Habitués Cherrybee Posté(e) 13 janvier 2012 Habitués Posté(e) 13 janvier 2012 (modifié) Ça revient à faire porter au seul immigrant le fardeau de sa non-insertion. Or, les employeurs et la société en général portent une part de responsabilité aussi. Oui mais l'immigrant est bien averti dans sa demande de CSQ qu'il n'a aucune garantie de trouver du travail dans son domaine, et qu'il signe en connaissance de cause. Aucune obligation pour les employeurs québécois en parallèle. L'obligation est implicite. Sinon, si le gouvernement va chercher 50 000 personnes que personne n'a l'obligation d'embaucher, il n'aurait que lui-même à blâmer, non? Ce n'est pas comme si ces personnes s'étaient imposées comme en Europe, une politique d'immigration implique l'obligation d'intégrer. Elle est peut-être implicite, mais les employeurs n'en font aucun cas. Quand je parlais autour de moi de mon expérience d'immigrant, on n'avait aucune fichue idée du parcours du combattant accompli, de l'équivalence de mes diplômes, de ma façon de travailler dans mon pays d'origine. Ils découvraient, un peu comme si j'étais un animal exotique. C'est moi qui ai dû m'adapter pour faire mon trou. Disons que c'est moi qui ai réussi à m'intégrer, pas eux qui m'ont assimilée. La nuance est de taille. Si on prenait l'exemple de ce qui se fait en France par exemple pour les handicapés, peut-être que ça les ferait bouger plus.... Peut-être pas ... "Tout employeur occupant au moins 20 salariés depuis plus de 3 ans est tenu d'employer des travailleurs handicapés dans une proportion de 6 % de l'effectif total de l'entreprise. Les établissements ne remplissant pas ou que partiellement cette obligation doivent s'acquitter d'une contribution à l'Agefiph, le fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées." Attention : au bout de 3 ans de non-respect de l'obligation d'emploi, l'employeur est soumis à une pénalité de 1.500 fois le Smic horaire (soit 13.785 € par personne manquante au 1er décembre 2011), quel que soit l'effectif de l'entreprise. http://vosdroits.ser...pme/F1651.xhtml Modifié 13 janvier 2012 par Cherrybee Létranger a réagi à ceci 1 Citer
Habitués argentino2003 Posté(e) 13 janvier 2012 Habitués Posté(e) 13 janvier 2012 Ça revient à faire porter au seul immigrant le fardeau de sa non-insertion. Or, les employeurs et la société en général portent une part de responsabilité aussi. Oui mais l'immigrant est bien averti dans sa demande de CSQ qu'il n'a aucune garantie de trouver du travail dans son domaine, et qu'il signe en connaissance de cause. Aucune obligation pour les employeurs québécois en parallèle. Absolument, la fonctionnaire de la Délégation du Québec à Buenos Aires me l'a dit clairement : N'oubliez pas que votre diplôme d'ingénieur argentin au Québec équivaut à du papier toilette. 100% vrai, heureusement, j'avais mes certifications Citrix et Microsoft pour mettre en valeur mon CV face aux employeurs. Citer
joeblou Posté(e) 13 janvier 2012 Posté(e) 13 janvier 2012 (modifié) moi je pense quand devrai exiger un contre partie au bs ,des travaux d'intérêt public ,meme la on va faire effet inverse car ca causera une recession économique et une perte d'emplois ,je pense qui faut diminue les aide allocation et compagnie , moi je connais des algérien qui son sous le bs depuis des année .....,j'habite a Montréal est c'est repute être la basse game des quebecois et je peux vous dire qui son a majorité sour le bs. je pense qu'il faut rendre le bs pas desirable car un bs avec une carte maladie avec prise en charge gratuite totale c trop et ca rend les gens paresseux et comme si c pas suffisant en rajoute des allocation a chaque bb , Modifié 13 janvier 2012 par joeblou Citer
new in ontario Posté(e) 13 janvier 2012 Posté(e) 13 janvier 2012 (modifié) Je suppose que les gouvernements estimaient alors qu'il n'était pas nécessaire d'immigrer avec une fortune avant de trouver du travail ici. Il avait oublié une variable de l'équation, soit la fainéantise cultivée par certains comme un art ... Dans certaines cultures, il est impensable pour un homme de laver une assiette ou de laver les planchers. Ce n'est pas à Montréal qu'ils vont apprendre à faire la plonge ou le ménage pour payer les factures. de quelle culture tu parles, arrêtez avec ces clichés nauséabons, dis les chose clairement ou abstiens toi. Tiens ça me rappelle un autre pays... Eh oui... C'est pour ça que je veux me "casser" Modifié 13 janvier 2012 par zineddine04 Citer
new in ontario Posté(e) 13 janvier 2012 Posté(e) 13 janvier 2012 (modifié) je me permet de donner mon avis sur le sujet, un travailleur qualifié qui a de l'ambition et qui a fait de long études éprouvera de la honte à vivre d'une quelquonque aide sociale, en tous cas c'est mon cas. il a en effet fait un long parcourt d'études et regarde son avenir avec optimisme. de plus la selection au canada (en général) se fait sur le critère de "le terme qualifié" : qualification par les étude et/ou l'expérience. même si le canada n'a aucune obligation d'offrir un emploi a ce travailleurs qualifié il part avec l'dée que s'il est sélectionné c'est qu' il pourrat trouvé du boulot... c'est en tous cas le principe de la sélection. maintenant la réalité et autre et les principaux acteurs de l'emploi, qui sont les employeurs n'adhère pas au point de vue des autorité canadienne (la plus part des cas à tord). Ils refuse par conséquent d'embaucher des travailleurs qualifiés, ces travailleurs qualifié se retrouvent donc a faire des jobines (il n y a