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Tout ce qui a été posté par jimmy
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Ce que l'écrivain Charles Dickens a dit de la ville de Québec en 1842 «L’impression que produit sur le visiteur ce Gibraltar d'Amérique – par ses hauteurs étourdissantes, sa Citadelle suspendue dans les airs, ses rues escarpées et pittoresques, ses portes à l'allure renfrognée, les vues si saisissantes qui accrochent l'œil à chaque détour – est quelque chose d’unique et d’impérissable.»
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Passer le CAPES au Portugal et travailler en France
jimmy a répondu à un(e) sujet de James6433 dans Comparatifs et équivalence des diplômes
C’est à cause du multiculturalisme…tout le monde est mélangé ?? -
PHILIPPE LORANGE, ÉTUDIANT À LA MAÎTRISE EN SOCIOLOGIE – UQÀM Dans les deux dernières semaines, j’ai voyagé en France, pour la première fois de ma vie, avec deux amis Québécois, ayant en tête de plonger dans les sources fécondes de la terre de nos lointains ancêtres. Nous avons visité Paris, la Normandie, la Bretagne et même la Vendée. Ce que nous avons vécu là a dépassé toutes nos attentes. Paris ébahit par son architecture toute en majesté, ses monuments grandioses et l’histoire nationale qui y est portée de manière triomphale. En dehors de la Ville Lumière, nous découvrons un peuple chaleureux, rassembleur, fier de ses racines et curieux de connaître le monde. Alors que les Parisiens restent plutôt indifférents face à la provenance de leurs interlocuteurs, les Français hors-Paris affichent un bonheur sincère de rencontrer des étrangers, et plus encore des Québécois. Je retiens un propos que l’on nous disait tout au long de notre route : soyez fiers de qui vous êtes. Notre accent, souvent ridiculisé, voire honni de plusieurs, trouvait ici une place pour s’exprimer fièrement. En Bretagne, le Québec est mis de l’avant un peu partout, que l’on pense simplement à la Place du Québec à Saint-Malo, lieu d’où partit Jacques Cartier pour découvrir ce qui allait devenir notre maison. En France, les Québécois trouvent un peuple qui les reconnaît et qui leur tend une perche. Alors que l’Américain moyen ignore l’existence même du Québec et que le Canadien anglais nous réduit à l’état de racistes bouseux, le Français aperçoit naturellement en nous un peuple ami. Rapidement, les compliments affluent et le désir d’en connaître davantage s’alimente. En son temps, Lionel Groulx constatait que « rien n’émeut si fort les Canadiens français ni ne leur est plus nécessaire que la démonstration de leur existence. » Oui, il y a de quoi d’émouvant à voir un peuple aussi grand que les Français afficher une sincère curiosité pour notre culture, notre histoire et nos aspirations collectives. Jeté sur un continent hostile, insulté de tous, ignoré du monde entier, devant se battre sans arrêt pour un respect minimal jamais rencontré, le Québécois vit dans une aliénation de tous les jours qui déforme en profondeur son âme.
