Invité Posté(e) 19 janvier 2004 Posté(e) 19 janvier 2004 salut a tous, désolé pour cette abscence mais j'ai eu tellement de choses a faire en decembre suivis de 17 jours en vacances a Montréal que je me suis fais assez rare sur le forum.... J'ai envoyé un poste voilà un ou deux jours mais je pense que j'ai du faire une mauvaise manip car il n'apparait pas A Montréal ma femme et moi avons pu nous renseigner pour savoir si elle pouvait exercer au Québec, chose que nous avions fait par telephone avant de partir en vacances et j'en avais meme parlé dans un post. Mais là ! Là on en sait bien plus....Le BTS diététique correspond au Québéc au diplôme de technicien en diététique, pour pouvoir exercer au Québec ma femme doit faire encore 3 annees d'etudes pour obtenir son bacalaureat en dietetique....... Enfin voilà, il faut que toutes les personnes dont le metier qu'ils exercent en france et qui est regis par un ordre au Québec doivent s'attendre a devoir reprendre des etudes s'ils veulent travailler encore dans le meme domaine, je dis ca surtout pour toutes les personnes n'ayant pas encore accedé au CSQ car l'orsqu'on retire le CSQ on nous le dit bien.Voilà, celà dit nous avons passé d'exellentes vacances entre Montréal, St Sauveur et Sherbrooke, un bien beau pays qui ne nous a pour l'instant pas decourage,Nicolas Citer
O'Hana Posté(e) 19 janvier 2004 Posté(e) 19 janvier 2004 La difficulté - ou l'une d'entre elles - d'immigrer au Québec est que l'on vient s'installer dans ce qui est en quelque sorte un "pays dans un pays" (concept du Québec comme société distincte).Cela veut dire que pour exercer une grande partie des professions au Québec, il est exigé d'avoir une formation "québéco-québécoise" : même les formations ontariennes toutes proches ou des autres provinces canadiennes ont de la difficulté à être reconnues au Québec, alors celles hors Canada ... D'où la nécessité de faire des équivalences, voire un retour aux études ou tout simplement une réorientation de carrière devant cette particularité fortement défendue par les ordres professionnels notamment. Je ne crois pas qu'on retrouve autant cette difficulté ou plutôt cette nécessité de reconnaissance de diplôme en immigrant dans d'autres pays. Je m'interroge souvent sur la pertinence de cette nécessité tant il y a de professions dont les compétences sont facilement transférables d'un pays à un autre, d'autant plus que cette nécessité est souvent à double-sens : décider et faire un retour aux études au Québec permet certes une plus grande facilité à intégrer ensuite le marché québécois mais hors Québec, difficile de faire reconnaître son diplôme : parlez-en aux enseignants par exemple ...Les joies de la confédération O'Hana Citer
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.