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Ecovillage


rodella31

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  • Habitués

C'esr le cas actuellement. On propose à l'Afrique de l'énergie solaire pour son développement. Mouaipsss ... ayant bossé dans le solaire, je peux te dire que c'est loin de pouvoir développer une industrie, sauf celle des bailleurs de fonds qui seront forcément occidentaux.

On demande aux pau*ys en voie de développement et émergeants de limiter leur impact sur la planète en n'utilisant pas trop d'énergies fossiles. Ils ne sont pas d'accord, et je les comprends. Je n'approuve pas mais je les comprends.

Le maché des voitures en Chine est énorme. Tout comme en Inde. Même si on met de petites voitures style Tata, il y aura de gros impacts en terme de pollution.

Le Québec dans tout cela ? Sous les coté nature et développement harmonieux, il me semble que la province pollue pas mal en terme environnemental. Un pays aura beaucoup de mal à favoriser son développement économique et limiter son impact sur l'environnement. A ce jour, on n'a pas les énergies pour ....

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  • Habitués

C'est vrai on n'a pas une solution mais je pense plutot à une panoplie de solution car le solaire c'est une chose mais pourquoi pas le vent, la geothermie...

En même temps moi je fais beaucoup attention chez moi mais je suis à 100% derriere les pays du tiers monde car pourquoi eux ils n'ont pas droit au bonheur alors les pays developpés font de l'hypocrisie mais pas de réelle volonté de developpement durable.

Tu sais l'impact ecologique d'une personne du tiers monde est inferieur à l'impact ecologique d'une télé en veilleuse alors on en arrive à demander à ce petit peuple de encore fournir des eforts pour sauver le monde dans le seul but de garder un confort d'une partie de la planete.

C'est dommage que tout le monde ne veuille pas jouer le jeu car sur ce coup ci on fonce en direct dans le mur en sifflotant!!!

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  • Habitués

Non mais l'intérêt d'une telle démarche c'est que ça leur donne bonne consicence c'est tout ! pareil pour ceux qui mange bio !

Sinon effectivement ça changera pas la face du monde :lol:

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  • Habitués

Non mais l'intérêt d'une telle démarche c'est que ça leur donne bonne consicence c'est tout ! pareil pour ceux qui mange bio !

Sinon effectivement ça changera pas la face du monde laugh.gif

C'est rigolo moi j'aime bien ce style de vie même si je ne vais pas y habiter car je suis un citadin convaincu en occident mais une fois en vacances en afrique (senegal) je ne supporte plus les grandes villes (dakar en particulier)

Le bio c'est encore extraordinaire car sur des sols nourris pendant plus d'un siecle en angrais chimique et traités en autant de fois de pesticides les plus nocifs, on se reveille un bon petit matin pour y cultiver du bio mdr!!!!

Même en dehors des produits chimiques (engrais et pesticides) on n'oublie dés fois que la pollinisation des plantes cultivées et/ou sauvages se fait par le vent et les insectes donc à coté on aura du bio et à quelques kilometres de la france par exemple on a des cultures d'OGM (espagne, allemagne (pomme de terre)....) c'est à mourir de rire mais le plus triste c'est l'arnaque dans tout cela(prix exhorbitant des produits, qualités douteux...)

Mais bon parait -il que le nuage atomique s'était arrété à la frontiere française avec l'allemagne c'est trés fort!!!!

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Se liberer de quelqu'un ou de quelque chose ne signifie pas etre libre!

[/quote

... mais il y a le sentiment de liberté, le sentiment de défier la société en "inventant" une nouvelle

forme de socialisation. Donc même si on se met des carcans au sein d'un écovillage, on se libère du carcan d'une société que l'on peut penser comme inadéquate à son propre épanouissement.

[/quote

Si tu part de principe qu'il y a une societé d'une part et toi d'autre part, c'est déjà mal parti!

Biensur qu'on peut s'inventer un mode de vie qui nous servira de refuge, mais cet ideal n'existe que par opposition à ce que tu appelle un carcan. Donc c'est toujours un carcan revetu d'une couche de peinture qui te donne l'illusion de neuf.

