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Tout ce qui a été posté par Passemots

  1. Je pense aussi que c'est la bonne solution. Reste a savoir si c'est illegal d'avoir sur soi autant de medicament! Si tu as une recommandation du médecin qui justifie cette quantité de médicaments. C'est ce que j'ai fait lorsque je suis allée en France avec ma cargaison de médicaments. Passemots qui bouffe trop de tites pilules
  2. Passemots

    impots federaux

    C'est le cachet de la poste qui compte. Passemots
  3. Passemots

    Offre d'achat d'une maison

    Oui c'est très clair. Mais j'ai du mal a voir comment le propriétaire fait pour négocier dans le premier cas. Exemple : il y a 2 personnes qui sont intéressées : - une 200 000 $ - l'autre 170 000 $. Le propriétaire accepte celle de la 1ère car plus élevé, l'intéressé fait faire l'expertise et la quelques petits problèmes il décide 150 000 $. Est-ce que le propriétaire est obligé de la vendre a cette personne à ce prix là car il avait accepté l'offre d'achat ? Si oui c'est bête pour lui car l'autre proposait 170 000$ et si il était prêt à payer 160000 $ après expertise le proprio aurait perdu 10 000 $. Mais d'un autre côté, si le premier baisse son prix a 150 000 $ et que le proprio décide de vendre à l'autr qui est pret a mettre 160 000 après expertise. c'est quelque part déguelasse car il y avait comme une entente entre le proprio et le premier. La je sais pas si c'est moi qui suis clair. Une offre d'achat est un contrat et les deux parties sont tenues de le respecter. Le vendeur a accepté l'offre. Il ne peut donc vendre ou promettre de vendre à une autre personne tant que les conditions n'ont pas été remplies. Les parties fixent habituellement une date d'échéance à cette offre, qui dépasse rarement une semaine. Dans les années passées, on pouvait faire une offre conditionnelle à l'obtention d'un financement hypothécaire. Aujourd'hui, avec les hypothèques pré-autorisées, cette clause ne figure plus au contrat. Une hypothèque pré autorisée détermine le montant maximum qu'on peut vous prêter pour financer l'achat. Passemots
  4. Passemots

    Offre d'achat d'une maison

    Je crois que vous ne comprenez pas le système. Deux situations peuvent se présenter. Vente par le propriétaire et vente par un courtier. Dans le premier cas. Une maison vendue par son proprio vous intéresse. Le vendeur aura probablement mis une pancarte "à vendre" devant sa propriété.S'il veut vendre, il y aura évidemment mis son numéro de téléphone. Vous lui téléphonez, prenez des informations et si ça vous convient, vous demandez à visiter. Ensuite vous pouvez faire une offre d'achat avec une clause qui dit que l'offre est conditionnelle à une inspection. Si l'inspection révèle des problèmes, vous pouvez soit, annuler votre offre ou bien en faire diminuer le prix de vente en considération des investissements que vous devrez faire pour régler les problèmes décelés. Dans le second cas, la maison est vendue pas un courtier. Le courtier détient une fiche descriptive de la maison avec le prix demandé par le proprio. Parfois ce prix est ferme, mais généralement il est négociable. Vous contactez l'agent, si le prix demandé vous convient, il vous fera visiter. Habituellement l'offre d'achat ne se fait pas lors de la première visite. La première offre, est souvent plus basse que le prix demandé. Si celà convient au vendeur, et que suite à une inspection, vous êtes satisfaits, l'offre d'achat devient un contrat de vente. Reste à passer chez le notaire. Si le vendeur refuse votre offre, vous pouvez faire une contre offre. Donc, en aucun temps vous n'étes tenu de faire une offre d'achat ferme sans avoir visité les lieux. Celà serait un non-sens. J'espère que j'ai été assez claire. Pas très facile à expliquer comme ça par écrit. Passemots
  5. Passemots

