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    noa a réagi à Muhend Akli Djellaoui dans Mon projet Québec : Vos expériences   
    Merci Noa, ce matin le statut a changé il est en traitement, et j'ai reçu l'AR et le récapitulatif.
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    noa a reçu une réaction de Muhend Akli Djellaoui dans Mon projet Québec : Vos expériences   
    C normal et le statut peut rester comme tel quelques jours. Tant que ton paiement est passé au niveau de ta banque tu n'as pas d'inquiétudes à avoir.
    Envoyé de mon SM-G930F en utilisant l\\\'application mobile Immigrer.com
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    noa a réagi à Arob@se dans Mon projet Québec : Vos expériences   
    Vous vous rendez compte à présent combien la version en ligne est plus difficile que la version papier. Et nous qui avons expérimenté le début des déboires de la mise en place de cet outil, aujourd'hui beaucoup savent au moins comment l'outil fonctionne. On ne savait quoi faire, on était totalement perdu, même les techniciens du Midi. Mais dans la souffrance et la persévérance nous avons tenu le coup de novembre 2015 au 13 juin 2016. Le plus triste dans ce combat, ce fût les compagnons de lutte qui n'ont pas pu être dans le quota passé, à qui je souhaite en passant bonne chance pour la session de ce jour. Même si ça rate de nouveau pour certains, ne perdez pas espoir, tenez bon. Car le plus grand échec est de n'avoir pas essayé et de continuer à être positif, de croire à son projet migratoire. Sur cette terre, il n'y a que les têtus, les perspicaces qui y parviennent, quelque soit la durée des choses. Courage !
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  4. J'aime
    noa a réagi à B@bouk dans Notre projet d'immigration de A à Z   
    Bilan après un an (ou presque).
     
    Chaque projet d’immigration est unique. Il n’appartient qu’à ceux qui le vivent et reste fondamentalement dépendant des conditions dans lesquelles il émerge. Chaque personne, qui quitte son pays pour aller s’installer dans un autre, projette des attentes, des envies ou des besoins dans sa volonté de changement. Si certaines expériences apportent des clés, des indices sur ce qu’il faut faire, ou pas, aucune ne peut vraiment se calquer à la nôtre. Aussi, ce bilan dressé après un an passé ici, n’est que le nôtre. Uniquement le nôtre. Notre expérience peut se partager, mais ne doit pas être perçue comme une vérité, ni comme une réalité qui s’impose à tous. Elle n’est que le reflet de ce que nous avons découvert et vécu, en lien avec notre parcours de vie et avec les attentes que nous avions placées dans ce désir de départ. Chaque projet d’immigration est unique.
     
    Émigrer, immigrer, est une épreuve et une aventure.
    Peu importe ce que nous cherchons dans ce nouveau départ, peu importe les motivations qui nous poussent à le faire, cette expérience est une épreuve. Une épreuve personnelle et familiale. Une épreuve difficile humainement, socialement et professionnellement. Une épreuve qui nous transforme. Mais c’est également une aventure extraordinaire, qui nous amène à nous dépasser, à affronter nos craintes, à remettre en cause nos acquis, à sortir de notre zone de confort ; une aventure propice à la remise en question, à l’introspection, qui nous apprend beaucoup sur nous-même. Une aventure riche d’enseignements et d’apprentissages, pour nous, pour nos enfants.
    Voilà donc bientôt un an que nous avons foulé le sol de cette nouvelle vie. Un projet qui a vu le jour voilà plus de dix ans, après le visionnement d’un reportage sur une famille qui traversait le continent américain, avec pour objectif d’aller manger du sirop d’érable coulé sur une petite cuillère de neige, à Québec, le soir de Noël. Une fois la télévision éteinte, nous nous étions dit que, nous aussi, nous ferions cela un jour. Sans y prêter trop attention, le projet a mûri dans nos têtes. Le Québec était toujours en toile de fond, malgré notre vie qui se poursuivait ailleurs. Jusqu’à ce séjour de découverte, à l’été 2012, qui a définitivement scellé notre désir de tenter l’aventure. En décembre de la même année, le dossier d’immigration était lancé. Deux ans et demi de procédures administratives plus tard, le projet est devenu réalité. Le 23 juillet 2015, toute la petite famille (deux adultes, notre fille de 13 ans, notre fils de 10 ans et notre vieux toutou) a posé le pied en terre inconnue, avec quatre valises, quelques cartons, et de quoi subsister quatre ou cinq mois sans travail. Rien de plus. Tout un défi !
     
