Habitués fariza Posté(e) 4 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 4 septembre 2010 (modifié) revenant à notre histoire!! je ne comprend pas pourquoi personne ne s'en mêle!! respirez, mettez vos doigts sur le clavier et oups ça vient tout seul. allons -y!!!!faisons une tentative. Pendant la semaine qui a suivi, Sasha ne vit Taous que de loin, aux cours. à chaque fois que leur regards se rencontraient, Taous lui jetait des éclairs aussi brefs que meurtriers. le jeune adolescent commença d'abord par en faire fi pendant quelques jours mais par la suite il ne comprenait pas ce qui le cloitrait dans son grenier, recroquevillé sur lui même comme un fœtus. En fermant les yeux, il les réouvrit aussi tôt comme s' il avait eu une vision macabre. soudain il se rend compte de l'empleur de la situation. il n'avait que 13 ans, il avait une seule amie et il s'est comporté comme un goujat avec elle. il n'avait pas le droit de la juger ni de la persécuter. en sentant les larmes lui monter aux yeux, il les ravala aussi tôt car il s'est promis de ne pas pleurer, du moins de ne jamais pleurer à cause ou pour Taous. car elle est forte, et on a pas besoin de pleurer pour des êtres de sa trompe. les vacances scolaires s'installèrent, ramenant avec elles un air de printemps qui dessinait les sourires sur les lèvres et un grain de nostalgie dans les coeurs.le matin, Sasha restait dans le jardin de son père et le regarda souvent s'émerveiller devant ses fleurs. il pensa d'abord que son père est un imbécile heureux, ensuite il eut pitié de lui et s'est dit en son fort intérieur que c'est un brave type qui s'évade d'une belle façon: en cultivant la beauté, en cultivant des fleurs. Quant aux après-midi, il se surprenait à accélérer le pas vers chez Taous mais s'arrêtait toujours devant la maison de la voisine dépressive. en se posant la question du motif de sa venue. un jour la jeune femme se hâta à sa barrière blanche pour rattraper le jeune garçon. -bonjour jeune-homme. -bonjour, excusez-moi de vous avoir dérangée, je suis juste passé par là! en fait il aurait du écourter sa gêne et sa souffrance en disant tout simplement: "excusez-moi d'exister". - non ne t'inquiète pas pour moi, mais pour ta jeune amie! sasha a failli s'évanouir. - il y'a un problème. - oui!! elle a changé, elle ne rie plus comme avant, j'adore ses éclats de rire.elle passe le temps qu'elle escompte de celui des devoirs et du ménage, assise à coté de son arbre, quelque fois je l'entend jurer, d'autre creuser. - creuser? je ne comprend pas! - comme si elle enterrait quelque chose. Sasha fixa la dame avec un air terrifié et absent à la fois. sa voix enfantine le ramena à la réalité quand elle lui dit: - sa grand-mère part en arménie voir sa famille et sa mère emmène son jeune fils pour le présenter à ses frères. alors tu pourra aller la voir et prendre de ces nouvelles. sasha regarda cette femme; si jeune, si menue et pensa d'abord qu'elle devrait arrondir un peu ses joues avec quelques kilos qui se poseront bien partout sur sa frêle ossature. il regarda ensuite ses yeux et se dit, qu'ils sont trop beaux pour une femme qui passe son temps à les punir en les fixant sur un bouquin dont il ne voulait même pas connaitre l'intitulé, car il était persuadé que c'est un e ces écris qui vous donne envie de vous évader de la vie même en y mettant fin. et il se dit "pauvre femme!!". " de quoi se mêle-t-elle? pourquoi se dit elle que je dois aller voir cette rancunière de Taous?" il pensa ensuite à la mémé de Taous et se dit qu'elle veut faire de chaque acte de sa vie un motif et une occasion de se venger et d'exorciser son mal et celui de son peuple qui a vécu un terrible génocide. une deuxième fois il pensa "pauvre