Et la liberté dans tout celà n'est l'opposé de rien( elle n'est pas le contraire de ce que tu appelle carcan), la liberté "EST" et point c'est tout! c'est pas difficile à comprendre!

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  • Habitués

Si tu part de principe qu'il y a une societé d'une part et toi d'autre part, c'est déjà mal parti!

Biensur qu'on peut s'inventer un mode de vie qui nous servira de refuge, mais cet ideal n'existe que par opposition à ce que tu appelle un carcan. Donc c'est toujours un carcan revetu d'une couche de peinture qui te donne l'illusion de neuf.

Et la liberté dans tout celà n'est l'opposé de rien( elle n'est pas le contraire de ce que tu appelle carcan), la liberté "EST" et point c'est tout! c'est pas difficile à comprendre!

C'est peut-être mal parti mais c'est la manière dont s'est créée une nouvelle forme de société: une rupture par rapport à ce qui existait.

Ce n'est pas difficile à comprendre: le sentiment de liberté, comme pourrait le ressentir celui qui va vivre dans les rocheuses, celui qui va vivre sur un atoll des Tuamotu, celui qui va vivre sur la route en voyageant sans cesse, celui que va vivre le surfeur en bossant le minimum vital afin profiter pleinement de sa vague et de son mode de vie.

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Si tu part de principe qu'il y a une societé d'une part et toi d'autre part, c'est déjà mal parti!

Biensur qu'on peut s'inventer un mode de vie qui nous servira de refuge, mais cet ideal n'existe que par opposition à ce que tu appelle un carcan. Donc c'est toujours un carcan revetu d'une couche de peinture qui te donne l'illusion de neuf.

Et la liberté dans tout celà n'est l'opposé de rien( elle n'est pas le contraire de ce que tu appelle carcan), la liberté "EST" et point c'est tout! c'est pas difficile à comprendre!

C'est peut-être mal parti mais c'est la manière dont s'est créée une nouvelle forme de société: une rupture par rapport à ce qui existait.

Ce n'est pas difficile à comprendre: le sentiment de liberté, comme pourrait le ressentir celui qui va vivre dans les rocheuses, celui qui va vivre sur un atoll des Tuamotu, celui qui va vivre sur la route en voyageant sans cesse, celui que va vivre le surfeur en bossant le minimum vital afin profiter pleinement de sa vague et de son mode de vie.

Regardez monsieur!

Ce n'est pas la rupture qui est en cause. Au contraire,ce monde qui va droit au mur a plus que jamais besoin de changement.

Ce que j'essayais de vous dire, c'est que la rupture qui consiste à s'isoler parce qu'on se figure que c'est la faute aux autres,est une facon de rajouter de la confusion à celle déjà existante.

L'homme est né pour vivre en societé, en relation avec ses semblables.

Isoles-toi si celà te fait plaisir,mais saches que d'autres groupuscules s'isoleront dans ce qu'ils jugent etre un idéal pour eux ...et ainsi de suite.

Comme tout acquis se défend bec et ongles, bonjour la division,les tensions et l'hostilité!

Au final, vous vous entretuez comme des betes, chacun voulant preserver ses concepts, dogmes...etc.

Le tout sera courroné par cette stupidité inoué qui consiste à organiser des guerres au nom de la paix.

La societé proprement dite n'existe pas, il n y a rien qui s'appelle societé!

La societé, c'est toi, moi et les autres reunis autour d'une organisation psychologique que l'on nomme SOCIETE OU MONDE.

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  • Habitués

:) moi tuer quelqsu'un ? mmm ..... :blink:

" ...La societé, c'est toi, moi et les autres reunis autour d'une organisation psychologique que l'on nomme SOCIETE OU MONDE...." j'ai du mal avec le terme "psychologique". Et puis je ne cherche pas à m'isoler, loin de là. Je peux comprendre que des personnes veulent vivre dans un EcoVillage, mais moi je ne suis pas chaud. Cette idée de ne pas dépendre de l'énergie fossile est belle, de manger des fruits/légumes non chimiques, d'avoir des maisons agréables à vivre et tout et tout .... mais le communautarisme, non merci !!

