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Laurent

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À propos de Laurent

Informations du profil

  • Genre
    Homme
  • Statut
    installé depuis + 10 ans
  • Date d'arrivée
    01-05-1995
  • Profession
    Dotcommer
  • Préoccupation
    Repeupler la Nouvelle France
  • Pays d'origine
    France
  • Pays de résidence
    USA
  • Ville de résidence
    Fremont

Pour me contacter

  • Site web
    http://www.immigrer.com
  • ICQ
    3581312

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  1. Je vois que ça fait longtemps que tu réfléchi à ta démarche, et que ton retour au Québec te tiens à cœur. Ton budget est dans l'ensemble réaliste, surtout pour Québec, mais prévois une petite marge de manœuvre les premiers mois (300 à 500 $), le temps que tout se stabilise. L’assurance auto pourrait te coûter un peu plus au début sans historique récent ici (pense plutôt à 100-120 $/mois). Pour l’assurance santé privée, certaines formules pour non-couverts RAMQ coûtent autour de 80–90 $/mois, donc vérifie bien les options. Pour l’achat d’une voiture via un prêt, c’est une excellente idée pour bâtir ta cote de crédit. Une ou deux semaines d’Airbnb à l’arrivée : 1 semaine peut suffire si tu as déjà repéré des logements à distance et que tu cales des visites dès ton arrivée. Sinon, 2 semaines te donneront plus de latitude, surtout en août où le marché peut être tendu avec les déménagements et la rentrée. Tu fais bien de choisir un DEP en transport : c’est une filière en forte demande, avec de bons débouchés et des conditions de travail souvent plus stables et mieux rémunérées que de nombreux emplois de bureau. Voici une petite checklist pour ton retour au Québec : Avant le départ (France) Résilier ou transférer bail logement en France Clôturer ou transférer contrats (EDF, mobile, internet, impôts locaux) Informer les impôts français de changement d’adresse (résidence fiscale) Commander un extrait de casier judiciaire français (utile parfois) Réunir les documents personnels : Certificats de naissance Jugement de divorce (si officiel) Diplômes Permis de conduire (international si souhaité) Scanner tous les documents importants Planifier la vente ou le stockage de ses biens Avertir sa banque française, je suggère de ne PAS la clôturer Réserver un Airbnb à Québec pour 1 à 2 semaines à l’arrivée Rechercher des logements autour de Charlesbourg Prendre contact avec le CTFC pour finaliser l’inscription au DEP Obtenir une attestation de RAMQ (couverture possible rapide pour les binationaux) Souscrire à une assurance santé temporaire si nécessaire À l’arrivée au Québec Activer sa carte d’assurance maladie (RAMQ) si inactive Ouvrir un compte bancaire (ex. Desjardins/BNC, pleins de liens sur notre site ) Faire une demande de NAS si non actif Chercher un logement stable (Kijiji, Marketplace) S’inscrire à Hydro-Québec après avoir trouvé son logement Prendre un forfait internet Obtenir un téléphone et forfait mobile québécois (ex : Fizz avec mon code de référence, genre 25$ de rabais, Vidéotron, Ebox) Obtenir un permis de conduire du Québec (échange possible France→QC) Acheter une voiture (et penser à financement avec Desjardins) Obtenir une assurance auto (souvent plus chère sans historique) Faire l’immatriculation à la SAAQ Vérifier ou souscrire une assurance habitation, non obligatoire en tant que locataire mais recommandé Formation et insertion professionnelle Confirmer dates de début au CTFC (DEP camionnage) Se procurer le matériel demandé par l’établissement S'informer sur les bourses ou aides disponibles pour la formation professionnelle Réseauter via forums, anciens élèves, groupes Facebook locaux (camionneurs, reconversion…) Commencer à bâtir un CV québécois adapté au métier visé Prévoir petits boulots temporaires si nécessaire pendant la formation
