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Laurence Comet

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Messages posté(e)s par Laurence Comet

  1. Le 13 décembre 2015 at 00:43, Cherrybee a dit :

    Effectivement. Arrivée fin novembre, le premier Noël fut assez difficile. 

    Mais comme conseillé dans "5 avantages de fêter Noël ...", nous avons adopté une attitude positive, sommes allés manger un délicieux repas de Noël dans un restaurant indien puis sommes allés à la messe de Minuit à la Basilique Notre-Dame. Soirée inoubliable. Pour le jour de l'An, nous l'avons passé avec des amis en visite, qui avaient commencé leur dossier d'immigration. C'était dans une belle cabane à sucre traditionnelle. 

    Aujourd'hui, les amis ont immigré, ils ont eu beaucoup d'enfants et sont heureux, nous passons toujours Noël avec eux. Quant au jour de l'An, nous avons trouvé notre vocation depuis 3 ans. 

    Le resto assez tôt dans la soirée, puis nous nous occupons de vous en vous raccompagnant chez vous en toute sécurité :)

     

    Joyeux Noël à tous et ... Consommez responsables !

    Cherrybee vous êtes un magnifique exemple d'expatriation réussie : bravo !
    Et en plus vous participez à l'opération NEZ ROUGE si j'ai bien compris ? Merci pour tous les gens que vous aidez à raccompagner sains et saufs chez eux. :)

  2. -Tu rentres pour les Fêtes ?
    - Nan...

    Expat' : fêter Noël à l'étranger

    Voilà quelle a été ma réaction, à la veille de mon premier Noël au Canada.

    Cela faisait seulement 3 mois que nous nous étions installés à Montréal avec mon conjoint, et les seules personnes avec qui nous avions commencé à tisser des liens (la voisine et 2 ou 3 bénévoles européens durant des festivalsn) ne passaient pas les fêtes en ville.

    Passer Noël à l'étranger

    J'étais encore dans emploi (et donc le moral un peu dans les chaussettes) et je n’arrivais pas à me faire à l’idée quasi-cauchemardesque qu’on allait passer les 24 décembre au soir à deux : arghhhhh.

    Petite précision : je l’aime mon chéri, MAIS il aurait assurément sa place dans le Guinness des Records, si la catégorie « le mec le plus anti-romantique du monde »existait… :( : pour lui Noël, c’est purement commercial, comme la Saint-Valentin (jamais eu de cadeau à cette occasion… ah si, un bouquet de roses à moitié fanées que lui avait donné la voisine, enveloppé dans du papier journal ! ). 

    Expat' : Fêter Noël loin de sa famille

    Bref… fallait pas que je compte sur mon conjoint pour me remonter le moral pour ce premier Noël sans famille. :(

    Mais soudain la chance a tourné : le 23 décembre j'ai obtenu l'emploi de mes rêves ET une connaissance de mon conjoint (qui est devenu un ami depuis) nous a proposé de venir fêter Noël avec lui dans sa famille. Je lui aurais sauté au cou si j’avais été là, au moment de cette proposition.

    Expat' : Noël dans une famille de Québécois

    Cela a été un Noël chaleureux, joyeux, convivial, EXTRAORDINAIRE: exactement à l’image des Québécois. On a été accueillis comme si l'on faisait partie de la famille depuis des siècles, on a mangé des mets québécois de fête (comment oublier ce délicieux ketchup maison, qui n'a rien à voir avec le ketchup vendu dans le commerce, aussi bien au niveau goût, que texture et apparence d'ailleurs), on a passé une soirée INOUBLIABLE.

    Durant la soirée, j'ai pris conscience de la chance immense que j'avais de vivre cette fabuleuse expérience. J'ai également réalisé que c'était le premier Noël MAGIQUE depuis mon âge adulte : décor extérieur de rêve, avec de la neige partout, musique de Noël omniprésente (ah ça, ils l'aiment les chants traditionnels de Noël, les Québécois ;) ), feu dans la cheminée, etc...

    Expat' : Noël sous la neige.

    D'ailleurs, après avoir voté à l'unanimité (avec moi-même ;) ), j'affirme solennellement que ce Noël fait partie du Top 3 « Noël » de ma vie d'adulte.

    Et VOUS, comment avez-vous passé votre premier Noël au Canada, ou comment comptez-vous le passer si c'est votre "première fois" ?

