Zogu

Si tu es musicien, tu peux te trouver un créneau dans un des bars les plus accessibles de la scène "bohème" de Montréal, le Café Ludik. Ils sont ouverts aux nouveaux artistes.

PP, tu vas être heureux car le Québec et le Labrador développent actuellement le potentiel touristique des monts Torngats. Ce secteur risque de devenir le "nord du nord" le plus accessible pour nous. Enfin!!! En passant, je crois que c'est Gilles Vigneault qui a lancé l'expression "nord du nord", mais je ne suis pas certain. Quelqu'un a une idée? Ça fait partie des belles expressions inventées au Québec, comme le terme "nordicité".

Salut! L'une de mes amies qui est actuaire a travaillé chez Aon Consulting à Montréal. C'est une grosse entreprise internationale spécialisée dans la gestion de risque. http://www.aon.com/ Par contre je ne sais pas si un actuaire ayant étudié ailleurs a le droit de travailler au Québec, il faudrait que tu fasses des recherches. C'est un domaine très difficile, je respecte beaucoup les gens qui étudient là-dedans!

En tout cas, ça doit faire une jolie calligraphie.

Carie killeuse globe-trotteuse?!?!?! Woah, je suis en retard dans les nouvelles moéééé!!!!

« Il n'empêche que le point de départ reste arbitraire, car on aurait pu partir d'un postulat totalement différent. » Tout à fait! Et c'est vrai, peu importe les mathématiques qu'on considère: arithmétique, théorie des ensembles, théorie des groupes, topologie, logique de premier ordre, logique modale, etc. Voir à ce propos les écrits (très intéressants) de Kurt Gödel et d'Alonzo Church, qui ont déboulonné le mythe de la perfection mathématique, au XXe siècle. Un des meilleurs exemples de variabilité des systèmes mathématiques est la Formule de Barcan (Ruth Barcan était une logicienne géniale); en changeant un seul postulat, on obtient des règles de logique différentes et donc des systèmes totalement différents. Or, chacun de ces systèmes de logique est aussi valable que les autres. Puisque ces systèmes sont en contradiction entre eux, et qu'ils sont tous rigoureusement exacts, on peut dire que la logique modale (ou toute logique d'ordre supérieur) n'est pas "parfaite" en tant que telle. Pour ceux qui sont intéressés par ce sujet, je peux mettre en ligne un essai que j'avais rédigé en 1998. J'ajouterais que bien des gens ont une foi déraisonnable envers les mathématiques, une foi quasi religieuse. Peut-être est-ce parce qu'elles ne les connaissent pas suffisamment pour bien en apprécier les limites? Mais j'avoue que les mathématiques (et la logique) nous éloignent un peu du sujet initial...

Eh bien nous avons un bébé en route ("une tourtière au four"?)... Heureusement dans notre secteur (Rimouski) il y a toujours 3 ou 4 places de libres en garderie... Ah, la qualité de vie en région!

Salut! Bienvenue chez les dingues! Pour ton clavier, il ne faut pas le transformer en AZERTY, il faut simplement configurer ton Windows pour avoir les accents en Français (par exemple, en mode "Canadien Français" ou "Canadien Multilingue", ce qui est mieux encore).

Tu devrais peut-ête dire quel est ton art?! As-tu un plan sérieux? Sinon tu es un pelleteur de nuages et ton projet va prendre l'eau...

Si tu cherches une crèche, tu ne trouveras que l'âne et le boeuf...

Je ne vois pas pourquoi tu voudrais passer ton permis de conduire en Anglais, à moins que ça ne soit ta langue maternelle.