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Les médias, une arme à deux tranchants...

par Philippe Laramée

Fondateur du Village écologique du Mont Ste-Marguerite (OBNL), propriétaire de la base de plein air Mont-Radar (Compagnie) et éditeur de la revue Aube, le recueil de solutions écologiques

www.leradar.org

Après 9 années de travail à bâtir un village écologique en sol québécois, nous venons d'être l'objet d'un drôle de reportage par un journaliste du nom de François Sanche de l'émission "La Facture" sur les ondes de Radio-Canada. Certes, vouloir aborder un sujet aussi complexe que les écovillages dans une émission d'intérêt public aurait pu être très intéressant... mais dans l'optique des deux reportages biaisés que nous venons de subir, notre groupe ainsi que l'entrepreneur général Les Habitations Apex, il nous reste un goût amer quant à la crédibilité et l'impartialité de cette émission.

Je peux facilement m'imaginer tout le croustillant pour le commun du contemporain que peuvent représenter nos p'tites chicanes de voisins... Mais si on prend le temps de lire entre les lignes, on constate rapidement qu'il manquait dans ce reportage des pièces importantes du casse-tête. Des éléments essentiels pour quiconque veut bien saisir l'ensemble de la problématique. Mais notre village écologique étant ce qu'il est, il a toujours été un sujet de prédilection pour les médias depuis ses tout débuts. Il ferait certes un excellent objet de télé-réalité tellement nous avons d'histoires mirobolantes à raconter.

Certes, je ne démordrai pas d'avoir notre droit de réplique médiatique et je vais me battre pour être en mesure de rétablir les faits qui ont été passés sous silence par l'angle de traitement qu'a décidé de prendre le journaliste et qui a nettement favorisé nos détracteurs. Car ce reportage n'est aucunement représentatif de la situation sur le terrain... et encore moins du conflit qui nous oppose en ce moment contre seulement deux clients insatisfaits sur l'ensemble des terrains vendus. Ce fut un reportage morcelé, incomplet et par conséquent biaisé. Il a jeté le discrédit sur notre projet, sur nos réalisations et sur notre organisation.

Il est important de rappeler qu'un projet d'écovillage est un processus évolutif qui se construit en pensant sur sept générations. Notre projet est peut-être imparfait, faute des moyens de nos ambitions... soit les millions de dollars nécessaires à la réalisation d'un projet d'une telle envergure. Mais celui-ci a au moins le mérite d'exister !

Sur l'éthique journalistique

Je tiens à préciser dans ce témoignage que nous avons été transparents avec le journaliste et que, malgré les nombreuses heures passées avec lui au téléphone, celui-ci n'a pas retenu l'essentiel de notre plaidoyer et n'a surtout pas pris en considération les nombreuses preuves que nous lui avons fournies par courriel pour justifier notre prise position dans cette affaire. Et que dire du témoignage de tous les clients satisfaits qui ont, eux aussi, témoigné par courriel et par téléphone au journaliste et qui avaient répondu affirmativement pour être filmés à l'émission, afin de contrebalancer le reportage. Ce journaliste a décidé de focaliser l'attention du public sur deux clients insatisfaits... C'est ce que nous déplorons le plus.

Il est encore plus intéressant d'entendre M. Sanche, dans une mise en scène un peu douteuse, dire que nous avons refusé une entrevue avec lui, alors que c'est plutôt celui-ci qui a repoussé plusieurs des dates que nous lui avions proposées pour venir nous visiter, lui offrant même de nous déplacer de Saint-Sylvestre jusqu'à Montréal, au siège de Radio-Canada pour qu'il entende notre témoignage !

Étant dans le domaine des médias et des communications, je suis bien placé pour comprendre le caractère subjectif des médias contemporains. Il est très facile de faire parler n'importe qui lors du montage d'un reportage en studio, grâce à un habile "couper-coller".

