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Une autre question également : je souhaiterais faire venir des fusils de chasse (calibre 12) dans le container. Est-ce possible ?

Bonjour à toutes et à tous, Je me pose une question concernant les modalités de rapatriement de biens que j'ai en France au Québec. Je suis arrivé au Québec en septembre 2023 (je ne me souviens plus de l'intitulé du programme : il me semble ``travailleur qualifié``, avec une demande de permis de 3 ans directement à l'aéroport de Montréal, avec ma petite famille). J'ai fait livré par container une partie de mes biens de France au Québec quelques mois plus tard. Par la suite, j'ai obtenu ma résidence permane en décembre (ou novembre ?) 2025. Je n'avais pas déménagé l'intégralité de ma maison en France à l'époque, car je ne savais pas si nous souhaiterions rester au Québec (et malgré le fait que l'ensemble du déménagement aurait été intégralement pris en charge par les Canadiens...). Avec le recul, j'aurais dû le faire et faire payer le déménagement retour aux Français si nécessaire, mais j'ai fait une erreur dans le feu de l'action... Bref, je souhaiterais déménager le reste des biens restant dans ma maison en France dans celle du Québec. Il me semble que pour pouvoir le faire, le respect d'un délai (6 mois ?) était nécessaire pour ne pas payer de taxe. Est-ce encore le cas, et est-ce que ce délai s'applique à partir de la date d'arrivée sur le sol Canadien, ou à partir de la date d'obtention de la résidence permanente ? Si ce délai est dépassé, comment rapatrier le reste de mes biens et à quel prix ? Enfin, se pose bien évidemment la question du vin. J'ai laissé une belle cave à mon domicile en France, que je souhaiterais également rapatrier. Comment prouver la date de propriété de ces vins ? Il me semble en effet que l'on ne peux (malheureusement) pas acheter 400 bouteilles en France pour constituer notre cave 1 mois avant le transport ... Je ne dispose d'aucune factures par ailleurs les concernant... Merci de votre aide ! MC-Circulaire

Bon au final VFS Global Paris avait mes documents depuis le 11/11/2025. J'ai fais un aller-retour aujourd'hui à Paris pour les récupérer en personne car ça devenait pressant. J'ai bien en ma possession la CoPR

Puisque le temps d'attente durant le traitement des demandes est assez long , je cherche la possibilité de demander un visa de visiteur pour mon épouse. De ce que j'ai compris jusqu'à date, dans l’attente d’une décision, mon épouse peut être en mesure de me rejoindre au Canada. Mais l'information que je ne trouve pas est la durée du séjour. Est-ce que dans le cas d'une demande en cours de résidence permanente, les visas de visiteur sont traités différement? C'est-à-dire qu'on n'a pas besoin de spécifier la durée de séjour et qu'on peut rester au Canada jusqu'à l'obtention du RP? Ou bien, le seul avantage, est que la demande a plus de chances de recevoir une réponse positive mais que la durée devrait être celle d'un congé ordinaire, deux à trois semaines? Je demande cette question, parce qu'il y a une question spécifique dans le formulaire en ligne qu'on trouve à la page: "Visiter votre époux ou votre conjoint de fait qui vous a parrainé pour l’obtention de la résidence permanente": Dans la section "Demander à visiter le Canada en tant que résident temporaire", la 3ème question est: Donnez-nous plus d'informations sur ce que vous ferez au Canada. Indiquez des dates. https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/visiter-canada/admissibilite.html https://ircc.canada.ca/francais/centre-aide/reponse.asp?qnum=1018&top=16 https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/immigrer-canada/parrainer-membre-famille/epoux-partenaire-enfant/suivi-mise-jour-demande.html https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/immigrer-canada/parrainer-membre-famille/epoux-partenaire-enfant/epoux-conjoint-fait-canada-permis-travail-ouvert.html

Super merci! Oui mais pour faire le TVRP alors que je n'ai pas encore respecté l'obligation de résidence (partir pour faire la validation à la douane puis revenir plus tard dans l'année le temps d'organiser le déménagement), je ne suis pas sûre qu'ils accepteraient.

Bonjour, Avez-vous des recommandations de comptable à Montréal pour une déclaration d'impôt d'année ultérieure Québec et fédéral ? Quel est le délais de traitement pour obtenir les avis de cotisation ? Merci beaucoup !

