Zogu

Eh bien laisse-moi te citer à nouveau le message d'origine dans cette discussion. Il s'agit d'une personne qui a prévu D'AVANCE de passer par le Québec pour s'installer ailleurs: Il faut comprendre qu'il y a l'immigration au Canada, et l'immigration au Québec... qui sont deux processus pas tout à fait pareils. Et en passant, c'est quoi des "tax dollars"? Est-ce que tu parles de l'argent des impôts provinciaux québécois? Le Québec fait son possible pour promouvoir l'immigration francophone, pour accueillir les nouveaux arrivants, etc. Si le Québec ne faisait rien pour défendre le français, vous ne seriez probablement même pas ici en train de parler d'immigration; le Canada serait un pays 100% anglophone depuis longtemps. Alors un peu de positif SVP. Et arrêtez donc de cracher sur le Québec!

Brochets et Dorés se pêchent en lacs, par exemple dans le parc de la Vérendrye. On y fait de belles prises. Ce sont de beaux poissons voraces, surtout le brochet qui a une sacré dentition. Le Doré a une belle chair avec peu d'arètes. Il y a d'autres carnassiers de lac, mais je ne les ai jamais pêchés, désolé.

Je sais que le gouvernement a des échelles salariales très bien définies et des programmes de congé super intéressants. Cependant... Je ne suis pas tout à fait d'accord. Certains employeurs du secteur privé "donnent" 3 ou 4 semaines de congé lorsqu'ils embauchent un directeur de projet, un chef d'équipe, etc. Question de bien traiter un employé qui deviendra important pour l'entreprise.

Wow, quand la pratique est plus sympa que la théorie... on a de quoi sourire!!! La loi définit ce qu'est le strict minimum... ensuite, c'est aux employeurs de s'arranger pour rendre leurs employés "encore plus heureux". Et le plus amusant, c'est que beaucoup d'employeurs donnent plus. Ils ont compris qu'un employé qui débute a quand même besoin de repos de temps en temps... et que si l'employé reste longtemps dans cette entreprise... autant bien le traiter dès le début. Aussi, il est facile d'obtenir des congés supplémentaires pour des raisons personnelles. Ils ne sont pas toujours payés, par contre. Mais hé, ça se prend bien... que ce soit pour allonger une fin de semaine de 3 jours, ou pour accompagner un ami en excursion!

Voir la rivière sur ces photos (la 2e série) Ainsi que les poissons (pas ceux qui portent des bottes!!!) http://photos.yahoo.com/hugo_dufort/

Une bonne rivière à truite est rapide, n'a pas un fort volume d'eau et est très rocheuse. Pense à un gros torrent de montagne. Le sol ne doit pas être vaseux. De plus, la truite de rivière (truite mouchetée) supporte mal la pollution industrielle et agricole. Elle ne supporte pas non plus la présence de poissons de lacs, qui sont plus voraces qu'elle. Donc, une rivière qui part d'un lac ne sera pas, en général, une rivière à truite. Il faut plutôt une petite rivière de montagne, avec un bon dénivellé et des affluents minuscules (style "ruisseau qui dévale un bassin versant).

Eh bien... Tu prends ton permis de pêche. Ca coût 14$. On le trouve dans les boutiques de chasse et pêche ou chez Canadian Tire. Tu peux pêcher dans toute rivière non protégée. Sont protégées: les rivières à saumon, les sections de rivières dans des réserves fauniques ou dans des parcs nationaux, ainsi que les ZEC. Ils sont très bien indiqués sur les cartes. Tu trouves un secteur calme et peu pollué, et tu pêche à partir des berges... ou comme moi, les deux jambes dans l'eau. Pour les lacs c'est un peu plus compliqué; c'est mieux de pêcher avec une embarcation.