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Dans la série, histoire du Québec : Louis Hémon , écrivain Français (1880-1913), homme avide d’aventures et de grands espaces, arrive à Péribonka dans la région du Saguenay-Lac St-Jean au cours de l’été 1912. Il y restera 21 mois, le temps d’observer la vie difficile des colons, qui lui inspirera le cadre et les personnages de son roman : Maria Chapdelaine. Parfois comparé à un document ethnographique, le roman décrit avec réalisme, de manière très riche et nuancée , le dur labeur des habitants de cette région nouvellement ouverte à la colonisation, tout en faisant l’éloge de cette « race pétrie d’invincible allégresse et que rien ne peut empêcher de rire ». Les représentations de la nature de « ce pays sauvage », souvent chargées de symbolisme, occupent également une place prépondérante dans le texte. Maria, une jeune femme au sortir de l’adolescence, s’éprend de François Paradis, un coureur des bois nomade et téméraire. Mais François décède dans des circonstances tragiques et donc Maria devra choisir un autre époux : Lorenzo Surprenant, exilé lui promettant une vie plus moderne et confortable à ses côtés aux États-Unis, là où plane toutefois une menace d’assimilation des Canadiens français, ou Eutrope Gagnon, défricheur et cultivateur voisin des Chapdelaine, incarnation de la tradition et de la persistance, qui fait à Maria une cour patiente. Maria Chapdelaine a connu un succès hors du commun, non seulement au Québec, mais aussi ailleurs dans le monde. On dénombre plus de 150 éditions du roman, qui a été traduit dans pas moins de 25 langues. L’œuvre a par ailleurs été adaptée au théâtre, en chanson, en bande dessinée et à trois reprises au cinéma. Le premier film est Français, il fût tourné a Péribonka en 1934 avec Jean Gabin dans le rôle de François Paradis et Madeleine Renaud dans le rôle de Maria Chapdelaine. Mais ce qu'il y a de plus remarquable dans ce roman, pourtant écrit par un étranger, c’est qu’il a merveilleusement décrit le dilemme, le questionnement et surtout le choix que les Québécois doivent faire presque a tous les jours pour survivre sur ce territoire au climat parfois hostile et dans cet Amérique du Nord anglo-saxonne. Maria Chapdelaine doit choisir un mari parmi 3 prétendants. Chacun des 3 prétendants représente exactement le choix que les Québécois doivent faire pour leur avenir. C’est d’autant plus remarquable que ces 3 choix sont présents et pertinents encore aujourd’hui plus de 100 ans après l’écriture du roman. Le Québec ira en élection le 3 octobre prochain…et ces 3 choix sont tout à fait personnifiés par les partis politique en présence. François Paradis; c’est Québec Solidaire, coureur des bois, charmant, beau, être libre et citoyen du monde. N’est pas du tout intéressé par la ruralité, le terroir, les traditions. Même qu’il méprise ce qui est ‘’local’’ (qu’il juge petit, tricoté serré, consanguins) et idéalise ce qui vient d’ailleurs comme étant merveilleux et fantasmagorique. Lorenzo Surprenant; c’est le parti Libéral, il vit a New York (et même s’il vivait a Montréal, dans sa tête et sa façon d’être, il vit aux États-Unis). Il propose a Maria de vivre dans le modernisme, l’avenir est a l’anglais, THINK BIG comme le dirait Elvis Gratton. J’écris tout ça et il me vient a l’esprit que c’est surprenant quand même comment la gogauche et la droite se rejoigne dans cette détestation du Québec et de son peuple et de son histoire. Des amis Français me disent que c’est la même chose en France…la droite et la gauche déteste la France, son peuple et son histoire. Bien sur ils ne le disent pas comme ça…mais c’est bien cela dont il s’agit. Puis il y a Eutrope Gagnon; c’est le PQ (Parti Québécois) et dans une certaine mesure la CAQ (Coalition Avenir Québec). Eutrope est défricheur, cultivateur bien ancré dans la terre de ses ancêtres. Il n’a pas honte de son histoire, n’a pas honte de parler et vivre en français, il dit que le monde entier est un endroit merveilleux mais que son Québec est lui aussi merveilleux…et même plusse merveilleux qu’ailleurs? Nous allons voir qui Maria choisira…le 3 octobre prochain. En attendant on peut lire le roman. Louis Hémon termine son roman avec ce beau et prémonitoire texte : « Nous sommes venus il y a trois cents ans, et nous sommes restés (…) S’il est vrai que nous n’ayons guère appris, assurément nous n’avons rien oublié. (…) Nous avons marqué un pan du continent nouveau, de Gaspé à Montréal, de Saint-Jean-d’Iberville à l’Ungava, en disant : Ici, toutes les choses que nous avons apportées avec nous, notre culture, notre langue et jusqu’à nos faiblesses deviennent des choses sacrées, intangibles et qui devront demeurer jusqu’à la fin. (…) De nous-mêmes et de nos destinées, nous n’avons compris que ce devoir-là : persister… nous maintenir… Et nous nous sommes maintenus, peut-être afin que dans plusieurs siècles encore le monde se tourne vers nous et dise : Ces gens sont d’une race qui ne sait pas mourir. » HÉMON, Louis. Maria Chapdelaine, Fides, 1914.