    J'ai bien hâte de lire vos différentes témoignages. :)

    Sur ce, je vous souhaite un Joyeux Noël ! :D

    NB : Si vous avez encore la crainte de passer les Fêtes loin de votre famille, ou si vous en êtes tout simplement triste à cette idée, je vous conseille vivement de découvrir 5 avantages de fêter Noël à l'étranger (je connais personnellement l'auteur : je l'adoooooore ! ;) ) : cela devrait vous aider à moins redouter ce moment.

  3. il y a 12 minutes, Puda a dit :

    Merci Laurence pour les liens vers ton blog mais ce serait quand même + intéressant si tu répondais aussi aux commentaires des gens. C'est un peu la base d'un CM sans parler du fait que le duplicate content ne fait certainement pas du bien à ton blog. (Même en excerpt)

     

    Exemple d'un de tes articles ici : http://www.forum.immigrer.com/topic/144452-maudit-francais-tu-m-enerves/#comment-1264704166

     

    Beaucoup de commentaires mais rien de ta part. Donc tu ne relayes que les articles vers ton blog du coup ? Le forum étant en Nofollow, ça ne va pas t'amener de backlinks si c'est le but.

     

    Je dis ça, je dis rien...

    Merci pour tes conseils Puda. Le duplicate content me pose problème en effet.
    Concernant mon absence de réponses aux commentaires, je ne partage pas forcément ton avis : autant sur mon blog je réponds à chacun des commentaires, autant ici, on est sur un forum : je lance un sujet, basé sur un article de mon blog, et libre à chacun de donner son avis sur le sujet. Personne n'est le "maître" de la conversation, même celui qui lance le sujet, sauf si les commentaires lui soient destinés en particulier (sinon en effet j'y aurais répondu).
    bonne fin de journée

  4. Je ne suis pas terroriste, je ne veux que la Paix, j'aime la vie, j'aime les gens (sauf les méchants), et pourtant JE ME SENS COUPABLE...

     

    564c52954c42c_expat-syndrome-de-culpabil

     

    Et c'est en me demandant "POURQUOI ?", et si j'étais la seule à ressentir cela, que j'ai réalisé qu'il existe un syndrome de culpabilité chez tout "expatrié".

     

    J'ai essayé de récapituler toutes les situations où je suis confrontée à cette maudite sensation de culpabilité, ainsi que les "parades" pour remédier à ce sentiment, et je me demandais si vous aussi vous ressentiez la même chose, à savoir :

     

    1- Vous sentir coupable de ne pas pouvoir RENDRE HOMMAGE en personne.

    C'est l'une de mes principales frustrations : depuis que j'ai quitté la France, j'ai perdu une grand-mère, une tante, un ancien voisin, ... mais aussi des inconnus auxquels j'aurais voulu rendre hommage, tels que ces 120 personnes qui ont perdu la vie au nom de cet horrible, monstrueux, inhumain fanatisme.

    Quel sentiment d'impuissance, de ne pas pouvoir honorer "physiquement" un proche (ou à sa famille), lorsqu'il décède : se recueillir sur sa tombe, y déposer des fleurs, un message, une bougie, ...

    (lire la suite en cliquant sur ce lien : https://lcomet.wordpress.com/2015/11/16/expat-maudit-syndrome-de-culpabilite/ )

  5. Cher futur expatrié, es-tu prêt à être jugé, adulé, méprisé, envié, détesté, admiré, incompris, valorisé, jalousé, mis sur un piedestal... EN MÊME TEMPS et AVANT MÊME D'ÊTRE PARTI ?

    Expatriation : Sur qui compter ?

    Bizarre, tu dis ? C'est pourtant ce qui t'attend vraiment et ce, quelle que soit ta destination. Imagine-toi être victime d'une avalanche, sauf que ce n'est pas sous la neige que tu crouleras, mais sous ces "jugements". Bon, rassure-toi, ces sentiments ne viendront pas de la même personne (à moins d'avoir à faire à un bipolaire coké avec une préparation de Walter White*).

    Et le plus bizarre, c'est que ces regards ne viendront pas de personnes inconnues, mais de ton entourage. Et le plus bizarre du plus bizarre, c'est que tu pourras mettre chacun de tes proches dans l'une des 5 catégories suivantes, sans exception : j'en mets ma main mon ventre à couper (ben oui, autant faire utile... 2 grossesses, ça pardonne pas...;) ).

