-
Compteur de contenus
6 467 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
6
Type de contenu
Profils
Forums
Calendrier
Blogs
Tout ce qui a été posté par Zogu
-
Le coulibiac est le plat emblématique du film "Le déclin de l'empire américain". Mais Nicolas... fait bien attention à l'embassadeur et à sa générosité, car tu pourrais bien te réveiller demain matin dans le caniveau avec un mal de tête et un rein en moins. :maxpayne:
-
Harper est allé faire un tour en Beauce ce weekend. Croyez-le ou non, même s'il est venu le jour de la St-Jean, on a enlevé tous les drapeaux du Québec pour ne pas le choquer!!! Faudrait que je publie ici mon essai sur les particularités de la Beauce, sur la manière de la rallier à la mouvance souverainiste et sur son potentiel particulier dans un Québec souverain. Il ne suffirait pas de grand chose pour chambouler le paysage politique de Beauce... il suffirait d'un Beauceron avec les idées à la bonne place! Mais que voulez-vous, le PQ n'a jamais su parler aux fiers habitants de cette belle région...
-
Salut si tu as un portable centrino tu n'a besoin d'aucune extention puisque le service Wifi fait partie de la carte mere de ce genre d'ordinateur. Si ce n'est pas ton cas tu peux acheter une carte PCMCE ou un USB Wifi. La deuxieme option est moins chere mais plus lente. horsy II Petite correction! Le port PCMCIA est limite a 115200bps contre 480Mbps pour l'USB2.0, donc un adaptateur wifi en USB sera theoriquement plus rapide. En plus c'est moins cher et ca bouffe moins de courant Et si ton laptop est recent le wifi doit etre embarque. Pour info 'Centrino' est un nom marketing; il existe (et pour la plupart c'est meme comme ca) des laptops non-Centrino et equipes Wifi. En effet, Centrino n'est que le nom d'un processeur qui fait de l'économie d'énergie en fonctionnant à vitesse variable. Bien que ce soit une excellente technologie pour les laptops (puisqu'elle permet d'économiser la batterie)... cela n'a aucune incidence sur la présence ou non d'une carte wifi.
-
Denis Coderre, ex-ministre (ir)responsable de la francophoney cananadienne.
-
Ces définitions sont issues de longues discussions avec des souverainistes, des allairistes (autonomistes), des confédéralistes, etc. J'ai d'ailleurs longtemps flirté avec l'autonomisme à la catalane et avec le confédéralisme, d'où mes analyses et questionnements. D'ailleurs il faut bien lire la plateforme électorale du Bloc Québécois pour saisir certaines de ces nuances et leurs implications profondes. Ça pourrait en surprendre certains ("sont ils vraiment souverainistes?"). N'oublions pas que le Bloc a été fondé par Bouchard, un confédéraliste avoué et seul fils spirituel de René Lévesque. Un petit exercice: lire les plateformes politiques et en faire l'analyse du vocabulaire. Combien de fois y retrouve-t-on le mot "nation", "pays", "état", "souverain", "autonome", etc. À défaut de dégager un consensus clair, ces discussions m'ont permis de produire une taxonomie des termes et une idée de l'alignement de chaque personnage politique. Quant aux partis ils n'ont pas le choix, ils doivent ratisser large sinon ce serait beaucoup trop fragmenté. Difficile après avoir remporté les élections de faire plaisir à tout le monde: le PQ compte autant d'étapistes prudents (Boisclair, peut-être un futur Pierre-Marc Johnson oulala) que de fanatiques du référendum instantané (ceux que j'appelle les "kamikazes" et qui ont attrapé la référendite aiguë). Il y a aussi ceux qui prônent l'élection référendaire, comme par exemple le regroupement MES ("Mouvement pour une Élection sur la Souveraineté") qui pensent tout régler en associant l'élection provinciale à une consultation pour l'indépendance (alors que ce serait dangereux selon plusieurs acteurs, dont Jacques Parizeau et moi!). Mentionnons juste qu'une défaite électorale lors d'une élection référendaire ferait encore plus mal qu'une défaite à une consultation référendaire (référendum)... alors qu'une victoire ne mènerait absolument pas à une déclaration d'indépendance reconnue et serait facilement contestable. Tout un cul de sac.