    Le sentiment prédominant chez moi le jour de notre arrivée a, sans conteste, été la solitude. Une fois passées la longueur des procédures, l’excitation du déménagement, la tristesse des au-revoir, une fois achevées les dernières procédures au bureau de l’immigration et après avoir entendu de la bouche de la préposée la petite phrase libératrice « bienvenue au Québec », ce projet d’immigration s’est révélé à moi, dans toute sa réalité, le soir où nous nous sommes retrouvés seuls, tous les quatre, avec nos valises, dans la maison que nos amis nous ont si gentiment prêtée pour notre première nuit à Montréal. Une solitude qui s’est accompagnée d’un flot de questionnements, de craintes et d’angoisses. Une solitude engendrée par nos seuls choix. Une solitude à affronter et à assumer. Le début de notre vie québécoise.
    Il est incroyable de constater comment, dans ces moments où nous perdons tous nos repères, nos instincts les plus primaires se réveillent en nous. Manger, boire, dormir, s’assurer que tout notre petit monde va bien. Voilà les premières préoccupations, très matérielles, qui ont été les nôtres en ce premier jour. Subvenir à l’essentiel. Passer symboliquement le cap de la première nuit pour pouvoir se dire « un jour de passé, c’est bon. Il peut y en avoir plein d’autres alors. » Une réflexion qui peut sembler idiote, mais qui a été la mienne et ces premiers instants. Le deuxième jour, s’est posée la question du toit à mettre sur notre tête. Le contact téléphonique avec le propriétaire, établi depuis la France et finalisé par la signature du bail, a été bon. Mais on ne peut s’empêcher de penser que ce n’était qu’un bout de papier signé à des milliers de kilomètres, sans garantie autre que la parole donnée, et que des surprises, bonnes ou mauvaises, peuvent toujours survenir. Nous concernant, cela a été une bonne surprise. Tout s’est déroulé pour le mieux et, même s’il nous a fallu plusieurs jours pour nettoyer et investir les lieux, nous avions enfin un domicile à Québec. Soulagement.
     
    Les premières semaines de cette nouvelle vie ont été bercées au rythme des procédures administratives, encore et toujours. Cela nous a permis de nous familiariser peu à peu avec la ville, que nous parcourions en bus, par choix de ne pas investir dans une voiture. Notre logement est situé en plein centre-ville et ce poste de dépenses n’a pas été, volontairement, prévu au budget (nous optons, depuis bientôt un an, par les déplacements en transports en commun et avons recours à de la location ponctuelle de voiture pour les jours où ce besoin se fait sentir. Un bon compromis pour nous). Mais revenons à ces premiers jours, rythmés par les démarches administratives. Certains diront qu’elles sont fastidieuses. Peut-être. Pour nous, chacune d’elle a marqué un point de fixation à notre pays d’accueil. Le numéro d’assurance sociale, indispensable pour travailler, première victoire. La carte d’assurance maladie, le permis de conduire québécois, l’obtention de notre carte bancaire, autant de procédures qui ont scellé cette nouvelle appartenance à la société québécoise. Jusqu’à l’obtention de notre carte de résidents permanents, que nous avons si longuement attendue et qui a achevé de faire de nous des citoyens, au sens symbolique du terme. Migrants, résidents permanents, certes, mais citoyens dans nos têtes.
     