    Voici donc en primeur cette liste (du pire au meilleur).

    1- Les rabat-joie

    Expatriation - Réaction de l'entourage
    C'est la pire idée que j'aie jamais entendue...

    J'ai failli appeler cette catégorie "les pochettes (mauvaises) surprises". Car les personnes qui s'y retrouvent pourraient te surprendre. Naïvement (c'est mon côté bisounours), je ne m'attendais pas à ce que quelqu'un de mon entourage ait sa place ici.

    Et ben si, et c'est d'ailleurs l'un des bons côtés de l'expatriation, à savoir : faire le tri dans tes amis et connaissances (la famille, c'est plus difficile... Comme dit le proverbe : On choisit ses amis, mais pas sa famille ! ) : moins de cartes de voeux à envoyer à Noël, c'est toujours ça de pris. ;)

    Rassure-toi, même si toi aussi tu vis au pays des Bisounours, tu vas rapidement repérer ces personnes car elles ne tardent généralement pas à dévoiler leur "vraie" personnalité : ce sont celles qui vont essayer subrepticement de "casser ton rêve", d'immiscer des doutes, et de diminuer ton capital "détermination" avec des réflexions anodines dans la série Je m'improvise prof de... :

    • ... géo : "Tu sais qu'il y a souvent des ouragans là-bas ? (avec des variantes bien sûr :  tremblements de terre, éruptions, inondations)"
    • ... éco : "C'est la crise là-bas", "Leur système social est nul",
    • ... philo : "Déjà que c'est pas facile la vie ici, alors là-bas..."
    • ... sociologie : "Les Espagnols/Anglais/... n'aiment pas les Français."
    • ... médecine : "Vaccine-toi bien, parce que l'hygiène là-bas..."
    • ... droit : "T'as intérêt à assurer tes arrières parce que le préavis de licenciement n'est que de 2 semaines là-bas ..."

    Face à ces cours magistraux dégoulinant de pessimisme et d'ondes négatives, j'ai personnellement pris le réflexe de dire  "Oui, je sais.", d'enchaîner avec une arme de "fuite massive" (la meilleure option étant à mon goût  : "Ah mince, j'avais oublié : j'ai piscine, désolée, je dois y aller !") et faire en sorte d'éviter ces personnes à tout prix jusqu'au jour J.

    Pas de temps ni d'énergie à consacrer à ces "pompeux d'énergie" (dont je parlais dernièrement ici ). Ces rabat-joies sont des jaloux, des aigris, des sadiques (oui, oui), des frustrés. Ils sont tout simplement dépourvus d'intelligence émotionnelle et bien sûr d'empathie...

    Fuis-les comme la peste, sous peine de perdre ta confiance en toi et ta motivation pour franchir le pas de l'expatriation...

    2- Les égoïstes

    expatriation-no-please-laurence-comet

    Très facile à repérer : ce sont les personnes qui vont très mal réagir à l'annonce de ton projet (et je te raconte même pas à l'annonce de LA DATE de ton départ...). "Stupeur et tremblement" serait un bon titre pour cette scène. ;)

    Ces personnes te feront certainement la tête, t'ignoreront, voire te dédaigneront pendant un certain temps, pour manifester leur désaccord, pour te "punir" de cette idée folle, et pour te faire comprendre que tu n'as PAS LE DROIT DE LEUR FAIRE ÇA.

    Attention, dans la série "reproches + je-te-donne-mon-avis-même-si-tu-ne-me-le-demandes-pas",  prépare-toi à des :

    • "Tu es inconscient "
    •  "Tu n'as pas réfléchi "
    •  "C'est vraiment n'importe quoi "
    • "Mais qu'est-ce que c'est encore ce projet à la con ?"
    •  "Pourquoi ???? "

    Oups, j'ai failli oublier le "Mais t'es fou ou quoi ?" qui est assez puissant, merci...
    NB : Moi j'ai eu même droit à un "Je t'interdis d'y aller"... alors que j'avais 30 ans ! (Allez Maman, y a prescription maintenant : je ne t'en veux plus ! ;) ).

    "Tu ne penses qu'à toi" mérite toutefois la Palme. Ce reproche n'est pas anodin car il a pour but de te faire culpabiliser à mort... et c'est là que le bas blesse (ah ben voilà, je viens de vous dévoiler mon talon d'Achille ! ).