-
Et pour faire une 2e ronde de définitions, voici des termes souvent mal utilisés ou vides de sens: Nationalisme Idée de l'existance d'une nation canadienne-française, de son émancipation et de sa libération du carcan post-colonial britannique. Ce terme a évidemment une connotation "nazionale" et devrait être évité aujourd'hui. D'autant plus que nous avons parcouru beaucoup de chemin depuis Maurice Duplessis, l'affaire Maurice Richard et les années à l'ombre de la SSJB à prier pour un terroir francophone; nous avons développé l'identité nationale québécoise. Voir Lionel Groulx. Indépendantisme Terme flou correspondant à un idéal de la souveraineté sans son pendant de l'association. Incompatible avec la pensée politique du PQ et de l'ADQ, qui est plus pragmatique et qui reconnaît l'importance de l'intégration économique et stratégique avec le Canada. Voir Pierre Bourgault (que ses fans vous empêcheront de critiquer, sous peine de vociférations tonitruantes) et le défunt RIN. Pur et dur (ou purzédur) Terme inventé par les journalistes de La Presse pour décrire les souverainistes qui manifestent dans les rues, qui refusent les aménagements constitutionnels (Charlottetown, Meech) ou qui écrivent des lettres aux journaux. Voir tout commentaire d'André Pratte à propos de Pierre Bourgault. Fédéralisme dur Refus de reconnaître toute particularité au Québec, déni des revendications historiques. Certains fédéralistes durs crachent même sur le parti Libéral lorsque celui-ci tente de faire avancer le Québec. Ils considèrent le Canada comme leur seul et unique identité et n'ont que faire du Québec, une "simple province, une division administrative et un découpage territorial arbitraire". Voir Robert Libman et Stéphane Dion. Fédéralisme mou Apologie du statu quo et acceptation du Canada "tel qu'il est actuellement". Souvent les fédéralistes mous se lamentent sur les coûts référendaires, sur la supposée fuite des capitaux à cause de la loi 101. Ils aimeraient ça avoir la "sainte paix" et vivre en bons contribuables. Bref, ils ne sont pas de fervents canadiens, ils ont juste développé une allergie à la politique constitutionnelle. Voir André Arthur. Indécis Personne qui désirent secrètement voter oui mais qui vote non, pour des raisons souvent difficiles à expliquer. Il y a les indécis incohérents, les indécis alternatifs et les indécis pissou. Voir Claude Ryan et son Livre Beige, pour un exemple d'indécis incohérent.
-
Petiboudange, Le combat pour l'autodétermination du Québec regroupe un tas de tendances disparates et parfois contradictoires. Je vais résumer ici très brièvement les termes les plus utilisés. Souveraineté-Association Autonomie politique du Québec dans une association asymétrique avec le Canada. Voir René Lévesque. Souverainté-Négociation Terme utilisé en boutade par Parizeau. Négociation d'une intégration économique et stratégique avec le Canada après la déclaration d'indépendance (souveraineté politique). Voir Jacques Parizeau. Autonomisme Autonomie partielle du Québec (comme la Catalogne) dans le Canada. Voir Jean Allaire et Mario Dumont. Confédéralisme Refonte de la structure politique du Canada pour que celle-ci respecte l'esprit de la Confédération de 1867, soit: large autonomie des provinces, péréquation, gestion décentralisée et gouvernement central limité. Voir Lucien Bouchard pré-1992. Affirmationnisme Reconnaissance par le Canada des particularités du Québec et intégration de celles-ci dans un document officiel. Voir Robert Bourassa et Jean Lesage. Étapisme Accession graduelle à la souveraineté par le Québec, à la manière de la Norvège au 19e siècle (pays-modèle qui avait aussi son Assemblée Nationale appelée "Storting"). Voir Bernard Landry et Pierre-Marc Johnson. Beau Risque Acceptation de l'invitation à négocier des aménagements constitutionnels de la part du gouvernement fédéral. Voir René Lévesque en 1980-1982, Mario Dumont. Fédéralisme Renouvelé Terme fourre-tout qui peut regrouper le beau risque, l'autonomisme, le confédéralisme, etc., et qui correspond à des offres (généralement symboliques, vides de sens ou inacceptables) du gouvernement fédéral. Voir Jean Charest, Pierre Trudeau. ...et vous, quelle est votre saveur politique?