    S’intégrer dans cette nouvelle société, n’a pas été difficile. L’état d’esprit dans lequel cette démarche se fait importe beaucoup. Nous étions influencés par notre première expatriation hors du territoire métropolitain français, lorsque nous sommes partis vivre six ans à l’île de la Réunion. Même si la Réunion est un département français, sa culture, son histoire, sa situation géographique, son climat et son mode de vie singulier nous ont conduits au même effort d’intégration que celui que nous menons ici. Ne pas venir en conquérant. Cela est important. Essentiel même. Ne pas arriver en comparant, même si la réalité fait que cela arrive parfois. Nous avons toujours eu à cœur, à la Réunion comme au Québec, de laisser s’exprimer notre envie de connaitre, d’apprendre, de découvrir, de nous confronter à de nouvelles cultures, à d’autres manières de vivre, de penser et de faire, avec respect et humilité. Tout comme nous avons toujours eu le souci de ne pas passer pour les Z’oreils, au sens péjoratif du terme, à la Réunion, nous avons le même souci de ne pas passer pour les maudits français, ici. Je pense qu’à ce jour, nous suivons fidèlement cette ligne de conduite.
     
    Notre fille aînée, âgée de treize ans, a été parti prenant dans cette aventure, à l’opposé de son frère. Elle s’est toujours montrée investie auprès de nous et a toujours fait sentir sa volonté de mener le projet à son terme. Elle a également, très certainement, dissimulé et tu beaucoup de ses appréhensions et de ses craintes, par souci de nous préserver. Je sais qu’elle a pu vivre, en silence, des moments difficiles et je comprends parfois certaines de ses réactions virulentes, qui ne sont pas uniquement liées à la simple manifestation de son adolescence naissante. Partir avec des enfants, les faire embarquer dans notre train, n’est pas chose facile, même lorsqu’ils adhèrent, à minima, à notre projet. Il faut savoir décoder certains comportements et prendre le temps de parler.
    La rentrée scolaire a été chargée d’émotion. Un sentiment très particulier m’a envahi, lorsque j’ai laissé mon fils de dix ans traverser la cour d’école à l’appel de son nom. Je l’ai regardé partir, dos à moi, vers de nouveaux camarades, un nouvel instituteur, une nouvelle école, une nouvelle vie. Lui qui n’a jamais adhéré à ce projet, qui a toujours catégoriquement refusé de nous accompagner, qui aurait tant voulu rester en France, auprès de ses amis, de notre famille, et que nous avons déraciné de force. Je l’ai regardé partir, perdu au milieu de cette foule bruyante, me cherchant du regard, subissant tant bien que mal une situation qu’il avait toujours refusée, faisant visiblement des efforts pour ne pas céder à la panique et aux larmes. Je me suis dit que nous avions le devoir de réussir. Coûte que coûte. Il le fallait. Impossible d’échouer, car il ne nous le pardonnerait jamais. Le temps a fait son œuvre et notre garçon semble aujourd’hui heureux, ou tout du moins content, de cette nouvelle vie. Mais il nous a reproché longtemps, et nous reproche encore parfois, le déracinement que nous lui avons fait vivre.
    Immigrer, tout quitter, c’est aussi assumer le risque que nos enfants ne partagent pas notre projet. Un obstacle très sérieux à prendre en compte et à vivre. Une expérience parfois douloureuse pour tous. Le dialogue est toujours ouvert à la maison et chacun peut exprimer ses ressentis sans crainte d’être jugé. Libérer la parole est d’une aide précieuse dans des circonstances difficiles. Nous prenons régulièrement le temps de laisser nos enfants parler, verbaliser, exprimer leurs émotions face à cette nouvelle vie. Nous constatons qu’au fil du temps, ils l’apprécient et parviennent à se tisser un nouveau réseau social. Ils nouent de nouvelles amitiés, se créent de nouveaux repères, montent de nouveaux projets. Ils avancent, ils s’adaptent. Comme nous.
     
