-
Compteur de contenus
11 123 -
Inscription
-
Jours gagnés
36
Laurent a gagné pour la dernière fois le 25 novembre
Laurent a eu le contenu le plus aimé !
À propos de Laurent
Informations du profil
-
Genre
Homme
-
Statut
installé depuis + 10 ans
-
Date d'arrivée
01-05-1995
-
Profession
Dotcommer
-
Préoccupation
Repeupler la Nouvelle France
-
Pays d'origine
France
-
Pays de résidence
USA
-
Ville de résidence
Fremont
Pour me contacter
-
Site web
http://www.immigrer.com
-
ICQ
3581312
Visiteurs récents du profil
110 785 visualisations du profil
Laurent's Achievements
-
mike_hustler a réagi à un message dans un sujet : 🛑 Vidéo : Justin Trudeau annonce une réduction majeure de l’immigration au Canada
-
Le Canada anticipe une vague massive de départs en 2025 Le Canada se prépare à une importante vague de départs de résidents, et certains ne voient pas cette décision d’un bon œil. Il y a quelques semaines, le gouvernement du Canada a annoncé son intention de réduire sa population, principalement en limitant les visas de résident permanent. Cela pose un sérieux problème pour les 1,2 million de visas de résident temporaire qui expireront l’année prochaine, entraînant une forte augmentation des demandes d’asile de la part des résidents concernés. Malgré les résistances à ce plan, le pays s’attend tout de même à voir des centaines de milliers de départs. Cette initiative, annoncée par le gouvernement canadien, fait suite à une augmentation spectaculaire de la population de résidents temporaires ces dernières années. Après avoir augmenté la population de résidents temporaires de 150 % depuis 2021, atteignant ainsi 2,96 millions de personnes, le gouvernement a annoncé une réduction de 891 000 visas temporaires, répartis à parts égales sur les deux prochaines années. Cela ramènera la population de résidents temporaires à un peu plus de 2 millions d’ici la fin de 2026, soit deux fois plus qu’en 2021. Une réduction nécessaire pour des raisons économiques et sociales Le ministre de l’Immigration, Marc Miller, a justifié cette réduction par la nécessité d’alléger la pression sur les infrastructures essentielles, telles que le logement, la santé et les transports publics. Le Canada fait face à une crise du logement accentuée par l’arrivée massive de travailleurs et étudiants temporaires. Limiter leur nombre permettra, selon le gouvernement, de mieux répondre aux besoins des résidents permanents et de maintenir un équilibre économique. Dans ce contexte, le gouvernement a annoncé une diminution de 891 000 visas temporaires sur deux ans. Cette réduction sera répartie de manière équitable pour éviter un choc brutal sur le marché du travail, qui dépend encore fortement de cette main-d’œuvre étrangère. Explosion des demandes d’asile au Canada Un des moyens attendus pour rester au pays semble être les demandes d’asile. Le Canada a enregistré 133 000 demandes d’asile au 30 septembre (cumul annuel), soit une hausse de 38 % par rapport à l’an dernier. Plus de 63,9 % de ces demandes ont été déposées dans des bureaux à l’intérieur du pays, ce qui signifie que les demandeurs étaient déjà présents sur le territoire. Ce pourcentage était auparavant proche de 50 %, ce qui indique une forte augmentation. Un segment particulier de résidents temporaires, les étudiants internationaux, a vu une hausse notable des demandes d’asile. Selon une analyse, environ 13 700 demandes cette année provenaient de personnes titulaires de permis d’étude, soit 4,5 fois la moyenne des années précédentes. Ce chiffre est sans précédent au Canada. Bien que certains étudiants puissent présenter des demandes valides, le gouvernement trouve leur timing suspect. « Il est évident qu’une personne qui est ici depuis un an ou plus, et qui demande soudainement l’asile alors que les conditions dans son pays d’origine n’ont pas changé, cela ne sent pas bon, cela ne donne pas une bonne impression », a déclaré Marc Miller, ministre de l’Immigration, au Globe and Mail. Ce genre de demande est difficile à justifier, offrant probablement au demandeur un peu plus de temps et générant un scepticisme accru sur son statut de résidence. Cependant, ces cas restent marginaux par rapport au grand nombre de personnes censées quitter le pays. Stabilisation des permis d’étude et des visas temporaires Pour répondre à cette situation complexe, le gouvernement a également décidé de plafonner le nombre de nouveaux permis d’études à environ 360 000 en 2024. Cette mesure vise à limiter l’impact des étudiants internationaux sur le marché du logement et les services publics. Bien que ces derniers contribuent significativement à l’économie canadienne, leur présence massive dans certaines régions, comme le Québec, a généré des tensions sociales et économiques. (onfr.tfo.org) Les défis d’une politique équilibrée L’objectif global de cette stratégie est de trouver un équilibre entre les besoins économiques du Canada et sa capacité d’accueil. Bien que le pays continue de promouvoir l’immigration permanente, il cherche à éviter les abus dans les programmes temporaires et à garantir des conditions de vie optimales pour tous les résidents. Ces politiques suscitent toutefois des débats sur leur impact à long terme sur l’économie et la diversité culturelle du pays.
