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Tout ce qui a été posté par Zogu
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Il y a un cours d'Histoire mondiale et un cours d'Histoire du Québec/Canada. C'est bien correct comme cela. Tu n'imagines quand même pas qu'ils vont enseigner l'Histoire de la France ou l'Histoire de la Russie au niveau secondaire!
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Tu peux toujours prendre un casier postal (CP #). Ils sont situés dans les bureaux de Poste Canada, dans chaque ville et village. Mais dans certains cas, les CP ne sont pas acceptés comme une adresse légale.
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Un indice: ce n'est pas intitulé "Histoire de la France".
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Tu as plus de chance de rencontrer des "vrais québécois" qui sont authentiques et qui aiment leur région, si tu couches dans les B&B, les Auberges et les Gîtes du Passant. Comme toujours, le mieux est de trouver le guide officiel de Tourisme Québec (ou "Bonjour Québec") pour la région où tu veux aller. Ces petits guides sont gratuits. On les trouve dans les bureaux d'info touristiques du Québec (trouver l'écriteau bleu carré avec un point d'interrogation blanc). Leur liste d'établissements est absolument complète et mise à jour à chaque année, puisque les installations hôtellières doivent obtenir de Tourisme Québec leur classification et leur cote. Dans le cas des gîtes, chercher la cote 3 ou 4 soleils. Dans le cas des hôtels et auberges, chercher la cote 3 ou 4 étoiles, c'est bien suffisant. Les pires petit-déjeuners sont dans les motels et dans les gros hôtels. Même si c'est souvent honnête et copieux, on parle d'un repas sans grande imagination: oeufs avec bacon ou saucisse, pain tranché grillé, fêves au lard, le tout arrosé d'un mauvais café. C'est lourd et plutôt britannique. Par contraste, dans les autres types d'établissements (auberges, B&B, gîte), j'ai eu la chance de manger des petit-déjeuners très différents à chaque fois: crêpes salées aux fleurs de courgette, crêpes au sarrasin et sirop d'érable, muffin maison aux bleuets frais, yogourt au granola et aux fruits, pain maison, pain iroquois (aux noix), etc. Le plus souvent servis avec des fruits frais. Et ils vous demandent parfois vos préférences. De quoi ensoleiller votre journée! Et je confirme: les hôtes prennent en général le temps de parler avec vous, de vous trouver des activités, d'écouter vos histoires, de raconter les leurs, de faire des appels pour vous (afin de vous réserver, par exemple, un tour de cheval ou une visite à la ferme). Ne manquez pas non plus, si vous voulez vous régaler, de dénicher une Table Champêtre. Elles sont répertoriées dans les guides de Tourisme Québec. Ce sont des petits restaurants à l'ancienne (capacité moins de 20 invités), comme il ne s'en fait plus, situés dans la maison de vos hôtes; pour obtenir cette classification, ils doivent servir des produits de la région et les apprêter de manière gastronomique. Vous apportez votre vin, et le prix est comparable à celui d'un bon restaurant (disons 40$ ou 50$/personne). Il faut toujours appeler pour réserver.
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Rue Crescent, c'est les bars & restos destinés aux touristes anglo-saxons. C'est bruyant, un peu vulgaire, et rempli de jeunes adultes anglos toujours bourrés qui cherchent la bagarre. Personnellement, j'aime mieux aller dans les restos sur les rues Mont-Royal, Saint-Denis, Duluth, Prince-Arthur.
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Au Québec, on ne prend pas des kilos, on prend des livres!!!
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hihihihihihi
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Parlant d'hydrogène, cette "panacée"... L'extraction et le stockage (sous pression et à basse température) de l'hydrogène est très énergivore. Oui d'accord on peut extraire l'hydrogène de l'eau, mais pour ce faire il faut consommer des quantités astronomiques de mégawatts d'électricité produite par... des centrales, évidemment. Et ces centrales, elles utilisent quoi? De l'hydro-électricité, du mazout, du nucléaire, etc. Oublions l'éolien, qui ne saurait soutenir une industrie aussi lourde. Bref l'hydrogène ne pollue pas à l'utilisation... mais comme beaucoup d'autres carburants, il pollue beaucoup à l'extraction, au transport et au stockage.
