Habitués mike Posté(e) 3 novembre 2011 Habitués Posté(e) 3 novembre 2011 bonjour à tous petites questions supplémentaires, mais avant description du bonhomme : 40 piges, diplômé à 30, 2 ans de fac AES dans ma jeunesse, un DU de TERC : ça donne droit à quoi en terme de reconnaissance après le stage, DEC ou BAC? l'ARM c'est quand même pour reconnaitre les compétences des IDE, après un stage de 75jrs, qui font que l'on a plus a repasser le diplôme québecois puisque comme Mme desrosiers l'a dit nous avons déjà passé ce diplôme....alors là qq chose m'échappe. C'est quel diplôme que l'on a plus à repasser celui de DEC ou de BAC? j'ai un contrat avec HMR, pour la fin de l'année (j'ai passé ma VM, j'attend le visa). qui peut me dire en quoi consiste exactement le stage ? - quels sont les cours théoriques et pratiques (généralités de notre DE ou spécifique à l'unité à laquelle on est affecté?) - c'est quoi les conditions du stage et les items du stage réussi? (nombre de patients pris en charges, soins infirmiers complets ou restreints?) - et objectivement pour ceux qui exercent au québec avec un DE, est-ce vraiment différent de chez nous, pas en terme de conditions de boulots mais en terme de connaissances nécessaires j'attends vos réponses avec impatience. mickael Citer
padyno Posté(e) 4 novembre 2011 Posté(e) 4 novembre 2011 Bonjour, Pour la faire courte j'ai rien compris. Mais ce matin petit bonheur au courrier, l'OIIQ m'envoie une demande de cotisation 2011 2012. Le truc c'est que j'ai paye mon PTR l'annee derniere et qu'il est valable jusqu'a la nouvelle annee. Donc si je comprends bien je paye maintenant et en mars, s'en rien vraiment changer a mon statut. Je vais communiquer avec l'OIIQ a ce sujet. Pour Mickael, C'est ni plus ni moins qu'une pratique ide routiniere, le changement c'est le systeme de soins qu'on ne connait pas en arrivant. Et comme dans tout nouveau job la routine, les habitudes du services et qui fait quoi car il y a des emplois qui n'ont pas forcement d'equivalent en France. Citer
memepaspeur Posté(e) 29 novembre 2011 Posté(e) 29 novembre 2011 je peux peut-être apporter ma pierre à l'édifice. je suis diplômée depuis 1997, et au québec depuis juin 2011. J'ai été embauchée avec le titre d'infirmière (tout cours, c'est à dire au niveau DEC, sinon j'aurai le petit mot supplémentaire "clinicienne", soit de niveau BAC) On m'a reconnu mon ancienneté pour le salaire (c'est une bonne nouvelle, non?), qu'il a fallu que je prouve (rapportez vos contrats de travail!!) Concrètement, dans la pratique, il n'y a aucune différence entre une infirmière DEC et une autre BAC. la seule chose, c'est que le BAC ouvre la porte à certans postes dans l'hôpital qui leur sont réservé. Et elles peuvent travailler en CLSC. De plus, il y a une autre grille de salaire. (plus avantageuse pour les cliniciennes, ça va sans dire). Il faut savoir qu'au Québec, l'OIIQ est en gand débat actuellement sur la formation initiale, puisque seule la province du Québec propose deux niveaux de formation! partout ailleurs au Canada, vous devez être passée par l'université pour bosser! Ils sont donc en train de créer des passerelles universitaires pour former les DEC au BAC (sorte de diplôme intégré) afin de rattraper le retard. et- le passage au niveau universitaire en France n'a fait qu'aggraver ce sentiment de retard. mais ça ne remet pas du tout en cause l'ARM ni la reconnaissance de nos compétences, bien au contraire, puisque le québec veut nous imiter! Et la diplômée française a non seulement les mêmes compétences qu'une infirmière clinicienne, mais en plus, elle a fait beaucoup plus de stages que ses homologues cliniciennes, ce qui nous donne de gros atouts! En gros, nous avpons le même fonctionnement que le CEGEP, mais avec les cours de l'université, à quelques exceptions près. Concernant mon statut en France, j'avais choisi la catégorie A dans l'espoir que ça me donne plus de chances d'obtenir l'équivalence. mais équivalence ne veut pas dire reconnaissance... Déjà, légalement en France, je ne peux prétendre avoir une licence. Je n'ai qu'une équivalence. Ce qui n'est pas pareil à l'heure où l'on doit prouver par A+B qu'on l'a, le diplôme!! Un fonctionnaire en catégorie A ne peut y être que s'il a le diplôme qui le lui permet (au moins bac +3, licence). Donc en étant en catégorie A, je pensais être reconnue de facto détentrice d'une licence. mais à la DRH, on m'a mis sous le nez le dossier d'un infirmière française qui a demandé une étude d'équivalence de diplômes auprès du MICC et pour cause: elle a un DE, est IBODE et IADE. Elle n'a obtenu que l'équivalence de quelques crédits universitaires et une augmentation de 3% de son salaires pour le matérialiser. J'attends donc, avec mon simple DE, de voir comment la FIQ locale va nous défendre. Mais je crains qu'au bout du bout, ce soit l'OIIQ qui ait les cartes en main... Je ne me décourage pas, c'est un sujet brûlant ici, les syndicats y travaillent. Bon courage à toutes (et tous...) Citer
memepaspeur Posté(e) 1 décembre 2011 Posté(e) 1 décembre 2011 pour faire suite à mon post précédent, et au sujet de la formation au québec, voilà le nouveau combat de l'OIIQ: persuader les infirmières DEC d'avoir leur BAC http://www.multiplieteschoix.com/?utm_source=All&utm_campaign=infOIIQ+-+1+d%C3%A9cembre+2011&utm_medium=email Citer
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