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Le serment d’Hippocrate : le combat de médecins issus de l’immigration dans le système de santé québécois le jeudi 8 janvier 2026 à 21 h sur la télé de Radio-Canada Mardi 2 décembre 2025 – Écrit et réalisé par Nadia Zouaoui, le documentaire Le serment d'Hippocrate suit le combat de quatre médecins issus de l’immigration qui tentent de faire leur place dans le système de santé québécois. Le film sera diffusé le jeudi 8 janvier 2026 à 21 h sur ICI TÉLÉ et sur ICI TOU.TV. À travers les destins croisés de Dr Karim Laribi, Dre Daniela Pujol, Dr Gilles Carruel et Dre Fernanda Pérez-Gay Juarez, qui ont en commun l’amour inconditionnel de la médecine, le documentaire témoigne des péripéties et des obstacles qu’ils rencontrent lors de leurs tentatives d’accéder au système de santé de leur pays d’accueil. Le Dr Karim Laribi est devenu enseignant au cégep après plus de cinq ans à passer les examens du Collège des médecins du Québec et à essayer d’obtenir un stage de résidence dans une faculté de médecine. La Dre Daniela Pujol, anesthésiste d’Argentine avec 15 ans d’expérience, s’est résignée à travailler avec Médecins sans frontières Canada dans des zones dangereuses et à vivre loin de son époux québécois. Le Dr Gilles Carruel, médecin français avec 30 ans d’expérience, découragé du temps d’attente pour les stages et autres obstacles administratifs, s’est résigné à travailler en Martinique tout en gardant un pied-à-terre au Québec, qu’il aime tant. Et la Dre Fernanda Pérez-Gay Juarez, médecin d’origine mexicaine, PHD en neurosciences de l’Université McGill, a réussi à devenir psychiatre et a décidé d’aider les médecins de l’immigration à déjouer les obstacles du système. Ce film met des visages sur la vie et le parcours de ces praticiens de l’ombre qui – un jour, dans leurs pays lointains – avaient pourtant prêté l’auguste serment d’Hippocrate. Réalisation et scénarisation : Nadia Zouaoui Production : Nadia Zouaoui (Les films Nadiaz Inc.) source : https://presse.radio-canada.ca/television/14297/le-serment-d-hippocrate-le-combat-de-medecins-issus-de-l-immigration-dans-le-systeme-de-sante-quebecois/ À voir aussi la discussion à l'Émission québécois Tout le monde en parle du 7 décembre 2025 : https://ici.radio-canada.ca/tele/tout-le-monde-en-parle/site/segments/entrevue/2245900/serment-hippocrate-medecins-immigration-quebec

Je pense que c,est la solution

Il faut vraiment beaucoup de patience. Peut-être je devrais penser à une visa visiteur. Je vais lire sur ce sujet car de ce que j'ai entendu avant, ceux qui ont une demande de parrainage en cours, ont moins de contraintes que les autres.

Non pas d'obligation. Oui si vous faites valider la RP sans carte plus tard il faut un TVRP pour revenir.

Bonjour, Je me pose le même genre de question. Nous avons commencé les démarches en septembre et avons reçu notre CRP fin novembre avec une date de validité à fin août. Entre temps, nous avons réservé des vacances en décembre (simplement avec Passeport et AVE donc) sans imaginer que nous recevrions les documents aussi rapidement. Est-ce que lorsque nous passerons la douane pour nos vacances nous serons obligés de faire valider et signer la CRP à ce moment-là? Si oui pour revenir plus tard dans le courant de l'année 2026, ne serons nous pas bloqués? Car j'ai lu que lorsque l'on n'avait pas encore la carte de RP et que l'on sortait du Canada, il fallait faire le document TVRP. Or pour faire un TVRP il faut répondre aux exigences suivantes: - Prouver identité - Confirmer statut RP - Avoir respecté l'obligation de résidence (et c'est la que ça coince): "vous devez démontrer que vous serez en mesure de respecter l’obligation de résidence de présence effective au Canada d’au moins 730 jours au cours des cinq (5) années suivant la date à laquelle vous avez obtenu la résidence permanente". Les documents qu'ils demandent pour prouver le respect de cette obligation ne seront pas encore en notre possession puisque nous ne serons venus ici que en vacances. Pour les personnes ayant eu le même cas, comment avez-vous fait finalement? Merci d'avance!