Non, y'a une loi pour ça. 2 semaines c'est 2 semaines. Plus les jours fériés et les journées "de maladie" que tu peux utiliser à ton avantage. La référence officielle est ici: http://www.cnt.gouv.qc.ca/fr/normes/annuels.asp Aussitôt que tu as ta permanence (donc après les 2 ou 3 mois à l'essai)... Première année: 1 jour par mois de service. Donc si tu fais 5 mois tu as droit à une semaine. Le patron doit te payer ces vacances, au taux de 4% du salaire accumulé. Années 2 à 5: 2 semaines de vacances CONTINUES. Si ton patron exige de briser tes vacances en petits morceaux, tu peux te plaindre aux Normes du travail. Le patron doit te payer ces vacances, au taux de 4% du salaire annuel. Après 5 ans: 3 semaines CONTINUES. Le patron doit te payer ces vacances, au taux de 4% du salaire annuel. Selon les avantages sociaux que tu as négociés, ou selon la culture d'entreprise, ton patron peut te proposer des vacances PAYÉES plus longues (par exemple, 4 semaines pour les directeurs de projet). Cependant, il NE PEUT PAS te forcer à prendre des vacances non payées (car c'est contraire à la loi).

Voir le site de l'OTTDQ: http://www.ottdq.com/ Et plus particulièrement: http://www.ottdq.com/prothesiste.htm

