La table est mise par O'hana

[Laurent]

Notre chroniqueur de Sherbrooke vient de nous donner son dernier billet de l'année.

À lire en page d'accueil.

[jimmy]

La ligne de défense du gouvernement québécois est que le maintien de la loi 104 permet datténuer lattraction de langlais considérant la situation du Québec dans lensemble nord-américain anglophone. Justifiée ou non, cette inquiétude fût toujours présente à lesprit du gouvernement québécois dans lhistoire récente

...et pour ajouter du piquant a la chose, la toute nouvelle ministre de la justice du Québec (donc la patronne des avocats qui défendent le Québec) nommé par John Charest a été conseillère juridique d'Alliance Québec (groupe de pression anglophone qui a toujours lutté pour l'abolition de la loi 101) durant plusieurs années

jimmy

[Lleo]

Merci de cette chronique et d'attirer l'attention sur la question de la loi 104.

Or, je n'ai pas compris pourquoi la récente petite crise dunité nationale dHarper semble avoir clairement montré que les clivages linguistiques du passé ne sont vraiment pas très loin en dessous de la surface du statu quo actuel?

Il me semble qu'on a clairement montré que les deux palliers de gouvernement sont pour la loi 104.

Harper a joué la carte nationaliste parce qu'il n'avait pas d'autres cartes.

[Jean_Bernard]

Et nous voila encore en cours suprême ! !

Ce genre de comportement me répugne au plus haut point. Ces gens, qu'ils soient francophones ou

nouveaux arrivants, se croient au dessus de la loi (101) parce qu'ils ont les moyens financiers d'envoyer un de leurs

enfants faire une ou deux années d'étude dans une école anglophone non subventionnée et, ainsi ,mériter

pour ses frères et soeurs et leurs descendants le droit de poursuivre leurs études dans le système scolaire des

Anglophones de souche.

Un traitement pour les riches et un pour les pauvres.

Jean-Bernard