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Heureusement, on trouve de plus en plus d'ampoules électriques de type "néon spirale" dans les quincailleries et même dans certains supermarchés. Ces ampoules consomment 1/4 de l'électricité d'une ampoule à filament, pour un éclairage équivalent. Par exemple, 15W = 60W. De plus, elles ne dégagent pas de chaleur. Il est à parier que cette innovation trouvera graduellement sa place dans nos maisons québécoises. Quant aux crétins qui laissent toutes leurs lampes extérieures allumées pendant la nuit (mes 2 voisins font cela)... je crois qu'ils sont incurables. Et en plus ils gâchent mon beau ciel étoilé. Côté carburants alternatifs: outre l'hydrogène, il y a aussi le gaz naturel (méthane et éthane) et l'éthanol (alcool d'origine végétale) qui sont des carburants beaucoup moins polluants que l'essence et la mazout. Le gaz naturel est moins polluant que l'éthanol. Par contre, l'éthanol est une ressource renouvelable. Je crois que notre société va viser une solution de compromis, puisque l'hydrogène est encore hors d'atteinte pour le moment (c'est hyper coûteux, complexe et lourd).
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Et migrer, c'est faire comme les oies sauvages
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Les villes canadiennes les plus populaires....
Zogu a répondu à un(e) sujet de Laurence Nadeau dans Québec
La chaîne des Appalaches traverse surtout les Cantons-de-l'est, la région de Chaudière-Appalaches et la Gaspésie. Le grand massif des Laurentides couvre le nord des régions des Laurentides et de la Mauricie. La région de Charlevoix aussi est plutôt montagneuse. Il y a de très belles falaises d'escalade au Saguenay. Chacune de ces régions a des sommets qui varient entre 600 et 1200 mètres environ. En général, nos montagnes ont un relief assez érodé; ce sont de grosses collines rondes ou des montagnes sans arêtes pointues. C'est que les montagnes québécoises sont très anciennes: plus de 400 millions d'années. Ce sont des montagnes adaptées à la longue randonnée... mais côté escalade, c'est plutôt nul. Par contre, le couvert forestier est TRÈS dense, rendant souvent la progression ardue; une vraie jungle boréale, avec l'humidité, les buissons, un fort volume de bois mort (des conifères couverts de lichen gris), et les moustiques hyper agressifs. Fait intéressant: étant donné la forme des paysages, il n'y a pas vraiment de tunnels routiers au Québec; nos routes contournent les montagnes par les vallées. -
Stadak, ton sensationnalisme à la gomme... fonctionne. J'ai pas eu le choix d'aller lire la page. Chomsky, au secours!