-
Ouais... les appellations varient selon les sources. Historiquement, les Hautes-Laurentides englobaient tout ce qu'il y avait au nord de Piedmont: c'était les "Pays d'en haut" des contes et légendes (voir "Séraphin"). C'est pour cela que les Québécois parlent toujours des Laurentides comme d'une contrée lointaine en cours de peuplement, d'un espace pour les pionniers: ce peuplement est relativement récent (voir la biographie du curé Labelle et l'histoire du P'tit train du nord). Ce qui était loin il y a un siècle est maintenant à 50 minutes d'autoroute... et il y a l'Abitibi, la Baie James, l'Ungava tout en haut des pays d'en haut... Note bien que l'expression "Coeur des Laurentides" est très récente et n'est pas encore passée dans les moeurs. La plupart des organismes de MRC et de tourisme ne l'utilisent pas. L'important pour les futurs immigrants est de bien saisir ce que sont les 3 régions naturelles: les plaines agricoles au sud, les montagnes peuplées du "coeur", les forêts très peu peuplées au nord. Je crois que tu as bien décrit les choses, Bouh. Et puis, mieux vaut habiter la "tête" des Laurentides, ou leur "coeur", que la plante de leurs pieds plats.
-
Je comprends pas trop le message. En Anglais, le verbe "to obliterate" signifie avant tout "détruire totalement", "ruiner". Il a un sens plus fort que "oblitérer"... Je trouve que dans le cas qui nous intéresse, c'est ce qui s'est produit: timbre détruit!
-
Jimmy bleu-blanc-rouge etoile est l'Acadie mais vert-blanc-rouge etoile ceux sont les patriotes du Quebec qui est apparu en 1820 ou 30 suivant les sources ... et sert aux independantistes Source Je parle de ce drapeau ! Les Patriotes étaient républicains et voulaient transformer le Canada, le libérer du colonialisme britannique. Ils comptaient de nombreux anglophones dans leurs rangs. Leur quête transcendait les querelles linguistiques et les frontières du Québec -- ils ont tenté de faire la révolution en Ontario aussi. Ce drapeau, bien que récupéré par les souverainistes depuis quelques années seulement, est lourd d'histoire et nous rappelle que nous devrions vivre dans une République. ps: La révolte de 1837 était républicaine et elle n'était pas dirigée contre les anglophones mais contre le pouvoir Britannique. Nuance importante (...voir Wolfred Nelson par exemple). Celle de 1838 était nationaliste.
-
Même Jean Charest utilise parfois, du bout des lèvre, le "N word" (le mot Nation). Tout comme Robert Bourassa avant lui, notre grand frisé national est avant tout fédéraliste, mais il n'est pas suicidaire ou totalement insensible non plus. Lire aussi l'éditorial de Michel Auger, qui nous a offert un rare discours "affirmationniste" qui tranche avec son austérité habituelle. Comme quoi il y a des consensus politiques parfois bien cachés et qui transcendent les divisions entre partis au Québec... Quant à Stephen Harper il demeure bloqué dans l'ornière de la "Déclaration de Calgary" de 1993 qui nie à peu près tout ce qu'est le Québec ("caractère unique" plutôt que nation, "assemblée législative" plutôt qu'Assemblée Nationale, etc). Ne resterait plus qu'à ressusciter le projet de Loi 99 de décembre 2000 ("LOI SUR L?EXERCICE DES DROITS FONDAMENTAUX ET DES PRÉROGATIVES DU PEUPLE QUÉBÉCOIS ET DE L?ÉTAT DU QUÉBEC"), qui faisait consensus mais qui n'a jamais été proclamée à cause de la tiédeur de l'oncle Lulu. Au-delà des débats interminables sur les mots (peuple, nation, société distincte, caractère unique). Ne vous en faites pas, je m'y suis mis personnellement (et j'ai quelques contacts). Si bêtement politique Michel Auger Lundi 26 Juin 2006 Pas de merci pour nos politiciens qui nous auront donné la Saint-Jean la plus bêtement politique depuis longtemps. Le mot clé ici étant : bêtement. Personne ne se sera aidé avec ce mauvais débat sur le mot «nation». Commençons par Stephen Harper. Le premier ministre du Canada doit souffrir d?une affliction rare appelée la «peur du substantif». M. Harper est capable de parler de l?Assemblée nationale, il nous a souhaité «Bonne Fête nationale» ? il aurait pu se contenter de dire «Bonne Saint-Jean», après tout ? mais il est incapable de dire que le Québec constitue une nation. C?est un des vieux démons de la politique canadienne et qui nous ramène tout droit au temps du débat sur l?Accord du Lac Meech, quand il était impossible à certaines personnes ? dont M. Harper ? de reconnaître la simple notion d?une société distincte. Un passé que le premier ministre n?a nul intérêt à ressusciter. Au Canada, il est acceptable de parler des nations autochtones et de la nation acadienne, mais quand il s?agit du Québec, il ne faut surtout pas en parler. Ou plutôt, il est acceptable d?employer l?adjectif «national», mais pas le substantif «nation». À la fin, c?est ridicule et, franchement, quelque peu insultant. Ça n?a rien à voir avec une quelconque reconnaissance juridique, puisque les fédéralistes québécois n?on aucune difficulté à employer le mot «nation», comme le fait régulièrement le premier ministre Jean Charest. »
-
Est-ce que tu lis Le Journal de Québec, ou bien La Presse?