Merci pour ton message. Dans mon cas, le dossier avance beaucoup plus lentement. Le CSQ a été reçu en août 2023, mais depuis ce temps je n’ai aucune réponse du fédéral. Ça fait déjà presque 2 ans que j’attends ma femme et ma fille, et ce n’est vraiment pas facile. J’espère que ça va bouger bientôt. Merci encore pour ton partage, ça donne un peu d’espoir.

Pas exactement la même situation, mais un ami ivoirien arrivé à l'été 2023 a pu accueillir femme et enfant àa l'automne 2024 Donc 15 mois environ.

Haaaa je m'en doutais Au moins vous etes dans la boucle Faux vraiment etre patient

Je crois que j'ai mal compris. Moi, le parrain, je suis à Montréal. Mais mon épouse vit au Maroc. Donc le délai estimé était faux. Je corrige. (erreur de newbie. ça prouve effectivement que je suis nouveau dans le domaine LOL.) Les stats sont maintenant plus alarmantes

Merci! Oui. Je suis à Montréal. J'ai cru que c'est devenu rapide la procédure, mais c'était juste le fédéral qui faisait son travail. Mainetnant c'est au tour du provincial... Selon leur site, rien n'a changé. La procédure prend 37 mois au moins.

Bonjour je suis retournée dans le bassin. Je n'ai rien pu faire d'autre et j'ai été tirée à nouveau quelques mois plus tard. Actuellement en attente. Il faut etre vigilant et envoyer toutes les lettres d'employeur comme demandé. Bon courage a vous

Bonjour, avez vous pu avancer sur ce sujet ? quel à été la suite.. je suis a peu près dans la même situation...

Salut à tous. J’ai reçu l’invitation aux services avant arrivée. J’aimerais savoir combien de temps il faut attendre encore pour avoir l’instruction pour envoyer les passeports . Merci.

Wahou Sa va vite hein Felicitation Je suppose que tu es deja sur le territoire

Bonjour, Début procédure janvier 2025 Admissibilité du parrain février 2025 Visite médicale février 2025 Invitation à produire le CSQ mai 2025 CSQ parrainage obtenu juin 2025 CSQ déposé par formulaire web juillet 2025 Admissibilité Pas commencé Vérification des antécédents En cours

Bonjour à tous, Je partage ici les dates de mon dossier de regroupement familial (épouse + enfant) pour avoir vos avis, orientations et retours d’expérience. Je souhaite surtout comprendre où j’en suis, si les délais sont normaux, et combien de temps il pourrait rester. Voici mon historique complet : Dépôt du dossier : novembre 2023 Accusé de réception (AOR) : 18 février 2024 Biométrie : juin 2024 Visite médicale : une première visite médicale a été faite en 2022 (avant mon départ). C’est l’immigration qui avait exigé cela. , je crois que c’est cette étape que nous attendons de nouveau ou une mise à jour de la VM. CSQ reçu : 1er août 2024 Dossier transféré au bureau des visas Dernière mise à jour : aucune mise à jour importante depuis la réception du CSQ. Je souhaite savoir, selon votre expérience : Est-ce que mes délais semblent normaux pour un parrainage d’épouse + enfant ? Est-ce normal d’attendre aussi longtemps après le CSQ ? Combien de temps il pourrait rester avant IVM / décision finale ? Quand est ce que ca va être bon ? Toute expérience ou conseil sera vraiment apprécié. C’est une période difficile car ma femme et ma fille sont encore en attente, donc vos retours me seront très utiles. Merci d’avance à tous !