Eh bien je dirais qu'une maison avec armature en bois, semelle en béton, façade en brique et toiture en bardeaux d'asphalte (toiture en pente!), ne demande pas tant d'entretien que ça. Du moins, dans nos climats froids et humides avec beaucoup de neige. Si on compare par exemple avec une maison "tout bois", ou "chalet suisse", qui demande du vernis ou de la peinture aux 2 ans. Actuellement, je suis propriétaire d'une maison "tout bois" et je dois refaire les grands balcons (qui sont pourris) et les lambris de bois de la façade (qui ont fini par se déformer). J'habite l'est du Québec, le climat est très humide. Par contre, l'ossature en bois de la maison est d'une grande stabilité. Cette maison est âgée de 29 ans, quand même. Au Québec, il ne se fait pas beaucoup de maisons unifamiliales "tout en béton" (ou en parpaings, appelés "blocs de béton" ici), alors je ne peux pas dire comment ces matériaux réagissent face au climat. Par contre il se fait de plus en plus de maisons préfabriquées à ossature en bois; une partie des panneaux de la maison sont montés en usine (dans de grands entrepôts) et au moment de construire, on assemble ainsi la structure de la maison en un temps record... sur le solage de béton, qui doit quand même être coulé préalablement. Reste ensuite à faire tout le travail d'électricité, de plomberie et de revêtement extérieur. Dans mon secteur, le plus gros fabriquant se nomme Goscobec.

100 bières ou plus... j'ai perdu le compte... il faudrait consulter le guide "Petit futé -- Guide des bières du Québec" par exemple. J'en ai trouvé quelques-unes sur ce site: http://www.bieranet.qc.ca/ Et ce site à l'orthographe bizarre en liste aussi une bonne quantité: http://www.geocities.com/brouepub/intro.html Ces listes sont hélas incomplètes. Il manque en effet plusieurs micro-brasseurs, dont le Belge Breughel à Kamouraska, qui fabrique une gueuze incroyable avec des bulles d'une finesse exquise.

On voit beaucoup plus facilement les fautes des autres que ses propres fautes. C'est pour cela, d'ailleurs, qu'une personne qui aime sa langue et qui en prend soin fera relire ses textes par une tierce personne. Quand on s'acharne à trouver des fautes dans le texte de l'autre, on n'améliore pas sa propre écriture. Quand cet acharnement vise un peuple entier, ça frôle le mépris, voire un certain mot qui commence par R. Chaque peuple francophone a ses travers et ses fautes les plus courantes. Le Québécois échoue souvent lorsque vient le temps d'accorder un verbe en -ER, -É, -EZ. Le Français fait souvent des fautes avec les terminaisons en -AI et -AIS. Faut-il pour autant se lancer des cailloux à la figure, outre Atlantique? Le fait est que le Québec part de très, TRÈS loin. Jusqu'à récemment (20e siècle), l'éducation se limitait à 5 ou 6 années chez la plupart des gens. On apprenait à lire et à additionner, sans plus. L'éducation supérieure était l'apanage d'une infime minorité d'intellectuels et de professionnels. L'Anglais était omniprésent et faisait son travail de sape. Aujourd'hui, après un siècle d'amélioration des universités francophones au Québec, et après MOINS DE 50 ANS d'accès universel à l'éducation secondaire (Lycée), les progrès sont énormes. Or, il se trouve que l'amélioration de la langue au Québec a atteint un plateau -- difficile de faire plus dans les circonstances actuelles (SMS, culture populaire sur la pente descendante, paresse et réformes à répétition dans l'enseignement, situation politique et démographique). En même temps, la qualité de la langue en France diminue graduellement, semble-t-il. Les deux cultures se rejoignent au milieu, c'est bien triste. Quel avenir pour la francophonie? PS: Toute cette discussion sur les maths est absurde. Les maths et la communication humaine sont deux choses distinctes; depuis les théories de Godel on sait qu'il existe une infinité de mathématiques, d'accord... mais les maths sont rigides. Qu'est-ce que ça a à voir avec la langue qu'on utilise tous les jours, une langue qui change et qui évolue comme si elle était organique? Et les langues, que ce soit le Français, l'Anglais ou l'Allemand, sont remplies d'exceptions, d'absurdités et de bizarreries. L'Anglais, en particulier, est tout à fait irrégulier à l'oral. C'est bien simple, il faut mémoriser la prononciation de chaque mot. Le Français est irrégulier surtout à l'écrit.