    Bureau de Paris

    Ma blonde Française qui n'avait jamais quitté la France a mis 16 mois pour avoir son visa et a dû repaasser son médical. Nous avions tout payé les frais lors de l'envoi du dossier. Plusieurs sont dans cette situation. Donc, patience... nous aussi nous en avions contre l'ambassade, mais les fleurs ne poussent pas plus vite quand on tire dessus. Passemots
  6. Ce n'est pas que je veuille défendre Petit-Prince, mais la loi des mesures de guerre fait partie de ce contexte historique et moi aussi que cette mesure était disproportionnée parce qu'effectivement, Pierre Laporte était toujours en vie lorsque Trudeau a dérapé. Passemots
  7. On ne se plaint pas, mais on s'est battus et on se bat encore pour protéger notre langue. On n'a qu'à voir comment le Canada manque de respect envers les minorités francophones hors-Québec. Il faut demeurer vigilents, on n'a pas le choix. C'est une lutte perpétuelle. Notre langue, tout comme notre culture, on y tient! Il commence à être temps qu'on sorte de cette pseudo confédération qui est en réalité une fédération. Faut pas se leurrer avec le bilinguisme "coast to coast" de Trudeau! C'est beau sur papier, mais la réalité est toute autre. Vivre en français dans certaines partie de ce beau Canada dépend de la persévérance de la communauté francophone locale qui doit souvent se battre pour faire respecter ses droits. Passemots
  8. Une question à dormir debout... Ok, j'ai compris Passemots
  9. Merci pour l'information, je me posais la question de savoir si oui ou non les résidents permanents pouvaient voter a une telle question. A mon avis non, mais vu les droits supérieurs de vote ici par rapport en France, J,avais imaginé que oui sans savoir. Ah oui c'est vrai j'avais oublié c'est comme ca que le fédéral « aurait volé le référundem», j'ai entendu parler de ca a la télé. La je suis vraiment bête, je connaissais déja la réponse. Merci pour l'information, je me posais la question de savoir si oui ou non les résidents permanents pouvaient voter a une telle question. A mon avis non, mais vu les droits supérieurs de vote ici par rapport en France, J'avais imaginé que oui sans savoir. Ah oui c'est vrai j'avais oublié c'est comme ca que le fédéral « aurait volé le référendum», j'ai entendu parler de ca a la télé. La je suis vraiment bête, je connaissais déja la réponse. Si seulement ils ne s'étaient servis seulement de l'immigration.... Le fédéral a commandité illégalement l'option du non! Titre de l'article du Monde Diplomatique : Epuisement du modèle fédéral au Canada ? L’argent d’Ottawa contre les souverainistes "C’est dans le référendum organisé le 30 octobre 1995, au Québec, que trouve son origine l’« affaire des commandites ». A cette occasion, la proposition de souveraineté dans un partenariat économique avec le reste du Canada échoua de justesse (49,4 % pour le « oui », avec un taux de participation de 93 %). Les partisans de l’« option Canada » et du fédéralisme avaient eu très peur, en premier lieu les libéraux au pouvoir à Ottawa. Chef du gouvernement fédéral de novembre 1993 à décembre 2003, M. Jean Chrétien justifie ainsi l’argent dépensé par crainte d’une victoire de l’« option Québec » : « J’étais résolu à ce que les tenants de la séparation n’obtiennent jamais leurs conditions gagnantes. Je me suis engagé personnellement à titre de Canadien qui aime son pays, et parce que c’était mon devoir de premier ministre de maintenir l’unité canadienne (1) ». Pour contrer les souverainistes, les drapeaux à feuille d’érable envahissent l’espace public au Québec. De très nombreuses manifestations sportives, culturelles ou communautaires reçoivent des fonds à condition de porter les couleurs du Canada, et de rendre davantage visible un Etat par ailleurs de plus en plus absent en raison de la compression drastique des budgets fédéraux. Cette débauche de publicité se fait dans une grande opacité, et principalement au profit de cinq agences proches des libéraux. Les premières révélations apparaissent en 1999 sous la plume du journaliste Daniel Leblanc, du Globe and Mail de Toronto, intrigué par l’ampleur des dépenses publicitaires du gouvernement canadien (2). Mais l’affaire n’émerge que lentement. Dans un rapport du 10 février 2004, les services de la Vérificatrice générale (équivalent de la Cour des