Nassarlink Posté(e) 16 mai 2009 Posté(e) 16 mai 2009 J'ai décidé de la stabilité au QuébecMaisJ'ai lu que il ya beaucoup de problèmes au Québec Surtout dans la ville de QuébecTels que le taux de chômage élevéEt le racisme envers les étrangersLorsque le travail est limité au QuébecoisJe suis en grand besoin de votre aideCroyez-vous cette information?Merci beaucoup pour votre aide Citer
Habitués username Posté(e) 16 mai 2009 Habitués Posté(e) 16 mai 2009 J'ai décidé de la stabilité au QuébecMaisJ'ai lu que il ya beaucoup de problèmes au Québec Surtout dans la ville de QuébecTels que le taux de chômage élevéEt le racisme envers les étrangersLorsque le travail est limité au QuébecoisJe suis en grand besoin de votre aideCroyez-vous cette information?Merci beaucoup pour votre aideoui il y a tellement de problèmes que je te conseille de ne pas venir et rester in mansoura.mais si tu penses être du genre à survivre à tous ses problèmes alors tu peux tanter ta chance et venir vivre une expérience.personne ne peut décider pour toi. Citer
Habitués smdich Posté(e) 16 mai 2009 Habitués Posté(e) 16 mai 2009 J'ai décidé de la stabilité au QuébecMaisJ'ai lu que il ya beaucoup de problèmes au Québec Surtout dans la ville de QuébecTels que le taux de chômage élevéEt le racisme envers les étrangersLorsque le travail est limité au QuébecoisJe suis en grand besoin de votre aideCroyez-vous cette information?Merci beaucoup pour votre aideIl y a des histoires de toutes pièces que tu peux lire ici et là. Qui ne tente rien n'aura jamais rien. A ta place je vérifierai ces informations moi même.Bonne chanceCiao Citer
Nassarlink Posté(e) 16 mai 2009 Auteur Posté(e) 16 mai 2009 (modifié) J'ai décidé de la stabilité au QuébecMaisJ'ai lu que il ya beaucoup de problèmes au Québec Surtout dans la ville de QuébecTels que le taux de chômage élevéEt le racisme envers les étrangersLorsque le travail est limité au QuébecoisJe suis en grand besoin de votre aideCroyez-vous cette information?Merci beaucoup pour votre aideoui il y a tellement de problèmes que je te conseille de ne pas venir et rester in mansoura.mais si tu penses être du genre à survivre à tous ses problèmes alors tu peux tanter ta chance et venir vivre une expérience.personne ne peut décider pour toi.Vous avez raison personne ne peut décider pour moiMais je veux savoir la vérité Modifié 16 mai 2009 par Nassarlink Citer
Nassarlink Posté(e) 16 mai 2009 Auteur Posté(e) 16 mai 2009 J'ai décidé de la stabilité au QuébecMaisJ'ai lu que il ya beaucoup de problèmes au Québec Surtout dans la ville de QuébecTels que le taux de chômage élevéEt le racisme envers les étrangersLorsque le travail est limité au QuébecoisJe suis en grand besoin de votre aideCroyez-vous cette information?Merci beaucoup pour votre aideIl y a des histoires de toutes pièces que tu peux lire ici et là. Qui ne tente rien n'aura jamais rien. A ta place je vérifierai ces informations moi même.Bonne chanceCiaoMerci beaucoup Je vous attend Citer
Habitués grizzli Posté(e) 16 mai 2009 Habitués Posté(e) 16 mai 2009 comme disait Albert: "tout est relatif" Citer
Nassarlink Posté(e) 16 mai 2009 Auteur Posté(e) 16 mai 2009 comme disait Albert: "tout est relatif" Oui, c'est vrai Mais il existe des constantes Je veux dire, il y mai être une caractéristique de l'ensemble de la société Citer
mariiem Posté(e) 16 mai 2009 Posté(e) 16 mai 2009 comme disait Albert: "tout est relatif" Oui, c'est vrai Mais il existe des constantes Je veux dire, il y mai être une caractéristique de l'ensemble de la sociétéhonnêtement je suis québéçoise et je vis au quebec depuis toujours sur la rive sud de montréal et franchement il fait bon de vivre ici c'est la terre d'acceuil de millions d'immigrant et je suis fière de cette réalité je sais pas qui t'a renseigné sur le québec mais surment pas quelqu'un qui y vit ! Le québec c'est coloré et oui il y a des changes d'avancement pour le travail et ça partout au Canada ou l'économie est la raison de vivre ! Au delà de tout ça tu seras bien reçu au Québec et ont dit que les québéçois sont chaleureux . xx bienvenu xx et bon courage dans tes démarche xx Citer