    S’adapter, s’intégrer, sont des mots qui, pour nous, ont été synonymes de travail. Nous sommes venus au Québec sans emploi. Trouver un travail à des milliers de kilomètres de distances, sur un marché du travail très flexible, dans lequel tout peut se jouer en quelques heures seulement, nous est apparu vain. Nous avons opté pour le pragmatisme en nous disant que notre dossier d’immigration avait été retenu et classé prioritaire, au regard de nos domaines de formation (responsable d’établissement pour personnes âgées ou dépendantes concernant mon épouse et éducateur spécialisé me concernant). Cela signifiait pour nous, au regard des critères drastiques d’immigration fixés par le Canada et le Québec, que nos métiers trouveraient certainement des débouchés ici. C’était un pari sur l’avenir à prendre. Nous l’avons pris.
    Depuis le début de notre projet, nous savions que nos économies ne nous permettraient pas d’aller au-delà des fêtes de fin d’années si nous ne trouvions pas rapidement de travail. Trois semaines après notre arrivée, le temps de nous installer, nous avons intégré un club de recherche d’emploi. Ces clubs permettent de réseauter rapidement et de faciliter l’accès au marché caché du travail. Ainsi, si 20 à 30% des offres de travail sont disponibles à tous sur internet ou dans divers supports d’annonces, l’essentiel des postes à pourvoir (entre 70 et 80% selon les chiffres avancés au sein du club de recherche) se trouve par le biais de l’exploration du marché caché (annonces paraissant à l’interne des entreprises, postes allant s’ouvrir sans affichage officiel, bouche-à-oreille, démarchage informel d’employeur, rencontres diverses, etc.). Il nous a fallu travailler autour de notre CV, nous préparer à démarcher de potentiels employeurs, à passer des entrevues d’embauche, nous adapter à de nouvelles terminologies d’emplois, accepter de repartir de plus bas (peut-être le plus difficile). Une véritable remise en cause à faire, qui n’a pas été des plus simples. Nous avions, mon épouse et moi-même, des emplois satisfaisants en France, qui nous permettaient de vivre correctement. J’étais employé de la fonction publique. Un emploi des plus stables. L’acceptation, le deuil de cet emploi, n’a pas été facile. Il m’a fallu plusieurs semaines pour digérer ce changement. Malgré les difficultés, cette expérience a été des plus concluantes, puisque nous avons eu la chance de retrouver facilement du travail. Des rencontres fortuites, des coïncidences heureuses, mais aussi la volonté et l’acharnement à vouloir décrocher quelque chose vaille que vaille, ont eu raison de nos doutes. Un mois après notre arrivée, j’ai retrouvé un emploi. Un mois plus tard, mon épouse travaillait. Le soulagement ressenti a été énorme, même si la réalité de ce marché du travail fait que rien n’est jamais joué d’avance et qu’il faut se préparer à être débarqué du jour au lendemain. Nous connaissons les règles de ce jeu et les avons acceptées, en nous disant que s’il est facile de perdre son emploi, il est également facile d’en retrouver un. La peur n’évitant pas le danger, nous profitons de chaque jour et le prenons pour ce qu’il est : une vie à lui tout seul.
     