Un petit texte que j'avais écrit à propos des Foufs et de l'époque en question... il est paru dans une revue culturelle il y a quelques années... LES PANTALONS LACÉS Fashback. CÉGEP enrhumé, pantalons noirs lacés, une croûte de calcium sur le cuir de mes Doc's. La musique de Nitzer Ebb, My Bloody Valentine, Joy Division. La poutine italienne à 3.05$, les Ringolos en abondance et le Cherry Coke tiède. Nous ne connaissions aucune position au lit, mais tous les jeux de cartes que l'humain a pu imaginer. Et même plus. Orgies. Cours de Français, février, il fait noir à cinq heures. Les gars de Nitzer Ebb gueulent leur haine. Les piles de mon walkman rendent l'âme sur ces paroles: "You can be a no man in anyone's land". Fred se ronge les ongles et Bertie lit le Auto Hebdo. Christine mange une pomme. Elle a un joli nez mais ne chante pas l'opéra pour nous. Je me souviens de phrases surréalistes que moi et mes potes écrivions sur les pupitres au collège: "Le ciel est vert, et le dentier de mon grand-père." Nous avions lancé le "Culte du Hamster", animal béni entre tous. Nous faisions des théâtres de marionnettes dans le cours de géologie avec nos petits gâteaux et des échantillons de quartzite. Fred confectionnait des colliers avec ses lacets de souliers et les Ringolos. Les lacets de mes Doc's étaient pleins de noeuds. J'avais aussi écrit un texte atroce, que j'avais lu à une émission de littérature à la radio étudiante du collège... ça parlait d'un contingent des Casques Bleus qui avaient reçu une averse de matelas, sommiers et oreillers lors de leurs opérations en Afrique. Ca se terminait en révélant que ladite averse s'était produite dans les grands espaces désertiques de "L'assomme-à-lit". On était jeunes, on était cons. Nous lisions Prévert et Breton. Nous prétendions enculer Beaudelaire, mais ça doit pas être facile avec un squelette. Oulipeau nous avait été enseigné par un professeur qui signait "Gilles" avec une petite fleur sur le "i". J'ai triché dans mon texte N+3. J'ai eu une bonne note. Nous ne savions pas encore que Breton et Soupeault avaient triché dans leur écriture automatique des "Champs magnétiques". Le propre du surréaliste est de tricher et la grosse banane bleue ballistique. Oups. Nous faisions sauter des pétards fumigènes devant les postes de police en banlieue. Nous avons fabriqué une montgolfière d'un mètre de hauteur, en papier de soie, que nous avons lancé en pleine nuit dans un parc. Elle a pris feu. Nous buvions de la vodka, beaucoup de vodka, et nous essayions de voir venir l'inspiration en hurlant à la lune, comme Gauvreau. Finalement c'est les patrouilles de beus qui arrivaient. Nous faisions des graffitis sur les murs des écoles, nous écrivions "Vous n'existez pas!", et nous distribuions aux enfants des livrets d'instructions expliquant comment fabriquer une bombe avec un chat vivant, du gaz propane et du ruban gommé. J'ai dormi sur le bord d'une rue, la tête sur le trottoir et les pieds dans le caniveau, alors que Pat hurlait "I am the lizard queer!" aux voitures qui passaient. Ca nous a pris trois heures cette nuit-là pour parcourir le kilomètre qui sépare le parc de sa maison. Nous nous sommes perdus sur un boulevard rectiligne. J'avais des bleus partout sur la figure à cause des murs qui m'empêchaient de détacher les lacets de mes souliers. Un de mes amis a lancé le festival de l'absurde au collège Lionel-Groulx. Il y avait des roses rouges dans les urinoirs et des lectures publiques du bottin téléphonique. Lorsque les autorités de l'établissement ont fermé leur cercle littéraire, les membres se sont emmurés dans leur local en fabriquant une barricade de rouleaux de papier hygiénique. Nous avons lancé un journal underground qui tentait d'expliquer aux jeunes yuppies comment lancer la guérilla urbaine. J'avais un t-shirt de Che Guévara, rouge et noir. La GRC nous traquait. Nous avons eu droit à un reportage à l'émission J.E. Nous avons acheté des tubes d'isolant-mousse en vaporisateur. Nous planifiions d'attaquer le monument "La mémoire révélée" dans le Vieux-Montréal. Il s'agissait d'un cube de granit rose de 2m de côté, vide, et percé de trous qui permettaient aux passants imbéciles de lire les inepties écrites dedans. Nous voulions remplir le cube de mousse isolante brune et le renommer "La mémoire constipée". "There's no such thing as a free ride, yeah!" Finalement, à force d'écrire des textes stupides sous l'effet de la vodka et de la bière, et de compter les jours entre les crises de foie, nous avons atteint l'âge vénérable de 18 ans. L'âge de la sagesse, puisqu'à 18 ans, eh bien, on peut avoir un casier judiciaire pour une broutille. Nous nous sommes calmés. Certains sont devenus profs de philo, ou ingénieurs, ou se sont inscrits aux HEC. Moi, à ce moment, je suis tombé en amour avec les quatrains de Rilke. Personne n'est parfait, si j'ose dire. Nous nous sommes brouillés pour des histoires de filles. Nous avons désavoué nos styles respectifs. Certains ont détruit leurs écrits. Aujourd'hui, la trentaine approche, et je suis le seul qui écrit encore. C'est dur de porter ce poids, le poids des amis qui sont passés par la machine à emboutir. Saint-Ex avait raison. Il a toujours raison, le con. Je déteste les gens qui ont toujours raison. La mort a toujours raison. Les gars de Nitzer Ebb gueulent toujours leur haine, mais mes oreilles sont un peu plus vieilles. Et les piles de mon discman rendent l'âme sur ces paroles: "There was something in the way that they grew cold When the rain came and our innocence died." (Les citations sont tirées des pièces "Floodwater" et "Bordertalk", sur l'album "Big Hit" de Nitzer Ebb.)

woooaaaaa! Les FOUFS!!!!! J'ai passé mes années de CEGEP dans ce bar. A l'époque c'était le rendez-vous de la culture alternative et punk. J'y ai vu de nombreux spectacles et j'ai souvent fini sur la terrasse pour dégriser! J'ai vu des shows de Lush, Babes in Toyland (avec la belle Mélissa comme bassiste), Primal Scream et d'autres...... Y'avait aussi le bar "La Nausée" qui était dans le même genre... avec projection de films de série B sur le mur... qu'est-ce qu'on s'en envoyait, des pichets de bièèèère! Depuis quelques années, en fait depuis que la salle a été vendue... eh bien les Foufs sont beaucoup moins "jeune" et "underground". Y'a des bobo, des petites banlieusardes, et des gars de 40 ans qui sirotent leur Hoegaarden sur la terrasse.

Et c'est dans ma région en plus!!! Mais pourquoi ils appellent ça des urinoirs? Moi, j'urine jaune.