comptes française) estiment que le programme a coûté 250 millions de dollars (3) aux contribuables : « Nous avons constaté un non-respect généralisé des règles de passation des contrats dans la gestion du programme de commandites », dénonce Mme Sheila Fraser (4). Ministre des finances de M. Chrétien pendant neuf ans, avant de lui succéder comme premier ministre, M. Paul Martin doit se démarquer de son prédécesseur pour préparer les élections législatives de juin 2004, à partir desquelles il dirigera un gouvernement minoritaire, les libéraux n’ayant obtenu que 135 sièges sur les 308 que compte la Chambre des communes à Ottawa. Dès la publication du rapport Fraser, il décide de créer une commission d’enquête indépendante, confiée au juge John H. Gomery. De septembre 2004 à juin 2005, les audiences publiques permettent d’entendre 172 témoins. Une longue descente aux enfers pour le Parti libéral du Canada et pour sa section québécoise, dont les procédés de financement occulte apparaissent au grand jour (5). Un dispositif bien huilé Selon M. Gomery, les programmes spéciaux et de commandites ont coûté au total 332 millions de dollars, dont 147 millions versés aux agences de publicité les plus généreuses envers le Parti libéral. Le juge démonte pièce par pièce les « abus flagrants des deniers publics », les tarifs « gonflés », la « double facturation de services », les prestations inexistantes ou les emplois fictifs. Selon son rapport, l’ancien vice-président du parti libéral du Canada et ami personnel du premier ministre, M. Jacques Corriveau, « était l’acteur central d’un dispositif bien huilé de pots-de-vin qui lui avait permis de s’enrichir personnellement et de donner de l’argent et des avantages au Parti libéral du Canada au Québec (6) ». Ces détournements ont été rendus possibles par un contournement des mécanismes de contrôle organisé au plus haut niveau. Sans préjudice d’éventuelles suites judiciaires, qui ne relevaient pas de son mandat, le juge Gomery ne se contente pas de blâmer les exécutants. Il attribue une part de la responsabilité au premier ministre Jean Chrétien, qui suivait personnellement le programme, et surtout à son chef de cabinet, M. Jean Pelletier. Les notes manuscrites de ce dernier ont permis d’établir son intervention directe dans la gestion de cette opération. L’actuel premier ministre, Paul Martin, n’est pas mis en cause, car son ministère ne supervisait pas ce type de dépense, ce que conteste cependant M. Chrétien. Il n’a pas non plus été prouvé que les liens d’amitié de M. Martin avec les dirigeants d’une agence bénéficiaire des fonds publics ont influencé des contrats. Parallèlement à la commission d’enquête, les investigations de la gendarmerie royale doivent conduire en 2006 au procès de responsables d’agence, ainsi qu’à celui de M. Joseph C. Guitté, qui dirigeait le programme. Ce programme fut conçu pour raffermir l’unité canadienne et éloigner toute idée de nouveau référendum sur la souveraineté, après ceux, perdus, de 1980 et 1995. Les révélations sur les dessous de l’opération rendent au contraire plus que jamais possible une telle issue au débat constitutionnel qui anime le Canada depuis des décennies. Au Québec, le scandale et l’impopularité des politiques néolibérales du gouvernement de M. Jean Charest remettent en selle le Parti québécois (PQ) dont le nouveau chef, M. André Boisclair, s’est engagé à organiser un troisième scrutin s’il accède au pouvoir en 2007. Dix ans après, l’affaire des commandites apporte un éclairage cru sur le référendum d’octobre 1995. Contrairement à ce qui a été écrit dans la presse (y compris française), les opérations publicitaires ne l’ont pas suivi, mais précédé. Le juge Gomery explique que, dès le début de la campagne référendaire, le gouvernement fédéral avait contribué à cette « stratégie pour l’unité nationale ». En juin 1995, le premier ministre avait, par exemple, signé une autorisation de prélever 20 millions de dollars canadiens à cet effet. Une somme de 2,6 millions de dollars avait également servi à acheter tous les espaces publicitaires disponibles au Québec pour en priver le camp souverainiste. Les libéralités du gouvernement fédéral ont ainsi permis de contourner la loi électorale du Québec, qui fixait un plafond de 5 millions de dollars de dépenses à chaque camp. Le