Habitués petiboudange Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 Wooooow ... Pardon je revis mon cours de Neurophysio de Licence 2 (Deug 2) avec Lachtite... D'ailleurs j,avais conclu cette année là que mon aire de Broca était définitivement inexistante Citer
Habitués Lachtite Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 mon aire de Broca était définitivement inexistante C'est affirmation est proprement impossible, on a tous une aire de broca!!! d'ailleurs dans certains cas d'amnesie, les connections entre l'aire de broca principale et le reste du cerveau peuvent "s'effacer" et alors tu peux avoir une personne amnesique qui a oublié sa langue maternelle.. complétement oubliée; ça doit être horrible, surtt qd tu te souviens de tt le reste!! et qd tu te souviens que tu parlais cette langue!!! j'ai pas les bons termes techniques mais je suis pas neurobiologiste non plus ) Citer
Habitués grizzli Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 Wooooow ... Pardon je revis mon cours de Neurophysio de Licence 2 (Deug 2) avec Lachtite... D'ailleurs j,avais conclu cette année là que mon aire de Broca était définitivement inexistante moi c'est mon aire de Broca germanophe qui est rester pret de la fenetre a coté du radiateur Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 Ben puisque je suis obligée d'avoir une aire de Broca je dis pareil que Grizzly!Broca en allemand, ça se dit pas comme rien d'ailleurs. En latin non plus. En italien un peu et en japonais ça commence. Mais mes aires de broca sont miniscules et jamais finies... Eh oui je suis une pas finie Citer
Habitués Lachtite Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 Vou voulez dire Grizzly et Petiboudange que vous êtes des brocahypotrophiés ?? à moins que vous ne soyez des hypobrocatrophiés??? je suis en train de révolutionner la neurobiologie sur ce forum à 22h57 heure de l'Est... Wahouhhhhhhh... je vais faire de vous des stars!!!!! (et moi-même par la même occasion!!!!) Mais quelle idée j'ai eu de sécher la moitié de mes cours de neurobio et de neuropharmaco!!! Citer
Habitués Gaetan Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 Ta question minterpelle parce que parler anglais était à la fois une motivation (pas la première !) et une crainte dans mon immigration à Montréal. Jai passé mes 4 premières semaines au Québec à prendre des cours danglais !!!! Mais cette crainte nétait pas justifiée car je vis à 99% en français dans cette ville bilingue ! Même dans mon travail. et pourtant, je travaille dans une banque, c'est-à-dire un milieu naturellement anglophone, mais où le bilinguisme est de mise. Jai été très impressionné au début de voir la facilité des employés de se parler dans les deux langues. Mes collègues de travail immédiats étant tout de même presque tous francophones, je parle peu anglais.Après 6 mois de présence ici, mon envie de me perfectionner en anglais est toujours là et je prépare donc un départ de plusieurs mois à Vancouver, je vais tenter dy trouver un travail et de vraiment progresser en anglais, avant de revenir ici. Une immersion totale dans un coin 100% anglophone me semble être la seule véritable solution, et cela me semble impossible à Montréal.Je suis convaincu que je ne progresserai pas vraiment en anglais à Montréal pour deux raisons :- parce que la facilité me pousse à vivre dans un quartier francophone, à lire « La Presse », à allumer la télé en français, à fréquenter des francophones etc- mais l'autre raison est que je suis mal à laise de parler anglais au Québec, même quand il sagit simplement de parler pour progresser un peu Cest mon côté francophone militant ! Jéprouve un malin plaisir à parler systématiquement en français aux commerçants allophones (à tendance anglophone) du centre ville, parce quil me semble que leur parler anglais cest leur envoyer un mauvais message. Il mest aussi arrivé à plusieurs reprises que des anglophones me demandent un renseignement dans la rue et jai toujours répondu en français, ils ont à chaque fois reformulé leur question en français Je fais cela (toujours avec le sourire ) car je considère que cest une insulte faite aux québécois de voir des immigrants venus ici en ne faisant aucun effort en français, alors quil est si simple de sinstaller ailleurs au Canada ou aux Etats-Unis si on veut parler anglais. Jai discuté avec un syrien qui a immigré à Montréal il y a une vingtaine dannées et qui nest pas capable de faire une phrase cohérente en français . Idem pour certains canadiens anglais : jai dû remplir mon bail de location en anglais car le propriétaire, né à Montréal, ne parle pas français Tout ça pour dire quimmigrer au Québec et vivre en anglais (car pour moi cest la meilleure façon dapprendre cette langue) sont deux motivations contradictoires. Et en tant quimmigrant francophone, je me sens mal à laise de demander à mes collègues de me parler en anglais, et encore plus de parler en anglais dans les boutiques du centre-ville. Pour le travail, cest certainement différent car cest souvent une obligation dans le contexte de l'Amérique du Nord, C'est donc le lieu où il est plus facile de progresser en anglais, mais on ne le parle pas autant que je lavais imaginé .... bien sûr, cela dépend du domaine dactivité de chacun Citer
Habitués Caribou Français Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 C'était une motivation de plus mais sans plus vous avoir compris Essentiellement juste pour pouvoir voyager en amérique du nord. Citer