    Des bilans, nous en avons fait. Plein. Quotidiennement ! Lorsque notre vie est à ce point bouleversée, chaque expérience est l’occasion de faire le point, ou presque. Certains jours ont été plus prospères que d’autres. Le cap des premiers mois est important à franchir. Trois mois ? Six mois ? Le délai varie selon chacun. Me concernant, il a fallu près de huit mois pour stabiliser mon moral, mes humeurs, pour être rassuré et confiant, pour être dans une dynamique plus positive. J’ai réellement connu des hauts saisissants et des bas vertigineux, en l’espace de quelques jours, voire quelques heures. Le prix à payer pour vivre une autre vie. Une autre vie ? Vraiment ?
    Le processus d’immigration est usant physiquement et nerveusement, même quand il est bien préparé. Il faut être solide pour affronter tous les obstacles qui se dressent devant soi, et nous comprenons que certains puissent renoncer. Nous concernant, nous n’y avons pas pensé. Nous nous sommes dit que nous n’avions pas vécu deux ans et demi de procédures pour abandonner sans nous laisser une chance de réussir. Des échéances ? Nous n’en avons pas. Pas vraiment. Nous ne nous fixons pas de durée pour rester ici. Nous ne savons pas si nous rentrerons, ou pas, un jour nous établir en France, ou ailleurs. Nous profitons de chaque jour en nous disant que l’avenir nous dira quoi faire.
    Notre intégration se poursuit. Notre réseau social, amical et professionnel se modèle. Nos repères s’ancrent peu à peu. Nous nous posons et sentons une grande fatigue nous gagner. Les mois écoulés n’ont pas épargné les organismes. Malgré les difficultés, nous savourons le goût de cette expérience. Nous sommes heureux de vivre les changements que nous avons occasionnés, car les changements, même radicaux, sont toujours bénéfiques. Nous avons beaucoup appris sur nous-mêmes, sur nos capacités d’adaptation. Nous savons qu’il faut tenter sa chance lorsque l’occasion se présente.
    Aujourd’hui, nous sommes conscients des risques que nous avons pris en réalisant ce projet. Même s’ils étaient anticipés et planifiés, les vivre a été une expérience et une aventure formidables. Tout n’est pas, non plus, encore gagné et beaucoup d’obstacles risquent encore de se dresser sur notre route. Mais nous restons confiants. Confiants en nous-mêmes, confiants en nos enfants et confiants en l’avenir.
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    noa a réagi à SD2311 dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Coucou à tous
    Petit passage rapide pour vous donner des news.
    Appel au midi hier. Dernier appel le 19 juillet où notre dossier était toujours en attente (reçu le 4 novembre)
    Nous avons donc appris avec grand étonnement que notre csq avait été envoyé le 20 juillet !!! Soit 8 mois tout pile après l'ouverture du dossier.
    Nous sommes évidement très heureux !!!
    Je ne peux que souhaiter du courage à tous les oubliés du 4 et tous les autres glads qui attendent devant la boîte aux lettres ou mail ;-)
     
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    noa a réagi à auvergne dans Mon projet Québec - Vos expériences avec le service   
    Je vois que depuis lundi, les idées fixes de certains n'ont pas changé....
    Nourrir une rancune de telle manière ne doit pas les rendre heureux. Il faut accepter une bonne fois pour toute le fait que seule la chance a joué (sauf si un pré traitement avant été fait par le MIDI).
    Traiter le MIDI de menteur n'a jamais rien rapporté. Alors si vous avez une telle rancune envers le Québec, tentez l'EE.
    Certains malchanceux sont dignes et intelligents.
     
    Autrement, pour ma part, j'ai reçu l'AR de paiement ainsi que le courrier indiquant que l'étude de mon dossier a débuté.
    Donc, je suis en mode attente
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    noa a reçu une réaction de GENEVA VICKY dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    C'est pour ça qu'on va tous se soutenir, se rassurer s'entraider on est parti pour une belle aventure (j'espère lol)
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    noa a réagi à DreamTheater dans Mon projet Québec - Vos expériences avec le service   
    Que ce soit de la daube oui, c'est certainement voulu pour faire des économies encore et toujours comme tout le monde..... Après que les utilisateurs galèrent à la limite il s'en fichent !!! Ils auront très facilement leurs 2800 c'est tout ce qui compte pour eux :s
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    noa a réagi à auvergne dans Les gladiateurs de la DCSQ 2016   
    si jamais ils remettent la procédure papier, je les embrasse ....
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    noa a réagi à FRANKYPOLA dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Salut à tous les glads!
     
    Je suis très content pour toutes ces nouvelles de prélèvement. mes félicitations à tous les heureux prélevés.
    Je suis également déçu pour les glads qui comme noa voient leurs dossiers fauchés pour un rien. C'est vraiment injuste! Quel gâchis! tous ces efforts pour en arrivé là c'est tout simplement dégoutant. 
    Moi je stress grave.Dossier envoyé le 03/11/15 de Douala et reçu le 06/11/15 à 15H45 par F.JEAN
    Ville destination SHERBROOKE. cocomicka STP peux tu m'ajouter au tableau?
    Personne n'a aucune nouvelle pour les dossiers reçus le 06/11/15? ça craint vraiment!
     
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    noa a réagi à L'Atrébate dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Ce qui t'arrive peut arriver à nous tous.
     
