saabe

Angel-fr Le problème que je vois, c'est que d'un côté, la majorité du personnel médical étranger au Québec provient de pays africains où la qualité de formation et les conditions de travail ne sont pas à la hauteur d'un pays développé comme le Canada (sans oublier l'aspect éthique de priver ces pays de professionnels dont ils ont désespéramment besoin). Et de l'autre côté, t'as le zèle des syndicats et ordres professionnels qui mettent tous les obstacles du monde pour fermer la porte aux nouveaux arrivants, y compris de pays ou la qualité des soins médicaux sont souvent supérieurs à ce qu'on trouve içi comme c'est le cas de la majorité des pays de l’Europe occidentale.

On ne peut pas maintenir des écoles inaugurées pendant la période du baby boom et pensées pour une population de moins de 18 ans 10 fois supérieure à l'actuelle. Il faut réduire leurs nombres, les concentrer dans les capitales régionales et offrir des bourses complètes pour que les jeunes puissent étudier en dehors de leurs villages et petites villes reculées. Le remplir avec des faux étudiants étrangers qui ne pensent qu'à la résidence permanente et qui majoritairement, travailleront de chauffeurs de taxi et de camions à Montréal une fois arrivés à leur but, c'est le pain pour aujourd'hui, la faim pour demain. Le Canada devrait d'ailleurs réviser le programme permis de travail post-études et le limiter aux diplômés universitaires étrangers de domaines à forte valeur ajoutée.

25% ça devrait être par région, si on veut s'assurer d'une véritable diversité. Car ça pourrait facilement finir avec 25% Cameroun, 25% Sénégal, 25% Côte d'Ivoire et 25% R.D du Congo. (ou une majorité représentée par 4 ou 5 pays culturellement proches voire similaires). Voilà ma proposition : 10% Afrique Subsaharienne, 10% Afrique du nord et Moyen-Orient, 10% Asie du sud, 10% Asie de l'est, 10% Europe occidentale, 10% Europe de l'est, 10% Amérique-Latine, 10% Amérique du nord, 20% pays sous-représentés des 5 continents.

Sinon concernant les étudiants étrangers, il y'a une formule très simple qui aiderait à filtrer les faux étudiants et faire chuter leur nombre de 90% tout en bénéficiant l'économie canadienne à long terme. Permis d'étude juste pour des étudiants universitaires, et dans des domaines d'intérêt pour l'économie du pays (sciences de la santé, nouvelles technologies, ingénieries, etc.…). Faudra s'assurer qu'ils disposent de l'argent nécéssaire pour toute la durée de leurs études, et pas de petits jobs en dehors du campus. Pour les cegeps et collèges des régions reculés en manque d'étudiants, désolé, mais peut-être ils devraient fermer. Simple question offre/demande.

Legault, ce n'est pas le type qui a demandé à Trudeau d'augmenter le quota des travailleurs temporaires de 10 à 20% avec l'excuse de la pénurie de la main d'oeuvre post-covid? Le même type qui travaille comme lobbyiste en chef de la mafia du lait?

Bonjour, J´ai traduit tous mes documents espagnols, de l'espagnol au Français, à travers une agence de traducteurs assermentés à Madrid, qui me l'ont envoyé par DHL. Ils ont été acceptés par Mifi et IRCC sans problèmes. Pour ta question, oui ils faut que ça soit une traduction assermentée, de préférence une traduction faite dans le pays émetteur ou par un traducteur assermenté au Canada ou le Québec. Cordialement.

Je crois qu'il est temps de supprimer ce sujet.

Tu es bien arrivé Cèdre?