Habitués Sittingbull Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 Jai été très impressionné au début de voir la facilité des employés de se parler dans les deux langues. Mes collègues de travail immédiats étant tout de même presque tous francophones, je parle peu anglais. Et en tant quimmigrant francophone, je me sens mal à laise de demander à mes collègues de me parler en anglais, et encore plus de parler en anglais dans les boutiques du centre-ville. Pour le travail, cest certainement différent car cest souvent une obligation dans le contexte de l'Amérique du Nord, C'est donc le lieu où il est plus facile de progresser en anglais, mais on ne le parle pas autant que je lavais imaginé .... bien sûr, cela dépend du domaine dactivité de chacunMais ou apprennent ils donc l'anglais , bon dieu ????Je suis aussi déconcerté quand je vois deux Canadiennes parler une phrase en Francais , une phrase en anglais !! et il est impossible de savoir quelle est la véritable langue maternelle !comme le dit Mr yfr je suis d'accord que cela sert a voyager sur le territoire Américain , donc une motivation supplémentaire Citer
Habitués peanut Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 Cest mon côté francophone militant ! Jéprouve un malin plaisir à parler systématiquement en français aux commerçants allophones (à tendance anglophone) du centre ville, parce quil me semble que leur parler anglais cest leur envoyer un mauvais message. Il mest aussi arrivé à plusieurs reprises que des anglophones me demandent un renseignement dans la rue et jai toujours répondu en français, ils ont à chaque fois reformulé leur question en français Je fais cela (toujours avec le sourire ) car je considère que cest une insulte faite aux québécois de voir des immigrants venus ici en ne faisant aucun effort en français, alors quil est si simple de sinstaller ailleurs au Canada ou aux Etats-Unis si on veut parler anglais. Jai discuté avec un syrien qui a immigré à Montréal il y a une vingtaine dannées et qui nest pas capable de faire une phrase cohérente en français . Idem pour certains canadiens anglais : jai dû remplir mon bail de location en anglais car le propriétaire, né à Montréal, ne parle pas français Tout ça pour dire quimmigrer au Québec et vivre en anglais (car pour moi cest la meilleure façon dapprendre cette langue) sont deux motivations contradictoires. Et en tant quimmigrant francophone, je me sens mal à laise de demander à mes collègues de me parler en anglais, et encore plus de parler en anglais dans les boutiques du centre-ville. Gaetan, je t'aime! C'est tellement rare de lire ce genre de témoignage, surtout venant d'un immigrant qui a compris l'importance du combat pour la langue française! Gaetan for president!!(oups! )peanut Citer
Habitués steph56 Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 mais l'autre raison est que je suis mal à laise de parler anglais au Québec, même quand il sagit simplement de parler pour progresser un peu Le problème vient un peu de notre éducation. A lécole française, les profs nous ont répété quon était nul et donc, on parle maintenant anglais avec un certain complexe. Or, ce nest pas totalement vrai. Oui, on a un accent pas terrible mais si vous appelez parfois à Toronto où il y a énormément dimmigrants, vous verrez quil y a mille façons de prononcer langlais. Et puis, en grammaire anglaise, on se débrouille plutôt bien dune façon générale. Dailleurs, dans des tests dembauche en anglais où il y avait des QCM, je me retrouvais à chaque fois avec une des meilleures notes, même si mon voisin de droite parlait et comprenait mieux langlais que moi.Au Québec, jai surtout appris à mieux comprendre des conversations anglaises (clients ou fournisseurs au téléphone, télévision, cinéma, radio dans lauto, etc).On demande avant tout aux gens de savoir se débrouiller. Par contre, je ne me suis pas améliorée en grammaire. Mes bases de grammaire datent du collège et du lycée et finalement, jen suis pas mal fière. Citer
Habitués felixlechat Posté(e) 14 novembre 2006 Habitués Posté(e) 14 novembre 2006 Mais non, on n'a pas un "accent pas terrible" quand on parle anglais . On a tout simplement un accent, et si l'on veut le qualifier, autant dire qu'il est charmant, comme tous les accents. Le monde serait bien uniforme sans tous nos accents ! Citer
Habitués jeff3d Posté(e) 16 novembre 2006 Habitués Posté(e) 16 novembre 2006 Personnellement apres plus d'1 an et 1/2 ici je lis les journeaux et livres + web qu'en anglais sauf exceptions comme ce forum, je parle francais et anglais mélangé avec ma collegue directe, francais avec ceux environnants et généralement anglais dans les boutiques. Je lis a 80% en anglais au job, on travaille avec les pharmacares de toutes les provinces.Pour mon cas perso je ne ressent aucune honte, c'est juste une langue, si on veut faire du bilinguisme a fond hé bien commencons deja par afficher TOUTES les informations en 2 langues dans le metro (ce qui est TRES loin d'etre le cas) entre autre... Le respect doit etre des 2 bords.Anyway avec mes amis de quebecs je parle qu'en francais, je trouve que c'est beaucoup d'histoire pour simplement un moyen de communication, votre identité reste votre identité.enfin chacun vois comme il l'entend ca me retire pas mon coté francais emigré que je tiens a garder tout en le mélangeant avec la culture environnante... Citer
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