Aller au contenu

Laurence Comet

Membres
  • Compteur de contenus

    25
  • Inscription

  • Dernière visite

Activité de réputation

  1. J'aime
    Laurence Comet a réagi à bleu-sang dans 6 trucs infaillibles pour RATER son immigration   
    Très bon billet . Plein de bon sens !
    Salut à toi Mapiki3.
  2. J'aime
    Laurence Comet a réagi à Laurent dans Maudit Français : Tu m’énèrves !   

  3. J'aime
    Laurence Comet a reçu une réaction de grandebleue dans 6 trucs infaillibles pour RATER son immigration   
    Et oui, la vie à l’étranger fait rêver, saliver, fantasmer, …
     
    Pourtant l’expatriation est tout sauf facile, n’est pas si rose, et peut même mener à des déceptions, des désillusions, voire des dépressions.
    Personnellement c’est cette phrase de Mark TWAIN qui a été mon déclic :
     


    Je m’estime « ben chanceuse » (à lire avec l’accent Québécois) que ma vie au Canada et en Espagne se soient bien passées (l’une en couple, l’autre en famille). Pourquoi ? Parce-qu’à l’époque, personne de mon entourage n’a su me conseiller, m’épauler et me (PRÉ)PARER pour ma nouvelle vie.
     
    Depuis le début de mon expatriation, je croise régulièrement des personnes (bien plus nombreuses que ce que l’on pourrait croire) qui ont malheureusement échoué dans cette aventure. Les raisons de cet échec semblaient différentes à première vue, mais je me suis rapidement aperçue qu’elles se comptaient sur les doigts de la main (d’un polydactyle***).
     
    Si tu te prépares à franchir le pas de l’immigration, assure-toi d’éviter les 6 écueils suivants, qui pourraient transformer ton rêve en cauchemar.
    1- Partir pour les mauvaises raisons.
    Tu pars pour découvrir une autre culture, t’ouvrir l’esprit, sortir de ta zone de confort, te confronter à l’inconnu, parler une nouvelle langue, vivre une nouvelle aventure (seul, en couple ou en famille), changer (de vie, de travail, d’endroit) ? Ce sont de BONNES raisons : tu es sur la voie d’une expatriation réussie !
    En revanche si tu pars pour FUIR, la réussite de ton expatriation me paraît plutôt compromise (hormis bien évidemment dans le cas de réfugiés politiques, ce billet s’adressant principalement à des lecteurs Français, Belges et Suisses…).
    Quand je parle de fuite, je pense plutôt au refus d’affronter ses problèmes personnels et/ou psychologiques, de se remettre en question, de rejeter la société, etc. 9 fois sur 10, tes problèmes te rattraperont, même si tu vis à l’étranger.
    Comme le dit Robert Louis Stevenson :
    Je ne dis pas que c’est facile (je ne pense d’ailleurs pas en être capable, car personnellement je n’ai rien fui, SAUF, après mûre réflexion, ceux qui me demandaient : « Et toi, les bébés, c’est pour quand ? » ;) ) et j’anticipe des réactions de certains de mes compatriotes, mais la fuite est une mauvaise raison, selon mon humble avis… Et qui dit mauvaise raison dit foncer dans le mur…
    2- Le refus de l’échec.

     
    La peur et les doutes sont omniprésents avant le grand départ (sauf si tu es un super héros bien sûr). Ce sont des émotions normales, humaines, que l’inconnu réserve à tous : vais-je m’adapter, vais-je aimer ma nouvelle vie, vais-je trouver le boulot de mes rêves, mes enfants vont-ils s’intégrer, … ?
    Mais de toutes les peurs, il y en a une que tu devras combattre, si tu veux réussir ta vie à l’international : la peur de l’échec. Une fois « là-bas », tu sentiras plus d’une fois le fantôme de l’échec planer lourdement au-dessus de ta tête… et il y a de fortes chances que tu ne réussisses pas du premier coup. Mais perdre une bataille ne signifie pas perdre la guerre.
    L’important est d’en tirer un enseignement (et de l’humilité, ce qui ne fait de mal à personne, surtout si tu es Français ), de relever ta tête et tes manches, et de repartir au combat, en te disant : « C’est pas grave, cette fois ça n’a pas marché, la prochaine fois sera la bonne. »
    Si tu capitules au premier obstacle, au premier refus, à la première défaite, ben… t’es mort tu ferais mieux de rentrer au bercail.
    Personnellement, je me suis retrouvée à faire cuire des céréales à mon arrivée à Montréal dans un petit atelier, après avoir quitté un poste de direction à Paris pour Danone (avec la voiture et les €€€€€€ qui allaient avec… ). Mes enfants (alors âgés de 4 et 6 ans) n’ont maîtrisé l’espagnol qu’après plusieurs mois, alors qu’on m’avait garanti qu’en 1 mois, ils seraient bilingues. Mon conjoint n’avait toujours pas la sécurité sociale espagnole, après 2 ans à Valencia…
    Et pourtant, ça roule ma poule ! Pourquoi ? Parce-qu’on reste confiant (même si la vie n’est pas rose tous les jours), qu’on ne regarde jamais en arrière, et qu’on se remet en question régulièrement… mais qu’est-ce que ça fatigue en revanche ! (Soupirs)
    Je parle toujours de notre « petite étoile » à ceux qui m’interrogent sur notre avenir (encore incertain). Mais sincèrement, cette petite étoile, tu devras la nourrir tous les jours de positivisme et de confiance en l’avenir. Mais la récompense sera là, garanti !
     