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La civilisation espagnole a écrasé l'Indien ; la civilisation anglaise l'a méprisé et négligé ; la civilisation française l'a étreint et chéri.» Francis Parkman (1823-1893), historien Le 25 octobre 1665, l'Intendant Jean Talon, et au nom de Louis XIV, offre une dot et des cadeaux à chaque amérindienne qui épousera un Français. Résultat, la population de Nouvelle France passera de 3000 à 7000 habitants en seulement un an... Note personnelle : j'ai moi-même découvert tout dernièrement (moins d'un an) que mon ancêtre Martin B------ a épousé une Amérindienne en 1683...et j'en suis bien fier Des travaux à partir d’archives généalogiques et d’ADN mitochondrial (transmis de mère en fille) et une étude publiée dans la revue scientifique PLoS ONE en 2013 établissent qu’environ les deux tiers des Québécois de souche possèdent des gènes autochtones, soit entre 53 % et 78 % de ces Québécois selon les régions. Bien que les gènes autochtones ne constituent que 1 % de leur génome, l’étude conclut que ce pourcentage est hautement significatif: «One percent native ancestry can be understood as if everybody shared a Native American ancestor 6-7 generations ago». «Une ascendance autochtone de un pour cent peut être considérée comme voulant dire que tous partageaient un ancêtre amérindien il y a 6-7 générations». (Moreau 2013) En pratique, cela signifie que TOUTES les personnes d’ascendance française partageaient au moins un ancêtre amérindien au Québec il y a de cela six à sept générations, c’est-à-dire à l’époque des Patriotes. Les Québécois constituent un des groupes humains les plus métissés en Amérique du Nord. Toutefois, nombre de métissés ignorent tout bonnement qu’ils le sont et se définissent depuis des générations simplement comme Canadiens, puis Québécois. Vous connaissez le projet Balsac ? C’est cette infrastructure multi-universitaire québécoise, unique au monde, un fleuron du Québec scientifique, qui est dédiée entre autres à l’épidémiologie génétique, c’est-à-dire à la recherche de maladies rares, et dont les données, auxquelles les chercheurs du monde entier ont accès dans leur processus de découverte de nouveaux gènes, dont les données étaient fondées sur l’exceptionnelle homogénéité génétique de la population fondatrice du Québec depuis quatre siècles, les Québécois de souche. Eh bien l’étude publiée dans PLoS ONE en 2013 et que j’ai mentionnée plus haut est venue dire qu’il faudra dorénavant compter avec l’influence non négligeable des gènes amérindiens dans le génome québécois. Par ailleurs, en faisant abstraction des unions présumées nombreuses consommées dans la profondeur des forêts et de la naissance subséquente de nombreux enfants métis, à partir des registres paroissiaux catholiques, le généalogiste Youri Morin a aussi répertorié jusqu’au 31 décembre 1765 pas moins de 277 mariages interethniques entre «Français» et Amérindiennes et 3482 baptêmes de leurs descendants métis (d’après la preuve présentée en février 2016 devant la Cour supérieure du Québec dans la cause no. 560-17-001385-126, Procureure générale du Québec c. Royal Séguin et Communauté Métis Autochtone de Maniwaki). Quand on sait qu’à peine 6500 pionniers sont à l’origine des six millions de Québécois de vieille souche, on prend toute la mesure de ce que peut représenter le métissage autochtone au sein de la société québécoise d’aujourd’hui. Le métissage autochtone est inhérent à l’existence même du peuple québécois et le métissage québécois l’est tout autant pour une bonne majorité des Autochtones du Québec. Déjà, peu après la répression des Patriotes, un rapport destiné au gouverneur en chef du