Les images de nous que nous avons vues dans le reportage tirées d'un vidéo étudiant amateur de l'UQAM sont très drôles et surtout complètement hors contexte. Par exemple, lorsque mon associé parle à la caméra... il manque tout le début de son discours ! Mais le plus drôle, c'est qu'on peut me voir hocher la tête dans mon salon... alors que celui-ci parle dans nos bureaux à l'autre bout du bâtiment !

Alors, que le tournage du vidéo des étudiantes en questions allait bon train, nous avions débusqué ces dernières en train de chercher à faire une sorte de reportage controverse contre le Mont Radar. Sachant que notre petite chicane de voisin s'en allait fort probablement en cour, nous avions alors contacté le professeur de ces dernières, M. Martin Labbé, afin de lui demander d'arrêter le processus. Ce professeur et responsable du cours en communication profil télévision à l'UQAM nous avait alors certifié que le reportage ne serait pas diffusé.

Je pourrais continuer de la sorte et démonter l'ensemble du reportage en exposant les preuves qui nous opposent à nos détracteurs, ce que j'ai fait auprès de Jacques Taschereau (réalisateur), d'André de Sève, (producteur) et de Julie Miville Dechênes (l'ombudsman de Radio-Canada). Mais puisque cette affaire est présentement devant les tribunaux, je préfère laisser le processus suivre son cours et ne pas entrer dans des détails qui pourraient porter outrage au tribunal.

En ce moment, nous demandons à Radio-Canada (ou à tout autre média s'intéressant de près ou de loin aux projets du genre) d'avoir notre droit de réplique médiatique afin d'être en mesure de rétablir les faits.

Depuis notre ouverture en 2006, nous avons fait l'objet d'une trentaine d'excellents reportages (notamment dans L'actualité, Le Soleil, Le Courrier international, Le Figaro, Radio-Canada radio et télé, etc.) qui ont permis de faire avancer la cause des villages écologiques en favorisant une meilleure compréhension du public.

Or, nous sommes bien placés aujourd'hui pour savoir que les médias sont des armes à deux tranchants. Parfois, il ne faut qu'un seul reportage de 11 minutes 53 secondes sur deux clients insatisfaits, pour remettre en doute dans l'opinion publique l'ensemble de notre initiative... qui constitue des efforts échelonnés sur une dizaine d'années de bénévolat !

N'en déplaise à nos détracteurs, je persiste et signe en vous invitant à vous informer de la suite de notre projet au Mont Radar sur notre site Web (www.ledar.org) ou encore à lire la revue Aube, le recueil de solutions écologiques (www.laplumedefeu.com). Ainsi vous pourrez tout connaître sur la suite de notre expérience unique d'un véritable village écologique en sol québecois.

Pour ma part, je ne m'en fais pas trop avec ce genre de reportage... je garde espoir en la capacité de discernement du public en général...

Philippe Laramée

XXXXX

pZZZZZZZZg

Modifié par ZEMIDA
Vos données personnelles ne doivent pas apparaître sur ce forum, merci.
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Houpelaï. Rectification, la famille en question avait fait construire dans un écoquartier à Saint-Mathieu-du-Parc (Mauricie), le promoteur était les habitations Apex.

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  • Habitués

ah les journalistes c'est toujours leurs fautes jamais un fond de vérité ...!!!! celà étant vu que vous êtes un spécialiste des médias jamais un train arrivé à l'heure n'a fait la une ...

:innocent:

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Bah... sur 15 clients satisfaits, 2 ne le sont pas. Malgré le fait que l'ensemble des actuels propriétaires ont voulu parler à la caméra, le journaliste n'a pas voulu prendre leurs témoignages NI le nôtre ! Celui-ci n'a fait que relater un côté de la médaille.

J'ai passé plus de 50 heures avec le journaliste et je lui es montré l'ensemble des preuves et des contrats. Mais celui-ci n'a pris que la version qu'il favorisait un reportage à sensation.

Je travaille en ce moment pour avoir notre droit de réplique dans les médias... si quelqu'uns à des contacts (en passant)

Et en passant pour les Habitations APEX, c'est la même chose: 2 clients insatisfaits sur plus de 10 années de travail... après le reportage, la Coopérative à fait faillite... un reportage de 10 min. qui détruit une dizaine de famille et une dizaine d'années de travail. Trop con...