seul ministère fédéral du patrimoine a dépensé 4,8 millions de dollars par le biais d’Option Canada, organisme monté à la hâte à la veille du scrutin. Autre manœuvre : les anciens résidents du Québec ayant déménagé dans une autre province ont été recherchés activement. Au moins 50 000 personnes ont ainsi pu voter sans être détentrices de la carte d’assurance-maladie de la province. Ottawa a aussi misé sur la reconnaissance des immigrants, en accélérant l’octroi de la citoyenneté canadienne : plus de 40 000 personnes auraient acquis prématurément leur naturalisation et le droit de vote. L’opération de communication la plus réussie fut le « Love-in », grande manifestation organisée dans les rues de Montréal trois jours avant le scrutin. Des dizaines de milliers de Canadiens vinrent dire leur attachement au maintien de la Belle Province dans la fédération. La plupart d’entre eux n’avaient pas payé leur billet d’avion ou d’autobus. Le principal organisateur, M. Brian Tobin, a reconnu très récemment qu’« une partie de l’histoire qui n’a pas été racontée en détail jusqu’à aujourd’hui, c’est l’appui indéfectible du “Corporate Canada”. Tous les principaux dirigeants d’affaires contactés par mon bureau ont ouvert leurs chéquiers (7) ». Ces allégations ont été confirmées par le directeur général des élections, M. Pierre F. Côté, pour qui le résultat « aurait été différent sans ces interventions extérieures (8) ». Même l’ancien directeur général du Parti libéral du Canada au Québec, M. Benoît Corbeil, a avoué que la loi avait été « bafouée ». Plus surprenant pour un militant de l’autre camp, il a donné raison à l’ancien premier ministre du Québec pour ses propos très controversés à la suite du vote : « Jacques Parizeau a eu raison de dire qu’il avait perdu le référendum sur la souveraineté à cause de l’argent et du vote ethnique (9). » Il a aussi admis l’existence d’un « réseau libéral » qui « contrôle à peu près tout », et notamment les nominations des juges parmi les avocats ayant rendu service au parti. On connaît mieux aujourd’hui le rôle des médias pendant cette période. Après avoir analysé les milliers d’articles parus en 1995 dans le plus grand quotidien du Québec, La Presse, le journaliste Patrick Bourgeois estime que 54 % des articles étaient favorables au « non », contre 30 % favorables au « oui », et 16 % impartiaux. On retrouve, selon lui, le même déséquilibre dans Le Soleil ou Le Droit et, dans une moindre mesure, dans Le Journal de Québec (10). Seul Le Devoir aurait eu une couverture équilibrée. C’est aussi l’unique titre n’appartenant pas aux deux grands groupes industriels, Gesca/Power Corporation et Québécor. Enfin, si le « oui » put s’exprimer sur le réseau francophone de Radio-Canada, il n’eut guère de place sur le réseau anglophone. La presse de langue anglaise s’est fait une spécialité du dénigrement des Québécois et de la diabolisation des chefs souverainistes, en multipliant les accusations infondées de « xénophobie » (11). Au-delà de l’usure du pouvoir du Parti libéral – M. Chrétien fut ministre ou premier ministre pendant vingt-sept ans –, l’affaire des commandites et les révélations sur le référendum signent l’épuisement du modèle fédéral porté par cette formation depuis la fin des années 1960. La popularité actuelle de la chanson du groupe Loco Locass « Libérez-nous des libéraux ! » s’explique par la longue tutelle qu’a exercée sur les consciences ce parti dominant à Québec comme à Ottawa. Ancien bras droit et héritier de Pierre Elliott Trudeau, M. Chrétien a, comme lui, justifié sa politique de confrontation avec les souverainistes par la « recherche d’une société juste » et une politique volontariste à l’échelle fédérale : « Le Canada me semblait un pays béni des dieux pour poursuivre une politique de plus grande égalité des chances (...) pour tous les Canadiens, indépendamment de la région économique où ils vivaient et de la langue qu’ils parlaient (12). » Cette vision, parfois non dénuée d’arrogance, conduisit Pierre Trudeau et son disciple à torpiller les recherches de compromis constitutionnel autour d’un statut particulier que représentaient les accords de Lac Meech (1987) (13) ou ceux de Charlottetown (1992) (14). Mais l’alternative qu’ils proposaient a montré ses limites. Certes, la loi sur le bilinguisme officiel a donné