Habitués Sarkos Posté(e) 16 mai 2009 Habitués Posté(e) 16 mai 2009 J'ai décidé de la stabilité au QuébecMaisJ'ai lu que il ya beaucoup de problèmes au Québec Surtout dans la ville de QuébecTels que le taux de chômage élevéEt le racisme envers les étrangersLorsque le travail est limité au QuébecoisJe suis en grand besoin de votre aideCroyez-vous cette information?Merci beaucoup pour votre aideTu as vu la dernière à Québec? Ils sont allés chercher 200 Birmans. 200 réfugiés birmans en pleine ville. Le gouvernement leur a payé le voyage, l'appart et l'équipement de base. En plus de la formation. Le gros lotSi tu es patient peut-etre que la prochaine fois ce sera le tour de l'Égypte Citer
Invité Posté(e) 16 mai 2009 Posté(e) 16 mai 2009 NassarlinkInutile d'écrire en lettres géantes.On te lira aussi bien en caractères « taille 1 » Citer
Nassarlink Posté(e) 16 mai 2009 Auteur Posté(e) 16 mai 2009 NassarlinkInutile d'écrire en lettres géantes.On te lira aussi bien en caractères « taille 1 »Je suis désolé pour ce Citer
Habitués Sarkos Posté(e) 16 mai 2009 Habitués Posté(e) 16 mai 2009 ce que l'article ne dit pas c'est que tout ça est payé par les contribuables québécois à un cout phénoménal (un réfugié coute au moins 50k juste pour l'accueil)Alors du fond de ton Egypte tu peux toujours déconner sur la misère au Québec...http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actual...-au-paradis.php Marc AllardLe Soleil (Québec) En arrivant à Québec par une froide et pluvieuse semaine de la mi-novembre, Mohammed Shofi ne savait pas vraiment à quoi s'attendre, sauf au paradis.Six mois plus tard, le temps est devenu plus clément et le jeune réfugié birman de 19 ans au corps frêle et au regard candide habite un petit quatre et demi au troisième étage d'un immeuble de logements anonyme de Vanier.Son frère de 41 ans dort avec sa femme de 38 ans dans une chambre. Les trois enfants de ces derniers couchent chacun dans leur lit, cordés dans la chambre voisine à côté de celui de leur grand-mère de 58 ans. Mohammed, lui, roupille dans son lit simple à côté de la table de cuisine usagée.Dans ce qui reste de salon, un divan dont le coussin d'appui n'est pas recouvert repose à deux pas d'un fauteuil obsolète. Du petit balcon, on peut apercevoir un grand terrain vert, les tours avoisinantes et l'inévitable grisaille du quartier. La vie au camp de réfugiésEst-ce bien ça, le paradis?Avec l'aide de son neveu, Ali Ayoub Khan, 15 ans, Mohammed allume son vieil ordinateur. Il clique sur une vidéo amateur prise au camp de réfugiés bangladais où il est arrivé à l'âge d'un an, après que les musulmans eurent été chassés de Buthidaung, sa ville natale en Birmanie, par la junte militaire qui est toujours au pouvoir.La caméra tremblante se promène dans ce camp planté au milieu de la jungle, au hasard des allées en terre battue, des caniveaux et des cours d'eau insalubres. Le taudis où habitait la famille de Mohammed était comme les autres, rudimentaire, bâti de quelques bouts de bois, avec un toit recouvert de feuillage et d'une bâche trouée pour la pluie.Tout le monde sommeillait par terre sur un plancher de bambou. «C'était difficile de dormir, parce qu'on était très serrés, on n'avait pas de place pour s'allonger», décrit le jeune homme en anglais, une langue qu'il a apprise au camp grâce au personnel des Nations unies.Aux yeux des 79 réfugiés birmans que la capitale a accueillis en novembre et des quelque 120 autres Rohingyas qui sont arrivés dans les mois qui ont suivi, même Vanier est une sorte d'eldorado. Un énorme fossé sépare leurs conditions de vie au camp de réfugiés et au Québec. Aux yeux des Québécois, ils vivent peut-être dans une certaine pauvreté. Mais Mohammed et sa famille ne songeraient pas une seconde à se plaindre.