que j'étais pas tout seul dans l'eau mais avec des chums de gars, donc ça aide pour oser ... Malheureusement (ou heureusement), pas de photos, bien que les filles de la gang aient essayé !! Ceci dit .... essaie d'approcher 4 ou 5 gars nus comme des vers quand t'es toute seule, dans la nuit, et que les gars savent pertinemment que tu veux prendre les photos ! Le tout avec de l'eau jusqu'à la poitrine O'Hana
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Salut Pucinette, Ben j'ai essayé et ça a marché, dans mon cas en tout cas. Rien de tel que de t'expliquer mon parcours pour bien comprendre : - arrivée en 99 avec un visa de travail de 4 mois pour un stage (jusqu'en juillet) - visa que j'ai transformé en visa touriste en août le temps de réunir les docs nécessaires pour obtenir un visa d'études - octobre 99, j'obtiens mon visa d'études que je valide en faisant le tour du poteau (jusqu'en juillet 2002) - en 2002, fin de mes études et expiration de mon visa d'études - je fais une demande de visa de travail d'un an (jusqu'en août 2003) que j'obtiens facilement et sans quitter le Canada car des mesures facilitatrices de CIC permettent aux finissants d'études post-secondaires d'obtenir un visa de travail sans quitter le pays. Même pas besoin de faire le tour du poteau pour valider mon visa de travail car le bureau CIC de Sherbrooke me le délivre dûment tamponné (et donc validé). En parallèle, je mène une procédure de résidence permanente. - mars 2003, j'obtiens ma résidence permanente en faisant valide le visa par un tour du poteau C'est une question d'organisation : toujours veiller à respecter les dates limites de prorogation de ton visa et être bien au courant des démarches administratives. J'ai aussi entretenu des contacts permanents avec Vegreville (pour mes prolongations de visas) et avec le MRCI de Sherbrooke (pour mes CAQ et CSQ) et j'ai harcelé le centre CIC de Sherbrooke Si tu as encore des questions, hésites pas ! O'Hana
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Salut, Pour avoir essayé les trois derniers printemps et été, je recommande le Lac des Deux-Montagnes près de St-Hyppolite dans les Laurentides : l'eau y est très agréable (plus de 80° en degrés Farenheit) très tôt dans le printemps et très tard dans l'été (jusqu'à fin septembre généralement). Votre humble serviteur l'a même essayé nu comme un ver durant la nuit et c'est très agréable Par contre, ceux de l'Estrie que j'ai essayé restent assez frais et m'apparaissent vraiment agréables que durant la grosse période caniculaire (juillet et août). O'Hana
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Ouais, essayez pour voir de faire un concours de 7 up Diet avec Jimmy et vous êtes sûr de perdre (pas la tête Jimmy!) O'Hana
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Salut la gang, Ben peut-être que Kremmig ne connaît pas ou a oublié d'utliser la fonction PM ... ... Ou alors il voulait que le forum connaisse son avis sur la question en postant un message et en profiter pour lancer une invit' à PP En tout cas, voilà déjà une première réaction O'Hana
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Salut, En complément de la réponse fournie par Mig26 : - la période de validité du CAQ va suivre la durée prévue de tes études (ex : si tu es admis dans un bacc qui dure 3 ans généralement, le CAQ va durer trois ans) et il est obligatoire pour l'obtention de ton visa d'études (ce qui est souvent une formalité vu que le fédéral suit les recommandations du provincial). Alors que le CSQ a une durée initiale de 3 ans et c'est quasiment la norme vu qu'on parle alors ici d'un projet d'immigration. - le CAQ est renouvelable quasiment indéfiniment sur simple satisfaction des conditions nécessaires pour l'acquérir (admission à un programme, fonds nécessaire pour vivre, etc) alors que le CSQ ne l'est qu'exceptionnellement, et seulement que pour une période aditionnelle de douze mois - le CAQ est un formulaire rose alors que le CSQ est sur du blanc (okay, j'arrête ) Quant à Montréal, sur un point de vue strictement universitaire, c'est certain qu'il s'y trouve la plus grande concentration d'universités au Québec et donc, beaucoup plus de programmes, de recherches, etc. Même si Laval se démarque singulièrement sur plusieurs domaines mais cela se fait essentiellement dans le domaine des sciences pures (physique, biologie, etc). Il est donc normal, je pense, que plusieurs collègues se retrouvent à Montréal par la simple loi des statistiques (mais cela dépend aussi dans quel domaine ils vont étudier). Pour avoir déjà goûté à l'enseignement universitaire (et aussi à la vie étudiante) sur Laval, je peux t'assurer que tu ne resteras pas bien longtemps seule si tu es un tant soit peu sociable O'Hana
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Salut Cowboys_61, Peut-être pourrais-tu contacter FrenchPeg car elle a passé un an à l'Université McGill à Montréal en 98 avant de revenir comme résidente permanente en 2001 au Québec je crois. Je suis certain qu'elle se fera un plaisir de te donner ses impressions Il y a aussi un autre forumiste qui a fait cela mais je ne me rappelle plus de son pseudo mais seulement de son prénom (ça t'aidera pas beaucoup pour le contacter hein) : je te le donne dès que je le retrouve. Pour ma part, j'ai choisi de battre le fer pendant qu'il était chaud : j'ai enchaîné études, visa de travail et résidence permanente à la file sans quitter le Québec. La transition s'est donc faite en douceur dans mon cas, mais c'est parce que je l'ai voulu O'Hana