femme"! la troisième "pauvre femme" fut la mère de Taous. une bonne femme qui n'écoute jamais la musique, qui passe son temps à faire des réflexions à son mari et à martyriser sa fille dont elle jalouse l'amour de son père, qui sait un complexe qui lui vient de loin peut-être?non, c'est certain ,car il faut avoir un gouffre en soi vis-à-vis de ses parents pour ramener un bébé de 2ans et demi chez des oncles qui ne l'ont jamais réclamer. Sasha eut une pensée à sa mère ensuite à sa belle-mère et à ses filles et il se dit "que de pauvres femmes!!". il rebroussa chemin pour rentrer chez lui en jurant contre les femmes. il faillit avoir un monologue misogyne quand la pensée de Taous lui traversa l'esprit et il pensa tout haut et sans mépris cette fois " PAUVRE PETITE". .... à suivre. fariza. Modifié 4 septembre 2010 par fariza Citer
Habitués errou Posté(e) 4 septembre 2010 Habitués Posté(e) 4 septembre 2010 salut ! personne ne s'en mele parceque ton histoire n'en est pas une ! tu narres plus vite que Louis-José Houde; aères un peu ton texte, reprends ton souffle, on dirait une italienne qui se chamaille avec sa voisine ou un footballeur qui use exagerement du drible; à cette cadence on aura du mal à te suivre. il faut plus pour attirer des interessés... bonne chance ! Citer
Habitués fariza Posté(e) 4 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 4 septembre 2010 ok mais je n'arrive pas à trouver le moyen d'aérer! et où, à quel moment faut que j'aère??? . allez sois sympa, aère à ta façon et je prendrai le relai. je suis certaine que tu peux le faire!! merci!! fariza Citer
Habitués fariza Posté(e) 9 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 9 septembre 2010 (modifié) errou!! tu n'as rien aéré! je vais essayer! "la panne de l 'écrivain " est bien là mais je vais essayer tout de même. Pendant les vacances, Sasha se sentit privé de son amie.Elle travaillait à l'épicerie de son père et n'avait pas de temps à lui accorder. Un jour pourtant, il ravala sa fierté et alla chez Taous.Elle était là; il l'entendait injurier le chat et le poursuivre dans tous les recoins de la maison. il faillit éclater de rire quand il a entendu des ustensiles tomber et Taous hurler de douleur dans un "AIE mon pieds!!!" assourdissant. il connaissait Taous et sa légendaire maladresse. elle lui ouvrit la porte et en le voyant sur le seuil, esquisse un sourire hésitant mais ses yeux avaient cette lueur qui disait "Merci d'être là". Ces cheveux étaient tout défaits et ses joues rougis par l'effort et la course poursuite avec le "matou". -Bonjour! -salut Sasha. -je peux entrer? -euuuuuuu oui, je t'en prie. -tu vas bien? -oui, et toi tu vas bien? -oui. Excuse-moi!! -pour t'être conduit comme un idiot? - de te juger. -oh, ne t'inquiète pas, d'autres le feront surement, un jour! -on va dans le jardin? -d'accord. ils se dirigèrent du même pas lourd vers le jardin. ils s'adossèrent à leur arbre et dans un réflexe inattendu prirent la même position tous les deux; les jambes collées à la poitrine, le menton appuyé sur le genoux. - dis moi Taous, tu creuses quoi au juste par ici? - des tombes! -des quoi? -des tombes. pour toi! - je ne comprends pas trop le délire. - des tombes où je mets mon âme, et ton rôle est de les déterrer un jour. Sasha avait déjà fait le rapport dans sa cervelle qui ressemblait à une locomotive à vapeur. il devra déterrer ce qu'elle a enfoui sous terre une fois qu'elle soit partie. Taous le regarda avec indulgence et sourit à la vue de la panique qui lui gélifiait le regard. elle pencha la tête pour mieux capter le regard de Sasha et lui dit tout doucement: -Ne t'en fais pas mon Brave Sasha, tout ira bien!! Sasha la trouva attendrissante et belle. une pression lui serra la