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Bonjour à tous, Je recherche des retours d'expérience pour des personnes qui ont eu leur CRP via entrée express (avec une installation prévue au Canada anglophone) et qui sont arrivées au Canada par l'aéroport de Montréal. Alors que la résidence permanente est prévue pour une installation en Ontario, est-ce que cela n'a pas posé de problème de valider la CRP par l'agent d'immigration à l'aéroport de Montréal? Nous avons reçu la CRP récemment, c'est assez court pour nous de nous installer cette année alors nous souhaitons faire un aller-retour en Août prochain pour revenir nous installer définitivement mi 2023. Notre destination finale est Ottawa. Pour valider notre CRP cet été il est plus intéressant pour nous d'arriver par Montréal. J'aimerais savoir si nous pourrons valider notre entrée au Canada à cet aéroport sans problème (même si sur nos documents c'est bien marqué la destination finale Ottawa) et avoir le retour d'expérience de personnes qui ont fait comme nous. Merci d'avance pour vos retours ?
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- entrée express
- entree express 2020
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Les amis bonjour j’espère que vous allez bien. Je suis Fsw o Dans mon copr ma ville de destination est Toronto. J’accèderais au Canada via l aéroport de Montréal et j irais à Ottawa (Airbnb) et je compte m’installer là bas … est ce que cela causera un problème avec l agent d’immigration à l’aéroport ou après lorsque je demande la citoyenneté ? merci
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source : http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/07/02/le-quebec-peine-a-retenir-ses-immigrants-francophones_n_10782906.html Le couple Sibileau-Brossas, originaire de France, a immigré il y a quelques mois à Mississauga, la banlieue de Toronto. L'entreprise de Thomas Brossas a déménagé ses activités aéroportuaires vers l'aéroport international Pearson de Toronto, le plus important au pays. Et son épouse, Marine, l'a accompagné. « Toronto est la ville de plein de communautés alors que le Québec est aux Québécois de souche », déplore-t-elle. Des emplois difficiles à trouver Une récente étude de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) abonde dans le même sens. Même s'il y a deux fois moins d'immigrants à Montréal qu'à Toronto, où ils représentent plus de 46 % de la population, ils ne trouvent pas d'emploi à leur mesure ou, pire, pas d'emploi du tout, constatent ses auteurs. Cette « métropole de talent », notent-ils, est pourtant une ville francophone, jeune, universitaire, innovatrice et culturellement vivante. Un paradoxe, conclut l'étude de l'OCDE. Selon l'OCDE, le taux de chômage des immigrants arrivés à Montréal il y a moins de cinq ans dépasse 18 %, alors qu'il se situe à un peu plus de 14 % chez ceux qui se sont établis dans la Ville Reine. Après 10 ans, les immigrants torontois ont cependant un taux de chômage comparable à l'ensemble de la population montréalaise. Statistique Canada fait par ailleurs état de disparités linguistiques : 16 % des immigrants unilingues anglophones récemment arrivés au Québec sont chômeurs, un chiffre qui grimpe à 23 % chez ceux qui ne parlent que le français. Un « francoboom » tout près de Toronto À Mississauga, l'école primaire catholique Saint-Jean-Baptiste vit un véritable « francoboom ». Sur ses terrains, de grands espaces ont été bétonnés pour accueillir six classes mobiles qui répondront aux nouvelles inscriptions. Les élèves proviennent autant des familles anglophones-francophones mixtes que de celles des nouveaux immigrants désireux de voir leurs enfants apprendre le français, un net avantage en Ontario. C'est là que Patrick Bertolin, un Camerounais d'origine sélectionné par le gouvernement du Québec, a trouvé un emploi à la hauteur de ses compétences. Une expérience qu'il n'a pas vécue au Québec. « Si j'avais eu un emploi à ma mesure ou qu'on m'avait appelé ne serait-ce que pour une ou deux entrevues, je serais resté en me disant qu'un jour je vais avoir ma chance », regrette l'enseignant. « C'est triste, conclut-il. Le gouvernement québécois devrait réaliser qu'il y a un problème. » Au total, près du quart des immigrants québécois partent vers d'autres provinces canadiennes, principalement l'Ontario.
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