Canada-Uni, sir Charles Bagot, et faisant état de la situation des Amérindiens fréquentant sept villages autochtones de la vallée du Saint-Laurent (la Fédération des Sept Feux), attestait que tous les Hurons (Ouendats), 100 % dit le rapport, étaient métis, de même que presque tous les Iroquois du Sault Saint-Louis (deviendra Kahnawaké) et au moins les deux tiers des Algonquins, Iroquois et Népissingues inscrits à la Mission du Lac des Deux-Montagnes (Kanésataké). Déjà, il y a 180 ans, le métissage chez les Autochtones était largement répandu. À titre d’exemple de nos jours, mentionnons que les liens hurons du défunt grand chef des Ouendats de Wendaké, Magella (Max Oné Onti) Gros-Louis, provenaient uniquement de sa lignée paternelle sur les cinq générations le précédant; ses mère (Cécile Talbot), grand-mère (Angélina Garneau), arrière-grand-mère (Flore Verret), arrière-arrière-grand-mère (Marie Lensy) et arrière-arrière-arrière-grand-mère (Monique Renaud) étant Québécoises de souche. Selon le sociologue Jacques Noël, Max Gros-Louis, l’image par excellence du grand chef autochtone, n’avait donc que 3 % de sang huron dans ses veines… et 97 % de sang québécois. https://www.lesoleil.com/2013/06/30/les-details-du-patrimoine-genetique-metissedes-quebecois-10bf3080afc8b0f392084b71668c0ff6?fbclid=IwAR15RLbdq0zPL7UZHQwFPO3kwJ6DMbRagJOUPAmsX1AtzZ_LloQ8xDGm1kA
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"Nos ennemis sont puissants. Ils ont le pouvoir, l'argent, la force. Nous n'avons que nos rêves, notre volonté, notre détermination. Ils ont la radio, la télévision, les journaux.
Nous n'avons que nos bras, nos jambes, nos cerveaux.
Ils ont la loi, le nombre, le poids de ce qui a été et de ce qui est.
Nous n'avons que l'imagination, le courage, l'espoir.
Nous avons la force de ce qui demande à être. La force de ce qui sera.
Comme la fleur qui pousse dans une craque d'un mur de béton. Le mur finira par s'écrouler". - Pierre Falardeau
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419 ans jour pour jour, 27 mai 1603 : Première alliance entre des Européens et des Amérindiens. Ce traité est baptisé la « Grande Alliance », il est conclu à l’initiative de Samuel de Champlain pour le compte d’Henri IV. Trois jours plus tôt, Champlain et ses hommes avaient jeté l'ancre sur les berges de Tadoussac. L’alliance conclue le 27 mai engage la France et plusieurs nations amérindiennes de l’embouchure du Saint Laurent. Elle est signée par Champlain et notamment le chef Innu Anadabijou. Au terme de cet accord, les Amérindiens autorisent la France à coloniser l’arrière-pays et à y faire commerce de la fourrure. En contrepartie, la France s’engage à soutenir militairement les Amérindiens du Saint-Laurent contre les Iroquois. C’est l’acte de naissance de la civilisation franco-amérindienne, laquelle est fondée sur quatre caractéristiques. Premièrement, les mariages mixtes : les Français sont appelés à épouser des Amérindiennes. Deuxièmement, l’usage de la langue française comme langue véhiculaire. Troisièmement, la religion catholique (grâce notamment aux missions des Jésuites). Ultime caractéristique de cette civilisation qui durera politiquement jusqu’en 1763 : l’égalité des droits (les Amérindiens baptisés sont sujets du roi de France au même titre que les Français du Canada). Illustration : Kelly, John David, 1895 (Bibliothèque de Toronto) Samuel de Champlain lors d'une expédition avec des Amérindiens sur le lac Huron, en 1615. Pour aller plus loin : Mathieu d'Avignon, « Samuel de Champlain et les alliances franco-amérindiennes : une diplomatie interculturelle », Québec, Québec Université Laval, collection « Thèses et mémoires », 2001.