    Pour lire la suite : c'est par ici
     
  4. J'aime
    Laurence Comet a réagi à Mapiki3 dans 6 trucs infaillibles pour RATER son immigration   
    ah ça donne envie !!! merci pour la bonne énergie !
  5. J'aime
    Laurence Comet a reçu une réaction de kuroczyd dans 6 trucs infaillibles pour RATER son immigration   
    Et oui, la vie à l’étranger fait rêver, saliver, fantasmer, …
     
    Pourtant l’expatriation est tout sauf facile, n’est pas si rose, et peut même mener à des déceptions, des désillusions, voire des dépressions.
    Personnellement c’est cette phrase de Mark TWAIN qui a été mon déclic :
     


    Je m’estime « ben chanceuse » (à lire avec l’accent Québécois) que ma vie au Canada et en Espagne se soient bien passées (l’une en couple, l’autre en famille). Pourquoi ? Parce-qu’à l’époque, personne de mon entourage n’a su me conseiller, m’épauler et me (PRÉ)PARER pour ma nouvelle vie.
     
    Depuis le début de mon expatriation, je croise régulièrement des personnes (bien plus nombreuses que ce que l’on pourrait croire) qui ont malheureusement échoué dans cette aventure. Les raisons de cet échec semblaient différentes à première vue, mais je me suis rapidement aperçue qu’elles se comptaient sur les doigts de la main (d’un polydactyle***).
     
    Si tu te prépares à franchir le pas de l’immigration, assure-toi d’éviter les 6 écueils suivants, qui pourraient transformer ton rêve en cauchemar.
    1- Partir pour les mauvaises raisons.
    Tu pars pour découvrir une autre culture, t’ouvrir l’esprit, sortir de ta zone de confort, te confronter à l’inconnu, parler une nouvelle langue, vivre une nouvelle aventure (seul, en couple ou en famille), changer (de vie, de travail, d’endroit) ? Ce sont de BONNES raisons : tu es sur la voie d’une expatriation réussie !
    En revanche si tu pars pour FUIR, la réussite de ton expatriation me paraît plutôt compromise (hormis bien évidemment dans le cas de réfugiés politiques, ce billet s’adressant principalement à des lecteurs Français, Belges et Suisses…).
    Quand je parle de fuite, je pense plutôt au refus d’affronter ses problèmes personnels et/ou psychologiques, de se remettre en question, de rejeter la société, etc. 9 fois sur 10, tes problèmes te rattraperont, même si tu vis à l’étranger.
    Comme le dit Robert Louis Stevenson :
    Je ne dis pas que c’est facile (je ne pense d’ailleurs pas en être capable, car personnellement je n’ai rien fui, SAUF, après mûre réflexion, ceux qui me demandaient : « Et toi, les bébés, c’est pour quand ? » ;) ) et j’anticipe des réactions de certains de mes compatriotes, mais la fuite est une mauvaise raison, selon mon humble avis… Et qui dit mauvaise raison dit foncer dans le mur…
    2- Le refus de l’échec.