«Ici, on est tellement mieux que là-bas», dit son frère quadragénaire, Ali Johar. «On ne peut même pas comparer.»Dominique Lachance est un peu moins flegmatique. Cette vigoureuse femme de 47 ans, aux yeux bleu clair et aux sourcils grisonnants, est intervenante au Centre multiethnique de Québec et veille sur les Birmans depuis leur arrivée.Avec le soutien de ses collègues du CMQ, du ministère de l'Immigration et d'un tas d'organismes, elle accompagne tous ces réfugiés qui ne parlent pas français lorsqu'ils s'installent dans la capitale. Elle voit à ce qu'ils trouvent un logement malgré les réserves de plusieurs propriétaires qui ne veulent pas de familles immigrantes ou nombreuses; s'assure qu'ils puissent payer bouffe, vêtements, transport, hydro, téléphone; fait les démarches pour qu'ils reçoivent des soins de santé et pour qu'ils apprennent le français.Son téléphone cellulaire n'arrête pas de sonner, son bureau est encombré de paperasse administrative, des visiteurs de toutes les nationalités entrent constamment dans son bureau. Mais elle aime travailler avec les réfugiés. «Je les admire beaucoup, dit-elle, ce sont des survivants, ces gens-là.»Au camp au Bangladesh, Mohammed et sa famille ne mangeaient pas plus que deux repas par jour. Au menu, c'était toujours des céréales et des légumineuses, presque jamais de fruits, de légumes, de viande ou de poisson. Ici, la famille de Mohammed mange tout ce dont elle était privée et remplit ses armoires et son réfrigérateur de produits achetés à l'épicerie asiatique et de viande halal. Elle déjeune, dîne, soupe et mange des biscuits Goglus pour la collation.Il y a trois ans, le père de Mohammed est mort d'une crise d'asthme au camp de réfugiés. S'il avait immigré au Québec, il aurait sans doute survécu, croit son fils. Depuis leur arrivée dans la capitale, les réfugiés birmans sont soignés à temps. Ils sont d'abord examinés à la Clinique de santé des immigrants réfugiés, au CLSC Sainte-Foy, puis répartis dans les services appropriés.Marie-Hélène Domingue, qui est infirmière à cette clinique pour réfugiés, adore faire les tests de dépistage avec eux, même si elle doit toujours être accompagnée d'un interprète. «Ils sont très heureux de pouvoir voir une infirmière et un médecin, dit-elle. Ils te disent merci à la fin. On ne les entend jamais chialer.» Mais avant la satisfaction des besoins élémentaires, c'est le sentiment de sécurité et de liberté qui semble combler les réfugiés birmans ici. Au Bangladesh, raconte Mohammed, il était impossible de sortir du camp, même pour aller faire son marché, sans se faire tabasser par la population locale. «Ils nous disaient : ?Tu ne viens pas d'ici, salopard, va-t'en!? Et ils nous battaient.»À Québec, malgré la couleur de leur peau, la barrière de la langue, les réfugiés birmans ont l'impression d'être accueillis peu importe leur nationalité ou leur religion. Ils aiment la sensation de marcher librement dans la rue, sans craindre d'être frappés. Pourtant, quand on les rencontre, les réfugiés n'ont pas l'air de sauter de joie. Sur les photos, ils sourient timidement et ne rigolent pas, comme s'ils ne parvenaient pas à s'extirper de la souffrance du passé.Matériellement, ils vont certainement beaucoup mieux, convient Dominique Lachance. Mais il manque à leur bonheur ce que le Québec pourra difficilement leur apporter : le sentiment d'être reconnu dans son pays d'origine et celui d'avoir toute sa famille près de soi.«On se sent impuissants par rapport à ça, dit Mme Lachance. Il y a des choses qui peuvent être faites, qui vont se résorber avec le temps. Mais il va toujours rester des histoires sans fin.» Comme la famille de Mohammed, la plupart des Birmans qui sont arrivés à Québec ont laissé derrière eux une partie des leurs au camp de réfugié au Bangladesh ou en Thaïlande. D'autres réfugiés birmans ont aussi trouvé l'asile dans d'autres pays occidentaux, comme l'Australie, le Royaume-Uni et la Nouvelle-Zélande.À Vanier, sept familles birmanes habitent dans les immeubles près de chez Mohammed. Les enfants peuvent jouer ensemble et les adultes peuvent discuter entre eux. Le téléphone n'arrête pas de sonner à l'appartement de Mohammed.Apprendre le françaisAu rythme où il apprend, le jeune homme de 19 ans sera bientôt capable de converser en français. Depuis trois mois, lui, son frère de 41 ans, et les deux garçons de celui-ci (15 ans et neuf ans), et sa fille (11 ans) s'initient à la langue du Québec. Mohammed, qui a déjà des notions d'anglais, apprend le plus vite. Il se débrouille déjà pas mal et commence à prendre l'accent québécois. C'est loin d'être le cas de tous les Birmans. Au moins la moitié sont encore dans la «période d'installation» et n'ont pas encore commencé la «francisation», une étape parfois longue à atteindre, tant les premiers pas peuvent être difficiles, souligne Mme Lachance.Dans quelques années, quand il maîtrisera la langue française et aura terminé ses études, Mohammed aimerait devenir intervenant au Centre multiethnique comme Dominique Lachance et accueillir les Birmans, les Congolais, les Colombiens. «Je pense que je pourrais bien comprendre les réfugiés, dit-il. Moi aussi, je vais être passé par là.» Citer