aux anglophones le goût d’apprendre le français, ne serait-ce que pour trouver un emploi fédéral. Mais l’assimilation se poursuit, surtout dans les provinces de l’Ouest. Sur le million de Canadiens hors Québec ayant le français pour langue maternelle, moins de 600 000 le parlent encore régulièrement à la maison (15). EPUISEMENT DU MODÈLE FÉDÉRAL AU CANADA ? L’argent d’Ottawa contre les souverainistes Déséquilibre entre provinces Le retour de la croissance sous les gouvernements libéraux n’a profité qu’à une minorité : les pauvres sont plus nombreux et plus pauvres que sous les conservateurs, dans les années 1980 (16). Même les libéraux du Québec considèrent que la péréquation fédérale est loin de compenser le déséquilibre fiscal entre les provinces, tandis que l’autre déséquilibre fiscal, celui entre Ottawa et les provinces, ne permet plus à ces dernières d’assurer leurs programmes sociaux. Pourtant, conservateurs et libéraux rivalisent encore aujourd’hui de promesses de baisse de la fiscalité. Lorsqu’il était ministre des finances, M. Martin avait fait adopter une loi exemptant d’impôts les transports maritimes dans certaines conditions... qui correspondaient exactement à celles de son entreprise, CSL, installée en partie dans le paradis fiscal de la Barbade (17). La confrontation, qui se réactive, entre le nationalisme québécois et le nationalisme canadien va-t-elle se déplacer sur les questions d’éthique et d’égalité des chances ? De ce point de vue, les reniements des libéraux ouvrent de nouvelles perspectives aux souverainistes du Québec. Il appartiendra cependant à ces derniers de convaincre leurs voisins anglophones que l’indépendance peut être source d’apaisement, ou, comme le chante Gilles Vigneault, qu’il « faut être chez soi pour dire : Welcome ! ». Le 23 janvier, 22,6 millions de Canadiens sont appelés aux urnes. Ces élections législatives font suite au scandale dit des « commandites », qui a entraîné la chute du gouvernement de M. Paul Martin. Au-delà de la corruption touchant le Parti libéral du Canada, cette affaire révèle comment les partisans du système fédéral n’ont pas hésité à recourir à des moyens illégaux pour combattre l’aspiration de larges secteurs de la société québécoise à la souveraineté." PHILIPPE DESCAMPS. Voir le lien Passemots
  10. Excusez si je parais inculte, mais qu'est-ce que c'est, des wazas? On en retrouve dans les grandes surfaces avec les biscottes. C'est un genre de biscotte mince faite avec différentes farines. J'espère qu'on parle des mêmes wasa. Passemots
  11. On a demandé à ma blonde de repasser la vm, parce que celle-ci allait venir à échéance. C'est mieux de le demander même si on sait que le visa peut être émis parce que dans le cas contraire, si on ne le fait pas avant que le dossier soit clos, ben la demande va venir plus tard et ça va reculer d'autant l'émission du visa; envoi de la demande de visite médicale par l'ambassade, Réception de cette demande, prise d'un rendez-vous et vm et puis retourner le tout à l'ambassade. Il y a un délai entre le temps où la décision est prise et celle ou elle est officialisée et la vm doit être valide avant que que le visa soit émis. Ce n'est pas nécessairement le fonctionnaire qui prends la décision qui va apposer le visa et entre les deux, il peut s'écouler plusieurs jours. C'est plate et frustrant, on l'a vécu nous. Passemots
  12. Qu'avez vous donc contre le fait que le Québec puisse être reconnu comme un pays? Depuis le temps que le peuple se bat pour avoir un pays à son image. Si les fédéralistes n'avaient pas triché lors du dernier référendum, le Québec serait aujourd'hui un pays. Lorsqu'on est en processus d'immigration ou résident permanent, on est très mal placé pour contester la reconnaissance du Québec parce qu'on n'y a jamais ou où pas assez vécu. Chacun a droit à son opinion, mais il faut parler en connaissance de cause. Certains savent peu de choses sur plusieurs sujets, d'autres en savent beaucoup sur très peu de sujets. Avant de s'élever contre un fait, on s'informe afin de savoir au moins pourquoi on est contre et le fait que le Québec soit "une province" du Canada, n'empêche pas que le Québec commence à prendre sa place. Si on commence à nous reconnaîttre, on est peut-être sur la bonne voie, n'en déplaise à certains. Passemots
  13. Passemots