Pour résumer: BAIGNABLE: lacs, ruisseaux, torrents et rivières en milieu forestier ou montagneux (même assez loin au nord) NON BAIGNABLE: lacs et rivières en milieu agricole, le Saint-Laurent au complet, et l'océan gla-gla-glacial (de Gaspésie)

Héhéhé. Dans nos maisons à ossature en bois, on entend des clous éclater pendant les pires froids de l'hiver. Le contracteur, qui connaît son affaire, fait usage de plus de clous que nécessaire. Il ne faut pas être chiche! De ce côté, au moins, les morceaux de charpante nécessaires à la construction du toit (les "équerres") sont disponibles déjà montées. Ça évite certaines erreurs... mais encore faut-il savoir quoi en faire. Bref je n'essaierais pas de construire ma maison moi-même. Même si j'ai beaucoup d'expérience en rénovation et en construction de murs (isolation de toit, murets de brique, murs de gypse, portes, etc.), je sais que même un cabanon construit par ma main ne serait peut-être pas si solide face à l'hiver et à l'usure. D'ailleurs, sachez que tout travail électrique doit être effectué par un électricien certifié, en particulier ce qui a trait à la boîte électrique et au filage de base. Du bidouillage à la main rend la propriété impossible à faire assurer... surtout si un inspecteur pose des questions insistantes après un sinistre... Aussi, comme d'autres l'ont dit avant: ici tu n'as que quelques mois pour construire, incluant l'excavation, le coulage de la semelle et du solage en béton, l'érection des murs, du toit et les isolations extérieures. Si ta maison n'est pas suffisamment terminée quand arrive l'hiver, t'es foutu; elle va se dégrader. L'hiver, la construction fait relâche. Par zéro degrés, les colles et scellants ne prennent pas, le goudron ne colle pas (bonjour les bardeaux du toit!), la terre devient dure, le mortier ne prend pas, etc. Bref, pour une maison neuve, vaut mieux se trouver un plan de maison à notre goût. Depuis quelques années, on trouve de tout, il y a beaucoup de variété et même du sur-mesure (quand on y met le prix). Ensuite vous trouvez un entrepreneur certifié et il vous fait une solution "clé en main". Il s'occupe de sous-contracter les électriciens et plombiers (et autres professionnels) et exécute les travaux en entier.

Si ça peut vous intéresser, j'ai fini par trouver leur site web!!! http://www.gitelamaisonsurlabutte.com/ Si je comprends bien, ils n'ont pas encore reçu leur classement (le nombre de "soleils") de Tourisme Québec, donc on ne sait pas trop à quoi s'attendre côté qualité. Mais j'ai lu ici et là quelques commentaires positifs. Du côté des chambres, après avoir vu les photos je dirais que ça a l'air correct (même si ce n'est pas impressionnant). La salle de bain est jolie avec le bain sur pieds, mais attention elle n'est PAS privée. À vous de déterminer si ce détail a son importance. Le site ne donne pas beaucoup de renseignements, ce qui est dommage. Impossible de savoir si on vous servira un assortiment de croissants chauds et confitures maison... ou de bêtes toasts de pain blanc tranché. Dans des B&B, ces deux tendance existent en quantités égales. Par contre, la vue est à couper le souffle.

Des bottes Merrell... et un beau manteau Kanuk...

Le 24 décembre, souper avec la belle-famille - soupe aux crevettes et citronnelle - gigot d'agneau de prés salés de l'Ile Verte - assiette de fromages et beaucoup trop de vins de Bordeaux... - crèmes brûlées Le 25 décembre, souper avec ma famille - potage aux carottes et cardamome - poitrine de poulet farcie au jambon fumé à l'érable - haricots verts au prosciutto - gâteau aux fruits maison (ma recette facile!) - sucre à la crème de ma soeur Le 27 décembre, souper avec les amis, tout le monde cuisine! - poulet sauté et riz basmati - potage au céleri-rave et au fenouil - quiche au jambon - tourtière de gibiers - carré d'agneau persillé et réduction de sauce aux canneberges et au vinaigre balsamique (ma recette) - quantité de vins italiens - bûche de Noël au moka Le 28 décembre, indigestion! Ma femme et moi somme sur le carreau.

