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  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Bonjour,

Il reste des logements à louer

Plus d'un mois s'est écoulé depuis le 1er juillet. Pourtant, plusieurs pancartes «à louer» restent toujours affichées devant un nombre croissant de logements. Il y a à peine 10 ans, Montréal faisait face à une pénurie de logements. Depuis, le taux d'inoccupation est passé d'environ 0,5 % à 2,5 %.

Les gens accèdent donc plus facilement à un logement, surtout si ce dernier est vieux et petit.

Dans la région métropolitaine, un écart se remarque ainsi entre la disponibilité des appartements de trois chambres et plus (1 %) et celle des studios (6,2 %).

«Les jeunes sont de moins en moins enclins à quitter le foyer familial rapidement. Ils ont aussi tendance à se regrouper dans un plus grand logement», tente d'expliquer Hans Brouillette, directeur des communications à la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIC).

Autre variable : les faibles taux d'intérêt ont encouragé plusieurs ménages à accéder à la propriété.

Par chance, l'arrivée massive de nouveaux immigrants renouvelle le bassin de locataires. Sept sur dix choisissent de s'établir sur l'île de Montréal.

Le parc immobilier prend de l'âge

À l'instar du réseau routier, le parc immobilier a massivement été construit dans les années 50, 60 et 70... et il vieillit mal. Pendant ce temps, les nouveaux blocs à logements n'ont pas su compenser.

«Les mises en chantier de logements locatifs ont été peu nombreuses ces dernières années. Les constructeurs d'immeubles d'appartements continuent d'opter pour la construction de logements en copropriété ou de résidences pour personnes âge?es, des marche?s plus profitables», note la Société canadienne d'hypothèques et de logement.

Évidemment, les taux d'inoccupation sont plus bas dans les immeubles récents.

Les rénovations rapportent peu

Pour M. Brouillette, les conditions d'investissement ne sont plus intéressantes, surtout pour les travaux de rénovation.

«En 1985, le propriétaire pouvait augmenter de 11 $ pour chaque 1000 $ investi. Aujourd'hui, la hausse permise se limite à 2,50 $ pour le même investissement», illustre- t-il, conscient qu'un logement en bon état trouvera plus facilement preneur.

Pourtant, les immeubles auraient plus que jamais besoin d'être rénovés. Il cite en exemple les travaux d'isolation, de fondation, de toiture, de plomberie, etc.

«Le rendement sur investissement est très faible.

«Si le propriétaire possède déjà le montant requis, c'est mieux. S'il doit emprunter pour effectuer les travaux, ce n'est pas avantageux», fait-il savoir.

Par chance, plusieurs propriétaires habitent leur immeuble à logements. S'ils y apportent des améliorations, ils sont les premiers à en profiter.

* * *

LES LOGEMENTS LES + ET - CHERS

Le coût moyen mensuel s'élève à 680 $

Le coût moyen mensuel le plus faible est dans Ahuntsic et Cartierville (565 $)

Le coût moyen mensuel le plus élevé se retrouve dans la zone centre-ville/ Île-des- Soeurs (1017 $)

LES QUARTIERS LES PLUS RECHERCHÉS

Le Plateau-Mont-Royal (taux d'inoccupation de 1,7 %)

Le centre-ville de Montréal et l'Île-des-Soeurs (taux d'inoccupation de 2 %)

Rosemont-La Petite-Patrie (taux d'inoccupation de 2,2 %),

LES QUARTIERS LES MOINS RECHERCHÉS

Montréal-Nord (taux d'inoccupation de 5,1 %)

Dorval et Lachine (taux d'inoccupation de 4,5 %)

Sud-ouest de l'île (taux d'inoccupation de 4,1 %)

SOURCE : SOCIÉTÉ CANADIENNE D'HYPOTHÈQUES ET DE LOGEMENT 2010

Source : http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/regional/montreal/archives/2011/08/20110808-035801.html

Modifié par BATTT
  • Habitués
Posté(e)

Pour les logement qui n ont pas ete loue au 1 juillet, pensez vous qu il soit possible de negocier les prix?

  • Habitués
Posté(e)

Pour les logement qui n ont pas ete loue au 1 juillet, pensez vous qu il soit possible de negocier les prix?

Un proprio n'a aucun intérêt à négocier le prix du loyer mensuel, pour toutes sortes de raisons (% d'augmentation fixé par la régie, obligation de communiquer aux nouveaux locataires le montant du loyer payé par les locataires précédents, etc etc).

Vous pouvez toujours essayer de négocier pour obtenir (par exemple) un mois gratuit, mais dites-vous bien qu'en tant que nouvel arrivant, vous n'avez pas le gros bout du bâton dans la négociation : pas de dossier de crédit, probablement pas d'emploi, et dans bien des cas pas beaucoup d'argent...Vous êtes donc un risque pour votre éventuel proprio.

Posté(e) (modifié)

Bonjour!

Je pense investir dans une maison à Montréal, ça raporte bien !!!

Modifié par risto
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Bonjour!

Je pense investir dans une maison à Montréal, ça raporte bien !!!

Très moyennement à l'heure actuelle (voir plus haut, l'article en parle !), et ça dépend de beaucoup de choses...

Modifié par bencoudonc

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