    un 1er avril Inoubliable

    Beau témoignage qui fera, j'espère, réfléchir ceux qui banalisent la conduite en état d'ébriété. Passemots http://membres.lycos.fr/passemots/
  14. Pauvre petite, une autre enfant qui doit payer pour la malhonnêté de son père. Puis en plus il a le culot de dire que le Canada devrait reconnaître et accepter la polygamie parce que ça fait partie de ses us et coutumes. Arrêtez de référer à la charte des droits et libertés pour réclamer des privilèges. Parce que la liberté a des limites. Nos lois DOIVENT être RESPECTÉES par tous. Récemment on a eu le kirpan, le local de prières, l'habit de prière pour conduire un taxi et maintenant la polygamie. C'est tu possible qu'on soit maîtres chez nous? On peut accomoder, être conciliant, mais en conformité avec les lois et les containtes du milieu. Non mais, pour qui il se prend? Il savait que la polygamie était INTERDITE et ILLÉGALE. Par des moyens détournés, il a acquis la citoyenneté canadienne tout comme sa fille. Lui, il mérite grandement d'être chassé du territoire canadien. Mais sa fille, elle n'a rien fait de mal. Elle a une vie ici, elle semble intégrée et impliquée dans son milieu. Son avocat devrait aller en appel. Elle n'a pas à payer pour la malhonnêteté de son père. Passemots
  15. Un CLSC (Centre Local de Services Communautaires), s'occupe de prévention, vaccination, maintient à domicile. On y retrouve des médecins généralistes et autres professionnels de la santé, des travailleurs sociaux. C'est l'endroit à privilégier lorsqu'on a des problèmes de santé qui ne sont pas des urgences. Si plus de monde comprenait çà les urgences de nos hôpitaux seraient moins engorgées. Passemots
  16. Passemots