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Eh bien, au Québec, il y a beaucoup moins de pression sociale. Si elle veut bien s'habiller et bien paraître, c'est sûr qu'elle va faire un tabac. Elle trouvera aussi tous les services pour l'entretien de sa carrosserie (manucure, etc), ainsi que les grandes griffes et les produits et parfums. Elle pourra flâner chez Zara si sa taille le permet. Par contre, il faut qu'elle comprenne que la mode arrive ici en retard par rapport à l'Europe. Ainsi les jolis escarpins espagnols et italiens nous arrivent avec 1 an de délai parfois. Une autre chose aussi: elle ne pourra pas être agressive ou compétitive avec ses ami(e)s, côté mode; ça ne passera pas très bien. Nous avons une attitude très permissive; une fille peut très bien arriver au bureau en pantalons corduroy et pas maquillée, en général c'est bien comme ça. Le cinéma européen arrive en retard (en général de 3 à 6 mois) mais il arrive bien ici. Les films indiens, australiens, asiatiques arrivent aussi. Il y a des festivals de films (FantAsia, FFM, Nouveau Cinéma) et des cinémas de répertoire. Quant aux films américains et canadiens, ils nous arrivent très rapidement et dans les deux langues. Très forte égalité des sexes au Québec... probablement plus qu'en France si j'ose dire! C'est rigolo, mais cela risque fort de choquer ta copine, puisque le sujet lui tient à coeur et qu'elle perdra ses repères. Si ça se trouve, elle trouvera plus progressiste qu'elle côté "égalité"... mais selon des attitudes TRÈS différentes. Elle trouvera que les gars sont mous... mais en fait, ils le sont tout autant que les filles. Le partage du pouvoir serait tout aussi impossible avec des gros macho taciturnes, qu'avec des super-nana gueulardes. Beaucoup moins d'agressivité dans les couples, donc; les gens s'engueulent moins et se contrôlent plus en public. Le québécois moyen recherche le compromis. Par contre, les gars comme les filles blaguent beaucoup sur le sexe. Et en passant... les amitiés gars-fille sont monnaie courante ici... et du côté des sorties, il y a autant de sorties "mixtes" que de sorties "gars seulement" ou "filles seulement". Il y a beaucoup de belles bagnoles ici, mais moins de petits modèles... ils n'ont pas autant la cote, à cause de l'hiver. Z'essaierai de circuler avec une décapotable mal chauffée qui a des pneus minuscules et pas de dégagement sous la carrosserie, après une bordée de neige. Mais des Mini, il y en a ici. C'est vague. De la musique, il y en a partout dans le Monde. Montréal est une ville de spectacle; les grands artistes s'arrêtent ici pour faire salle comble (ça ne manque jamais). Outre les chanteurs et groupes archi connus, il y a un paquet de plus petits artistes qui nous visitent; il suffit de lire le journal Voir pour s'en convaincre. Il y a aussi des festivals de musique populaire ou classique: Francofolies, Festival de musique classique de Lanaudière, etc.
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Pour bien comprendre la politique québécoise contemporaine, je recommande lire "Le temps des girouettes", d'André Pratte, éditions VLB (2003). http://www.edvlb.com/pagecat.asp?annee=200...=Automne&page=9 http://www.infoculture.ca/?page=6&view=2&numero=215 L'auteur, qui est aussi éditorialiste dans un journal généralement pro-Libéral (La Presse), y va d'observations fines et souvent drôles sur l'électeur québécois et sur ses sautes d'humeur. On y décortique en outre l'ADQ, un parti qui a une approche totalement improvisée de la politique... un parti qui profite de tous les événements sociaux ou politiques pour changer d'orientation... Sont-ce les partis politiques ou les électeurs qui sont les plus grandes girouettes? Au lecteur d'en décider!
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VTECH c'est du bas de gamme. Ce sont des copies des autres marques plus étoffées. Il y a de nombreuses boutiques d'électronique comme Radio Shack, La Cabine Téléphonique, Future Shop, Dumoulin, etc. Alors fais le tour des boutiques à Montréal, tu pourras comparer les prix toi-même. Il suffit de faire quelques centres commerciaux. Eh oui... tu as des jambes, là, sous ta ceinture...!!!
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C'est la première fois que j'entends l'excuse géographique, de la part de gens qui s'empiffrent de fast food puis se lamentent de leur prise de poids. Je dois avouer que c''est assez original. Faites attention, des hordes de poutines en furie vous attendent à tous les coins de rue!!! Vous ne pouvez leur résister, puisqu'elles sont là... vous n'avez d'autre choix que de les... Manger! Manger! Manger! PS: Moi, j'ai pris 2 kilos lors de mon voyage en France parce que je me suis empiffré de foie gras et de croissants. Je ne pouvais leur résister; j'étais naïf et sans défense. Mais ce n'est pas de ma faute: c'est de la faute à la France. Ouf, que ça fait du bien de se déresponsabiliser.