Je suis sûr que O'Hana va se faire un plaisir de te donner des conseils. Mais en voici quelques uns que j'ai glanés un peu partout (y compris dans la revue Jobboom). 1. Avant l'entrevue: se renseigner sur l'employeur et sur le poste S'il a un site web, le lire et se renseigner sur les termes ou technologies spécifiques. Retenir les points forts et les communiqués de presse récents (exemple: bonnes performances financières, croissance, achat de nouvelles machines). S'il n'a pas de site web, il est possible d'aller chercher un dépliant à la réception du bureau. Bien connaître le secteur, la concurrence. Si l'employeur utilise un vocabulaire technique ou administratif différent du vôtre, adoptez-le sur le champs! Renseignez-vous sur le salaire normal pour le poste proposé. Au besoin, contactez des gens qui travaillent dans ce domaine. Essayez d'évaluer précisément votre situation: formation, expérience, âge, poste, ambition, etc. Il est important de savoir combien vous valez... et si cette valeur correspond à la fois au poste proposé ET à vos besoins. 2. Présentation Ne pas trop se parfumer. Ça paraît mal, et si la personne qui donne l'entrevue se met à faire "atchoum!" ça commence mal. Se maquiller normalement et bien se coiffer. S'habiller avec goût... on dit souvent: une coche plus haut que la normale. Pas plus. Bien dormir la veille; au repas, manger lentement et ne pas boire de soda (sinon ça paraît mal de roter en entrevue); éviter l'alcool avant une entrevue, même un petit verre de rouge. Ca peut se sentir. Ne pas manger d'aliments qui donneraient mauvaise haleine ou une odeur corporelle (fritures). Éviter de mâcher de la gomme lors de l'entrevue. 3. Ponctualité et arrivée Arrivez à l'heure, ou au plus 1/2 heure en avance. Si vous arrivez beaucoup trop tôt ça peut créer un malaise. N'arrivez surtout pas en retard. A votre arrivée, saluez tout le monde et annoncez-vous. Essayez de retenir les noms des gens avec qui vous parlez. Demandez-leur de se nommer et saluez-les par leur nom. Soyez cordiale et détendue. Pas d'impatience si on vous fait attendre! Vous pouvez apporter un bon roman, au cas. Il n'est pas rare qu'on vous fasse attendre 30 minutes... surtout si c'est un bureau très occupé. 4. Références d'emploi Si vous avez des lettres de référence, apportez-les avec vous. Apportez aussi, sur un petit papier, des renseignements sur vos anciens emplois (dates, numéros de téléphone et contact). Si on vous demande des références supplémentaires, vous les aurez sous la main. 5. Entrevue Répondez aux questions sans trop en rajouter. Si on vous demande de raconter une situation ou une anecdote, profitez-en pour vous faire valoir. Après une mauvaise réponse, on va souvent vous "tendre une perche" pour vous permettre de vous racheter; à vous de l'attraper au passage. Regardez la personne qui vous fait face dans les yeux, normalement, sans la fixer. Souriez si cela est naturel, sinon soyez neutre. Ayez les mains sur la table, les jambes non croisées, et le corps assez droit. Bref, ayez l'air déterminé mais détendu. Soyez affable et faites des phrases complètes. Soyez très poli avec la personne qui vous fait face; pas de familiarités. S'il y a une situation tendue, essayer l'humour ou la franchise. Il est toujours possible de retourner une situation à son avantage... mais en entrevue, les armes sont plutôt limitées. Si vous ne connaissez pas une réponse, dites-le. N'essayez pas de deviner ou de répondre n'importe quoi. En tout temps, ne JAMAIS douter de la compétence de la personne qui vous fait face. Il a raison. Essayez de vous renseigner sur des questions techniques pertinentes: horaire, taille de l'équipe, équipements, clientèle, manières de faire. Ce sont des questions qui paraissent bien. Évitez, lors de l'entrevue, de poser des questions insignifiantes ou déplacées: salaire des autres employés, position hiérarchique, vitesse de promotion, questions qui pourraient passer pour des critiques, couleur du bureau, décor, mobilier, climatisation, confort, etc. Gardez ces questions et commentaires pour vos premiers jours de travail. Ne critiquez pas exagérément vos anciens employeurs ou votre ancien emploi. 6. Salaire et négociation On vous demandera probablement combien vous désirez gagner. Il est en général difficile de répondre à cette question. Si vous n'avez pas fait vos devoirs (qui étaient de vous renseigner d'avance!), essayer de faire répondre la personne: expliquez-lui votre expérience et votre niveau de compétences, faites valoir vos "bons coups". Il finira par vous proposer un salaire. Essayez de voir s'il a tablé vers le bas. Ce n'est pas évident. Au moment de négocier le salaire, il faut aussi soulever des points qui y sont associés: vacances, horaires, temps supplémentaire, avantages sociaux, formation payée, accréditations et conférences, assurances professionnelles, commission sur certaines ventes, responsabilités importantes, NOM OFFICIEL DU POSTE, etc. (A ce propos, je connais un informaticien qui a été chef d'équipe de développement pendant 3 ans mais sur ses évaluations et feuilles de salaire, c'était toujours écrit "programmeur". Que va-t-il écrire dans son CV? Et que dira son employeur à ce propos, quand on l'appellera pour la référence d'emploi?) 6. Fin de l'entrevue La personne qui vous fait face vous indiquera quand l'entrevue est terminée. Saluez-la cordialement, en lui serrant la main. Dites-lui que ce fut agréable, que vous avez hâte de revoir les gens rencontrés ici. Faites un compliment ou deux sur les lieux. Si posible, demandez de la documentation pour "prendre de l'avance". Si la personne n'a pas répondu à certaines de vos questions, n'insistez pas; vous auriez l'air désespéré. Il est mal vu d'essayer d'étirer une entrevue, d'essayer de vous faire valoir exagérément, d'essayer de soutirer des renseignements de plus. Ne pas critiquer les autres candidats, que vous les ayez rencontrés ou non. Si l'entrevue s'est mal déroulée, n'essayez pas de vous reprendre à la fin. Quittez avec politesse. Tout n'est pas perdu; ils vont peut-être vous rappeler pour une seconde entrevue. N'essayez pas de leur faire croire que 22 autres entreprises attendent désespérément de vous embaucher, que vous avez un horaire incroyablement chargé et que vous exigez leur réponse demain matin, 8h00. Ou d'autres niaiseries dans le genre. Dans tous les cas, essayez de garder la porte ouverte, et faites savoir que vous attendez leur appel. Ca prend un certain tact... clore l'entrevue, c'est peut-être la partie la plus difficile. La personne devant vous retiendra de vous une dernière image... positive ou négative?