poitrine et conduisit sa main à la joue de Taous. Aucun des deux n'osait bouger. le temps s'était immobilisé. l'arbre, qui était sans doute centenaire, venait d'assister pour la première fois de sa longue existence à la naissance d'une édile juvénile. quand le temps sortit de son figement, Sasha observa autour de lui et espéra un signe de la nature, le bruit du vent dans l'arbre, le chant d'un quelconque oiseau, des bambins se chamaillant dans la rue, des pleurs des rires, n'importe quel signe de vie qui lui signifierait qu'il est vivant. Quand il regarda vers Taous, il vit qu'elle était statufiée, et que la peau de sa joue où sa main s'est aventuré était douce et glacée par la terreur de la surprise. il ôta cette main et la regarda comme si elle lui appartenait pas et qu'elle était brulée au quatrième degré. il se mis debout sur ses jambes aussi rapidement qu'un ressort et bondit hors de la maison. il commença d'abord par hâter le pas puis, il se mit à courir pour fuir la maison qu'il laissa derrière lui silencieuse comme un mirage, fuir cet espèce de chose qui vient pénétrer et douloureusement parasiter sa poitrine et qu'il ne comprenait pas. fuir Taous dont la voix si douce le poursuivit en lui disant " ne t'en fais pas mon brave Sasha, tout ira bien." à suivre.... fariza. ps: j'ai essayé d'aérer comme on me l'a conseillé. je ne sais pas si c'est fait. je m'en remet à vous. Modifié 9 septembre 2010 par fariza Citer
Habitués fariza Posté(e) 11 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 11 septembre 2010 errou!!! tu es ou? j'ai besoin de ton avis!! tu es mon critique préféré! heuuuuuuuu....le seul!lollll fariza! Citer
Habitués errou Posté(e) 12 septembre 2010 Habitués Posté(e) 12 septembre 2010 errou!!! tu es ou? j'ai besoin de ton avis!! tu es mon critique préféré! heuuuuuuuu....le seul!lollll fariza! azul ! excuses mon absence, je suis de retour et première constatation dans ton dernier texte : j'aime mieux le style c'est plus captivant, je parle de ton rapport des faits et gestes des acteurs... j'ai aimé ! à suivre... Citer
Habitués fariza Posté(e) 13 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 13 septembre 2010 (modifié) allez on s'y remet? ok!! Si Sasha et Taous pouvaient se voir, il auraient pu constater qu'ils dormaient dans la même position: comme des contorsionnistes, une boule de papier sur laquelle on a fait pleins d'erreurs et qu'il faut jeter à la poubelle. Taous se regardait dans le miroir avec plus d'assistance. elle se découvrait sur un autre jour. elle porte spontanément, plusieurs fois par jour, sa main sur sa joue. Sasha, ne quitte plus son grenier, il a perdu l'appétit et il a même été alité avec de la fièvre pendant 3 jours. dès qu'il ferme les yeux, le visage de Taous et ses cheveux blonds qui en se lâchant se sont déversés sur sa figure en lui donnant un charme extravaguant, le regard de ses grand yeux étonnés et petillant d'intelligence et son sourire si tendre quand elle essayait de le réconforter, toute cette foule de détails viennent d'un coup, dans un mouvement et un bruit digne d'un marteau piqueur lui dévaster l'esprit et saccager son âme. il se retourna dans tous les sens essayant de chasser cette image de sa tête, il appuie le coussin sur sa figure frôlant l'étouffement, mais rien à faire, elle était là, elle le hantait. Son père voyant son fils si mal s'inquiéta, il en parla à sa femme, qui le traita d'aveugle " ton fils est amoureux!! mais n'en fais pas une maladie, ça lui passera, il n'a que 14ans!! un age si ingrat". Un soir, Marius alla voir son fils avec un plat de lasagnes, son plat préféré. il posa ce dernier su le bureau, et s'assoit à coté de son fils sur le lit, où il était entrain de faire semblant