Le climat ici est vraiment peu adapté pour la vigne. La production du vin au Québec demeure marginale et c'est tout à fait normal. Il y a un potentiel bien exploité au niveau des alcools de petits fruits et de pomme. Par exemple, un producteur de Rougemont offre un apéritif de pomme insolée (vieillies au soleil et au gel d'automne) qui goûte bon le café et le caramel; ça rappelle un croisement entre un porto tawny et un cidre liquoreux. Le marché des cidres fins est en croissance. Normal: le climat favorise la pomme, et non la vigne!!! Je dirais: qu'un immigrant Français (disons un Normand?) audacieux se lance dans la production d'un Calvados bien québécois, et il fera fortune!!! Il y a quelques bons hydromels (et quelques bof). On aussi trouve de nombreuses combinaisons intéressantes dans les alcools, crémants et mistelles: framboise, bleuet, chicoutai, fraise, érable et crème (style irlandais), prune, ... Plusieurs produits ne sont encore vendus que dans leurs régions de production. La SAQ ne les distribue pas. Voyager et chercher les produits du terroir est un réel plaisir. ps: Pour les bières, il y en a une centaine de très bonnes. Malheureusement, dans les bars "ordinaires" c'est surtout les machins industriels d'ici et d'ailleurs qu'on sert (Budweiser, Molson, Corona). La plupart des supermarchés offrent une sélection de bonnes bières de micro-brasseries. Un Belge trouvera bière à sa panse.

Les lacs sont généralement un peu plus chaud que les rivières. Même dans la Gaspésie (au nord-est), la baignade est agréable l'été dans les lacs. Les rivières sont aussi majoritairement baignables. À éviter: - LE SAINT-LAURENT!!!!! Dans le sud du Québec, il n'est pas propre du tout et même s'il y a des plages publiques, franchement, c'est à éviter. Dans l'est du Québec, le Saint-Laurent devient affreusement froid. Chez moi près de Rimouski, l'eau de l'estuaire ne dépasse pas 6 degrés même l'été (sauf dans quelques anses peu profondes). - L'OCÉAN EN GASPÉSIE. On ne va pas en Gaspésie pour la baignade en eau de mer, mais pour tout le reste (plein-air, paysages, etc). L'eau est froide, quoique certaines baies et anses atteignent des températudes correctes. Les rivières et les lacs gaspésiens sont d'agréables lieux, à l'eau plus chaudes, et dont l'accès est presque totalement libre. - Les rivières agricoles, comme la Yamaska, sont à éviter. La couleur de l'eau ne trompe pas... mais parfois l'eau est claire mais polluée (exemple, la rivière Massawippi en Estrie). Quand une rivière coule dans une grande plaine agricole, donc, on laisse tomber. Il y a tant de rivières non polluées au Québec, alors pourquoi aller folâtrer dans les coliformes? S'éloigner un peu de Montréal, direction Laurentides ou le haut-Lanaudières! Beaucoup de belles rivières et de beaux lacs en région de collines sont à moins de 2 heures de route de Montréal (ou à 20 minutes de la ville de Québec!). - Les rivières et lacs affectés par des barrages. Danger! Toujours se renseigner. Sinon tu peux te baigner un peu partout, en utilisant toujours le gros bon sens et une certaine prudence. Un bon exemple de rivière baignable près de Montréal est la rivière L'Assomption AU NORD DE JOLIETTE. Parce qu'au sud, c'est pollué par l'agriculture. Contrairement à certains pays où les loisirs sont codifiés par des règlements répressifs et bureaucratiques, le Québec jouit d'une certaine liberté quant à l'accès à l'eau (qui est vue comme un bien public et une richesse nationale). Faire preuve de civisme et de prudence contribue à maintenir cette belle liberté.

Des villes pas trop grosses et avec tous les services, il y en a plusieurs au Québec. En voici quelques-unes qui sont bien connectées au réseau routier, assez francophones et qui ont un certain charme: Joliette Sainte-Agathe Magog Trois-Rivières La Malbaie Baie-Saint-Paul Saint-George (de Beauce) Lachute Shawinigan Une chose à déterminer, c'est à quelle distance de Montréal tu veux t'installer. Car même si tu n'as pas besoin de Montréal pour vivre, tu auras peut-être besoin d'un aéroport international pour aller visiter ta famille en France. Faire 6h30 heures de route, disons Matane-Montréal, pour ensuite prendre l'avion, c'est pas agréable. Donc ça peut être un critère. Autrement, dis-toi que toute ville de 10000 habitants ou plus (5000 si c'est une ville en région peu peuplée) offre la plupart des services. Personnellement, je dirais: vise une ville qui a au moins un collège (CÉGEP) ou une université, en général c'est générateur de vie culturelle et ça augmente le nombre de bons restaurants et cafés. Aussi: je n'aime pas les villes du sud du Québec qui sont surdéveloppées et où on étouffe dans les trop larges boulevards (paradis de l'asphalte), avec les chaînes de restos préfabriqués, les pylones électriques et les quartiers résidentiels à perte de vue... Le sud de Lanaudière et des Laurentides, Laval et presque toute la Montérégie sont très urbanisés.

Au Québec, la plupart des restaurants "ordinaires" (bas prix) ont un café exécrable. Vois-tu, la fierté du chef cuisinier ne semble pas passer par son espresso. Donc pour éviter les mauvaises surprises, voici quelques trucs pour amateurs de café en sol nord-américain: Au restaurant: 1. Si un restaurant n'a pas, derrière le comptoir de caisse, une belle petite machine à espresso: danger! Se méfier du café filtre réchauffé ou de style "eau eau vaisselle" ou "tache d'huile à moteur". Le café vendu dans les restaurants bas de gamme (que ce soit des chaînes ou des établissements de quartier) n'en vaut pas la peine. Prendre une tisane. 2. Dans les places à beignes (Dunkin Donuts, Tim Horton ou autres), le café est vendu comme on vend n'importe quel "fast food": pas cher et pas bon. Même chose aux comptoirs rapides. 3. Dans tout bon restaurant, tu devrais trouver un café respectable. Cherche les établissements du affichent une grande marque de café, comme Illy. Attention par contre, les restos italiens de pacotille servent n'importe quoi, surtout de la cochonnerie. 4. Le meilleur café à Montréal se trouve dans les cafés italiens et grecs. Surtout dans la Petite Italie et dans le Mile End. 5. Aussitôt qu'un endroit se présente comme un "café", c'est généralement bon signe et on peut y trouver de la qualité. Éviter les cafés aromatisés et les machins avec plein de crème fouettée, ils sont trop sucrés. Éviter les chocolats chauds, souvent décevants. 6. Dans le doute, commander un "allongé" plutôt qu'un espresso. Si c'est un peu trop amer, on peut couper avec un nuage de lait. L'immense majorités des cafés savent servir un allongé. 7. Favoriser les cafés qui sont aussi des brûleries; on les reconnaît à l'équipement lourd, à l'odeur et aux cases de grains vendus en vrac derrière le comptoir. Ces cafés offrent en général la meilleur qualité; à Montréal il y en a plusieurs sur des rues comme Saint-Denis, Laurier, Mont-Royal, etc. Café vendu au supermarché: 1. Ne pas acheter de la marque Van Houtte, la qualité est en baisse constante. Ne pas acheter les marques à rabais (évidemment). 2. Au supermarché: acheter les grains de café dans le vrac et les moudre soi-même (gratuitement) dans la machine fournie à cet effet près de l'étalage. Choisissez la mouture compatible avec votre cafetière. 3. On trouve des cafetière à piston ("bodum" ou "cafetière française") dans de nombreux magasins. On trouve aussi les modèles italiens à fontaine, en métal. Personnellement, je trouve que ces deux modèles font un meilleur café que les cafetières à filtre. 4. On trouve facilement le café à espresso italien dans des boîtes ou des "packs" sous vide. La qualité est généralement bonne, mais c'est la solution la plus coûteuse. 5. Le bon café se trouve partout au Québec maintenant. Par exemple à Rimouski il y a plusieurs cafés qui sont aussi des brûleries; au supermarché, on trouve des grains de qualité. Depuis 10 ans, le Québec a progressé côté qualité ET prix. ps: Toursette! Coucou, mon humeur n'est pas si pire hein. Pour le franglais, c'est qu'il y a incompatibilité entre le Franco-Franglais et le Québéco-Franglais. Donc mieux vaut noter quand un terme n'est pas vraiment utilisé au Québec; ça facilite la communication.

Les travelers chèques, ça n'existe pas! Ici, on a des chèques de voyage...

D'accord avec Curieuse. J'ai appris récemment que les loyers ont beaucoup augmenté même à La Plaine, à 50km au nord-est de Montréal, et à Saint-Jean-sur-Richelieu (même distance, mais au sud). Quant aux régions... si les loyers sont moins cher qu'à Montréal dans les centres urbains, la différence n'est plus énorme. À Rimouski, des visiteurs sont horrifiés de voir que l'immobilier est comparable à Montréal.