"PÉTARD" = super beau (en québécois)

Il y a une différence entre mauvaise nourriture et mauvais service. Je crois que tout le monde est capable de comprendre quand un serveur est sympa, mais qu'il est obligé de servir une assiette froide ou un plat trop cuit. C'est pas de sa faute, c'est à cause de la cuisine. Dans ce cas, on donne un bon pourboire de 15%... et on ne revient plus dans ce restaurant. Par contre, quand un serveur échappe ta soupe, t'éclabousse puis ne s'excuse pas, alors c'est une bonne raison de ne pas laisser de pourboire. Tant pis pour lui.

Se faire planter par Peanut:

Ah, les p'tits poissons des chenaux! Voici une petite... Recette! 12 p'tits poissons, vidés 500 ml de farine de maïs jaune sel, poivre paprika et/ou cayenne au goût poudre d'aïl, sel d'aïl ou sel d'oignon 2 oeufs battus avec un peu de lait huile de maïs Bien ouvrir les poissons en les écrasant un peu. Couper les nageoires et la tête avec des ciseaux. Faire chauffer l'huile de maïs dans une casserole jusqu'à ce qu'elle frémisse. Mélanger la farine avec les épices (au goût) et le sel. Passer les poissons dans l'oeuf battu, puis dans la farine assaisonnée. Frire les poissons dans l'huile jusqu'à ce que la panure soit bien dorée. Servir sur une feuille de laitue, avec une sauce tartare ou de la mayonnaise assaisonnée. PS: Cette recette est aussi bonne avec la truite de rivière ou tout autre petit poisson d'eau douce.