de faire ses devoirs. il fait savoir à son fils qu'il pouvait tout lui dire! et que l'amour est si formidable même si on ne veut pas de la souffrance qui vient avec. qu'un jour il rira de ses amourettes de 14ans. Taous ,quant à elle, ne savait point à quel saint se vouer. à qui pourrait-elle confier cette douce douleur qui lui brûle l'intérieur? malheureusement à personne. dans la culture de Taous, il n'y'a pas de place pour les sentiments, aimer ne s'avoue pas, ça se garde, ça se renie, on en fait un tel déni que l'on arrive à se persuader que l'on est coupable d'un péché. une petite fille de 14ans qui ose exprimer son attirance pour un garçon de son age est considérée comme sujette à des symptômes de délinquance, elle deviendra forcément une "fille des rue", une fille de joie. Alors il revient à sa famille de la mater en toute intimité évitant que le comportement de leur fille ne s'ébruite.QUE DIRAIENT LES VOISINS!!!! Taous était consciente de la bêtise qui régnait au milieu de ses semblables. elle sentait la révolte nichée en elle mais quand explosera-t-elle? elle se posait la question avec une sensation de vertige. elle essaya de se résigner, en se disant, qu'elle n'a que 14ans, qu'il est impossible que ce qu'elle ressent pour Sasha soit de l'amour. ils sont jeunes et idiots pour des choses aussi sérieuses. ni lui ni elle ne connaissent vraiment la définition du terme. d'ailleurs, ils sont si intelligents qu'ils trouveront surement une explication scientifique plausible pour leur cas. à la rentrée, Sasha passa une heure à la salle de bain, non à se pomponner mais à se regarder dans le miroir et constater la peur que lui renvoyait ses beaux yeux gris, des yeux dont il ne connaissait même pas la beauté ou l'effet que cela pouvait avoir. son coeur battait la chamade. il appréhendait la revue de Taous. arrivés à leur établissement, ils se cherchèrent pendant un bon moment avant que Taous ne retrouve son ami sur un banc, assis seul, le regard perdu et étreignant son sac d'école. elle hésita puis le rejoint en quatre pas. Sasha les a compté, se disant que ses jambes se déplace avec grâce et vivacité. - bonjour Sasha. tu as l'air soucieux!! -salut Titi (il l'appelait comme ça depuis le jardin d'enfance). -de grâce ne m'appelle plus comme ça! ça me fait rire. -tu sera toujours ma titi. ce pronom possessif qu'il vient d'utiliser a fait l'effet d'une réplique de séisme dans le coeur de Taous. - c'était bien tes vacances? moi c'est comme d'habitude. mais je suis contente d'avoir eu mon papa pour moi toute seule. -tu as l'air différente. je ne sais pas pourquoi mais tu es différente. -c'est les cheveux!!!!! bon sors un peu de ta bulle, il faut aller en classe!! -quelle bulle? il n'y'a aucune bulle. - celle-là!!! elle fit un mouvement circulaire avec ses bras qu'elle plana autour de Sasha, puis d'un petit mouvement, elle finit son cercle on posant les paumes de ses deux mains délicates sur le visage de Sasha. le geste a échappé au contrôle des deux adolescents, il ne le comprenaient pas. mais dieu qu'il était agréable et doux. Taous était paralysée par ce qu'elle venait de faire, et n'osait plus bouger. Sasha la regarda droit dans les yeux. il n'y'a que cette fille qui savait cadrer son regard pour le noyer dans le sien. il sentait le temps s'arrêter encore une fois autours d'eux. puis voyant sa douce amie dans l'embarras ne sachant plus comment retirer ses mains, il se décide à mettre fin à sa gêne et ôta doucement les deux extrémités de son visage, avec grand regret et une immense lenteur comme s'il avait peur de les briser. Taous était rouge par embarras et par colère envers elle-même. la devinant car il la connaissait, Sasha lui donna un coup sur la face arrière de la tête, comme si elle était son meilleur pote, en lui disant" allez la sorcière, sort de ta bulle, il faut aller en cours". sur le seuil de la porte de la sale de classe, elle lui sourit en lui disant " tout ira bien n'est ce pas ?". le cours de biologie par lequel ils ont commencé fut un supplice. .... à suivre. fariza. Modifié 13 septembre 2010 par fariza Citer