     
    La peur et les doutes sont omniprésents avant le grand départ (sauf si tu es un super héros bien sûr). Ce sont des émotions normales, humaines, que l’inconnu réserve à tous : vais-je m’adapter, vais-je aimer ma nouvelle vie, vais-je trouver le boulot de mes rêves, mes enfants vont-ils s’intégrer, … ?
    Mais de toutes les peurs, il y en a une que tu devras combattre, si tu veux réussir ta vie à l’international : la peur de l’échec. Une fois « là-bas », tu sentiras plus d’une fois le fantôme de l’échec planer lourdement au-dessus de ta tête… et il y a de fortes chances que tu ne réussisses pas du premier coup. Mais perdre une bataille ne signifie pas perdre la guerre.
    L’important est d’en tirer un enseignement (et de l’humilité, ce qui ne fait de mal à personne, surtout si tu es Français ), de relever ta tête et tes manches, et de repartir au combat, en te disant : « C’est pas grave, cette fois ça n’a pas marché, la prochaine fois sera la bonne. »
    Si tu capitules au premier obstacle, au premier refus, à la première défaite, ben… t’es mort tu ferais mieux de rentrer au bercail.
    Personnellement, je me suis retrouvée à faire cuire des céréales à mon arrivée à Montréal dans un petit atelier, après avoir quitté un poste de direction à Paris pour Danone (avec la voiture et les €€€€€€ qui allaient avec… ). Mes enfants (alors âgés de 4 et 6 ans) n’ont maîtrisé l’espagnol qu’après plusieurs mois, alors qu’on m’avait garanti qu’en 1 mois, ils seraient bilingues. Mon conjoint n’avait toujours pas la sécurité sociale espagnole, après 2 ans à Valencia…
    Et pourtant, ça roule ma poule ! Pourquoi ? Parce-qu’on reste confiant (même si la vie n’est pas rose tous les jours), qu’on ne regarde jamais en arrière, et qu’on se remet en question régulièrement… mais qu’est-ce que ça fatigue en revanche ! (Soupirs)
    Je parle toujours de notre « petite étoile » à ceux qui m’interrogent sur notre avenir (encore incertain). Mais sincèrement, cette petite étoile, tu devras la nourrir tous les jours de positivisme et de confiance en l’avenir. Mais la récompense sera là, garanti !
     
    Pour lire la suite : c'est par ici
     
  6. J'aime
    Laurence Comet a reçu une réaction de Jade dans 6 trucs infaillibles pour RATER son immigration   
    Et oui, la vie à l’étranger fait rêver, saliver, fantasmer, …
     
    Pourtant l’expatriation est tout sauf facile, n’est pas si rose, et peut même mener à des déceptions, des désillusions, voire des dépressions.
    Personnellement c’est cette phrase de Mark TWAIN qui a été mon déclic :
     


    Je m’estime « ben chanceuse » (à lire avec l’accent Québécois) que ma vie au Canada et en Espagne se soient bien passées (l’une en couple, l’autre en famille). Pourquoi ? Parce-qu’à l’époque, personne de mon entourage n’a su me conseiller, m’épauler et me (PRÉ)PARER pour ma nouvelle vie.
     
    Depuis le début de mon expatriation, je croise régulièrement des personnes (bien plus nombreuses que ce que l’on pourrait croire) qui ont malheureusement échoué dans cette aventure. Les raisons de cet échec semblaient différentes à première vue, mais je me suis rapidement aperçue qu’elles se comptaient sur les doigts de la main (d’un polydactyle***).
     
    Si tu te prépares à franchir le pas de l’immigration, assure-toi d’éviter les 6 écueils suivants, qui pourraient transformer ton rêve en cauchemar.
    1- Partir pour les mauvaises raisons.
    Tu pars pour découvrir une autre culture, t’ouvrir l’esprit, sortir de ta zone de confort, te confronter à l’inconnu, parler une nouvelle langue, vivre une nouvelle aventure (seul, en couple ou en famille), changer (de vie, de travail, d’endroit) ? Ce sont de BONNES raisons : tu es sur la voie d’une expatriation réussie !
    En revanche si tu pars pour FUIR, la réussite de ton expatriation me paraît plutôt compromise (hormis bien évidemment dans le cas de réfugiés politiques, ce billet s’adressant principalement à des lecteurs Français, Belges et Suisses…).
    Quand je parle de fuite, je pense plutôt au refus d’affronter ses problèmes personnels et/ou psychologiques, de se remettre en question, de rejeter la société, etc. 9 fois sur 10, tes problèmes te rattraperont, même si tu vis à l’étranger.
    Comme le dit Robert Louis Stevenson :
    Je ne dis pas que c’est facile (je ne pense d’ailleurs pas en être capable, car personnellement je n’ai rien fui, SAUF, après mûre réflexion, ceux qui me demandaient : « Et toi, les bébés, c’est pour quand ? » ;) ) et j’anticipe des réactions de certains de mes compatriotes, mais la fuite est une mauvaise raison, selon mon humble avis… Et qui dit mauvaise raison dit foncer dans le mur…
    2- Le refus de l’échec.