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Un autre exemple de saloperies anglaise : The Sixties Scoop En droite ligne avec sa philosophie ethnocidaire appliquée dans la majorité des pensionnats autochtones, le gouvernement canadien, dans les années 1960, organise un véritable commerce des enfants autochtones. Entre décembre 1965 et décembre 1984, plus de 20 000 de ces enfants du Canada anglais ont été arrachés à leur famille et vendus à des familles blanches par l’entremise de services d’aide à l’enfance. Le gouvernement fédéral s’est même assuré d’effacer l’identité de naissance de ces enfants. Ces petits Autochtones vendus au Canada, aux États-Unis et en Europe ont fait l’objet d’une campagne de commercialisation agressive. Comme une marchandise quelconque, ils étaient répertoriés dans des catalogues où on leur accordait une valeur monétaire. Il est rapporté que des agences pouvaient même percevoir entre 1000 et 2000 dollars pour chaque adoption qu’elles rendaient possible. L’honneur est sauf… En juin 2015, le Manitoba s’excusait, suivi de la Saskatchewan. Puis, en février 2017, c’est en Ontario que le gouvernement fédéral est enfin reconnu coupable de cette abomination. Enfin, en mai 2018, l’Alberta s’excusait à son tour. Soulignons à nouveau qu’en 1948 l’ONU définissait ce qu’est un génocide. C’est notamment l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe humain, entre autres, par le «transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe.» Encore une fois, il n’est plus question ici simplement d’ethnocide, mais bien de véritable génocide. ...et non, rien de tel s'est passé au Québec. Nous avons été nous mêmes les Canadiens Français victimes d'ethnocide...on a qu'a pensé aux Acadiens hommes (seulement les hommes) qui ont été déportés par les Anglais. Les bateaux utilisés par les Britanniques, pour le transport des Acadiens lors de leur déportation (génocide) en 1755, avaient été loués à contrat d’une compagnie de Boston, Apthorp and Hancock. Voir références ci-dessous. Ceux-ci utilisaient les mêmes bateaux pour le transport des esclaves noirs d’Afrique aux colonies britanniques en Amérique. Ces bateaux étaient des bateaux de marchandises, pour transporter des produits (animaux inclus). La compagnie de transport, qui a eu le contrat, était Apthorp and Hancock de Boston. NB Pour les Britanniques, il y avait peu de différence entre un animal et un esclave noir… ou un Canadien Français !!!! https://wiki2.org/en/Charles_Apthorp Apthorp and Hancock also supplied many of the ships used during the forced removal of the Acadians from Nova Scotia. The two merchants also lent money to finance the operation, and the poor quality of ships supplied by Apthorp and Hancock led to instances of malnutrition, disease and death among the Acadians on board.
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Ouein...faut tout lire cependant...ce n'est pas si simple que de laisser croire aux immigrants que les Français, au Québec ont été autant des salauds que les Anglos. Alors l'article de La Presse est écrit non pas par un historien mais par un éditorialiste payé par les Desmarais. De plus il commence son texte en expliquant que les Français ont massacrés des Autochtones...aux Antilles !!!!!!! J'm'en calice tu des Antilles ? Puis il site Jacques Lacourcière (lui c'est un vrai historien) qui parle de massacre d'Autocthones par des Français a....Détroit aux États-Unis !!!!!!!! Mais comme c'est écrit par un traitre de La Presse a Desmarais, je vais vérifier si c'est vraiment ce que Lacourcière a écrit....ou si il manque des petits détails ''oubliés'' qui change tout le récit....et je te reviens (un autre jour). Tout comme l'article du Devoir est au sujet d'une Française qui n'est pas une historienne et qui est venu ici avec tous ses préjugés d'Européenne...et ou il doit manquer la aussi des ''petits détails'' qui change toute l'histoire. Ca aussi je vais vérifier auprès d'historiens qualifiés. Car elle parle surtout des pensionnats...et elle blâme les Français parce que plusieurs de ces pensionnats au Canada anglais étaient administrés par des Oblats, donc des Français catholique...donc des Blancs. (oui parce que ca aussi c''est la nouvelle mode des wokes de la gogauche... les Québécois de souche sont des Blancs...wouache caca ...donc on peut ch**r dessus a qui mieux mieux. ) Donc plusieurs pensionnats étaient administré par des Oblats... Et bien je pense que je n'ai pas a te rappeler tout le mal que je pense des religions....TOUTES les religions. Mais elle (évidemment) oublie de mentionner: Vrai, il y avait moins de pensionnats autochtones en proportion au Québec qu’au Canada anglais, surtout dans les années 1920, 1930 et 1940. Les jeunes autochtones fréquentaient davantage des écoles de jour au Québec. On ne les arrachait pas à leur famille. On ne cachait pas les décès d’élèves pendant des décennies à leur famille. Donc le fait qu'il y eu moins de décès au Québec qu'au Canada Anglais (38 au Québec et 6000 au Canada Anglais) n'a rien a voir avec le fait qu'il y avait moins d'Autochtones au Québec et beaucoup plus au Canada Anglais...c'est parce qu'ils étaient mieux traités au Québec. Ouille , une autre théorie de la gogauche qui tombe. En fait ce qu'il faut savoir c'est que pour toutes sortes de raisons (surtout a cause des territoires de chasse) certaines bandes Amérindiennes se sont rangées du bord des Francos et d'autres bandes Amérindiennes se sont rangées du bord des Anglos. Lorsque une bande faisait la guerre a une autre bande, ils capturaient des membres de la bande ennemis pour les offrir comme esclaves aux ''blancs'' qui les avaient aidés dans la conquête du territoire convoité. Ainsi quand tout ce beau monde se faisait la guerre (principalement pour un territoire de chasse) ce n'était pas jolie. Mais ca c'est l'histoire du monde entier....ce n'est pas spécifique au Québec. Oui je sais ce n'est pas le beau récit romantique du ''pauvre indien'' maltraité par le gros méchant Blanc qu'on vous a raconté.