Habitués sarbacan Posté(e) 16 mai 2009 Habitués Posté(e) 16 mai 2009 J'ai décidé de la stabilité au QuébecMaisJ'ai lu que il ya beaucoup de problèmes au Québec Surtout dans la ville de QuébecTels que le taux de chômage élevéEt le racisme envers les étrangersLorsque le travail est limité au QuébecoisJe suis en grand besoin de votre aideCroyez-vous cette information?Merci beaucoup pour votre aideMais si tu es anglophone pourquoi tu ne vas pas plutot en Ontario?c'est plus interessant au niveau boulot ,il y a moins de racisme ! Citer
Habitués Sarkos Posté(e) 16 mai 2009 Habitués Posté(e) 16 mai 2009 http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actual...-immigrants.phpQuébec, ville ouverte selon des immigrantsTaille du texte Imprimer Envoyer Votre nom .»Daphnée Dion-ViensLe Soleil (Québec) Telki Sanabria avait 13 ans lorsque sa vie a basculé. En pleine nuit, lui et ses trois soeurs se font réveiller par leur père, qui leur demande de le suivre sans faire de bruit. Des militaires colombiens sont à leurs trousses. Les activités de son père, qui travaille pour un organisme humanitaire venant en aide aux autochtones, leur causent des problèmes. Ils ont tout juste le temps de s'enfuir de la maison avant que les soldats ne s'y engouffrent. Pendant huit mois, la famille Sanabria vivra en cavale, se déplaçant de ville en ville pour semer les militaires. Jusqu'au jour où Telki apprend qu'il partira vivre au Canada, où sa famille aura le statut de réfugié. «Quand je suis arrivé ici, j'avais des sentiments partagés. J'étais content d'être dans un pays en paix, de ne plus avoir peur. Mais quand tu réalises que ce n'est pas qu'un petit voyage, que tu dois apprendre une nouvelle langue, se faire de nouveaux amis, ça devient différent.»Aujourd'hui, Telki a 19 ans et il commencera l'automne prochain une technique en travail social au Cégep de Sainte-Foy. Il affirme qu'il n'a jamais vraiment vécu de racisme, depuis son arrivée à Québec. «Souvent, il s'agit plus d'un manque de connaissance des autres cultures. Parfois, dans des régions comme au Lac-Saint-Jean ou en Gaspésie, les gens connaissent les immigrants surtout par ce qu'ils voient à la télé. Et les médias exagèrent parfois. L'important, c'est de créer des espaces où les gens peuvent se parler.»Même son de cloche hier de la part des autres participants à un débat sur l'intégration des jeunes immigrants dans la capitale, dans le cadre d'un forum réunissant près de 600 personnes. «Ce sont beaucoup plus nos parents qui ont vécu le racisme. Nous, pas autant, affirme Isaac Imanishimwe, 18 ans, d'origine rwandaise. Dans le milieu scolaire, il n'y a pas beaucoup de racisme. Il y en a plus dans le milieu du travail.»L'adaptation est d'ailleurs souvent plus difficile pour les parents que pour les enfants, souligne Diana, une élève de cinquième secondaire qui est née au Kenya. «Nous, on a l'école, on essaie de voir les bons côtés. Les parents ont la responsabilité de devoir tout recommencer à zéro.»Ce qu'ils ont trouvé le plus difficile en arrivant, c'est d'apprendre la langue. Et ce dont Diana s'ennuie plus que tout, c'est la chaleur humaine. «Ici, les gens sont souvent déconnectés de leur famille, ils pensent beaucoup à leur travail, ils sont très occupés... La chaleur humaine, c'est vraiment ce qui me manque le plus.» Citer
Nassarlink Posté(e) 16 mai 2009 Auteur Posté(e) 16 mai 2009 Excusez-moi, ne comprend pas cette phraseAlors du fond de ton Egypte tu peux toujours déconner sur la misère au Québec...Je demande, afin de comprendre J'ai écouté les vues du Québec par autr Citer