     
    La peur et les doutes sont omniprésents avant le grand départ (sauf si tu es un super héros bien sûr). Ce sont des émotions normales, humaines, que l’inconnu réserve à tous : vais-je m’adapter, vais-je aimer ma nouvelle vie, vais-je trouver le boulot de mes rêves, mes enfants vont-ils s’intégrer, … ?
    Mais de toutes les peurs, il y en a une que tu devras combattre, si tu veux réussir ta vie à l’international : la peur de l’échec. Une fois « là-bas », tu sentiras plus d’une fois le fantôme de l’échec planer lourdement au-dessus de ta tête… et il y a de fortes chances que tu ne réussisses pas du premier coup. Mais perdre une bataille ne signifie pas perdre la guerre.
    L’important est d’en tirer un enseignement (et de l’humilité, ce qui ne fait de mal à personne, surtout si tu es Français ), de relever ta tête et tes manches, et de repartir au combat, en te disant : « C’est pas grave, cette fois ça n’a pas marché, la prochaine fois sera la bonne. »
    Si tu capitules au premier obstacle, au premier refus, à la première défaite, ben… t’es mort tu ferais mieux de rentrer au bercail.
    Personnellement, je me suis retrouvée à faire cuire des céréales à mon arrivée à Montréal dans un petit atelier, après avoir quitté un poste de direction à Paris pour Danone (avec la voiture et les €€€€€€ qui allaient avec… ). Mes enfants (alors âgés de 4 et 6 ans) n’ont maîtrisé l’espagnol qu’après plusieurs mois, alors qu’on m’avait garanti qu’en 1 mois, ils seraient bilingues. Mon conjoint n’avait toujours pas la sécurité sociale espagnole, après 2 ans à Valencia…
    Et pourtant, ça roule ma poule ! Pourquoi ? Parce-qu’on reste confiant (même si la vie n’est pas rose tous les jours), qu’on ne regarde jamais en arrière, et qu’on se remet en question régulièrement… mais qu’est-ce que ça fatigue en revanche ! (Soupirs)
    Je parle toujours de notre « petite étoile » à ceux qui m’interrogent sur notre avenir (encore incertain). Mais sincèrement, cette petite étoile, tu devras la nourrir tous les jours de positivisme et de confiance en l’avenir. Mais la récompense sera là, garanti !
     
    Pour lire la suite : c'est par ici
     
  7. J'aime
    Laurence Comet a reçu une réaction de Lampa dans 6 trucs infaillibles pour RATER son immigration   
    Et oui, la vie à l’étranger fait rêver, saliver, fantasmer, …
     
    Pourtant l’expatriation est tout sauf facile, n’est pas si rose, et peut même mener à des déceptions, des désillusions, voire des dépressions.
    Personnellement c’est cette phrase de Mark TWAIN qui a été mon déclic :
     


    Je m’estime « ben chanceuse » (à lire avec l’accent Québécois) que ma vie au Canada et en Espagne se soient bien passées (l’une en couple, l’autre en famille). Pourquoi ? Parce-qu’à l’époque, personne de mon entourage n’a su me conseiller, m’épauler et me (PRÉ)PARER pour ma nouvelle vie.
     
    Depuis le début de mon expatriation, je croise régulièrement des personnes (bien plus nombreuses que ce que l’on pourrait croire) qui ont malheureusement échoué dans cette aventure. Les raisons de cet échec semblaient différentes à première vue, mais je me suis rapidement aperçue qu’elles se comptaient sur les doigts de la main (d’un polydactyle***).
     
    Si tu te prépares à franchir le pas de l’immigration, assure-toi d’éviter les 6 écueils suivants, qui pourraient transformer ton rêve en cauchemar.
    1- Partir pour les mauvaises raisons.
    Tu pars pour découvrir une autre culture, t’ouvrir l’esprit, sortir de ta zone de confort, te confronter à l’inconnu, parler une nouvelle langue, vivre une nouvelle aventure (seul, en couple ou en famille), changer (de vie, de travail, d’endroit) ? Ce sont de BONNES raisons : tu es sur la voie d’une expatriation réussie !
    En revanche si tu pars pour FUIR, la réussite de ton expatriation me paraît plutôt compromise (hormis bien évidemment dans le cas de réfugiés politiques, ce billet s’adressant principalement à des lecteurs Français, Belges et Suisses…).
    Quand je parle de fuite, je pense plutôt au refus d’affronter ses problèmes personnels et/ou psychologiques, de se remettre en question, de rejeter la société, etc. 9 fois sur 10, tes problèmes te rattraperont, même si tu vis à l’étranger.
    Comme le dit Robert Louis Stevenson :
    Je ne dis pas que c’est facile (je ne pense d’ailleurs pas en être capable, car personnellement je n’ai rien fui, SAUF, après mûre réflexion, ceux qui me demandaient : « Et toi, les bébés, c’est pour quand ? » ;) ) et j’anticipe des réactions de certains de mes compatriotes, mais la fuite est une mauvaise raison, selon mon humble avis… Et qui dit mauvaise raison dit foncer dans le mur…
    2- Le refus de l’échec.