-
Le concert etait tres bien, l'ambiance sympa, sauf que parfois c'etait un peu too much ... No Comment sur la partie discours et certains drapeaux vert, blanc, rouge etoile ... J'attends de voir la celebration de la fete du Canada a Ottawa pour faire un petit bilan personnel . En tout cas plein de festivites de ce cote ci de la riviere pour le 1er Juillet Bon, un autre qui nous refuse le droit d'exister...
-
Pour les cours d'Anglais gratuits, c'est plus facile dans les autres provinces... il suffit de lire les étiquettes des produits au supermarché et d'essayer de se débrouiller avec le bilinguisme d'état officiel... Au Québec, ce serait plutôt les cours de Français gratuits!
-
Queenie, ton analyse des quartiers est d'une grande justesse. D'ailleurs si tu veux "espionner" les quartiers de Gatineau par satellite, je te recommande d'installer Google Earth et de faire un zoom, on voit bien la taille des maisons. Du côté du bilinguisme: tout à fait. J'ai connu des gens qui travaillent en administration et en gestion, et ils étaient vus comme bilingues à Montréal... mais rendus à Gatineau-Ottawa, ils ont dû prendre des cours de perfectionnement car ça ne tenait plus!!! Le bilinguisme est un concept subjectif, et à Montréal les critères sont plus élastiques qu'à Ottawa.
-
Il me semble que le Libertarianisme est une utopie tout aussi forte que le Communisme (faire sauter les frontières, mettre le citoyen au pouvoir en diminuant l'appareil étatique, etc). Mais bon, je ne te taquinerai pas trop de ce côté-là, puisque j'ai du respect pour les idéalistes!!! Je m'incluais dedans justement ! ... mais j'ai peut-être été confus dans mon explication... Mais non... je ne voulais juste pas manquer l'occasion. Trop souvent on imagine que seule la Gauche peut produire des utopies!!!!
-
Je ne peux pas vous aider directement, mais étant donné que vous serez 5 personnes ce serait bien de chercher un appartement de format "5 1/2" ou "6 1/2". Cela vous fera 3 ou 4 chambres fermées. Vous prévoyez arriver à quel moment de l'année? Le pire moment pour chercher un appartement à Montréal c'est mai-juin car c'est la cohue des déménagements juste après (1er juillet) et la compétition est féroce.
-
De là le verbe anglophone: to obliterate.
-
Il me semble que le Libertarianisme est une utopie tout aussi forte que le Communisme (faire sauter les frontières, mettre le citoyen au pouvoir en diminuant l'appareil étatique, etc). Mais bon, je ne te taquinerai pas trop de ce côté-là, puisque j'ai du respect pour les idéalistes!!! En passant, je trouve qu'un détail qui fait que le Québec est plutôt courtois, c'est le service dans les bons restaurants (mais pas dans les fast-food graisseux hein). Combien de fois avons-nous demandé des petites modifications au menu, une table en particulier, des questions à n'en plus finir... combien de fois avons-nous quitté un restaurant 1 heure après la fermeture alors que les serveurs (visiblement exténués) attendaient patiemment notre départ pour fermer... et en cas de problème (par exemple, un convive n'aime pas du tout son assiette mais celle-ci est impeccable) aucune obstination, on nous propose un remplacement... il est possible de partager les assiettes ou de séparer les portions sans se faire engueuler... les garçons sourient parfois... ...bref j'ai beaucoup plus d'expériences très positives que d'expériences négatives avec le personnel des restaurants québécois. Et je tiens à le mentionner, car on parle de courtoisie ici.
-
Quand je suis allé en France, le vol Montréal-Toulouse était le moins cher de tous les vols vers la France et ce, peu importe le transporteur. Tant mieux car j'aime bien le sud de la France et les Pyrénées!!!! Forcément j'y retournerai en vacances un jour...