    Le vent de l'immigration

    Je n'ai absolument rien contre le fait de donner le droit de vote aux immigrants, mais pas dès qu'ils touchent le sol québécois. Franchement, il faut avoir vécu un minimum de temps, connaître l'histoire d'un peuple et comprendre les enjeux pour pouvoir décider de son sort. Le Fédéral ouvrirait grande les portes à l'immigration à la veille du prochain référendum. On en a vu d'autres. Commencez par apprendre et comprendre avant de décider, c'est logique non? Passemots
  17. L'employeur n'est pas naïf, il sait bien que si tu es en recherche d'enploi, tu vas aussi voir ailleurs. De là à dire ce qu'on t'a proposé et parfois en rajouter un peu, si c'est au-dessus de ce qu'il te propose, tu as de bonnes chances de ne pas avoir la place, parce que si c'est en-dessous de ce que tu espères, il sait que dès que tu trouveras ce qui te convient, tu quitteras son entreprise. Il t'aura donné une formation pour au bout du compte recommencer avec quelqu'un d'autre. Il s'agit d'être prudent. Oui tu peux dire ce qu'on te propose ailleurs, mais sans être arrogant. Cependant, si celà fait quelques années que tu est à l'emploi du même employeur et que tu désires augmenter ton revenu et tes conditions de travail, tu peux alors négocier sur la base de ce qu'on t'offre ailleurs. Ton patron connaîtra alors ta valeur et sera en mesure de juger si tu mérites ce que tu demandes ou si lui est capable de te donner ce que tu demandes. Passemots
  18. Passemots

    Recherche ville

    Une ville dans la forêt??? Pas facile à trouver. Mais la nature près de la ville ça se peut. Je ne connais malheureusement pas la région de Montréal, mais d'autres forumistes pouront te répondre. J'aurais pu m'abstenir de répondre étant donné que je n'ai pas réponse intelligente à te donner, mais "une ville dans la forêt" j'ai trouvé ça comique. Passemots
  19. Encore une fois, personne ne perd son nom de naissance en contractant un mariage. Dans plusieurs pays, comme la France, par exemple, les femmes ont le droit, et pas l'obligation, de porter le nom de leur époux, qui est un nom d'usage seulement. Faire une demande de changement de nom auprès de l'état civil relève d'une toute autre logique, qui consiste à effacer complètement son nom de naissance. Ce qu'il y a de bizarre dans le code civil du Québec, c'est qu'on ne peut pas choisir son nom d'usage, contrairement d'ailleurs aux autres provinces. Je sais, par exemple, qu'une femme peut demander à faire porter son nom de femme mariée sur un passeport canadien, un document émis par les autorités fédérales. C'est un système à deux vitesses et qui, concrètement, n'établit aucune égalité entre les hommes et les femmes. ¨ Pourquoi effacer son nom de naissance, on peut juster ajouter ceui de son mari au sien. Le Québec fait ses lois n'en déplaise à certains. Ces lois ne sont pas cachées, tous peuvent en être informés avant de débarquer ici. Le Canada c'est une chose, le Québec c'est vraiment pas comparable. Est-ce que je vais changer les lois en france moi??? Plusieurs immigrants arrivent ici avec la prétention de faire changer nos lois. Passemots Encore une fois, personne ne perd son nom de naissance en contractant un mariage. Dans plusieurs pays, comme la France, par exemple, les femmes ont le droit, et pas l'obligation, de porter le nom de leur époux, qui est un nom d'usage seulement. Faire une demande de changement de nom auprès de l'état civil relève d'une toute autre logique, qui consiste à effacer complètement son nom de naissance. Ce qu'il y a de bizarre dans le code civil du Québec, c'est qu'on ne peut pas choisir son nom d'usage, contrairement d'ailleurs aux autres provinces. Je sais, par exemple, qu'une femme peut demander à faire porter son nom de femme mariée sur un passeport canadien, un document émis par les autorités fédérales. C'est un système à deux vitesses et qui, concrètement, n'établit aucune égalité entre les hommes et les femmes. ¨ Vous voulez changer de nom ou pas? Faudrait vous brancher! Si vous tenez aux deux noms, vous pouvez les accoler. Le Québec fait ses lois n'en déplaise à certains. Ces lois ne sont pas cachées, tous peuvent en être informés avant de débarquer ici. Le Canada c'est une chose, le Québec c'est vraiment pas comparable. Est-ce que je vais changer les lois en france moi??? Plusieurs immigrants arrivent ici avec la prétention de faire changer nos lois. Passemots
  20. La question de ce fil est: Prendre le nom de son époux: impossible? OUI c'est possible en faisant une demande au directeur de l'état civil, comme toute personne qui veut changer de nom. On a un nom à la naissance, si on veut en changer on est libre de le faire, il y a une procédure de prévu. Je ne vois pas pourquoi s'énerver avec une chose qui est si simple en disant que le Québec ne laisse pas le choix aux femmes. Le choix existe, c'est juste qu'on ne change pas de nom en se mariant. Facile à comprendre! Je ne vois pas où les libertés sont brisées. Prendre le nom de son mari c'est un choix et non une obligation. Et pour changer de nom, il y a des procédures que la raision soit le mariage ou autre. Passemots
  21. Euh je suis pas marocaine... Mais y a pas de quoi.... Et par contre pour répondre au point que tu souleves, tes enfants ne sont pas à un an pret, non ??? vaut mieux repousser le départ et partir tous ensemble...... Moi non plus je ne suis pas marocaine, mais tout de même prête à aider quelqu'un peu importe son origine. Comme si l'avis des "autres" t'importait peu. C'est du moins ce que je perçois. Passemots
  22. Passemots