-
Nous avons organisé un webinaire intitulé "Suspension de l’immigration permanente au Québec", animé par Laurence Nadeau, cofondatrice du site, et Alexandre Hénaut, avocat en immigration. Ce webinaire a abordé les nouvelles mesures en matière d’immigration au Québec et au Canada pour 2024, notamment la suspension des programmes d’immigration permanente, la diminution du nombre d’immigrants, et les modifications concernant les travailleurs temporaires étrangers.
-
quelque soit la façon que tu produis ton électricité, ça reste avantageux de rouler électrique puisque la quantité d'énergie par km est à 4 à 5 fois moins grande que dans une auto au pétrole.
-
Les lois de la physique n'ont pas changé contrairement à ses allégeances, les voitures électriques consomment 4 à 5 fois moins d'énergie par distance parcourue par rapport aux véhicules traditionnels.
-
Le Canada traverse une période de bouleversements majeurs. Alors que le pays continue d’accueillir des milliers de nouveaux arrivants chaque année, il est confronté à des crises interconnectées : logement, coût de la vie et immigration. Ces défis, autrefois masqués par une économie en plein essor, sont aujourd’hui visibles à tous les niveaux de la société. Dans une vidéo publiée dimanche sur son compte Youtube, le Premier ministre Justin Trudeau a présenté un nouveau plan visant à réformer et réduire les seuils d’immigration au Canada. Les déclarations de Justin Trudeau : des choix difficiles et un mea culpa Lors de cette allocution, le Premier ministre a abordé les enjeux complexes liés à l’immigration et à la planification démographique. Il a également admis qu’il aurait dû réagir plus rapidement pour éviter la pression actuelle sur les infrastructures et le marché du logement. Sur l’augmentation rapide de la population : Sur les erreurs commises et les retards : Trudeau a reconnu que la gestion de l’afflux massif de travailleurs temporaires et d’étudiants étrangers après la pandémie n’a pas été optimale, exacerbant les pressions sur les logements et les services publics. Un nouveau plan pour maîtriser la croissance : Ce plafonnement inclut aussi bien les résidents permanents que temporaires, un changement significatif dans la gestion de l’immigration. Sur la nécessité d’une approche coordonnée : Concernant le Québec : Une crise du logement et un coût de la vie insoutenable Le Canada connaît une flambée des prix du logement, particulièrement dans ses grandes villes. En seulement deux ans, le loyer moyen d’un appartement deux chambres à Toronto est passé de 2 400 $ à 3 300 $, une augmentation annuelle moyenne de 25 %. Les étudiants et travailleurs temporaires sont les premiers à en souffrir, comme en témoigne le cas de 25 étudiants vivant dans un sous-sol à Brampton. Cependant, ce plafonnement pourrait ralentir l’accès des étudiants étrangers aux institutions canadiennes, un moteur économique clé pour certaines provinces. Un modèle d’immigration remis en question Historiquement, le Canada a utilisé l’immigration pour stimuler sa croissance et occuper ses vastes territoires. Aujourd’hui, l’approche est confrontée à des défis nouveaux. Alors qu’en 2023, la population canadienne a augmenté à un rythme record grâce à l’immigration, l’opinion publique se retourne contre ces politiques. En 2022, seulement 27 % des Canadiens estimaient qu’il y avait trop d’immigrants. Ce chiffre a bondi à 58 % en 2024. Trudeau : un leadership contesté Alors qu’il a été élu en 2015 sur une vague d’espoir, Trudeau voit aujourd’hui sa popularité chuter à des niveaux historiques. Ses choix en matière d’immigration, bien qu’alignés sur des objectifs économiques, ont exacerbé les tensions sur le logement et le coût de la vie. Pour ses détracteurs, cependant, ce revirement arrive trop tard. La pression démographique sur les infrastructures aurait dû être anticipée bien avant. Un avenir incertain Le Canada doit désormais naviguer entre sa réputation de nation accueillante et les réalités économiques actuelles. Le plan de réduction de l’immigration de Trudeau, s’il vise à donner un répit aux infrastructures, risque de ralentir la croissance économique et de miner davantage la confiance du public. Avec des élections prévues en 2025, le succès ou l’échec de ce plan pourrait définir non seulement l’avenir du gouvernement Trudeau, mais aussi la trajectoire sociale et économique du Canada dans les décennies à venir. Un tournant décisif pour Justin Trudeau et son gouvernement Le discours de Justin Trudeau incarne un revirement spectaculaire dans la gestion de l’immigration au Canada. Après avoir défendu des cibles ambitieuses et un idéal de croissance massive, visant jusqu’à 100 millions de Canadiens, il est aujourd’hui rattrapé par une réalité implacable : une crise du logement qui frappe de plein fouet les citoyens. À l’approche des élections, son parti se retrouve contraint de démontrer son pragmatisme, en ajustant ses politiques pour répondre aux préoccupations croissantes des Canadiens. La capacité du gouvernement à résoudre ces enjeux pourrait bien déterminer son avenir politique.