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Bonjour encore! Nous avons maintenant la liste des auteurs qui liront leurs textes lors du lancement. Voici une courte biographie de chacun. Il y aura en outre des chansons de Martin-Pierre Lapierre. Robbert Fortin Directeur de collection chez L'Hexagone, il est aussi poète, peintre et graveur. Il a publié 8 recueils de poésie et de prose-combat, dont le controversé "Les nouveaux poètes d'Amérique", véritable pavé dans la mare des auteurs bien-pensants. Olivier Marchand Il est co-auteur, avec Gaston Miron, de "Deux sangs", recueil fondateur de la poésie québécoise moderne. Journaliste, puis co-fondateur des éditions de L'Hexagone, il n'a rien publié au cours des 40 dernières années. Il nous fait l'immense honneur de sortir de sa retraite littéraire pour participer à ce projet. Il sera présent au lancement et nous fera sûrement l'honneur d'une lecture. Francis Catalano Cet auteur québécois est aussi traducteur; il a traduit en françaisde grands poètes et romanciers italiens contemporains (Riccardo Held, Pier Vittorio Tondelli, Roberto Pazzi, etc.). Il a en outre publié 9 recueils de poésie. Patrick Coppens Grand vulgarisateur et pédagogue, Patrick a publié de nombreux ouvrages destinés à l'enseignement de la littérature. Il a publié des études et des articles portant sur l'état de la langue et sur l'évolution de la littérature au Québec. Reste-t-il un genre auquel il n'aurait pas touché avec succès? Traducteur de Balmour Cherliade, journaliste, auteur d'une dizaine de recueils de poésie, romancier, essayiste... il marque durablement le paysage littéraire québécois. Huguette Bertrand Poète avant-gardiste, elle a abandonné (avant tout le monde) les canaux classiques de distribution pour distribuer elle-même ses ouvrages via Internet. Elle est l'auteure d'une quinzaine de recueils qui ont suscité un grand intérêt. Guy van Walleghem Belge flamand mais d'expression française, bien installé à Montréal... il manie la langue comme d'autres manient le fleuret: avec style et précision. Il a publié un excellent recueil d'histoires courtes au Loup de gouttière, et il y publiera aussi un premier recueil de poèmes en 2005. Christine Douville Elle est la directrice des éditions de la Petite Fée, qu'elle a fondées dans le but de rapprocher la poésie de la rue et des gens ordinaires. Elle a, en outre, publié en 2004 un recueil résolument moderne, "Flashs de mai". Discrète mais efficace, Christine côtoie tout le monde et tisse des liens avec d'autres "petits" éditeurs dans d'autres grandes villes québécoises (Claude Bouchard à Saguenay, M.J. Duclos à Rouyn). Grâce à son énergie et à ses initiatives, toute une génération de nouveaux auteurs ont pu se faire lire et entendre. Elle nous offre ce vendredi une de ses rares lectures devant public. Maxime Catellier Il a été blogueur avant tout le monde, et avec succès. Il collabore avec les journaux culturels de Montréal, dans lesquels il utilise sa plume, souvent acide mais toujours élégante, pour écrire à contre-courant. Catherine Lavoie A l?exception de quelque textes publiés dans la revue Saison Baroque, sa participation à ce recueil constitue sa première aventure de publication. Elle étudie la littérature à l'UQAM. Patrick Packwood Il a été publié dans la revue Steak Haché et dans le recueil-souvenir de la Journée Gilbert-Langevin à l'été 2003. Il est en train de terminer la rédaction d'une grande suite de poèmes intitulée "Portraits-paysages". Ginette Desmarais L'écriture de Ginette est dense et multiple; devant un tel barrage de mots, le lecteur pourrait s'y noyer... mais il est plutôt porté par la justesse des émotions. Elle est une poète très discrète, que nous avons eu la chance de découvrir. Shawn Cotton Musicien avant tout, théâtreux ayant grandi derrière les scènes de spectacle et sur la route avec son père éclairagiste, Shawn aime la musique forte, la bière abondante et la scène bien réchauffée. Agathe Melançon Collaboratrice de 1999 à 2003 à la revue Steak Haché, elle participe au collectif "Steak Haché anthologique" en 2000. Hugo Dufort Éclectique devant l'Éternel, Hugo est tour à tour chercheur universitaire, rédacteur d'articles de recherche publiés un peu partout (Kyoto, Tokyo, Vienne, San Antonio), informaticien, activiste, directeur littéraire, maître ès haïku (souvent publié), poète publié dans quelques revues (Entrelacs, Steak Haché), traducteur... et quoi encore. Il a actualisé les théories de Leon Festinger sur le comportement humain, développé des théories alternatives sur la notation scolaires (en compagnie de Gilles Brassard) et refait de manière originale les preuves mathématiques d'Euler sur les nombres premiers. Il a fondé les Publications Verlamer et dirige le présent recueil, "Sur les récifs".