  2. La frontière terrestre serait à éviter pour se rendre aux États-Unis en raison d’un resserrement important des mesures de sécurité appliquées par les agents frontaliers, selon l’avocat spécialisé en immigration Marc-André Séguin. En entrevue avec Mario Dumont, l’expert explique que la frontière terrestre est de plus en plus difficile à naviguer et que de simples malentendus peuvent parfois être lourds de conséquences. «Elle est beaucoup plus surveillée et il y a beaucoup plus de questions, affirme-t-il. Ce qui était à l’origine des examens de routine à l’occasion pour des entrées aux États-Unis peut se transformer en interrogatoires de plusieurs heures.» «On l’a vu avec des épisodes assez médiatisés impliquant des Canadiens, le simple défaut de déposer une demande d’un permis de travail qui normalement serait conforme [...] aujourd’hui se transforme en détention qui peut s’étirer sur plusieurs jours à l’occasion», ajoute-t-il. C’est pourquoi il recommande à ceux qui doivent absolument voyager aux États-Unis de passer par la voie des airs. «Nous-même, comme avocats pratiquant le droit en immigration américaine, on doit dire aux gens de premièrement éviter la frontière terrestre lorsque vous le pouvez, dit-il. Si vous devez aller aux États-Unis, passez par un aéroport parce que vous serez toujours en sol canadien lorsqu’on vous interroge, surtout à l’aéroport Trudeau ou Pearson.» «Et aussi de redoubler de prudence actuellement parce que les mesures d’immigration sont renforcées au maximum que la loi l’autorise et il y a des contestations aussi qui sont en cours de route», continue-t-il. Selon lui, les Canadiens ont déjà commencé à privilégier les destinations Soleil qui ne sont pas aux États-Unis, et cette tendance pourrait s’accentuer. «On est en train de troquer Fort Lauderdale pour Playa del Carmen, mentionne-t-il. Il y a un rapport qui est sorti la semaine dernière qui indiquait que les réservations de vols du Canada en direction des États-Unis sont en baisse de plus de 70% par rapport à l’an dernier.» «Ce trafic-là est en train d’être remplacé par d’autres destinations Soleil incluant le Mexique, renchérit l’avocat. Les autorités mexicaines d’ailleurs se frottent les mains actuellement en flairant la bonne affaire pour se dire qu’ils peuvent devenir le plan B des snowbirds.» Les Mexicains seraient également plus tentés par les destinations canadiennes que celles des États-Unis. https://www.tvanouvelles.ca/2025/04/02/pour-aller-aux-etats-unis-evitez-la-frontiere-terrestre-conseille-un-avocat-en-immigration
  3. Ces solutions ont aidé plusieurs utilisateurs à surmonter leurs difficultés avec le formulaire IMM1294 : Remplir et valider le formulaire directement après téléchargement : Un utilisateur a suggéré de télécharger le formulaire depuis le site d'IRCC, de le remplir immédiatement sans l'enregistrer au préalable, puis de le valider avant de l'enregistrer sous format PDF. Cette méthode a permis de résoudre son problème de téléversement. Utiliser Adobe Acrobat Reader : Un autre participant a indiqué que le problème était lié au logiciel utilisé. En ouvrant et en remplissant le formulaire avec Adobe Acrobat Reader, il a réussi à téléverser le document sans encombre. Vérifier la version d'Adobe Acrobat Reader : Il est recommandé de s'assurer que la dernière version d'Adobe Acrobat Reader est installée, car une version obsolète peut causer des problèmes de validation et de téléversement du formulaire. Essayer sur différents ordinateurs et navigateurs : Changer d'ordinateur ou de navigateur peut parfois résoudre le problème, suggérant que des paramètres spécifiques ou des caches peuvent interférer avec le processus de téléversement. Vérifier la taille du fichier : Bien que la taille maximale ne soit pas toujours spécifiée, il est conseillé de s'assurer que le fichier ne dépasse pas les limites généralement acceptées pour les téléversements sur le site d'IRCC. Si vous rencontrez toujours des problèmes, il peut être utile de contacter directement le support technique d'IRCC pour obtenir une assistance supplémentaire.
  4. Il y a une grande confusion dans tes réponses, essayons de démêler tout ça. Je ne fais pas la promotion d'un individu mais d'une transition énergétique des transports individuels. La guerres des tarifs n'a rien à voir avec cette transition. Il n'y a jamais eu de rabais pour les produits Tesla mais des incitatifs à l'achat des véhicules électriques. Ces programmes d'incitatifs à l'achat de véhicules électriques sont financés par les gouvernements fédéral et provinciaux à partir de fonds publics. Le programme fédéral iZEV, géré par Transports Canada, est financé par le budget fédéral à partir des impôts généraux. À l’échelle provinciale, des programmes comme Roulez vert au Québec et Go Electric en Colombie-Britannique sont financés respectivement par le Fonds d’électrification et de changements climatiques (alimenté par le marché du carbone) et par des normes sur les carburants à faible intensité en carbone, ainsi que par les budgets provinciaux.