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Ben ce n'est pas moi qui le dit, ce sont des historiens Que veux tu dire, tu t'y connais plusse que des historiens ?
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Oui je sais , c'est dur de lire la vérité...surtout quand cela contredit le discours de la gogauche. Mais bon que veux tu, il y a des historiens qui ont creusé le sujet...a moins que tu veux dire que la gogauche en connait plus que les historiens comme Eric Bédard et Marcel Trudel ? Mais je t'accorde que cela n'a pas vraiment a voir avec le Labrador...quoique..... PS. en passant, comme tu le vois les Français n'ont pas ''volé'' le territoire, ils y ont été invité. Et c'est la qu'est la plus grande supercherie des Anglos répété stupidement par la gogauche. Les Anglos, comme les Hollandais d'ailleurs ont ''acheté'' certaines terres aux Autochtones. Sauf que évidemment ils les ont fourrés ben comme il faut en leur donnant, genre 5 piastres pour des milliers d'hectares de terres. Ainsi les Autochtones ont ''cédés'' leurs terres pour des clopinettes . Les Français, ayant été invités par les Autochtones, n'ont pas donner d'argent...donc les terres n'ont pas été cédés. C'est ce qui permet aux Anglais, pour encore une fois stigmatiser les Québécois, de dire '' Ah Ah nous nous ont payé pour ces terres, vous autres les Francos, vous les avez volé'' Et la gogauche répète stupidement ce mensonge.
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Faux ! Il faudrait arrêter de répéter ces mensonges...surtout sur un site d'immigration ou des gens, légitimement veulent s'informer sur le pays ou ils vont immigrer. Cette histoire de territoire non cédés est fausse et inventer par le Canada anglais pour stigmatiser les Québécois. Les Français, grâce a la bienveillance de Champlain ont été invité par les Autochtones a s'établir sur les rive du St-Laurent grâce au traité de 1603. PROXIMITÉ AUTOCHTONE QUÉBÉCOISE D’HIER À AUJOURD’HUI Voici un rapide survol de citations, de situations, d’événements et d’étapes qui ont marqué et influencé les relations entre les Autochtones et les Québécois depuis près de 500 ans: 1534 à 1536 – Au moins par trois fois Jacques Cartier fera ériger une croix à la gloire du roi de France, François 1er, pour signifier la prise de possession par ce dernier des territoires explorés du Saint-Laurent. En vertu du concept juridique européen de terra nullius (territoire sans maître), c’est la façon de faire de cette époque où les monarques tout-puissants du vieux continent s’approprient les terres du Nouveau Monde qu’ils déclarent «n’appartenir à aucun autre prince chrétien». Le plus célèbre de ces évènements se produit le 24 juillet 1534 à la Pointe-de-Penouille près de Honguedo (Gaspé), sous l’oeil inquisiteur de 200 Iroquoiens (Autochtones de langue iroquoienne; ne pas confondre avec les Iroquois) et de leur chef Donnacona venus de Stadaconé (Québec). Ceux que les anthropologues appellent de nos jours les Iroquoiens du Saint-Laurent ont coutume en été de venir pêcher le maquereau sur la péninsule gaspésienne. Méfiants, ils désapprouvent la croix que fait ériger Cartier. Celui-ci doit les rassurer en leur racontant qu’elle ne sert que de repère pour ses navires. 