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Salut Enzobre, Excuse mon ignorance, mais qu'est-ce que c'est qu'un comité d'établissement ? Peut-être qu'en sachant un peu plus de quoi il s'agit, je pourrai probablement te donner un coup de main, qui sait. Et il n'y a pas que du mauvais dans mon ignorance car cela permet de remonter ton message O'Hana
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Salut la gang, Pour avoir déjà rencontré Monika, mon impression a été telle que si j'ai certes remarqué ses "rondeurs" au début, cela a été très vite supplanté par sa personnalité : gentillesse, chaleur, ouverture d'esprit et ... un sourire qui ne veut définitivement pas quitter son visage J'ai deux excellentes amies (l'une québécoise et l'autre néo-brunswickoise) qui ont des rondeurs aussi. Mais tout comme Monika, leurs personnalités (ouverture, chaleur, etc) font rapidement oublier leur apparence physique et l'une d'entre elle a même beaucoup de succès auprès de la gent masculine À l'inverse, une attitude personnelle centrée sur son apparence physique, pouvant aller jusqu'à la victimisation me fatigue au plus haut point. Par cette attitude, la personne ne fait que renforcer une facette d'elle-même qu'elle cherche justement à rendre moins visible en la rappelant sans cesse (paradoxalement). Résultat : à a fin, je ne vois que cela, ses rondeurs. Être bien dans sa peau prend alors ici tout son sens et sa pertinence. O'Hana
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Salut Quad, Au Québec, cela correspond au niveau d'études collégiales : au-dessus du niveau secondaire et en-dessous du niveau universitaire. Je dis bien au Québec car le niveau collégial (la formule des cégeps) n'existe pas ailleurs au Canada. Cependant, tu peux l'inscrire dans un formulaire fédéral d'immigration car les agents de CIC sont tenus de connaître les différents niveaux d'enseignement dans toutes les provinces canadiennes. O'Hana
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Salut Mimiz, Un brin psychologique, je dirai que le physique et la mode deviennent importants s'ils le sont pour toi en partant : alors forcément, le regard d'autrui devient important pour toi. Sérieusement, je crois que tu te fais du mauvais sang pour rien, même si je peux très bien comprendre tes appréhensions (parler d'inquiétudes serait peut-être trop exagéré ?). Pour ma part, professionnellement, j'ai rarement entendu des remarques ou commentaires vexatoires sur le physique d'untel ou unetelle. Dans ma vie personnelle aussi. Cependant, tout dépend avec qui l'on se tient n'est-ce pas et quels sont les sujets de conversation valorisés par l'entourage que tu vas tisser autour de toi une fois ici. Bien sûr, le Québec n'échappe aux diktats de la mode et du physique mais cette pression du "beau" et ce déni du "moche" ne sont pas si forts que cela. De toute façon, on vit presque six mois par année emmitouflés dans des manteaux, des écharpes et des bottes Peut-être n'ai-je pas fréquenté les bons endroits ni les bonnes personnes dans les autres pays où j'ai habité avant d'arriver au Québec mais la pression est moindre ici. Sans parler de réelle recherche à l'épanouissement personnelle comme priorité, les gens ici sont plus ... cools (je trouve pas d'autres mots). Faut dire aussi qu'en région, on est moins en contact avec la mode, au quotidien dans la rue, qu'à Montréal par exemple O'Hana
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Selon moi, oui. Selon moi, non. Parce que la raison pour laquelle tu as été recalé au fédéral n'est pas une raison irréversible (ex : casier judiciaire ou état de santé) mais bien une raison qui "s'améliore" facilement et dont l'évaluation, de toute façon, est bien subjective et dépend et de toi et de l'agent d'immigration qui traite ton dossier. Ceci dit, si on t'a recalé, c'est que l'agent devait certainement avoir de solides arguments bien établis et il est donc important que tu les analyses ben comme il faut et voir si tu pourras les surmonter au niveau provincial (DCS). Refuser l'immigration est une décision difficile à accepter pour le demandeur mais souvent aussi difficile à prendre par l'agent. Par ailleurs, attends-toi à te faire demander dans la DCS si tu as déjà été refusé dans une demande d'immigration : ton manque de motivation soulevé par l'agent du fédéral sera donc probablement suivi de près par son collègue provincial. Les SCV (services canadiens des visas) et les DGQ sont en effet en constante communication pour recouper les dossiers d'immigration. Bon courage, O'Hana
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Ha ha, yé bonne celle-là Épervier O'Hana, très heureux au Québec
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Une tite pensée aussi aux canadiens français qui se sont engagés comme résistants en Europe : ils font intégralement partie de notre devoir de mémoire. Je pense ainsi à Lucien Adélard Dumais. O'Hana