     
    La peur et les doutes sont omniprésents avant le grand départ (sauf si tu es un super héros bien sûr). Ce sont des émotions normales, humaines, que l’inconnu réserve à tous : vais-je m’adapter, vais-je aimer ma nouvelle vie, vais-je trouver le boulot de mes rêves, mes enfants vont-ils s’intégrer, … ?
    Mais de toutes les peurs, il y en a une que tu devras combattre, si tu veux réussir ta vie à l’international : la peur de l’échec. Une fois « là-bas », tu sentiras plus d’une fois le fantôme de l’échec planer lourdement au-dessus de ta tête… et il y a de fortes chances que tu ne réussisses pas du premier coup. Mais perdre une bataille ne signifie pas perdre la guerre.
    L’important est d’en tirer un enseignement (et de l’humilité, ce qui ne fait de mal à personne, surtout si tu es Français ), de relever ta tête et tes manches, et de repartir au combat, en te disant : « C’est pas grave, cette fois ça n’a pas marché, la prochaine fois sera la bonne. »
    Si tu capitules au premier obstacle, au premier refus, à la première défaite, ben… t’es mort tu ferais mieux de rentrer au bercail.
    Personnellement, je me suis retrouvée à faire cuire des céréales à mon arrivée à Montréal dans un petit atelier, après avoir quitté un poste de direction à Paris pour Danone (avec la voiture et les €€€€€€ qui allaient avec… ). Mes enfants (alors âgés de 4 et 6 ans) n’ont maîtrisé l’espagnol qu’après plusieurs mois, alors qu’on m’avait garanti qu’en 1 mois, ils seraient bilingues. Mon conjoint n’avait toujours pas la sécurité sociale espagnole, après 2 ans à Valencia…
    Et pourtant, ça roule ma poule ! Pourquoi ? Parce-qu’on reste confiant (même si la vie n’est pas rose tous les jours), qu’on ne regarde jamais en arrière, et qu’on se remet en question régulièrement… mais qu’est-ce que ça fatigue en revanche ! (Soupirs)
    Je parle toujours de notre « petite étoile » à ceux qui m’interrogent sur notre avenir (encore incertain). Mais sincèrement, cette petite étoile, tu devras la nourrir tous les jours de positivisme et de confiance en l’avenir. Mais la récompense sera là, garanti !
     
    Pour lire la suite : c'est par ici
     
  8. J'aime
    Laurence Comet a réagi à Laurence Comet dans 6 trucs infaillibles pour RATER son immigration   
    Et oui, la vie à l’étranger fait rêver, saliver, fantasmer, …
     
    Pourtant l’expatriation est tout sauf facile, n’est pas si rose, et peut même mener à des déceptions, des désillusions, voire des dépressions.
    Personnellement c’est cette phrase de Mark TWAIN qui a été mon déclic :
     


    Je m’estime « ben chanceuse » (à lire avec l’accent Québécois) que ma vie au Canada et en Espagne se soient bien passées (l’une en couple, l’autre en famille). Pourquoi ? Parce-qu’à l’époque, personne de mon entourage n’a su me conseiller, m’épauler et me (PRÉ)PARER pour ma nouvelle vie.
     
    Depuis le début de mon expatriation, je croise régulièrement des personnes (bien plus nombreuses que ce que l’on pourrait croire) qui ont malheureusement échoué dans cette aventure. Les raisons de cet échec semblaient différentes à première vue, mais je me suis rapidement aperçue qu’elles se comptaient sur les doigts de la main (d’un polydactyle***).
     
    Si tu te prépares à franchir le pas de l’immigration, assure-toi d’éviter les 6 écueils suivants, qui pourraient transformer ton rêve en cauchemar.
    1- Partir pour les mauvaises raisons.
    Tu pars pour découvrir une autre culture, t’ouvrir l’esprit, sortir de ta zone de confort, te confronter à l’inconnu, parler une nouvelle langue, vivre une nouvelle aventure (seul, en couple ou en famille), changer (de vie, de travail, d’endroit) ? Ce sont de BONNES raisons : tu es sur la voie d’une expatriation réussie !
    En revanche si tu pars pour FUIR, la réussite de ton expatriation me paraît plutôt compromise (hormis bien évidemment dans le cas de réfugiés politiques, ce billet s’adressant principalement à des lecteurs Français, Belges et Suisses…).
    Quand je parle de fuite, je pense plutôt au refus d’affronter ses problèmes personnels et/ou psychologiques, de se remettre en question, de rejeter la société, etc. 9 fois sur 10, tes problèmes te rattraperont, même si tu vis à l’étranger.
    Comme le dit Robert Louis Stevenson :
    Je ne dis pas que c’est facile (je ne pense d’ailleurs pas en être capable, car personnellement je n’ai rien fui, SAUF, après mûre réflexion, ceux qui me demandaient : « Et toi, les bébés, c’est pour quand ? » ;) ) et j’anticipe des réactions de certains de mes compatriotes, mais la fuite est une mauvaise raison, selon mon humble avis… Et qui dit mauvaise raison dit foncer dans le mur…
    2- Le refus de l’échec.