    Pourquoi ? Tout simplement parce que ce reproche est totalement justifié : oui, c'est vrai, toi aussi, tu es égoïste. L'expatriation est un geste ULTRA-égoïste, il faut bien se l'avouer... mais elle DOIT l'être.

    Car si tu te mets à penser à tes parents qui commencent à vieillir, à tes enfants que tu vas déraciner, à ton boss qui jure que ton départ compromet l'avenir de sa boîte,  à ton meilleur ami qui a besoin de toi surtout en ce moment, à ton vieux chat qui ne supportera pas le déménagement, à ta gentille voisine qui ne peut plus se déplacer, ... alors là, c'est certain : tu ne feras JAMAIS le Grand Saut... et tu vivras de regrets toute ta vie, sans oublier la rancune que tu garderas envers ces "égoïstes" que tu jugeras responsables (mais pas coupables) de l'avortement de ton projet d'expatriation.

    Bien sûr, dans cette belle aventure "vers l'inconnu", tu aurais rêvé d'avoir le consentement et l'appui de ces personnes, car elles te sont précieuses, mais dans cette guerre "Égoïste contre égoïste", cela ne mène à rien de chercher l'affrontement puisque chacun campe sur ses positions... Alors autant que chacun reste dans sa tranchée.

    Attention (c'est la minute sentimentale de ce billet : sortez les mouchoirs), cette catégorie n'a rien à voir avec la précédente. Car contrairement aux "profs de", les "égoïstes" t'aiment profondément : ton départ les attriste, les chagrine, les inquiète parce qu'ILS T'AIMENT.

    Alors à toi de faire en sorte de les rassurer une fois sur place, prendre de leurs nouvelles régulièrement, et leur dire que tu les aimes toi aussi. (C'est bon, c'est la fin du slow : mouche-toi un bon coup et on enchaîne... ;) )

    3- Les extra-terrestres

    Pour lire la suite, cliquez ici

  6. Et oui, la vie à l’étranger fait rêver, saliver, fantasmer, …

     

    Pourtant l’expatriation est tout sauf facile, n’est pas si rose, et peut même mener à des déceptions, des désillusions, voire des dépressions.

    Personnellement c’est cette phrase de Mark TWAIN qui a été mon déclic :

     

    Expatriation - Osez (citation de Twain)


    Je m’estime « ben chanceuse » (à lire avec l’accent Québécois) que ma vie au Canada et en Espagne se soient bien passées (l’une en couple, l’autre en famille). Pourquoi ? Parce-qu’à l’époque, personne de mon entourage n’a su me conseiller, m’épauler et me (PRÉ)PARER pour ma nouvelle vie.

     

    Depuis le début de mon expatriation, je croise régulièrement des personnes (bien plus nombreuses que ce que l’on pourrait croire) qui ont malheureusement échoué dans cette aventure. Les raisons de cet échec semblaient différentes à première vue, mais je me suis rapidement aperçue qu’elles se comptaient sur les doigts de la main (d’un polydactyle***).

     

    Si tu te prépares à franchir le pas de l’immigration, assure-toi d’éviter les 6 écueils suivants, qui pourraient transformer ton rêve en cauchemar.

    1- Partir pour les mauvaises raisons.Expatriation - Surtout ne pas vouloir fuir

    Tu pars pour découvrir une autre culture, t’ouvrir l’esprit, sortir de ta zone de confort, te confronter à l’inconnu, parler une nouvelle langue, vivre une nouvelle aventure (seul, en couple ou en famille), changer (de vie, de travail, d’endroit) ? Ce sont de BONNES raisons : tu es sur la voie d’une expatriation réussie !

    En revanche si tu pars pour FUIR, la réussite de ton expatriation me paraît plutôt compromise (hormis bien évidemment dans le cas de réfugiés politiques, ce billet s’adressant principalement à des lecteurs Français, Belges et Suisses…).

    Quand je parle de fuite, je pense plutôt au refus d’affronter ses problèmes personnels et/ou psychologiques, de se remettre en question, de rejeter la société, etc. 9 fois sur 10, tes problèmes te rattraperont, même si tu vis à l’étranger.

    Comme le dit Robert Louis Stevenson :

    Il est inutile de fuir ses faiblesses, il faut les affronter ou périr. Et quitte à les affronter, autant le faire tout de suite et aussi directement que possible.

    Je ne dis pas que c’est facile (je ne pense d’ailleurs pas en être capable, car personnellement je n’ai rien fui, SAUF, après mûre réflexion, ceux qui me demandaient : « Et toi, les bébés, c’est pour quand ? » ;) ) et j’anticipe des réactions de certains de mes compatriotes, mais la fuite est une mauvaise raison, selon mon humble avis… Et qui dit mauvaise raison dit foncer dans le mur…

    2- Le refus de l’échec.

    Expatriation - Peur de l'échec (citation de Woody Allen).

     

    La peur et les doutes sont omniprésents avant le grand départ (sauf si tu es un super héros bien sûr). Ce sont des émotions normales, humaines, que l’inconnu réserve à tous : vais-je m’adapter, vais-je aimer ma nouvelle vie, vais-je trouver le boulot de mes rêves, mes enfants vont-ils s’intégrer, … ?

    Mais de toutes les peurs, il y en a une que tu devras combattre, si tu veux réussir ta vie à l’international : la peur de l’échec. Une fois « là-bas », tu sentiras plus d’une fois le fantôme de l’échec planer lourdement au-dessus de ta tête… et il y a de fortes chances que tu ne réussisses pas du premier coup. Mais perdre une bataille ne signifie pas perdre la guerre.

    L’important est d’en tirer un enseignement (et de l’humilité, ce qui ne fait de mal à personne, surtout si tu es Français ;) ), de relever ta tête et tes manches, et de repartir au combat, en te disant : « C’est pas grave, cette fois ça n’a pas marché, la prochaine fois sera la bonne. »

    Si tu capitules au premier obstacle, au premier refus, à la première défaite, ben… t’es mort tu ferais mieux de rentrer au bercail.

    Personnellement, je me suis retrouvée à faire cuire des céréales à mon arrivée à Montréal dans un petit atelier, après avoir quitté un poste de direction à Paris pour Danone (avec la voiture et les €€€€€€ qui allaient avec;) ). Mes enfants (alors âgés de 4 et 6 ans) n’ont maîtrisé l’espagnol qu’après plusieurs mois, alors qu’on m’avait garanti qu’en 1 mois, ils seraient bilingues. Mon conjoint n’avait toujours pas la sécurité sociale espagnole, après 2 ans à Valencia…

    Et pourtant, ça roule ma poule ! Pourquoi ? Parce-qu’on reste confiant (même si la vie n’est pas rose tous les jours), qu’on ne regarde jamais en arrière, et qu’on se remet en question régulièrement… mais qu’est-ce que ça fatigue en revanche ! (Soupirs)

    Je parle toujours de notre « petite étoile » à ceux qui m’interrogent sur notre avenir (encore incertain). Mais sincèrement, cette petite étoile, tu devras la nourrir tous les jours de positivisme et de confiance en l’avenir. Mais la récompense sera là, garanti ! :)

     

    Pour lire la suite : c'est par ici

     

  7. Avez-vous remarqué qu’au Québec, le mot « maudit » a une connotation sympathique et positive (« C’était un maudit bon show » = « C’était un super bon spectacle », « C’est un maudit bon gars » = « Il a le coeur sur la main », …) SAUF lorsqu’il est suivi du mot Français ?

    Maudit Français - Pourquoi ?

    « Maudit Français » est en effet une expression péjorative,  et certains méritent sans conteste ce qualificatif synonyme de « détestable ». Loin d’être racistes, les Québécois ne réservent cette insulte qu’à certains Français.

     

    Maudit Français

    En 10 ans de vie au Québec, j’en ai croisé quelques-uns de ces Maudits Français. J’ai appris à les reconnaître (facile, tu les entends avant de les voir !)…

    Au début, je les laissais parler (mais je bouillais intérieurement)…

    Maudit Français

    Mais après m’être abstenue quelques années, j’ai craqué : j’ai décidé de leur rentrer dans le lard répondre.

    Maudit Français

    Si toi aussi tu en as marre d’avoir honte pour eux et d’avoir la même couleur de passeport qu’euxvoici les réponses que tu pourras faire au Maudit Français te dira (avec son air condescendant et exaspéré) :
    Pour lire la suite rendez-vous sur 
    https://lcomet.wordpress.com/2015/10/22/maudit-francais-tu-menarves/#more-877

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