L'expatriation n'est pas pour tout le monde par BéatriceMontréal

[immigrer.com]

Notre blogueuse de Montréal nous dresse une liste des attentes et des difficultés avec l'expatriation.

 

À lire en page d'accueil.

 

Bonne lecture!

[Dave et sophie]

Bonjour , bonsoir ,

 

Très bonne analyse, les bonnes questions sont posés à mon avis , pour ma part je suis à 9/10.

De toute façon chaque expérience est différent mais l'essentiel des bonnes questions sont là.

Merci pour le post .

 

[emma1068]

L'expatriation n'est pas pour tout le monde, c'est une évidence. Le Québec/Canada n'est pas pour certains, les Etats-Unis peuvent s'avérer une opportunité pour ces mêmes personnes, comme d'autres pays d'Europe ou d'Asie. On peut ne pas aimer la mentalité nord-américaine, avoir tenté sa chance et finir comme le plus heureux expatrié en Chine ou ailleurs. Par contre, personne n'a à vous dire que l'expatriation n'est pas pour vous. Il n'y a que ceux qui ont tenté leur chance qui gagnent au loto.

[Niklasky]

Beaucoup d'enfoncage de portes ouvertes dans ce billet. Oui l'immigration n'est pas faite pour tout le monde, que ce soit au Quebec ou ailleurs, oui, il faut se preparer a l'avance et oui il faut avoir un peu d'argent de cote.

 

Le facteur de reussite principal dans tout ca, c'est l'envie.

 

 

[Manappalaches]

 

 

Exact Niklasky, si on prend la pire des situations et des décisions. Que dire à ceux qui font leur papiers correctement et "les non choisis" depuis 10 ans avant de partir ?  Et les têtes brûlées qui défoncent l'immigration à grand coups de " je rentre et je reviens" ? 

Un juste milieu doit bien exister.  Le truc simple, c'est de regarder le délais d'attente avant de pouvoir travailler quand on est sur le sol.

 

Je dirais que 40 000 € actuellement n'est pas si faux pour une personne seule. (je parle du loyer et nourriture) en jouant bien, car il faut le rappeler, le droit de résidence permanente ou temporaire ouvre toutes les portes.

L'inverse, tel que on le conçoit en France est compliqué, mais pas forcément impossible pour celui qui veut rester en règle en repartant sans cesse. 

Je m'explique, un bail aide à ouvrir un compte bancaire, une carte de pêche aide à fournir une adresse.  Rien ne remplace un permis de résidence ou de droit à résider, mais il existe quelques manières à être ici, mais sans y vivre.

 

Mon parcours est trop compliqué, mais légal et je ne m'y attarderai pas car ne n'est pas un exemple à suivre.

Je me suis fais presque refoulé par l'immigration en leur prouvant mon intégration avec divers papiers. Justement, trop de papiers sans autorisation officielle prouve que l'on réside en permanence malgré les sorties légales du pays. Montrer sa bonne volonté ne paie pas.

Chaque migrant est un cas particulier, mais j'ai déjà vu un pauvre jeune reprendre l'avion car il avait trop "rêvé" et été trop honnête sans doute en disant qu'il travaillerait pour se sustenter. 

Si l'immigration a un coût moral , le coût financier est plus que réel. Vive le CAD $, il n'est pas cher pour les maudits !!