     
    La peur et les doutes sont omniprésents avant le grand départ (sauf si tu es un super héros bien sûr). Ce sont des émotions normales, humaines, que l’inconnu réserve à tous : vais-je m’adapter, vais-je aimer ma nouvelle vie, vais-je trouver le boulot de mes rêves, mes enfants vont-ils s’intégrer, … ?
    Mais de toutes les peurs, il y en a une que tu devras combattre, si tu veux réussir ta vie à l’international : la peur de l’échec. Une fois « là-bas », tu sentiras plus d’une fois le fantôme de l’échec planer lourdement au-dessus de ta tête… et il y a de fortes chances que tu ne réussisses pas du premier coup. Mais perdre une bataille ne signifie pas perdre la guerre.
    L’important est d’en tirer un enseignement (et de l’humilité, ce qui ne fait de mal à personne, surtout si tu es Français ), de relever ta tête et tes manches, et de repartir au combat, en te disant : « C’est pas grave, cette fois ça n’a pas marché, la prochaine fois sera la bonne. »
    Si tu capitules au premier obstacle, au premier refus, à la première défaite, ben… t’es mort tu ferais mieux de rentrer au bercail.
    Personnellement, je me suis retrouvée à faire cuire des céréales à mon arrivée à Montréal dans un petit atelier, après avoir quitté un poste de direction à Paris pour Danone (avec la voiture et les €€€€€€ qui allaient avec… ). Mes enfants (alors âgés de 4 et 6 ans) n’ont maîtrisé l’espagnol qu’après plusieurs mois, alors qu’on m’avait garanti qu’en 1 mois, ils seraient bilingues. Mon conjoint n’avait toujours pas la sécurité sociale espagnole, après 2 ans à Valencia…
    Et pourtant, ça roule ma poule ! Pourquoi ? Parce-qu’on reste confiant (même si la vie n’est pas rose tous les jours), qu’on ne regarde jamais en arrière, et qu’on se remet en question régulièrement… mais qu’est-ce que ça fatigue en revanche ! (Soupirs)
    Je parle toujours de notre « petite étoile » à ceux qui m’interrogent sur notre avenir (encore incertain). Mais sincèrement, cette petite étoile, tu devras la nourrir tous les jours de positivisme et de confiance en l’avenir. Mais la récompense sera là, garanti !
     
    Pour lire la suite : c'est par ici
     
  9. J'aime
    Laurence Comet a reçu une réaction de Laurent dans 6 trucs infaillibles pour RATER son immigration   
    Et oui, la vie à l’étranger fait rêver, saliver, fantasmer, …
     
    Pourtant l’expatriation est tout sauf facile, n’est pas si rose, et peut même mener à des déceptions, des désillusions, voire des dépressions.
    Personnellement c’est cette phrase de Mark TWAIN qui a été mon déclic :
     


    Je m’estime « ben chanceuse » (à lire avec l’accent Québécois) que ma vie au Canada et en Espagne se soient bien passées (l’une en couple, l’autre en famille). Pourquoi ? Parce-qu’à l’époque, personne de mon entourage n’a su me conseiller, m’épauler et me (PRÉ)PARER pour ma nouvelle vie.
     
    Depuis le début de mon expatriation, je croise régulièrement des personnes (bien plus nombreuses que ce que l’on pourrait croire) qui ont malheureusement échoué dans cette aventure. Les raisons de cet échec semblaient différentes à première vue, mais je me suis rapidement aperçue qu’elles se comptaient sur les doigts de la main (d’un polydactyle***).
     
    Si tu te prépares à franchir le pas de l’immigration, assure-toi d’éviter les 6 écueils suivants, qui pourraient transformer ton rêve en cauchemar.
    1- Partir pour les mauvaises raisons.
    Tu pars pour découvrir une autre culture, t’ouvrir l’esprit, sortir de ta zone de confort, te confronter à l’inconnu, parler une nouvelle langue, vivre une nouvelle aventure (seul, en couple ou en famille), changer (de vie, de travail, d’endroit) ? Ce sont de BONNES raisons : tu es sur la voie d’une expatriation réussie !
    En revanche si tu pars pour FUIR, la réussite de ton expatriation me paraît plutôt compromise (hormis bien évidemment dans le cas de réfugiés politiques, ce billet s’adressant principalement à des lecteurs Français, Belges et Suisses…).
    Quand je parle de fuite, je pense plutôt au refus d’affronter ses problèmes personnels et/ou psychologiques, de se remettre en question, de rejeter la société, etc. 9 fois sur 10, tes problèmes te rattraperont, même si tu vis à l’étranger.
    Comme le dit Robert Louis Stevenson :
    Je ne dis pas que c’est facile (je ne pense d’ailleurs pas en être capable, car personnellement je n’ai rien fui, SAUF, après mûre réflexion, ceux qui me demandaient : « Et toi, les bébés, c’est pour quand ? » ;) ) et j’anticipe des réactions de certains de mes compatriotes, mais la fuite est une mauvaise raison, selon mon humble avis… Et qui dit mauvaise raison dit foncer dans le mur…
    2- Le refus de l’échec.