-
Salut! La région de Chaudière-Appalaches se subdivise en plusieurs secteurs très différents. Peut-être pourrais-tu consulter cette carte de la région et spécifier quel secteur t'intéresse le plus. http://www.quebecweb.com/images/cartes/chaudApp.jpg Il est aussi bon de savoir que la Beauce est une région réputée difficile pour les immigrants (et pour toute personne provenant du reste du Québec aussi). Ce n'est pas nécessairement le secteur idéal pour "jeter l'ancre" quand vous débarquerez. Peut-être plus tard, quand vous aurez débuté votre intégration.
-
Moi j'suis allé cueillir des fraises sauvages proche de chez moi (Michel: en haut de la rue Voyer si jamais tu cherches le "spot")... des minuscules fraises des champs. J'ai rempli un contenant de 750ml, un vrai travail de moine. Puis j'ai fait de la confiture de fraises des champs et de rhubarbe de chez moi, une merveille. Une chose qu'on peut faire dans certains coins du Québec: trouvez un bord de route en campagne, ou un champs abandonné, et vous serez presque certain d'y trouver des fraises sauvages. Personne ne va vous importuner. Elles appartiennent à personne et à tout le monde!!! Confiture de fraises des champs et rhubarbe: 250 ml de fraises équeutées 250 ml de rhubarbe pelée et coupée en petits morceaux 200 ml de sucre blanc 15 ml de jus de citron Mélanger les ingrédients dans une casserole et faites mijoter 20 minutes. C'est d'une simplicité enfantine. T'oublies le temps des pommes!!! Mais ça c'est un tout autre sujet... d'automne.
-
Ne manquez pas le meilleur restaurant du quartier Jean-Talon (selon moi.. c'est très subjectif!!!)... Restaurant ALEP http://www.montrealplus.ca/portalf/profile...profileID=38913 Et son petit frère, le café "Petit Alep" http://www.montrealplus.ca/portalf/profile...profileID=65059
-
Pour Joliette, il y a aussi Grizzli qui est bon ambassadeur et il aura le mérite d'y habiter! Je pourrais vous retourner la question et demander QUELS Laurentides vous intéressant, car la région est vaste et variée. Nous pouvons la séparer en 3 secteurs économiques, du sud au nord. Les Basses-Laurentides Région de plaines et de petits boisés. Près de Montréal, des banlieues denses et des autoroutes. des érablières au nord de Saint-Eustache, des vergers à Oka. Plus au nord, à Mirabel et Saint-Jérôme (ville principale), des plaines encore largement agricoles. L'économie est industrielle et agricole. Les Hautes-Laurentides À partir de Piedmont, ça ondule et les collines débutent puis deviennent des montagnes. Région très touristique avec des dizaines de centres de skis. La région est très bien desservie par l'autoroute 15 et la ville principale est Sainte-Agathe. L'économie est axée sur le tourisme, les sports et les loisirs. La MRC Antoine-Labelle À partir de Tremblant, le massif montagneux est à son maximum (les sommets ne dépassent toutefois pas 1000 mètres). La densité de population est très faible et la démographie est à la baisse (vieillissement de la population à Labelle et L'Annonciation par exemple). Cette région compte une myriade de lacs et de marécages; la vie économique gravite autour de la foresterie, des pourvoiries (chasse et pêche) et du transport longue distance vers les région plus au nord. Au-dela de Mont-Laurier (ville principale), il n'y a presque plus de villes le long des routes.
-
Sur le Plateau tu auras de la difficulté à trouver des bons prix. Des quartiers où il y a une facilité pour trouver des épiceries avec produits halal et peut-être une bonne mosquée: Saint-Laurent, Villeray (Jean-Talon), Jarry surtout. Il y a une forte communauté marocaine un peu partout à Montréal. Tiens un lien qui pourrait t'aider dans ta recherche: http://www.naqshbandi.ca/fr/mtl/mosquees.shtml Pour les écoles primaires ne t'en fais pas, la qualité des écoles dépend de l'ambiance du quartier donc si le quartier te semble accueillant c'est un bon indice. Note bien que l'enseignement se fera en Français. Aussi si tu prévois habiter en banlieue hors de l'île de Montréal (et acheter une voiture!), tu peux habiter Laval, Longueuil ou Brossard par exemple, il y a tous les services et c'est aussi bien situé. Donc tout dépend du style de vie que tu recherches et de ton futur emploi!