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Si tu en as l'occasion, tu peux aller trouver à Montréal (ou sur place, dans les Laurentides) le guide touristique OFFICIEL de Tourisme Québec pour la région. C'est GRATUIT et très très complet. Ils décrivent toutes les villes et villages, les activités, l'hébergement (hôtel, camping, auberge, B&B, chalets), les resto, etc. Tu trouves ce guide dans les bureaux d'information touristique (panneau bleu avec un point d'interrogation blanc); il y a de ces bureaux dans les centres urbains, donc: à Saint-Jérôme, Sainte-Agathe, Saint-Sauveur et Saint-Jovite. Ils sont bien identifiés. La plupart des touristes que j'ai rencontré n'utilisaient pas ce guide car ils n'en connaissaient pas l'existence. Soyez plus intelligent que la moyenne: utilisez les infos gratuites, complètes ET mises à jour annuellement.
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Saint-Sauveur-des-Monts, VILLE ultra-touristique. Avec un McDonald, des dizaines de chaînes de fast-food, des boutiques dans des centres commerciaux, etc. Il y a des VRAIS villages dans les Laurentides, mais ils ne sont généralement pas situés sur l'autoroute 15.
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Eh bien c'est simple, tu prends un congé de maternité. Ça aussi, ça fait partie des acquis sociaux au Québec.
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Et il y en a VRAIMENT beaucoup. Mais les français ne veulent pas accepter ce fait. Peut-être que ça va avec ces "équations du stéréotype" : France = Puissance européenne = culturellement supérieur Québec = Colonie = dégénéré
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Qui prend ville, prend pays...
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Salut! Il y en a plusieurs à Montréal, surtout dans les quartiers Côte-des-Neiges, Saint-Michel, NDG, Cartierville, Ahuntsic. Il y en a aussi quelques-unes dans Ville-Saint-Laurent et sur la rive-sud, à Brossard.
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fil de discussions vous dites comment? On dit "fil de discussion" ou tout simplement "discussion". score français ou anglais? On dit "score" ou "pointage". baby sitting: garde d'enfant Je confirme, "garde d'enfant", personne ne dit babysitting. pull over? Absolument personne ne dit pull over. On dit "chandail" ou "tricot" ou "veste" ou "gilet" (selon le type ou l'utilisation). Quoique un gilet c'est souvent boutonné ou à glissière. week end: fin de semaine Oui, mais une minorité de personnes disent quand même "week end".
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Y'a pas de marché de la même envergure. Par contre il y a plusieurs belles fruiteries. Et comme tu habites en Montérégie, une région qui a encore sa vocation agricole (en cherchant un peu), tu peux trouver des étals de cultivateurs sur le bord des routes, en saison. Tiens... la citrouille et les courges, c'est bientôt! Y'a plein de bonnes recettes à faire!