     
    La peur et les doutes sont omniprésents avant le grand départ (sauf si tu es un super héros bien sûr). Ce sont des émotions normales, humaines, que l’inconnu réserve à tous : vais-je m’adapter, vais-je aimer ma nouvelle vie, vais-je trouver le boulot de mes rêves, mes enfants vont-ils s’intégrer, … ?
    Mais de toutes les peurs, il y en a une que tu devras combattre, si tu veux réussir ta vie à l’international : la peur de l’échec. Une fois « là-bas », tu sentiras plus d’une fois le fantôme de l’échec planer lourdement au-dessus de ta tête… et il y a de fortes chances que tu ne réussisses pas du premier coup. Mais perdre une bataille ne signifie pas perdre la guerre.
    L’important est d’en tirer un enseignement (et de l’humilité, ce qui ne fait de mal à personne, surtout si tu es Français ), de relever ta tête et tes manches, et de repartir au combat, en te disant : « C’est pas grave, cette fois ça n’a pas marché, la prochaine fois sera la bonne. »
    Si tu capitules au premier obstacle, au premier refus, à la première défaite, ben… t’es mort tu ferais mieux de rentrer au bercail.
    Personnellement, je me suis retrouvée à faire cuire des céréales à mon arrivée à Montréal dans un petit atelier, après avoir quitté un poste de direction à Paris pour Danone (avec la voiture et les €€€€€€ qui allaient avec… ). Mes enfants (alors âgés de 4 et 6 ans) n’ont maîtrisé l’espagnol qu’après plusieurs mois, alors qu’on m’avait garanti qu’en 1 mois, ils seraient bilingues. Mon conjoint n’avait toujours pas la sécurité sociale espagnole, après 2 ans à Valencia…
    Et pourtant, ça roule ma poule ! Pourquoi ? Parce-qu’on reste confiant (même si la vie n’est pas rose tous les jours), qu’on ne regarde jamais en arrière, et qu’on se remet en question régulièrement… mais qu’est-ce que ça fatigue en revanche ! (Soupirs)
    Je parle toujours de notre « petite étoile » à ceux qui m’interrogent sur notre avenir (encore incertain). Mais sincèrement, cette petite étoile, tu devras la nourrir tous les jours de positivisme et de confiance en l’avenir. Mais la récompense sera là, garanti !
     
    Pour lire la suite : c'est par ici
     
  10. J'aime
    Laurence Comet a reçu une réaction de fleurdelys64 dans 6 trucs infaillibles pour RATER son immigration   
    Et oui, la vie à l’étranger fait rêver, saliver, fantasmer, …
     
    Pourtant l’expatriation est tout sauf facile, n’est pas si rose, et peut même mener à des déceptions, des désillusions, voire des dépressions.
    Personnellement c’est cette phrase de Mark TWAIN qui a été mon déclic :
     


    Je m’estime « ben chanceuse » (à lire avec l’accent Québécois) que ma vie au Canada et en Espagne se soient bien passées (l’une en couple, l’autre en famille). Pourquoi ? Parce-qu’à l’époque, personne de mon entourage n’a su me conseiller, m’épauler et me (PRÉ)PARER pour ma nouvelle vie.
     
    Depuis le début de mon expatriation, je croise régulièrement des personnes (bien plus nombreuses que ce que l’on pourrait croire) qui ont malheureusement échoué dans cette aventure. Les raisons de cet échec semblaient différentes à première vue, mais je me suis rapidement aperçue qu’elles se comptaient sur les doigts de la main (d’un polydactyle***).
     
    Si tu te prépares à franchir le pas de l’immigration, assure-toi d’éviter les 6 écueils suivants, qui pourraient transformer ton rêve en cauchemar.
    1- Partir pour les mauvaises raisons.
    Tu pars pour découvrir une autre culture, t’ouvrir l’esprit, sortir de ta zone de confort, te confronter à l’inconnu, parler une nouvelle langue, vivre une nouvelle aventure (seul, en couple ou en famille), changer (de vie, de travail, d’endroit) ? Ce sont de BONNES raisons : tu es sur la voie d’une expatriation réussie !
    En revanche si tu pars pour FUIR, la réussite de ton expatriation me paraît plutôt compromise (hormis bien évidemment dans le cas de réfugiés politiques, ce billet s’adressant principalement à des lecteurs Français, Belges et Suisses…).
    Quand je parle de fuite, je pense plutôt au refus d’affronter ses problèmes personnels et/ou psychologiques, de se remettre en question, de rejeter la société, etc. 9 fois sur 10, tes problèmes te rattraperont, même si tu vis à l’étranger.
    Comme le dit Robert Louis Stevenson :
    Je ne dis pas que c’est facile (je ne pense d’ailleurs pas en être capable, car personnellement je n’ai rien fui, SAUF, après mûre réflexion, ceux qui me demandaient : « Et toi, les bébés, c’est pour quand ? » ;) ) et j’anticipe des réactions de certains de mes compatriotes, mais la fuite est une mauvaise raison, selon mon humble avis… Et qui dit mauvaise raison dit foncer dans le mur…
    2- Le refus de l’échec.