aucun mal à ça) et parfois à demander du BS surtout dans les bassins a fort pourcentage de chômage. A mon avis, dés que quelqu'un se retrouve au BS les autorités doivent prendre des mesures, non pas pour pénaliser ce bénéficiaire de BS qui est souvent découragé, mais c'est surtout pour l'accompagner et lui donner un autre soufle. les mesure sont multiples et personnellement j'aime bien l'idée (avancée sur ce forum) de remise à niveau ou d'adaptation au marché de l'emploi canadien dans les entreprises (sans passer par les université à nouveau: une idée simple, si des offres d'emplois correspondent a ce travailleur qualifé, les autorités doivent proposer à l'employeur de le prendre sans payer de salaire, pour une période de remise à niveau et d'adaptation, à condition que l'employeur l'embauche par la suite. moi personnelemment si à mon arrivé on me propose un stage en entreprise avec un prêt bourse qui me permet de vivre je serait très content, d'un coté j'aqquière de l'expérience canadienne et de l'autre coté je valide mes formations au canada. Modifié 13 janvier 2012 par zineddine04 Citer
Habitués kobico Posté(e) 13 janvier 2012 Habitués Posté(e) 13 janvier 2012 j'habite a Montréal est c'est repute être la basse game des quebecois et je peux vous dire qui son a majorité sour le bs. :shok: Mais qu'est-ce que tu racontes....? Renseignes-toi mieux avant d'affirmer de telles grossièretés. Ça pue les préjugés et l'ignorance crasse Staf a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Kweli Posté(e) 13 janvier 2012 Habitués Posté(e) 13 janvier 2012 Ça revient à faire porter au seul immigrant le fardeau de sa non-insertion. Or, les employeurs et la société en général portent une part de responsabilité aussi. Oui mais l'immigrant est bien averti dans sa demande de CSQ qu'il n'a aucune garantie de trouver du travail dans son domaine, et qu'il signe en connaissance de cause. Aucune obligation pour les employeurs québécois en parallèle. L'obligation est implicite. Sinon, si le gouvernement va chercher 50 000 personnes que personne n'a l'obligation d'embaucher, il n'aurait que lui-même à blâmer, non? Ce n'est pas comme si ces personnes s'étaient imposées comme en Europe, une politique d'immigration implique l'obligation d'intégrer. Elle est peut-être implicite, mais les employeurs n'en font aucun cas. Quand je parlais autour de moi de mon expérience d'immigrant, on n'avait aucune fichue idée du parcours du combattant accompli, de l'équivalence de mes diplômes, de ma façon de travailler dans mon pays d'origine. Ils découvraient, un peu comme si j'étais un animal exotique. C'est moi qui ai dû m'adapter pour faire mon trou. Disons que c'est moi qui ai réussi à m'intégrer, pas eux qui m'ont assimilée. La nuance est de taille. Si on prenait l'exemple de ce qui se fait en France par exemple pour les handicapés, peut-être que ça les ferait bouger plus.... Peut-être pas ... "Tout employeur occupant au moins 20 salariés depuis plus de 3 ans est tenu d'employer des travailleurs handicapés dans une proportion de 6 % de l'effectif total de l'entreprise. Les établissements ne remplissant pas ou que partiellement cette obligation doivent s'acquitter d'une contribution à l'Agefiph, le fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées." Attention : au bout de 3 ans de non-respect de l'obligation d'emploi, l'employeur est soumis à une pénalité de 1.500 fois le Smic horaire (soit 13.785 € par personne manquante au 1er décembre 2011), quel que soit l'effectif de l'entreprise. http://vosdroits.ser...pme/F1651.xhtml Et voilà, c'est une façon courageuse de reconnaître que les employeurs ont une part de responsabilité dans l'inclusion (pas seulement des handicapés, mais aussi des immigrants, des autochtones, mais aussi des personnes discriminées pour toutes sortes de raisons, trop grosses, trop grandes, trop petites, trop laides, trop vieilles, etc.) Mais on ne peut pas dire que le gouvernement du Québec soit étouffé par le courage sur ce point n'est-ce pas? Il n'est même pas foutu de respecter ses objectifs d'équité parmi ses propres employés, alors ... Citer
joeblou Posté(e) 13 janvier 2012 Posté(e) 13 janvier 2012 (modifié) j'habite a Montréal est c'est repute être la basse game des quebecois et je peux vous dire qui son a majorité sour le bs. :shok: Mais qu'est-ce que tu racontes....? Renseignes-toi mieux avant d'affirmer de telles grossièretés. Ça pue les préjugés et l'ignorance crasse de lhumour tue pas looool jhabite un bloc ou yas que des bs c plus limite et precis lool ,c'est les immigrant qui depuille les contribuabl dabord e faut les combatre en disant stop immigration nord africine Modifié 13 janvier 2012 par joeblou Citer
Robinson Mayday Posté(e) 14 janvier 2012 Posté(e) 14 janvier 2012 Il n'y a pas de honte à utiliser les procédures mises à notre disposition par le Québec. Il faut laisser les tabous au pays ! En France l'aide sociale est culpabilisante parce que le climat social charrie des effluves nauséabondes de guerre coloniale pas terminée, avec un ex-tortionnaire de la guerre d'Algérie qui a encore le droit de se présenter aux élections. Mais ici c'est la PAIX ! Le Québec n'a jamais envahi personne (les indiens c'est les français et les anglais qui les ont tué) et n'a de mépris pour personne. S'il y a une aide c'est VRAIMENT pour t'éviter de partir en galère. Le mieux après pour rebondir c'est de toper une reprise d'étude, et le permis de travail post-diplôme. Citer
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