Tiens, un Marquis "purely canadian"... Le Québec a ses propres compétences en immigration... ça te dérange? Les programmes d'accueil, les délégations québécoises, les cours de langue française et d'intégration pour les nouveaux immigrants....... Le CSQ permet un encadrement et un suivi particuliers, qui facilitent l'installation dans la société québécoise. Je suis satisfait de ce que mon gouvernement fait. Par contre, je n'aime pas ceux qui utilisent mal les services qui leur sont offerts.

Ouais, et en plus ils ressemblent souvent à Éric Lapointe. Mais il y a bien entendu quelques gangs "ethniques" dans des quartiers comme Montréal-Nord... mais ils sont dans la "petite criminalité" et on n'en entend pas beaucoup parler. De plus, ils se poignardent entre copains seulement. Les gangs de motards et la criminalité "hard", c'est une affaire de "bums" québécois. Voir Maurice "Mom" Boucher et ses copains.

Les journalistes en mettent beaucoup. Il y a 5-6 ans, nous avons eu droit à une "guerre des motards" dans la région métropolitaine... des bars sautaient à toutes les semaines, des voitures aussi. Résultat: Aucune victime civile. Bref, ils se sont entretués "entre copains" et ensuite ça c'est calmé. Quant aux journalistes, eh bien je pouvais sentir un sentiment de frustration dans certains articles de journal, ce n'était pas assez sanglant à leur goût. Bienvenue au pays des criminels civilisés et des journalistes qui en mettent trop.

Donne-moi l'intersection, et je te dirai si c'est un beau coin

Tout d'accord avec Alain. Au restaurant: 15% si tout va bien, 15-20% si le serveur est extra... et beaucoup moins s'il fait ch***. Cela nous assure d'avoir des serveurs qui traitent leurs clients comme il faut. D'ailleurs, même dans certains petits restaurants fast food, où vous commandez au comptoir, il m'arrive de laisser un petit pourboire (moins de 1$) dans le pot sur le comptoir, parce que le caissier est sympa. Taxi: Je donne beaucoup de pourboire, car je sais qu'ils font une job difficile. De plus, beaucoup de chauffeurs de taxi ont une grosse famille à nourrir, et ils viennent souvent de pays (Haïti ou Liban, par exemple) qu'ils ont dû fuire, et où ils avaient un emploi plus intéressant (journaliste, médecin, ...) Coiffeur: Donner 15%. Sauf en cas de pépin. Autres services: faut voir... Vente au détail: pas de pourboire.

Ce n'est pas très gentil pour Immigration Québec, qui investit des ressources de niveau provincial pour l'immigration et l'accueil des immigrés. Après tout, en faisant cela, vous utilisez mes taxes provinciales pour vous installer dans une autre province.

Salut encore! Demain je vais demander au Maître Saucissier, à Rimouski (hum, quel nom de commerce pompeux) quel est son fournisseur pour ses saucissons. Il fait faire ses viandes fumées, kolbassa, chorizos et saucissons à Montréal, donc, je devrais pouvoir te donner les coordonnées demain soir. A+ -Hugo

Salut Alain! A propos de ce fameux bouillon en boîte. Eh bien je dirais que c'est le meilleur bouillon qu'il m'ait été donné d'acheter ici. Pour avoir plus frais, il faut le faire soi-même. Il est juste assez assaisonné, pas trop de curcuma ou de laurier. On peut s'en servir dans les recettes courantes. Ils font des bouillons de boeuf et de poulet. Marque Produit de nos Grand-Mères 71, Saint-François Proulxville / Saint-Tite Québec (418) 365-5056 Ca ne doit pas être très loin de chez toi.....