  5. Bonjour, Notre webinaire "Nouveautés en immigration pour les travailleurs temporaires" commence dans quelques minutes ! Aujourd’hui, le 20 mars à 13 h (Montréal) | 18 h (France) Rejoignez-nous dès maintenant pour bénéficier des conseils de Laurence Nadeau (immigrer.com) et Alexandre Hénaut, avocat spécialisé en immigration. À tout de suite ! Rejoignez le webinaire dès maintenant !
  6. En tant que Français, vous n’avez pas besoin de visa pour entrer au Canada en tant que visiteur (un simple AVE suffit pour les séjours de moins de 6 mois). Toutefois, le statut de visiteur n’autorise pas à travailler pour une entreprise canadienne, même si vous êtes en télétravail.
  7. Mises à jour et enjeux 2025 Vous souhaitez immigrer au Canada ou au Québec ? Vous êtes déjà sur place et suivez de près les évolutions en matière d’immigration ? Ne manquez pas ce webinaire exclusif où nous ferons le point sur les changements majeurs qui impactent les travailleurs, les étudiants et les familles en 2025. Date : Jeudi 20 février 2025 13h00 (Montréal) | 19h00 (France) En direct de Montréal Présenté par Laurence Nadeau Avec Alexandre Hénaut, avocat spécialisé en immigration AU PROGRAMME : LES DERNIÈRES ACTUALITÉS EN IMMIGRATION Canada Permis de travail ouvert : restrictions en vigueur depuis le 21 janvier 2025 Suspension du parrainage des parents et grands-parents Fin du tour de poteau depuis le 24 décembre 2024 Risque de refus de permis de travail si l’EIMT et le CAQ ne sont pas fournis sous 60 jours EIC (PVT) 2025 : réouverture du programme Québec Limitation des demandes de parrainage pour conjoints de fait et époux Délai moyen de 6 mois pour le traitement du CSQ (PRTQ, PEQ, projets-pilote) Nouveau Programme de Sélection des Travailleurs Qualifiés (PSTQ) depuis le 29 novembre 2024 Intention de refus/rejet de CSQ : risque d’interdiction de nouvelle demande pendant 5 ans Enjeux internationaux Impact du changement de président aux États-Unis : possibles répercussions sur l’immigration au Canada et aux points d’entrée. Session de questions-réponses en direct Inscrivez-vous dès maintenant ! https://www.immigrer.com/webinaire-nouveautes-en-2025-et-impact-des-usa-sur-limmigration-au-canada/
  8. Peut-être venir poser la question dans notre webinaire de demain : https://www.immigrer.com/webinaire-nouveautes-en-2025-et-impact-des-usa-sur-limmigration-au-canada/
  9. L'émission Échappée Belle fait escale au Québec De Montréal à l’Outaouais, suivez les pas de @IsmaelKhelifa et du photographe/explorateur Alexis Lopez. https://france.tv/france-5/echappees-belles/saison-19/6732037-quebec-un-voyage-en-partage.html#section-about…
  10. Le Canada anticipe une vague massive de départs en 2025 Le Canada se prépare à une importante vague de départs de résidents, et certains ne voient pas cette décision d’un bon œil. Il y a quelques semaines, le gouvernement du Canada a annoncé son intention de réduire sa population, principalement en limitant les visas de résident permanent. Cela pose un sérieux problème pour les 1,2 million de visas de résident temporaire qui expireront l’année prochaine, entraînant une forte augmentation des demandes d’asile de la part des résidents concernés. Malgré les résistances à ce plan, le pays s’attend tout de même à voir des centaines de milliers de départs. Cette initiative, annoncée par le gouvernement canadien, fait suite à une augmentation spectaculaire de la population de résidents temporaires ces dernières années. Après avoir augmenté la population de résidents temporaires de 150 % depuis 2021, atteignant ainsi 2,96 millions de personnes, le gouvernement a annoncé une réduction de 891 000 visas temporaires, répartis à parts égales sur les deux prochaines années. Cela ramènera la population de résidents temporaires à un peu plus de 2 millions d’ici la fin de 2026, soit deux fois plus qu’en 2021. Une réduction nécessaire pour des raisons économiques et sociales Le ministre de l’Immigration, Marc Miller, a justifié cette réduction par la nécessité d’alléger la pression sur les infrastructures