Domielle Posté(e) 21 octobre 2013 Posté(e) 21 octobre 2013 Bonjour à tous, Je suis candidate à l'immigration, au tout début de mes démarches. Je suis actuellement praticien hospitalier. D'après les textes (et mon établissement l'a récemment appliqué pour un collègue), si je présente ma démission avec le préavis de trois mois en vigueur, l'établissement est en droit de me garder jusqu'à mon remplacement, pour une durée maximale de six mois. "Dans un délai de trente jours à compter de la réception de la demande du praticien, le directeur général du Centre national de gestion notifie sa décision au praticien. Il peut demander au praticien démissionnaire d'assurer ses fonctions pendant la durée nécessaire à son remplacement sans que cette durée puisse excéder six mois à compter de la date de réception par le Centre national de gestion de la demande du praticien." Peut-être n'aurais-je pas à faire face à cet écueil; mais l'établissement où j'exerce présentant des difficultés de recrutement, et étant donné qu'il y a eu un précédent avec un collègue retenu quelques semaines supplémentaires, je suis obligée de considérer cette éventualité. En lisant les pages de ce forum, j'ai cru comprendre qu'il pouvait se passer quatre mois entre la notification de stage d'adaptation et son début. S'il m'arrive ce contretemps, et que je doive rester six mois dans mon établissement d'origine, je rate le début du stage. Que faire? Serais-je en mesure de demander un délai? Ou devrais-je attendre une autre date lointaine? Merci de vos réponses, en vous souhaitant une belle journée! Citer
Habitués Equinox Posté(e) 22 octobre 2013 Habitués Posté(e) 22 octobre 2013 Bonjour à tous, Je suis candidate à l'immigration, au tout début de mes démarches. Je suis actuellement praticien hospitalier. D'après les textes (et mon établissement l'a récemment appliqué pour un collègue), si je présente ma démission avec le préavis de trois mois en vigueur, l'établissement est en droit de me garder jusqu'à mon remplacement, pour une durée maximale de six mois. "Dans un délai de trente jours à compter de la réception de la demande du praticien, le directeur général du Centre national de gestion notifie sa décision au praticien. Il peut demander au praticien démissionnaire d'assurer ses fonctions pendant la durée nécessaire à son remplacement sans que cette durée puisse excéder six mois à compter de la date de réception par le Centre national de gestion de la demande du praticien." Peut-être n'aurais-je pas à faire face à cet écueil; mais l'établissement où j'exerce présentant des difficultés de recrutement, et étant donné qu'il y a eu un précédent avec un collègue retenu quelques semaines supplémentaires, je suis obligée de considérer cette éventualité. En lisant les pages de ce forum, j'ai cru comprendre qu'il pouvait se passer quatre mois entre la notification de stage d'adaptation et son début. S'il m'arrive ce contretemps, et que je doive rester six mois dans mon établissement d'origine, je rate le début du stage. Que faire? Serais-je en mesure de demander un délai? Ou devrais-je attendre une autre date lointaine? Merci de vos réponses, en vous souhaitant une belle journée! Vive la liberté ! tu donnes ton préavis, et au bout de 3 mois : Tchaô, si môssieur le Directeur-general-du-centre-national-de-gestion n'a pas trouvé de remplaçant, c'est sa poutine ! Citer
Domielle Posté(e) 22 octobre 2013 Auteur Posté(e) 22 octobre 2013 Si je fais ça, c'est un one-shot. Si mon stage d'adaptation n'est pas validé, et que je rentre en France, je suis grillée en tant que PH... Après, il est vrai que l'établissement a l'option de recourir aux médecins intérimaires (ce qu'ils font fréquemment) pour assurer la continuité des soins. Ce n'est donc pas une catastrophe pour eux si je ne reste pas plus longtemps que mon préavis. Je pense dans un premier temps demander une disponibilité, ce qui me laisse une porte de sortie si je ne suis pas validée lors du stage. S'ils ne me l'accordent pas, je pose ma démission, je fuck le CNG... et je prie pour que le Québec veuille bien de moi... Merci de ta réponse, Equinox. C'est un peu radical, mais parfois il faut savoir prendre des risques. ^^ Citer
Ulysse 31 Posté(e) 23 novembre 2013 Posté(e) 23 novembre 2013 EN fait le stage d'adaptation si cela concerne l'entente france québec, c'est très rare un échec d'autant plus que vous êtes PH ... Il y a plus d'échec en stage d'évaluation pour le permis restrictif que pour le stage d'adaptation de l'ARM. Il faudrait demander au CMQ les statistiques. Si vous avez fait pleins de cas cliniques d'hospit. , que vous avez beaucoup de red flags et que vous êtes réactive , le stage se déroulera sans problème. Ensuite si vous rentrez en France parce que vous avez" raté votre stage". Il n'y a pas que PH, vous pouvez aussi être médecin généraliste en attendant d'avoir un autre poste de PH. Personellement je connais beaucoup de médecin généraliste en France qui font les 2 ( cad à l'hopital et au bureau) un peu comme le systeme du Québec où on fait du CLSC et de l'hospit. Citer
Xavier Philippe Posté(e) 23 novembre 2013 Posté(e) 23 novembre 2013 le stage ne devrait pas être un problème. Ce qui risque de l'être c'est de trouver ensuite un PREM ... Avez vous déjà un poste réservé et dans quelle spécialité exercez vous ? Citer
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