Et l'avenir de l'Écoquartier de Feuilles en Aiguilles (ceux-ci étaient les promoteurs) ???

Pour ma part, ça fait 9 années que je travaille bénévolement sur ce projet. Les personnes qui s'intéressent réellement au projet d'écovillage peuvent me contacter via notre site Internet. Après avoir expérimenté plusieurs avenues dans ce domaine, je suis maintenant une référence sur ce qu'il faut faire... et surtout NE PAS FAIRE pour éviter d'attirer les MAUVAISES personnes dans ce genre de projet.

Essais et erreurs :)

Et en passant, notre catégories de projet se situe dans une classe à part (nous avons 100 terrains à vendre) Nous ne sommes donc pas un écohameau (ou une communauté) mais un projet ayant la possibilité d'accueillir véritablement des dizaines de familles dans un bon voisinage écologique.

Philippe Laramée... pour le Village écologique du Mont Ste-Marguerite

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Bah... sur 15 clients satisfaits, 2 ne le sont pas. Malgré le fait que l'ensemble des actuels propriétaires ont voulu parler à la caméra, le journaliste n'a pas voulu prendre leurs témoignages NI le nôtre ! Celui-ci n'a fait que relater un côté de la médaille.

Pour ma part, ça fait 9 années que je travaille bénévolement sur ce projet. Les personnes qui s'intéressent réellement au projet d'écovillage peuvent me contacter via notre site Internet. Après avoir expérimenté plusieurs avenues dans ce domaine, je suis maintenant une référence sur ce qu'il faut faire... et surtout NE PAS FAIRE pour éviter d'attirer les MAUVAISES personnes dans ce genre de projet.

Essais et erreurs :)

Et en passant, notre catégories de projet se situe dans une classe à part (nous avons 100 terrains à vendre) Nous ne sommes donc pas un écohameau (ou une communauté) mais un projet ayant la possibilité d'accueillir véritablement des dizaines de familles dans un bon voisinage écologique.

Philippe Laramée... pour le Village écologique du Mont Ste-Marguerite

Bonjour,

Je me dois de répondre car cette réponse comporte des informations trompeuses.

L'ombudsman de la télévision de Radio-Canada a reçu et examiné une plainte provenant des promoteurs du Mont Radar quant à la qualité du reportage de La Facture (émission de protection du consomateur).

Le rapport de l'ombudsman est disponible à l'adresse suivante : http://www.radio-can...n-MontRadar.pdf

On peut y lire (le surlignage est de moi)

" J'ai conclu que le reportage de La facture est équitable. Il respecte également les autres normes journalistiques de Radio-Canada" p.1

"Une dizaine de terrains (dont trois au même propriétaire) auraient été vendus selon Philippe Laramée." [...] "L'équipe de Radio-Canada a parlé et/ou interviewé 5 clients ou ex-partenaire insatisfaits même si elle n'a mis que 2 entrevues en ondes. Si seulement 10 terrains ont été vendus à 8 acheteurs, cela signifie que le bassin de clients est petit et donc que le mécontentement est significatif. " p.6

"Il est incontestable que le projet d'écovillage n'a pas marché. Ce projet était défini par écrit à l'origine comme « une microsociété pouvant accueillir une cinquantaine de familles où chacune d'elles possédera son propre terrain et/ou l'ensemble de la communauté possédera les espaces communautaires ». Or, rien de tout cela n'a fonctionné. Une dizaine de terrains (dont trois au même propriétaire) auraient été vendus selon Philippe Laramée. Ces acheteurs ne possèdent pas d'espaces communautaires, l'écovillage a même changé de nom et s'appelle un « domaine écologique »."

Voilà, si vous avez encore des doutes sur la contreverse entourant le projet du Mont Radar vous pouvez lire le document complet.

Il s'agit toutefois d'un cas isolé au Québec mais qui fait malheureusement couler beaucoup d'encre.

Modifié par JosephR
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