Habitués errou Posté(e) 13 septembre 2010 Habitués Posté(e) 13 septembre 2010 azul ! D'abord je te demane de rectifier ça ! (au debut du texte ) : taous se regardait dans le mirroir avec plus d'insistence au lieu d'assitance. permets moi aussi d'emettre cette opinion : Un peu plus d'ordre chronologique dans les idées serait le bienvenu. Tu racontes le debut d'un idylle entre deux ados mais tu le décris comme s'il s'agissait de deux adultes; il ya un manque de naiveté, d'innocence... Reduis un peu de leurs lucidités respectives; un amour ça fait tanguer plus que ça au point de perdre le nord, or nos deux malheureux si j'ose les appeller ainsi ont l'air de maitriser leurs états d'ames, c'est fort pour leurs ages donc je te suggère de leur faire faire des erreures laisse les se perdre un peu tu verras... to be continued... Citer
Habitués fariza Posté(e) 13 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 13 septembre 2010 ok, pour tout te dire, je me suis rendu compte que les deux personnages étaient trop raisonnables comme ados mais j'ai poursuivi quand-même. je les ai retenu à cause de ma retenue à aller "loin" dans la description de la passion. je ferais de mon mieux! merci, je ne te priverai pas des droits que tu doit percevoir!lolll! à bientôt. très bientôt. fariza. Citer
Habitués fariza Posté(e) 15 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 15 septembre 2010 (modifié) errou mon ami, tu es un radiologue, donc habitué à la transparence et la clairvoyance!lloll! alors dis-moi comment dois-je procéder pour réinjecter de l'innocence dans ces deux êtres. je cherche une ouverture!!! fariza! Modifié 15 septembre 2010 par fariza Citer
Habitués cassis Posté(e) 15 septembre 2010 Habitués Posté(e) 15 septembre 2010 et c'est quoi le rapport avec l'immigration au Québec? puisque vous êtes seulement 2 à communiquer sur votre nouveau passe-temps, pourquoi ne pas utiliser les MP???? Jade a réagi à ceci 1 Citer
Habitués errou Posté(e) 15 septembre 2010 Habitués Posté(e) 15 septembre 2010 et c'est quoi le rapport avec l'immigration au Québec? puisque vous êtes seulement 2 à communiquer sur votre nouveau passe-temps, pourquoi ne pas utiliser les MP???? DISCUSSIONS INFORMELLES, c'est le nom de cette rubrique ! discussions sur thèmes legers histoire de se divertir; courtoisie et respect en tout temps. Qu'on soit 2 ou 200 à communiquer, ou est le problème ? t'as qu'à ne pas nous lire ! Citer
Habitués errou Posté(e) 15 septembre 2010 Habitués Posté(e) 15 septembre 2010 bonsoir Fariza ! T'es vraiment forte toi ! tu veux à tout pris m'entrainer dans l'écriture, chose qui n'est pas mon dada, mais ma foi tu y arrives ! (tout ce que femme veut, dieu veut) Alors tu cherches une brèche pour tenter de changer un peu les comportements de nos artistes; eh bien essayes un 3ème personnage, un garçon ou une fille qui creera une interaction, comment ? Soit un garçon debarque et s'interesse à taous, celle-ci jouant le jeu dans le but de faire craquer sacha, ou inversement, une fille qui seduira sacha qui sautera sur l'occasion afin de sonder les sentiments de sa dulcinée... dans ces deux variantes, tu façonneras à ta guise leurs agissements : malice et innocence vont s'entremeler... à toi de jouer ! Citer