essentielles, telles que le logement, la santé et les transports publics. Le Canada fait face à une crise du logement accentuée par l’arrivée massive de travailleurs et étudiants temporaires. Limiter leur nombre permettra, selon le gouvernement, de mieux répondre aux besoins des résidents permanents et de maintenir un équilibre économique. Dans ce contexte, le gouvernement a annoncé une diminution de 891 000 visas temporaires sur deux ans. Cette réduction sera répartie de manière équitable pour éviter un choc brutal sur le marché du travail, qui dépend encore fortement de cette main-d’œuvre étrangère. Explosion des demandes d’asile au Canada Un des moyens attendus pour rester au pays semble être les demandes d’asile. Le Canada a enregistré 133 000 demandes d’asile au 30 septembre (cumul annuel), soit une hausse de 38 % par rapport à l’an dernier. Plus de 63,9 % de ces demandes ont été déposées dans des bureaux à l’intérieur du pays, ce qui signifie que les demandeurs étaient déjà présents sur le territoire. Ce pourcentage était auparavant proche de 50 %, ce qui indique une forte augmentation. Un segment particulier de résidents temporaires, les étudiants internationaux, a vu une hausse notable des demandes d’asile. Selon une analyse, environ 13 700 demandes cette année provenaient de personnes titulaires de permis d’étude, soit 4,5 fois la moyenne des années précédentes. Ce chiffre est sans précédent au Canada. Bien que certains étudiants puissent présenter des demandes valides, le gouvernement trouve leur timing suspect. « Il est évident qu’une personne qui est ici depuis un an ou plus, et qui demande soudainement l’asile alors que les conditions dans son pays d’origine n’ont pas changé, cela ne sent pas bon, cela ne donne pas une bonne impression », a déclaré Marc Miller, ministre de l’Immigration, au Globe and Mail. Ce genre de demande est difficile à justifier, offrant probablement au demandeur un peu plus de temps et générant un scepticisme accru sur son statut de résidence. Cependant, ces cas restent marginaux par rapport au grand nombre de personnes censées quitter le pays. Stabilisation des permis d’étude et des visas temporaires Pour répondre à cette situation complexe, le gouvernement a également décidé de plafonner le nombre de nouveaux permis d’études à environ 360 000 en 2024. Cette mesure vise à limiter l’impact des étudiants internationaux sur le marché du logement et les services publics. Bien que ces derniers contribuent significativement à l’économie canadienne, leur présence massive dans certaines régions, comme le Québec, a généré des tensions sociales et économiques. (onfr.tfo.org) Les défis d’une politique équilibrée L’objectif global de cette stratégie est de trouver un équilibre entre les besoins économiques du Canada et sa capacité d’accueil. Bien que le pays continue de promouvoir l’immigration permanente, il cherche à éviter les abus dans les programmes temporaires et à garantir des conditions de vie optimales pour tous les résidents. Ces politiques suscitent toutefois des débats sur leur impact à long terme sur l’économie et la diversité culturelle du pays.
  11. Nous avons organisé un webinaire intitulé "Suspension de l’immigration permanente au Québec", animé par Laurence Nadeau, cofondatrice du site, et Alexandre Hénaut, avocat en immigration. Ce webinaire a abordé les nouvelles mesures en matière d’immigration au Québec et au Canada pour 2024, notamment la suspension des programmes d’immigration permanente, la diminution du nombre d’immigrants, et les modifications concernant les travailleurs temporaires étrangers.
  12. quelque soit la façon que tu produis ton électricité, ça reste avantageux de rouler électrique puisque la quantité d'énergie par km est à 4 à 5 fois moins grande que dans une auto au pétrole.
  13. Les lois de la physique n'ont pas changé contrairement à ses allégeances, les voitures électriques consomment 4 à 5 fois moins d'énergie par distance parcourue par rapport aux véhicules traditionnels.
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