-
Yuki2024 a réagi à un message dans un sujet : Déménagement Québec vers autre province
-
Le gouvernement canadien s’apprête à franchir une étape majeure en lançant un projet de train à grande vitesse (TGV) reliant Québec et Toronto, une première dans le pays. Annoncée dans les prochaines semaines, cette initiative vise à transformer le corridor ferroviaire en offrant des trajets plus rapides et plus fréquents, de quoi révolutionner la mobilité pour les résidents de l’est du Canada. Un projet ambitieux pour le transport et l’économie Le train atteindra une vitesse de 300 km/h, permettant de relier Montréal à Toronto en trois heures, contre 5 h 30 en voiture. Le parcours sera entièrement dédié à la haute vitesse avec des voies électrifiées, minimisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre. En plus des grandes villes comme Québec, Montréal et Toronto, le TGV desservira Trois-Rivières, Laval, Ottawa et Peterborough, faisant du projet un vecteur de développement économique majeur. https://www.immigrer.com/un-tgv-quebec-toronto-une-revolution-dans-le-transport-au-canada/
-
Déménagement Québec vers autre province
Laurent a répondu à un(e) sujet de Yuki2024 dans Parrainages et Mariages
En résumé, oui, vous pouvez déménager dans une autre province même si vous avez obtenu votre résidence permanente via le Québec. Cependant, lors de votre demande, vous avez indiqué vouloir vivre au Québec, donc un déménagement pourrait susciter quelques questions de la part des autorités, même si c’est permis. -
Laurent a réagi à un message dans un sujet : Mon premier (court) bilan au Québec
-
bencoudonc a réagi à un message dans un sujet : Compte bancaire en France pour résident fiscal au Canada
-
J'ai envoyé un courriel à mon ancienne banque en France, on va voir ce qu'ils me disent.
-
Je vais faire ma petite enquête...
-
bencoudonc a réagi à un message dans un sujet : Compte bancaire en France pour résident fiscal au Canada
-
Un étranger non-résident en France peut ouvrir un compte dans une banque française. Pour ouvrir un compte bancaire en France, vous devez avoir la capacité juridique, vous devez prouver votre identité, justifier de votre domicile et déposer à la banque un spécimen de votre signature. En application des dispositions relatives à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement des activités terroristes, la banque est aussi tenue de demander des informations sur l’origine des revenus et du patrimoine du titulaire du compte. Si vous êtes non-résident fiscal français, vous devez déclarer cette situation fiscale à la banque. Votre compte sera un compte de non-résident. Vous pouvez vous adresser à une banque traditionnelle ou à une néobanque, qui accepte les non-résidents français. Vous ne pourrez pas bénéficier de comptes épargne tels que le livret d’épargne populaire, le livret jeune. En revanche, il est possible d’ouvrir un Livret A. https://www.lafinancepourtous.com/outils/questions-reponses/un-resident-fiscal-etranger-peut-il-ouvrir-un-compte-courant-en-france/
-
Ouvrir un compte bancaire en France en étant résident fiscal et postal au Canada est tout à fait possible, mais il y a quelques étapes à suivre pour y arriver. Plusieurs banques françaises proposent des services à distance pour les non-résidents : Banques en ligne : Des banques comme Boursorama, Fortuneo, Hello Bank, N26 ou Revolut permettent d'ouvrir des comptes à distance pour les expatriés. Elles sont souvent plus flexibles que les banques traditionnelles en termes de procédure. Banques traditionnelles : Certaines grandes banques françaises, comme BNP Paribas ou Société Générale, La Banque Postale, HSBC France offrent des services pour les non-résidents, mais le processus peut être plus long et demander des documents supplémentaires. Documents nécessaires : Pièce d’identité valide (passeport de préférence). Justificatif de domicile (preuve de résidence au Canada). Justificatif de revenus (bulletins de salaire, avis d'imposition canadien, etc.). Preuve de résidence fiscale (pour éviter les doubles impositions).
-
Peut-être possible de faire une évaluation comparative des études effectuées hors Québec via le Ministère de l'Immigration. Cela pourrait permettre de faire reconnaître le diplôme, même s'il n'est pas directement reconnu dans Arrima ?
-
C'est choquant d'écrire mariage avec 2 "r"
-
Pour ta préparation au déménagement au Canada, il est essentiel de bien te renseigner sur les différentes options de visa et sur les secteurs qui recrutent, surtout dans le domaine du transport. Le Canada a une forte demande pour les conducteurs de poids lourds, donc avec de l'expérience en France, tu seras bien positionné. Si tu as besoin d’informations spécifiques sur l’immigration au Canada ou si tu veux discuter des démarches à entreprendre, n’hésite pas à poster tes questions sur ce groupe, on est là pour s'entraider à chaque étape de son projet !
-
Vous êtes un jeune Canadien de 18 à 35 ans et vous souhaitez explorer le monde tout en acquérant une expérience de travail internationale? Apprenez à naviguer facilement dans le processus de demande d’Expérience internationale Canada en regardant cette nouvelle vidéo étape par étape : EIC.mp4