1603 – Plus de 60 années se sont écoulées depuis le dernier périple de Cartier et Roberval et il n’y a plus d’Autochtones habitant les rives du Saint-Laurent, que Samuel Champlain de Brouage remontera jusqu’à la hauteur de Hochelaga (Montréal), dorénavant désertée. Les Iroquoiens sont disparus de la vallée du Saint-Laurent. Entretemps, toutes les tentatives de colonisation par la France dans les Amériques ont échoué. Une nouvelle impulsion semble toutefois donnée à la grande aventure qui s’amorce entre Français et «Sauvages» de la Neufve-France. Inédite par ses objectifs nouveaux, cette impulsion trouve écho dans la commission que le roi Henri IV adressait en novembre à Pierre Dugua de Mons et qui détermine le mandat qu’ont dorénavant auprès des Sauvages («qui habitent la forêt», de l’italien selvaggio, lui-même inspiré du latin silva qui signifie «la forêt») les expéditions vers la Nouvelle-France: (Girard 2021) «… traiter & contracter à même effet paix, alliance & confederation, bonne amitié, correspondance & communication avec lesdits peuples & leurs Princes, ou autres ayans pouvoir & commandement sur eux: Entretenir, garder & soigneusement observer les traités & alliances dont vous conviendrés avec eux: pourvus qu’ils y satisfacent de leur part.» C’est dans cet esprit qu’était d’ailleurs survenu à la fin mai et en début juin de cette année-là le premier traité de l’histoire de la Nouvelle-France. Telle que rapportée par Champlain dans son ouvrage intitulé Des Sauvages, la première alliance formelle et documentée entre la France et les Premières Nations de la Nord Amérique s’est ainsi produite aux environs du poste de traite de Tadoussac (établi en 1600), sous l’autorité, entre autres, d’Anadabijou et de Tessouat, grands chefs des nations montagnaise (aujourd’hui innue) et algonquine (aujourd’hui anichinabée). C’est le traité de la Grande Alliance avec la Coalition laurentienne. À cette occasion, Anadabijou «dict qu’il estoit fort aise que saditte Maiesté [Henri IV] peuplast leur terre; & fist la guerre à leurs ennemis; qu’il n’y avoit nation au monde à qui ils voulussent plus de bien qu’aux François». (Giguère 1973) Les Français étaient accueillis comme alliés et étaient invités à peupler les terres du Saint-Laurent. Comme le dit Jean-Marc Soyez dans son livre Quand l’Amérique s’appelait Nouvelle-France: «Car il ne faut pas oublier que de tous les étrangers qui ont abordé ou aborderont en Amérique, les Français sont les seuls à y avoir été invités par les autochtones.» Et par ailleurs, ils seront les seuls aussi à ne pas déposséder les Autochtones: «Les Alliances avec les peuples autochtones et leur maintien, s’inscrivent, à partir de l’Alliance de 1603, dans la politique de la France qui, en s’alliant avec les peuples autochtones reconnaît leurs droits de peuples souverains sur leurs terres.» (Girard 2012) À l’occasion d’un colloque de l’Institut de recherche sur le Québec (IRQ) en novembre 2021, l’historien Éric Bédard rapportait les écrits de l’un de ses éminents prédécesseurs, l’historien Marcel Trudel (1917-2011), concernant la signification fondatrice du traité de 1603: «De la “tabagie” de 1603, il faut enregistrer un résultat de haute importance: les indigènes du Saint-Laurent consentent à ce que les Français peuplent le pays […] Quand les Hollandais s’établiront à New York, ils achèteront des indigènes l’île de Manhatte [1626]; quand William Penn voudra coloniser sa forêt, la Pennsylvanie, il en achètera aussi le sol [1682]; ici, à Tadoussac en 1603, point d’achat, point de cession ni de traité rédigé en bonne et due forme: les Français reçoivent, au cours d’une assemblée solennelle, l’autorisation générale d’habiter le pays. Il n’y a pas eu de spoliation de l’indigène». Ainsi, au Québec, la question piégée des territoires non cédés, imaginée par un Canada anglais en mal de stigmatisation des Québécois de vieille souche, n’a pas de pertinence. Les Français n’ont jamais signé de traités de cession ou d’extinction avec les peuples autochtones, contrairement à ce que commettront les Britanniques puis les CanadiAns, parce que les Français n’ont simplement jamais essayé de déposséder les Autochtones. Tous les traités signés entre Autochtones et Français seront des traités d’alliance, de nation à nation, ayant pour but de fédérer, de rassembler autour d’un projet commun, afin d’assurer le peuplement, le commerce et la paix sur des territoires qui allaient être copartagés. 1618 – Champlain, s’adressant à des Ouendats (Hurons): «Quand cette grande maison sera faite, nos garçons se marieront à vos filles et nous ne ferons plus qu’un peuple.» 1627 – L’article 17 de la charte royale de la Compagnie des Cent-Associés qui administrera la colonie de 1628 à 1645 stipule que le «Sauvage» baptisé devient «naturel français»: (Trudel 2009)