     
    La peur et les doutes sont omniprésents avant le grand départ (sauf si tu es un super héros bien sûr). Ce sont des émotions normales, humaines, que l’inconnu réserve à tous : vais-je m’adapter, vais-je aimer ma nouvelle vie, vais-je trouver le boulot de mes rêves, mes enfants vont-ils s’intégrer, … ?
    Mais de toutes les peurs, il y en a une que tu devras combattre, si tu veux réussir ta vie à l’international : la peur de l’échec. Une fois « là-bas », tu sentiras plus d’une fois le fantôme de l’échec planer lourdement au-dessus de ta tête… et il y a de fortes chances que tu ne réussisses pas du premier coup. Mais perdre une bataille ne signifie pas perdre la guerre.
    L’important est d’en tirer un enseignement (et de l’humilité, ce qui ne fait de mal à personne, surtout si tu es Français ), de relever ta tête et tes manches, et de repartir au combat, en te disant : « C’est pas grave, cette fois ça n’a pas marché, la prochaine fois sera la bonne. »
    Si tu capitules au premier obstacle, au premier refus, à la première défaite, ben… t’es mort tu ferais mieux de rentrer au bercail.
    Personnellement, je me suis retrouvée à faire cuire des céréales à mon arrivée à Montréal dans un petit atelier, après avoir quitté un poste de direction à Paris pour Danone (avec la voiture et les €€€€€€ qui allaient avec… ). Mes enfants (alors âgés de 4 et 6 ans) n’ont maîtrisé l’espagnol qu’après plusieurs mois, alors qu’on m’avait garanti qu’en 1 mois, ils seraient bilingues. Mon conjoint n’avait toujours pas la sécurité sociale espagnole, après 2 ans à Valencia…
    Et pourtant, ça roule ma poule ! Pourquoi ? Parce-qu’on reste confiant (même si la vie n’est pas rose tous les jours), qu’on ne regarde jamais en arrière, et qu’on se remet en question régulièrement… mais qu’est-ce que ça fatigue en revanche ! (Soupirs)
    Je parle toujours de notre « petite étoile » à ceux qui m’interrogent sur notre avenir (encore incertain). Mais sincèrement, cette petite étoile, tu devras la nourrir tous les jours de positivisme et de confiance en l’avenir. Mais la récompense sera là, garanti !
     
    Pour lire la suite : c'est par ici
     
  11. J'aime
    Laurence Comet a réagi à kuroczyd dans Maudit Français : Tu m’énèrves !   
    J adore la manière de danser de Fred Fresh!
  12. J'aime
    Laurence Comet a réagi à Laurent dans Maudit Français : Tu m’énèrves !   
    Désolée, je ne fais pas dans la dentelle : les Maudits Français ont eu raison de moi, mon capital « diplomatie » est épuisé (« Chu pu capab' », en bon québécois)…
    Je l'aime bien cette phrase
     
  13. J'aime
    Laurence Comet a reçu une réaction de Laurent dans Maudit Français : Tu m’énèrves !   
    Avez-vous remarqué qu’au Québec, le mot « maudit » a une connotation sympathique et positive (« C’était un maudit bon show » = « C’était un super bon spectacle », « C’est un maudit bon gars » = « Il a le coeur sur la main », …) SAUF lorsqu’il est suivi du mot Français ?

    « Maudit Français » est en effet une expression péjorative,  et certains méritent sans conteste ce qualificatif synonyme de « détestable ». Loin d’être racistes, les Québécois ne réservent cette insulte qu’à certains Français.
     
    En 10 ans de vie au Québec, j’en ai croisé quelques-uns de ces Maudits Français. J’ai appris à les reconnaître (facile, tu les entends avant de les voir !)…
    Au début, je les laissais parler (mais je bouillais intérieurement)…

    Mais après m’être abstenue quelques années, j’ai craqué : j’ai décidé de leur rentrer dans le lard répondre.

    Si toi aussi tu en as marre d’avoir honte pour eux et d’avoir la même couleur de passeport qu’eux, voici les réponses que tu pourras faire au Maudit Français te dira (avec son air condescendant et exaspéré) :
    Pour lire la suite rendez-vous sur https://lcomet.wordpress.com/2015/10/22/maudit-francais-tu-menarves/#more-877
×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement