-
Compteur de contenus
6 467 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
6
Type de contenu
Profils
Forums
Calendrier
Blogs
Tout ce qui a été posté par Zogu
-
Presque!
-
Ah super Parati, je suis content que tu n'aies pas trop mal pris mon commentaire -- disons que ça a été écrit sur un coup de tête. :blushing: Je manque beaucoup de sommeil ces-temps ci, avec un p'tit bébé de 2 semaines dans la maison. Tu sais, j'ai déjà travaillé en recrutement en informatique et quand deux personnes avaient des profils professionnels semblables, alors nous allions voir les "extras". Certains candidats n'avaient aucune personnalité ou n'avaient rien accompli en dehors de leur p'tite vie ordinaire. Par contre dans certains cas, le candidat nous montrait qu'il aimait les défis et qu'il cherchait à s'améliorer: apprentissage d'une 3e ou 4e langue, voyages, développement humain, entreprenariat, arts et musique, etc. Toutefois je trouve cela dommage que tes compétences linguistiques n'aient pas été prises en compte lors de ta recherche d'emploi. Étant donné l'importance grandissante de l'intégration continentale et du commerce nord-sud, les employeurs passent à côté d'une bonne occasion.
-
+1 pour Maxtaz Wow, tu as bien appris ton catéchisme routier!!!!
-
Il faudrait ajouter aussi l'excellent (mais hélas peu médiatisé) "Histoires d'hiver" (1999). http://www.cinemamontreal.com/aw/crva.aw/p...es_d_hiver.html J'ai craqué pour ce film, qui présente une tranche de vie du Québec des années 1960. Le jeune garçon qui voue un véritable culte au joueur de hockey Maurice Richard, le père qui invite son patron juif anglophone à souper (et qui se met les pieds dans les plats, c'est le cas de le dire), l'oncle ringard mais tendre, etc.
-
Les affaires hispanophones au Québec se font surtout avec les accents Mexicains et Chiliens. Nous avons des ententes commerciales fortes avec ces deux pays et un bon commerce bilatéral. Les Québécois s'entendent d'ailleurs fort bien avec les Chiliens, et cela remonte aux années pré-Pinochet (d'ailleurs un nombre très grand de Chiliens se sont réfugiés à Montréal dans les années 1973-1977 -- un véritable réseau d'aide aux réfugiés s'est installé, ce qui a mené à l'assassinat d'un prêtre activiste à Montréal par les agents de Pinochet). La communauté chilienne s'est très bien intégrée à Montréal et les gens sont souvent trilingues; j'ai des amis qui ont de la famille là-bas, ce sera intéressant pour de futures vacances! Le commerce et les échanges universitaires avec Cuba sont aussi en croissance. Dans le domaine biomédical, des chercheurs de Montréal et d'Ottawa ont développé avec leurs pairs cubains: - une variété de bananes résistant aux maladies - un vaccin synthétique très efficace et peu coûteux contre méningite-pneumonie Alors... n'en déplaise à ceux qui parlent à la manière de Madrid ou de Buenos Aires... c'est ainsi que les choses se font au Québec. À l'école des HEC à Montréal, les cours d'Espagnol sont devenus incontournables, surtout quand on considère le nombre d'entreprises canadiennes qui ont des usines, des bureaux ou des fournisseurs au Mexique (par exemple: Alcan, Bombardier, Lassonde, Fontaine Santé). Pour le Mexique, un mot explique une bonne partie du volume commercial: ALENA.
-
Pour TVA, il y a des reportages en ligne sur le site: http://www.canoe.com/index.html
-
Ah désolé, je dois vivre sur une autre planète. Merci Parati de m'expliquer le Canada. ps: Tu sais, Parati... dans bien des domaines, le fait de connaître une 3e langue est vu comme un atout chez le candidat. Même si cette langue n'est pas pertinente pour le poste recherché, cela compte dans le "profil de personnalité" du candidat.
-
Les citoyens de cette ville a brûlé le drapeau québécois, ont craché dessus et l'ont piétiné en 1990. Puis la ville s'est déclarée officiellement "unilingue anglophone". Désolé, mais je crois que nous allons laisser passer cette invitation.
-
Dans ta liste, il manque "La liberté d'une statue" (1991) d'Olivier Asselin. Ce film, hélas quasi introuvable, qualifié d'"ovni dans l'histoire du cinéma québécois", devrait être être présenté à tous les amateurs de cinéma qui ont aimé Meliès et le Woody Allen des débuts. Il passe parfois (rarement) à Télé Québec tard le soir. Article sur le cinéaste: http://www.iforum.umontreal.ca/Forum/Archi...article3826.htm
-
La question est revenue très souvent. Vous pouvez faire une recherche dans les anciennes discussions. Notez bien que la région des Laurentides, à la hauteur de Saint-Jérôme, n'est pas montagneuse et est plus agricole que forestière. Donc si vous recherchez le paysage mystique des montagnes arrondies et couvertes de sapins, avec des vallées constellées de lacs, il faut aller environ 40 km plus au nord (les collines commencent à Prévost, les montagnes commencent après Piedmont). Si Saint-Jérôme vous intéresse pour sa proximité de Montréal, la nature et la qualité de vie, peut-être devriez-vous considérer aussi la ville de Joliette.
-
Votre choix dépend aussi d'autres paramètres dont: votre budget mensuel pour le loyer, la taille de l'appartement que vous cherchez, votre mode de déplacement (voiture ou transports en commun), dans quel coin vous aurez du travail, l'importance qu'aura pour vous la proximité de gens de même origine culturelle, la langue dominante du quartier (Français ou Anglais), l'importance que vous accordez aux arbres et aux parcs, le bruit, la proximité des commerces, etc. Sachez qu'on trouve des écoles primaires à moins de 500m dans la plupart des secteurs.
-
En tout cas, Dudeneverstop, vous serez heureux de savoir que ce loisir (le scrapbooking) existe bien au Québec et même qu'il gagne en popularité. Il y a 5 ans, on ne trouvait qu'un seul atelier à Montréal (sur la rue Roy près de la chocolaterie Chloé). Aujourd'hui il y en a un peu partout, et même en région. Ici à Rimouski il y a une boutique-atelier, par exemple. Et puis les grandes surfaces ont commencé à s'intéresser au phénomène; des magasins comme Omer Deserre offrent un grand choix de matériel ciblé, par exemple.
-
Et ça, c'était du manque de respect envers fortsympa...
-
Extra !!!! C'est bon à savoir !! Mais je suis étonné qu'il n'y ai pas encore de version française du mot Scrapbooking au Québec ! Il y a une boutique de scrapbooking pas loin de chez moi, et les gens utilisent le mot complet ("scrapbooking") tout simplement. S'il y a un diminutif, je ne suis pas au courant... mais ce n'est pas "scrap" ça c'est certain Quant au terme recommandé par l'OLFQ, je le trouve un peu ronflant... Il faudra que je porte attention... est-ce que des gens utilisent "montage d'album"?
-
Salut! J'aimerais revenir sur le terme "scrap" (pour "scrapbooking"). Juste pour vous dire que c'est un loisir très intéressant... mais que vous feriez mieux de ne pas utiliser le diminutif "scrap" au Québec, car ici c'est synonyme de "déchet" ou de "carcasse de voiture"! Donc pour vous éviter des quiproquos et situations dignes d'un film de Louis de Funès lors d'entrevues ou de discussions, je vous en conjure, utilisez le mot au long!!! En espérant que vous avez beaucoup d'humour.... J'ose à peine imaginer l'entrevue d'emploi Patron - Parlez-moi de vos loisirs. Candidat - Hé bien... je scrap. Patron (très surpris) - Vous scrappez? Quoi au juste? Candidat - Toutes sortes de choses: carton, laine, plastique... tout ce que je trouve sur mon chemin... Patron - Ah bon? Et vous faites ça à un endroit particulier? Candidat - Oui, surtout dans mon cours de scrap? Patron (éberlué) - Vous faites cela dans une cour à scrap? Et vous utilisez de la tôle aussi? Candidat - Non ce serait trop lourd. Je préfère scrapper des livres. Patron (découragé) - Il scrappe des livres... on aura tout vu... .......
-
Si vous parlez déjà bien Anglais, le fait d'avoir travaillé à Londres plutôt qu'en Espagne ne vous apportera aucun avantage spécifique. D'ailleurs, puisque l'Espagnol est très en demande actuellement au Canada, votre expérience de travail dans cette langue vous aidera à vous démarquer; n'oubliez pas d'en parler dans votre CV lorsque vous serez en recherche d'emploi au Québec.
-
Merci pour le beau compliment...
-
Chronique très intéressante et portrait réaliste de ce quartier. Par contre une petite phrase qui me tarabiscote: Outremont est un quartier chic et bourgeois depuis un bon siècle déjà. Le Plateau, quant à moi, je l'ai connu à la fin des années 1980 et du règne maudit du maire Doré. À cette époque le Plateau était encore un quartier populaire, avec une saveur encore ouvrière et de la pauvreté. Il n'y avait pas beaucoup de restaurants branchés; on y trouvait surtout des petits fast-food et des restaurants "familiaux" avec menu du jour. C'est ce quartier qu'on peut s'imaginer en lisant Le Matou d'Yves Beauchemin. Roman écrit en 1981 et décrivant un quartier un peu moche, populaire et un peu décrépit. D'ailleurs la "Binerie Mont-Royal" décrite dans le roman existe toujours et sert toujours les mets traditionnels dont on parle dans le roman: fêves au lard, bacon, saucisse de porc, etc. Le Plateau a commencé à se développer au moment où les étudiants de l'Université de Montréal et de l'UQAM l'ont envahi (grâce surtout à la proximité des universités et au bas prix des loyers à l'époque). On pouvait louer un 6 1/2 pour une bouchée de pain sur la rue Laurier à l'époque, et prendre l'autobus 53 vers l'UdeM ou le métro ligne orange vers l'UQAM. Les joyeux étudiants habitaient à 3 ou 4 dans ces immenses appartements... qui ont été pour la plupart convertis en condos aujourd'hui. C'est sur le plateau que j'ai aperçu une fois, en 1993 je crois, une jolie fille aux cheveux teints en vert et avec une grappe de raisins en plastique sur la tête. Elle était si belle que j'ai mis le pied hors du trottoir. C'est sur le plateau que j'ai mangé du thai végétarien (avec du "faux poulet" de seitan) 3 fois avant de me rendre compte de ce que c'était vraiment. C'est le plateau qui m'a fait rencontrer par hasard Victor Lévis-Beaulieu et Frédéric Beigbeder. C'est tout ça le plateau. Après les étudiants, au début des années 1990, c'est la faune artistique et la bohème qui s'est installée. Les artistes, puis les bobo (bourgeois-bohème) et tout le reste. Les prix sont montés en flèche au milieu des années 1990, on rénovait tout, les restaurants ouvraient et fermaient à un rythme infernal. Aujourd'hui c'est un quartier habités surtout par des jeunes professionnels chanceux et par des gens un peu plus âgés (dans la cinquantaine)... ceux qui s'y sont installés juste avant que les loyers ne montent, les ex-bohémiens qui gardent souvent un style vestimentaire flamboyant. Voilà c'est le petit bout d'histoire qui manquait, pour voir comment on est arrivés au Plateau d'aujourd'hui; je suis heureux d'avoir été témoin des transformations profondes qu'a vécu ce quartier, que j'ai fréquenté assidûment de 1989 à 2003 (j'y allais pour tous les prétextes possibles: achat de cadeaux, resto, vente et achat de livres usagés, flânage). Je n'y ai jamais habité, pourtant je m'y sens comme chez moi. Je déplore toutefois que ce quartier soit devenu trop propre, trop rangé, trop parfait, trop bourgeois. Disparues les murales délirantes, les brocantes bizarres, la faune bizarroïde ou vaguement inquiétante des années fin80-début90. Heureusement le quartier est encore très vivant, il résiste à tous les désinfectants, et il est à dimension humaine.
-
Bonjour! Quand on pense à l'Alberta on pense surtout aux deux grandes villes (Calgary et Edmonton)... mais j'ai une amie qui habite Saint Paul, une petite ville située à deux heure de route d'Edmonton en allant vers Cold Lake (vers l'est). C'est une communauté bilingue, chose rare dans cette province. Évidemment la langue dominante est l'Anglais, mais dans cette ville vous avez accès à plusieurs services en Français (dont les écoles). Site de la ville: http://www.town.stpaul.ab.ca/ École francophone (de la maternelle jusqu'à la 12e année): http://www.cen3.ab.ca/sommet/ L'école Racette Junior High (6e à 9e année) offre des cours d'immersion dans les deux langues officielles. Autres écoles francophones du secteur: http://www.cen3.ab.ca/nosecoles.htm Comté: http://www.county.stpaul.ab.ca/ Francophonie et analyse démographique: http://www.rdee.ca/applications/rdee/index...p;page=chiffres Profil socio-économique: http://www.rdee.ca/applications/rdee/index...amp;page=vision Donc avis à ceux qui veulent vivre en Anglais tout en ayant accès à une communauté francophone de taille intéressante, Saint Paul (Alberta) pourrait être un bon choix.
-
Wow, les frais sont vraiment élevés!!!
-
Pareil pour les transferts . Ca m'a pris plus d'une semaine avant que tout le monde comprenne ce qu'ils avaient besoin et ce qu'ils devaient faire et plus d'une semaine pour qu'ils le fassent. Il y en a qui connaissent vraiment pas leur boulot et c'est valable pour les 2 bords ! Les chèques de voyage sont en perte de vitesse au Québec. (C'est le cas de le dire!) Bien des gens, même dans le milieu bancaire, ne savent plus trop quoi en faire. C'est drôle parce que lors de mon dernier voyage en Europe, il y avait des bureaux de change spécialisés un peu partout. Je me souviens en particulier d'un à Salzbourg, juste en face de la statue de Mozart! Y a-t-il un moyen pour vous d'obtenir une carte de crédit avec NIP (mot de passe) compatible avec le réseau international Cirrus ou Plus? Comme cela, vous pouvez retirer de l'argent un peu partout dans les guichets automatiques. Lors de mon voyage en France et en Espagne, en 2001, je retirais mon argent directement au guichet automatique avec ma carte de débit bancaire ou ma carte de crédit (québécoises!) alors ça doit fonctionner aussi dans l'autre sens.
-
Salut! Westmount et la gastronomie... on repassera! Ces gens sont riches mais ne savent pas bien manger. Dans ton cas, le marché public le plus proche serait le marché Atwater. Tu peux y faire un tour.... peut-être y trouveras-tu tout ce que tu cherches et plus encore. Ma femme y a trouvé du fromage Manchego (espagnol). http://www.marchespublics-mtl.com/fr-CA/Ac...er.aspx?CatID=2 http://fr.wikipedia.org/wiki/March%C3%A9_Atwater
-
Le pire là-dedans c'est que personne autour de moi ne peut situer Saint-Magloire sur une carte... quand à moi j'ai sursauté en lisant le nom du village. Je n'en avais jamais même entendu parler, moi qui ai visité presque tous les racoins du Québec (à part en Abitibi et au Nord)... Il faut vraiment que ce village soit tout petit et retiré (lire: loin des routes principales)... Vous êtes hélas tombés dans ce que les Québécois appellent "un trou", c'est-à-dire un village en déclin avec une mentalité figée. Tout cela sent le renfermé. Il est probable que les jeunes Québécois nés dans ce coin-là n'aient qu'une intention: quitter au plus vite et s'installer en ville. J'ai de la misère à imaginer qu'une telle chose puisse se produire dans les villages de ma région d'origine, soit Lanaudière. Si vous avez la chance de vous relocaliser dans une région agricole, pour transférer votre entreprise, je vous recommanderais des endroits comme Sainte-Mélanie, Sainte-Béatrix, Saint-Félix-de-Valois, Saint-Jean-de-Matha. Ce sont des villages de taille comparable mais beaucoup plus accueillants, dans une belle région. Et il y a en masse de petits vieux dans cette région-là aussi! D'un autre côté, si votre désir le plus fort actuellement est de plier bagage et de retourner en Europe, je vous comprendrais parfaitement. Vous avez vécu une situation incroyablement difficile. Vous avez connu le pire du Québec et des Québécois. Malgré votre tenacité, ces gens-là ne semblent pas près de changer; nous ne sommes pas dans un film hollywoodien où les "étrangers" sont miraculeusement acceptés par tout le monde à la fin, dans un banquet tout-inclusif à la Astérix.
-
C'est un prix intéressant pour un meublé bien situé. Est-ce que c'est loué au mois ou bien il faut prendre un bail annuel, dans ce cas précis?
-
En informatique industrielle, presque tous les emplois sont réservés aux ingénieurs en informatique. Il serait important, si le domaine t'intéresse, que tu vérifies si tu y as accès.