Laurent Posté(e) 27 janvier 2018 Posté(e) 27 janvier 2018 Ma vie d'étudiante à Montréal : Audrey apprécie la douceur de vivre à la québécoise Jean-Marc Engelhard Publié le 26.01.2018 Audrey au belvédère du Mont-Royal, d’où l’on domine Montréal. // © Bertrand Carrière/Agence VU pour l'Etudiant Installée à Montréal pour deux ans, Audrey, étudiante de l’École des mines de Saint-Étienne, a rapidement trouvé ses marques. Parallèlement à ses cours, elle profite de son séjour pour voyager et s'investir dans les activités proposées par l’université. Cet hiver, comme chaque année à Montréal, les températures descendront jusqu’à moins 20 °C ! Une météo quasi polaire qui ne prendra pas en défaut Audrey, étudiante en génie électrique à l’École des mines de Saint-Étienne. Lire aussi : Le palmarès des écoles d'ingénieurs Arrivée à la fin de l’été 2016 pour suivre durant deux ans les cours de maîtrise en génie électrique à Polytechnique Montréal, elle est déjà familiarisée avec la rigueur hivernale de la métropole québécoise… et a eu le temps de s’équiper l’an dernier. "Pour affronter les grands froids, il faut acheter des vêtements chauds sur place. Car ici, les étiquettes mentionnent à quelle température ils sont adaptés !", raconte la future ingénieure de 22 ans. Des loyers abordables Audrey a choisi Montréal car elle souhaitait obtenir un double diplôme dans un établissement étranger renommé, et avait très envie de découvrir le Québec. "La beauté des paysages, le mode de vie plus cool et l’accueil des Québécois m’attiraient", précise Audrey. Dès son arrivée, juste avant la rentrée, elle a d’ailleurs pu se rendre compte à quel point cette réputation n’était pas usurpée. "À la sortie de l’aéroport, il y avait un service d’accueil dédié aux étudiants étrangers, où l’on pouvait se renseigner et même préparer l’ouverture d’un compte bancaire ou d’une ligne téléphonique", se souvient-elle. Les jours suivants, elle a vécu chez des amis, le temps de trouver un logement. "C’est bien plus simple et moins cher que dans les grandes villes françaises. Il y a beaucoup d’offres. J’ai vite trouvé une colocation qui me convenait." Elle a même pu satisfaire tous ses critères : ne pas être loin de l’école, avoir des commerces et une station de métro à proximité. Lire aussi : Ma vie d'étudiante à Kingston : Laura améliore son anglais au Canada C’est si facile de déménager et d’emménager que, cette année, elle a de nouveau changé d’adresse. "Je me suis rapprochée du centre-ville et, surtout, j’ai décidé de m’installer avec trois amis", explique-t-elle. Si les loyers sont meilleur marché, ce n’est pas le cas pour tout. "L’alimentation, les sorties ou l’abonnement à Internet sont plus chers", prévient Audrey. Toujours "down" pour sortir ? Un an et demi après ses premiers pas à l’université de Montréal, elle se rappelle encore très bien son arrivée. "À l’École des mines de Saint-Étienne, il y a 120 étudiants par promotion. Ici, le campus de l’université regroupe environ 8.000 personnes. C’est forcément impressionnant au début." suite et source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecole-ingenieur/ma-vie-d-etudiante-au-canada-a-montreal-audrey-apprecie-le-mode-de-vie-quebecois.html Citer
Audrey au belvédère du Mont-Royal, d’où l’on domine Montréal. // © Bertrand Carrière/Agence VU pour l'Etudiant Installée à Montréal pour deux ans, Audrey, étudiante de l’École des mines de Saint-Étienne, a rapidement trouvé ses marques. Parallèlement à ses cours, elle profite de son séjour pour voyager et s'investir dans les activités proposées par l’université. Cet hiver, comme chaque année à Montréal, les températures descendront jusqu’à moins 20 °C ! Une météo quasi polaire qui ne prendra pas en défaut Audrey, étudiante en génie électrique à l’École des mines de Saint-Étienne. Lire aussi : Le palmarès des écoles d'ingénieurs Arrivée à la fin de l’été 2016 pour suivre durant deux ans les cours de maîtrise en génie électrique à Polytechnique Montréal, elle est déjà familiarisée avec la rigueur hivernale de la métropole québécoise… et a eu le temps de s’équiper l’an dernier. "Pour affronter les grands froids, il faut acheter des vêtements chauds sur place. Car ici, les étiquettes mentionnent à quelle température ils sont adaptés !", raconte la future ingénieure de 22 ans. Des loyers abordables Audrey a choisi Montréal car elle souhaitait obtenir un double diplôme dans un établissement étranger renommé, et avait très envie de découvrir le Québec. "La beauté des paysages, le mode de vie plus cool et l’accueil des Québécois m’attiraient", précise Audrey. Dès son arrivée, juste avant la rentrée, elle a d’ailleurs pu se rendre compte à quel point cette réputation n’était pas usurpée. "À la sortie de l’aéroport, il y avait un service d’accueil dédié aux étudiants étrangers, où l’on pouvait se renseigner et même préparer l’ouverture d’un compte bancaire ou d’une ligne téléphonique", se souvient-elle. Les jours suivants, elle a vécu chez des amis, le temps de trouver un logement. "C’est bien plus simple et moins cher que dans les grandes villes françaises. Il y a beaucoup d’offres. J’ai vite trouvé une colocation qui me convenait." Elle a même pu satisfaire tous ses critères : ne pas être loin de l’école, avoir des commerces et une station de métro à proximité. Lire aussi : Ma vie d'étudiante à Kingston : Laura améliore son anglais au Canada C’est si facile de déménager et d’emménager que, cette année, elle a de nouveau changé d’adresse. "Je me suis rapprochée du centre-ville et, surtout, j’ai décidé de m’installer avec trois amis", explique-t-elle. Si les loyers sont meilleur marché, ce n’est pas le cas pour tout. "L’alimentation, les sorties ou l’abonnement à Internet sont plus chers", prévient Audrey. Toujours "down" pour sortir ? Un an et demi après ses premiers pas à l’université de Montréal, elle se rappelle encore très bien son arrivée. "À l’École des mines de Saint-Étienne, il y a 120 étudiants par promotion. Ici, le campus de l’université regroupe environ 8.000 personnes. C’est forcément impressionnant au début." suite et source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecole-ingenieur/ma-vie-d-etudiante-au-canada-a-montreal-audrey-apprecie-le-mode-de-vie-quebecois.html
Habitués Mark-Beaubien Posté(e) 28 janvier 2018 Habitués Posté(e) 28 janvier 2018 Je ne sais pas, je ne trouve pas l'alimentation beaucoup plus chère ici qu'en Belgique. Tout dépend ce qu'on mange disons... Mais les sorties, oui, c'est clairement plus cher, sauf le resto. Citer
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