Le problème de la possibilité d'importer des travailleurs étrangers de façon infinie, c'est que ça devient une drogue avec le temps. Ça gèle les salaires, ça précarise les emplois, et ça tue l'innovation. Importer des travailleurs étrangers devrait être une exception, et seulement pour combler temporairement des postes vacants (et vitaux) avec des professionnels difficiles à former (que ça soit à cause de la longueur de leurs formations ou la complexité de leurs domaines), en attendant de mettre en place une stratégie à long terme. Conçernant l'argument de l'inflation, je crois que tu te trompes. Ce n'est pas l'augmentation des salaires (qui sont déjà trop bas pour un pays comme le Canada), de l'argent qui existe déjà mais qui se redistribue d'une autre manière (exemple plus d'argent pour les employés et un peu moins de dividends pour les actionnaires), et qu'on pourrait rentabiliser avec le plus de productivité générée par des travailleurs de carrière motivés. L'inflation est provoquée par un surplus de liquidité ou l'augmentation des prix dû à la dévaluation de la monnaie ou la pénurie d'un bien essentiel (le logement par exemple),...entre autres. De toute façon le métier d'educateur de jeune enfance est un métier géneralement bien rénuméré dans les pays avancés et qui nécessite au moins un diplôme universitaire de 3 ou 4 ans en europe. Pourquoi au Québec (et pire, à Montréal!) c'est payé à moins de 56.000 dollars?

Avec l'excuse qu'on ne trouve pas d'éducatrices pour les garderies (chose improbable) on fait venir Mme Kong de son pays pour travailler au salaire minimum. Ça comble une pénurie dirais-tu. Sauf que Mme Kong ne vient pas seule et n'a aucune intention de retourner chez elle après la fin de son contrat. Elle vient avec son mari et ses enfants. Donc besoin d'un logement pour elle et sa famille (plus de pression sur un marché immobilier au bout du souffle et augmentation des prix), un job pour son mari, un medecin pour ses enfants (prioritaires), et des places en garderie (surement subventionnée vus leurs revenus) et dans des écoles (oú il y'a une réelle pénurie d'instituteurs provoquée d'ailleurs par l'explosion d'immigration). Donc pour que Madame la directrice de la crèche continue à faire de beaux bénéfices, elle veut continuer à importer des esclaves au minimum wage avec des contrats fermés,....et de passage, chaque Mme Kong importée crée une pénurie (cette fois réelle) de logement (et les travailleurs qui les construisent qu'il faudra aussi importer) d'instituteurs, de medecins, d'infirmières, travailleurs sociaux, etc... C'est le poisson qui se mord la queue. Une histoire de pénuries qui va en boucle.

Ils ont dit que c'était un programme pour travailleurs temporaires? Le seul qui croit à ça est Trudeau. Franchement je prends le cri de detresse des employeurs avec une bonne dose de grain de sel. Des educateurs pour garderies, c'est pas des médecins. Il y'a beaucoup de chômeurs qu'on pourrait former et les mettre à travailler dans ce domaine en peu de temps, y compris parmi les immigrants permanents et les réfugiés.

À Montréal c'est toujours des haïtiens et des maghrébins. Des racailles de rue, des casseurs et des petits revendeurs, pas plus. Car le crime organisé reste contrôlé par les motards et les italiens. De toute façon, concernant les maghrébins c'est un peu choquant sachant que leurs parents sont beaucoup plus qualifiés (on parle de 40% d'universitaires même si 28% étaient au chômage,...je parle des vieilles statistiques de 2008) que les ouvriers analphabètes qui sont venus travailler dans les usines de France durant les 30 glorieuses. Cet échec est vraiment digne d'une thèse doctorale en sociologie.

Ce que je voulais dire,c'est .....qu'ils aient des racailles de chez eux, ne justifie pas tolérer l'importation de la racaille d'autres cieux.

Oui c'est ça, Mr Eliott Washington. Tu n'as qu'à te marier avec lui et lui donner de quoi acheter le produit magique pour retirer l'encre noir des billets,....et tu viveras heureuse avec lui dans une Mansion en Gaspésie.

Içi en Montérégie il 'y a plein de rednecks accros au meth et la fentanyl,....mais bon, à part le vol de colis et vélos et parfois des pitbulls qui se promenent seuls,...je ne me sens pas menacé et plus important, ......c'est de la racaille mais LEURS racailles (c'est pas à moi, en bon immigrant invité, de les critiquer). Que chaqu'un prenne soin de sa racaille et le monde ira mieux.