Une zone grise dans le métier de coiffeuse punit cette travailleuse autonome Clemence Zanelli est l’une des nombreuses personnes immigrantes qui se butent aux politiques rigides en matière d’immigration et un changement dans sa situation professionnelle la prive d’être éligible à la résidence permanente. Elle est à mi-parcours de sa grossesse et panique à l’idée d’être séparée du père de l’enfant a Quebec, jeudi le 27 novembre 2025. STEVENS LEBLANC JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI) Stevens LeBlanc/JOURNAL DE QUEBEC PARTAGE Catherine Bouchard Lundi, 1 décembre 2025 00:00 MISE À JOUR Lundi, 1 décembre 2025 00:00 Une Française qui a déménagé au Québec il y a quatre ans et qui sera maman dans quelques mois dénonce l’injustice qu’elle subit avec l’immigration, alors que le programme fédéral qui lui a permis de venir pratiquer sa profession ici s’applique difficilement aux exigences d’immigration du Québec. Clémence Zanelli est arrivée au Québec en tant que travailleuse qualifiée en coiffure, métier qui entre dans la catégorie Formation, Études, Expérience et Responsabilités (FÉER) dans les procédures d’immigration du gouvernement fédéral. Publicité Pour éventuellement obtenir sa résidence permanente, Mme Zanelli devait être admise au Programme de l’expérience québécoise (PEQ), sur lequel elle a appliqué avant qu’il soit aboli. «Les conditions étaient claires: travailler deux ans à temps plein dans une catégorie FÉER qualifiée», explique-t-elle. Depuis son arrivée au Québec, elle a cumulé deux années en tant que salariée dans un salon de coiffure. Une première année au salon MCoupe Beauté et une seconde au salon Chez Marcus. Toutefois, le modèle d’affaire de l’industrie de la coiffure change et il devient de plus en plus rare de trouver des salons qui emploient des salariés. C’est dans ce contexte que le propriétaire du Salon Chez Marcus a choisi de mettre fin aux contrats salariés, incitant ainsi l’ensemble de ses employés à adopter le statut de travailleurs autonomes pour pouvoir continuer à exercer dans son établissement. Et c’est là que le processus d’immigration de Mme Zanelli se complique. Son statut de travailleuse autonome lui donne une emprise juridique sur son travail, ce qui la rend automatiquement inadmissible au PEQ. «Je pensais simplement qu’il fallait faire deux ans en tant que salariée, laisse-t-elle tomber. Je ne pensais pas que le fait de devenir [travailleuse] autonome puisse me bloquer». Un bébé en route Son permis de travail se terminera à la fin avril. Bébé est prévu pour le début du mois de mars. Elle et son conjoint, qui est également Français, sont déjà bien installés, et la dernière chose qu’ils souhaitent, c’est de partir. «Nous nous sentons aujourd’hui plus imprégnés de votre culture que de celle de notre pays d’origine», fait valoir Clémence Zanelli. Clémence Zanelli est l’une des nombreuses personnes immigrantes qui se butent aux politiques rigides en matière d’immigration, et un changement dans sa situation professionnelle la prive d’être éligible à la résidence permanente. Elle est à mi-parcours de sa grossesse et panique à l’idée d’être séparée du père de l’enfant, à Québec, le jeudi 27 novembre 2025. Clémence et son conjoint, Theo Maudet. STEVENS LEBLANC JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI) Stevens LeBlanc/JOURNAL DE QUEBEC Ils ont également travaillé fort depuis leur arrivée pour faire leurs preuves. De son côté, elle s’est monté une clientèle fidèle, et lui, gravit les échelons dans l’entreprise pour laquelle il travaille. La situation n’a aucune logique à leurs yeux, alors qu’ils sont des immigrants «proactifs». «On lui demande depuis le début d’être un facteur de l’économie, d’être un intermédiaire pour les taxes, de verser des impôts et d’avoir fait ses deux ans comme salariée», se désole son conjoint, Théo Maudet. «C’est comme si tout était coché, mais j’ai été forcée de passer au statut de [travailleuse] autonome, poursuit Mme Zanelli. Nous voulions simplement trouver notre place ailleurs. Et maintenant que notre vie est enfin rebâtie, le gouvernement la détruit». Le couple n’a pas d’autre option, outre le visa de visiteur, ce que Clémence Zanelli refuse, car elle veut travailler. Une zone grise «qui ne fait pas de sens» Le propriétaire du salon de coiffure Chez Marcus déplore la zone grise dans laquelle se retrouve la profession de coiffeur en matière d’immigration, un flou qui peut nuire grandement aux travailleurs étrangers œuvrant dans cette industrie et qui souhaitent s’établir ici. Il est de plus en plus rare de trouver des salons de coiffure qui embauchent des salariés au Québec. La nature de la profession et la gestion financière qui s’y rattache concordent davantage avec le statut de travailleur autonome, indique Marc-André Villeneuve, propriétaire du Salon Chez Marcus. Toutefois, bien que ce métier soit admissible pour un visa de travailleur étranger au fédéral, la transformation de son modèle d’affaires devient incompatible avec les exigences du Programme de sélection des travailleurs qualifiés (PSTQ) qui remplace le Programme de l’expérience québécoise (PEQ) au provincial. Suite et source : https://www.journaldequebec.com/2025/12/01/etablie-accomplie-autonome-et-bientot-maman-le-quebec-leve-le-nez-sur-cette-immigrante

Je m'attends pas à mieux de la part de quebec solidaire...