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Oui mais le Labrador a été VOLÉ par les Anglos pour le donner aux Newfies. Donc moralement le Labrador est encore et toujours au ''Quibec''
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Labrador City c'est pas cher
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Combien faut-il gagner pour vivre correctement au Québec ?
jimmy a répondu à un(e) sujet de bencoudonc dans Québec
Non, ca c'était le chèque : '' hey il y a une élection qui s'en vient'' ? -
Pffff...ça explique tout ?
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Et voici ce qu'en disait René Levesque : Quant à l'aspect dangereux, il réside fondamentalement dans l'attribution aux tribunaux et en dernier ressort à la Cour Suprême fédérale de tout un vaste domaine touchant l'emploi, les droits civils, la propriété, la langue et l'éducation, où c'est la compétence des parlements provinciaux qui demeure à l'évidence la meilleure ligne de défense et aussi le meilleur instrument de progrès des droits de tous et de chacun» (cité dans Joëlle Quérin, Institut de recherche sur le Québec, février 2012).
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Oui tout ce que tu dis la est vrai....mais (y a toujours un ''mais'')... Pour les Québécois le ''charcutage'' de grands pans de la Loi 101 par la Cour Suprême du Canada (avec des juges majoritairement anglophones) et bien c'est aussi scandaleux, enrageant, significatif que ce qui se passe dans la justice américaine. Car ca veut dire que sur des sujets fondamentaux pour nous...nous ne gagnerons jamais. .,..et j'ajouterai que ce qui se passe aux USA et qui commence a déteindre au Canada Anglais c'est que, tout comme aux USA les politiciens sont bien heureux de laisser les juges décider, comme ça eux s'en lave les mains (des sujets controversés)
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Oui c’est vrai. Quoique attention, il y a de plus en plus une tendance au Canada Anglais que les questions qui sont politiquement controversées soient laissés dans les mains des juges ( langues, avortements, droits de un et de l’autre, laïcité, religions, etc…) Et ca au Québec nous sommes vigoureusement contre car la Cour de justice suprême au Canada ( qu’on appelle justement la Cour Suprême) et bien les membres de cette Cour sont majoritairement anglophones….donc ils penchent rarement de notre bord. Au Québec nous favorisons une gouvernance par les élus, et non pas par des juges.
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Bon ok, sur cela effectivement il y a une différence fondamentale. Aux Etats-Unis le raisonnement est ‘’grouille toi le cul, travail fort et tu pourras te payer de bonnes assurances’’ Alors évidemment cela a pour effet de laisser pleins de monde dans la merde Ceci dit je maintien que les poignées de porte…c’est fondamental Faites vos recherches LIBARTÉ ????
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Non moi je dis que ça devrait les propriétaires des Kia Rio qui devraient être taxé d’avantage ?
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Oui mais partout aux USA et au Canada les poignées de porte sont les mêmes ?
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Oh la la , s’cusez ….ok britannique alors