Habitués errou Posté(e) 15 septembre 2010 Habitués Posté(e) 15 septembre 2010 errou mon ami, tu es un radiologue, donc habitué à la transparence et la clairvoyance!lloll! alors dis-moi comment dois-je procéder pour réinjecter de l'innocence dans ces deux êtres. je cherche une ouverture!!! fariza! ah là pour t'eclairer, je suis un habitué du squelette et des viscères humains ! Citer
Habitués krimo66 Posté(e) 16 septembre 2010 Habitués Posté(e) 16 septembre 2010 et c'est quoi le rapport avec l'immigration au Québec? puisque vous êtes seulement 2 à communiquer sur votre nouveau passe-temps, pourquoi ne pas utiliser les MP???? EH OUI CASSIS ces deux là font de la pèche . la pèche a quoi???? ils pèchent des rabats joie comme toi ,yoooooooooopi ,tu es la première prise de l'année. Citer
Habitués fariza Posté(e) 16 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 16 septembre 2010 cassis!! mets de l'eau dans ton vin l'ami! ici le verbe se laisse aller et il reste courtois!! on gêne quelqu'un? non!!! alors ne fais pas le gendarme de la libre expression! sans rancune: fariza Citer
Habitués krimo66 Posté(e) 16 septembre 2010 Habitués Posté(e) 16 septembre 2010 fariza bonjour je n'arriverais jamais a intervenir dans une histoire pareil ,il faut que tu t'arrange a donner une datation de ton histoire .cite un événement connu ,je ne sais pas une guère ,un sommet international ,sinon carrément arrange toi pour nous donner la datte a laquelle se passe ton histoire .je peux mettre le père de sasha dans une calèche ,comme je peux lui attribué un 4x4 .ces pauvres enfants peuvent n'avoir aucun moyen de communication comme ils peuvent avoir skype. mais c'est plaisant et captivant ,merci tu as un bon critique aussi en la personne de errou Citer
Habitués fariza Posté(e) 16 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 16 septembre 2010 ok! krimo!!! j'en prend note! toi aussi tu ne veux pas intervenir?? t'es un feignant comme errou!!! je vais improviser toute seules comme une grande.lollll fariza. Citer
Habitués fariza Posté(e) 16 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 16 septembre 2010 (modifié) erouuuuuuu, tu es mon héros!loooooooool!!!mdr et oui! les femmes sont redoutables!enfin sauf moi, je suis pleine d'innocence!lolll! je vais me remettre aux aventures de nos deux morveux attendrissants en prenant compte de tes conseils et ceux de krimo!! il m'a sonné les cloches lui aussi!!! ah ces gens de la quarantaine!!lol à bientôt. fariza. Modifié 16 septembre 2010 par fariza Citer
Habitués errou Posté(e) 17 septembre 2010 Habitués Posté(e) 17 septembre 2010 fariza bonjour je n'arriverais jamais a intervenir dans une histoire pareil ,il faut que tu t'arrange a donner une datation de ton histoire .cite un événement connu ,je ne sais pas une guère ,un sommet international ,sinon carrément arrange toi pour nous donner la datte a laquelle se passe ton histoire .je peux mettre le père de sasha dans une calèche ,comme je peux lui attribué un 4x4 .ces pauvres enfants peuvent n'avoir aucun moyen de communication comme ils peuvent avoir skype. mais c'est plaisant et captivant ,merci tu as un bon critique aussi en la personne de errou bienvenu toi ! J'en conclus que tu etais un matheux toi, et tu etais fort en géometrie (ma matière preferée d'antan ). Je ne sais pas si Fariza me suit, mais je crois comprendre que tu as besoin du 3e axe, l'axe du temps (OZ) pour que tu puisses t'y mettre, alors j'attends comme toi pour voir dans quelle époque notre auteure va nous projetter non sans avouer que j'ai un penchant pour les seventies, mais je ne cherche pas à l'influencer, je suivrai meme si elle nous emmène à l'ère d'avant Jésus, bienvenu et quelle chance pour l'auteure d'avoir une source d'inspiration supplémentaire ! quoi de plus FARIZA ? Citer
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