Habitués Sarkos Posté(e) 16 mai 2009 Habitués Posté(e) 16 mai 2009 Excusez-moi, ne comprend pas cette phraseAlors du fond de ton Egypte tu peux toujours déconner sur la misère au Québec...Je demande, afin de comprendre J'ai écouté les vues du Québec par autrTu devrais te relire avant d'envoyer parce que ton premier message était ÉNORME, voire insultantOn ne badine avec certains mots, comme racisme entre autre.Le taux de chomage à Québec est de 4%, soit le plein emploiLe travail n'est pas limité aux QuébécoisetcBref, avant d'écrire autant de conneries, informe-toi.MaisJ'ai lu que il ya beaucoup de problèmes au Québec Surtout dans la ville de QuébecTels que le taux de chômage élevéEt le racisme envers les étrangersLorsque le travail est limité au Québecois Citer
Nassarlink Posté(e) 17 mai 2009 Auteur Posté(e) 17 mai 2009 comme disait Albert: "tout est relatif" Oui, c'est vrai Mais il existe des constantes Je veux dire, il y mai être une caractéristique de l'ensemble de la sociétéhonnêtement je suis québéçoise et je vis au quebec depuis toujours sur la rive sud de montréal et franchement il fait bon de vivre ici c'est la terre d'acceuil de millions d'immigrant et je suis fière de cette réalité je sais pas qui t'a renseigné sur le québec mais surment pas quelqu'un qui y vit ! Le québec c'est coloré et oui il y a des changes d'avancement pour le travail et ça partout au Canada ou l'économie est la raison de vivre ! Au delà de tout ça tu seras bien reçu au Québec et ont dit que les québéçois sont chaleureux . xx bienvenu xx et bon courage dans tes démarche xxMerci beaucoup pour cette bonne impression Citer
Nassarlink Posté(e) 17 mai 2009 Auteur Posté(e) 17 mai 2009 Tu devrais te relire avant d'envoyer parce que ton premier message était ÉNORME, voire insultantOn ne badine avec certains mots, comme racisme entre autre.Le taux de chomage à Québec est de 4%, soit le plein emploiLe travail n'est pas limité aux QuébécoisetcBref, avant d'écrire autant de conneries, informe-toi.MaisJ'ai lu que il ya beaucoup de problèmes au Québec Surtout dans la ville de QuébecTels que le taux de chômage élevéEt le racisme envers les étrangersLorsque le travail est limité au QuébecoisExcuse-moi Je n'ai pas réussi à exprimermaisJ'ai choisi le Québec Parce qu'il est l'un des meilleurs pays dans le monde Citer
Habitués E-Logisticien Posté(e) 17 mai 2009 Habitués Posté(e) 17 mai 2009 Tu devrais te relire avant d'envoyer parce que ton premier message était ÉNORME, voire insultantOn ne badine avec certains mots, comme racisme entre autre.Le taux de chomage à Québec est de 4%, soit le plein emploiLe travail n'est pas limité aux QuébécoisetcBref, avant d'écrire autant de conneries, informe-toi.MaisJ'ai lu que il ya beaucoup de problèmes au Québec Surtout dans la ville de QuébecTels que le taux de chômage élevéEt le racisme envers les étrangersLorsque le travail est limité au QuébecoisExcuse-moi Je n'ai pas réussi à exprimermaisJ'ai choisi le Québec Parce qu'il est l'un des meilleurs pays dans le mondeMon frère le Quebec n'est pas un pays mais une province Canadienne, je ne sais si tu t'exprimes mieux en français qu'en anglais car dès le debut de tes posts j'ai du mal à te comprendre.A toi de decider, avec quelle langue es tu à l'aise ? le français ou l'anglais ? si c'est le français il te faut encore des cours de perfectionnement pour trouver ta place au Quebec, personne ne decideras à ta place ! Citer
Habitués _Guépard_ Posté(e) 17 mai 2009 Habitués Posté(e) 17 mai 2009 (modifié) sarbacan Mais si tu es anglophone pourquoi tu ne vas pas plutot en Ontario?c'est plus interessant au niveau boulot ,il y a moins de racisme ! Ça c'est totalement mensonger. Le taux de chômage en Ontario est maintenant plus élevé en Ontario qu'au Québec... et avec les milliers d'emplois qui risquent de se perdent dans le secteur de l'automobile en Ontario bientôt , la situation risque de s'aggraver encore... tant qu'au niveau de racisme, il y en a dans toutes les provinces candiennes, bref c'est pas malin de vouloir induire un autre forumiste en erreur... Modifié 17 mai 2009 par _Guépard_ Citer
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