    questions musique !

    L'accordéon de Brigitte a été démonté par les douanes et mal remonté. Ils pensaient peut-être qu'elle y avait dissimulé de la drogue??? Son synthé elle l'a laissé en France et en a racheté un autre ici qui fonctionnait sur le 110 volts. Personne ne peut te garantir que tes guitares ne seront pas "inspectées" par les douaniers. Je trouve pas mal sauvage de démonter des instruments qui coûtent très cher et de ne pas avoir le coeur de les remettre en état. Si elle avait eu à donner un concert en arrivant, elle aurait été mal prise. Passsemots
  23. Passemots

    Parrainage des parents

    Je n'ai pas de réponse, mais ça nous intéresse nous aussi. Passemots
  24. Je vois que tu es citoyen français. Tu peux donc venir au Canada en touriste pour une durée de six mois. Je ne sais pas où tu en es dans tes démarches d'immigration, mais le visa arrive souvent plus tard que prévu. Pour valider ton visa, il te faut le visa dans ton passeport. Comme tu as besoin de ton passeport pour entrer au Canada, il est impossible que le visa y soit apposé pendant ton séjour ici. Si tu prévois rester ici assez longtemps, tu devras fournir une adresse ici au Canada pour recevoir ta brune et ensuite envoyer ton passeport à l'ambassade du Canada à Paris qui te le renverra à ton adresse canadienne. Ensuite tu te présenteras aux douanes américaines en disant que tu veux valider un visa de résidence permanente au Canada. Ils vont te demander de stationner ta voiture, tu vas entrer au bureau des douanes américaines, ils feront quelques vérificatioins et tu pourras ensuite passer du côté canadien pour faire valider ton visa en présentant ton passeport et les autres documents requis (voir sur ta brune). Puis tu dois te rappeler qu'un touriste n'a aucune protection médicale, n'a pas le droit de travailler ni d'étudier. Immigration Canada fait la mise en garde suivante: IL NE FAUT PAS QUITTER SON EMPLOI, NI VENDRE SES BIENS AVANT D'AVOIR LE VISA EN SA POSSESSION. Bonne chance Passemots
  25. Plusieurs Marocains sur le forum ond dit qu'il était quasi impossible d'avoir un visa de visiteur pendant les démarches d'immigration. Puis en admettant que ta femme et tes enfants réussissent à obtenir un visa de visiteur, ils n'auront aucun droit ici. Ils ne seront pas couverts par la RAMQ, ta femme n'aura pas le droit dtravailler et tes enfants ne pourront fréquenter l'école. Je préfère ne pas discuter le fait de laisser femme et enfants seuls dans un pays étrangers et si différent du tien. Ça va être la panique à bord. Je pense que la réponse à ta question est maintenant évidente. Passemots
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