    Ma conviction c'est que s'il y a application stricte, à la virgule près des exigences documentaires aucun dossier n'est recevable. Il est impossible de se conformer à la lettre à la totalité des exigences. Les papiers peuvent être détruits, perdus, l'agent qui fait les copies certifiées conformes n'indique pas son nom ou sa qualité, l'employeur qui refuse de faire un certificat de travail avec les mentions obligatoires exigées par le MIDI, etc... Je peux sortir des dizaines d'exemples de ce genre. Si le MIDI demandait directement à notre place auprès des administrations les papiers les plus importants ils s'apercevraient rapidement du chemin de croix que cela représente.
     
    Il sera plus facile d'affronter un hiver rigoureux et long au Canada que l’administration française.
     
  12. J'aime
    noa a réagi à Krinele dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    C'est dur là ! Je suis vraiment désolée pour toi. Surtout ne baissés pas les bras et remotive toi pour janvier. Je croise les doigts pour que cette fois soit la bonne. 
  13. J'aime
    noa a réagi à Cariboufamily dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Salut les glads!
     
    Félicitations aux nouvellement prélevés et espérons-nous de rejoindre leurs rangs pour ceux du 5!!!!
     
    Have à Nice Day!!
  14. J'aime
    noa a reçu une réaction de gwen13 dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Bonjour à tous
     
    Je tenais à vous faire partager ma mauvaise expérience. En fait notre dossier va nous être retourné car j'ai oublié de cocher la case 15.2 des tests d'anglais (je ne soumets pas de tests...) pour le requérant alors que nous n'avons pas fait de tests. Cet oubli nous côute cher car dossier renvoyé, même la dame du MIDI trouve que c'est assez gros comme refus, elle ne comprenait pas pourquoi cette décision mais bon elle ne peut rien y faire.
    Je m'en veux terriblement d'avoir zappé cette partie, je ne peux m'en prendre qu'à moi et je connais les exigences drastiques du MIDI mais là il y a un sentiment d'injustice qui prédomine, pour une case!!!!.
     
    Du coup nous serons dans la fournée des demandes en ligne même si pour le moment je suis en mode dégout, va falloir ce remotiver.
     
    Voilà les glads j'espère sincèrement que pour les personnes en attente de prélèvements, tout se passe bien pour vous.
     
    Bonne journée
  15. J'aime
    noa a reçu une réaction de Simon et sa petite famille dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Bonjour à tous
     
    Je tenais à vous faire partager ma mauvaise expérience. En fait notre dossier va nous être retourné car j'ai oublié de cocher la case 15.2 des tests d'anglais (je ne soumets pas de tests...) pour le requérant alors que nous n'avons pas fait de tests. Cet oubli nous côute cher car dossier renvoyé, même la dame du MIDI trouve que c'est assez gros comme refus, elle ne comprenait pas pourquoi cette décision mais bon elle ne peut rien y faire.
    Je m'en veux terriblement d'avoir zappé cette partie, je ne peux m'en prendre qu'à moi et je connais les exigences drastiques du MIDI mais là il y a un sentiment d'injustice qui prédomine, pour une case!!!!.
     
    Du coup nous serons dans la fournée des demandes en ligne même si pour le moment je suis en mode dégout, va falloir ce remotiver.
     
    Voilà les glads j'espère sincèrement que pour les personnes en attente de prélèvements, tout se passe bien pour vous.
     
    Bonne journée
  16. J'aime
    noa a reçu une réaction de Auré84 dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Bonjour à tous
     
    Je tenais à vous faire partager ma mauvaise expérience. En fait notre dossier va nous être retourné car j'ai oublié de cocher la case 15.2 des tests d'anglais (je ne soumets pas de tests...) pour le requérant alors que nous n'avons pas fait de tests. Cet oubli nous côute cher car dossier renvoyé, même la dame du MIDI trouve que c'est assez gros comme refus, elle ne comprenait pas pourquoi cette décision mais bon elle ne peut rien y faire.
    Je m'en veux terriblement d'avoir zappé cette partie, je ne peux m'en prendre qu'à moi et je connais les exigences drastiques du MIDI mais là il y a un sentiment d'injustice qui prédomine, pour une case!!!!.
     
    Du coup nous serons dans la fournée des demandes en ligne même si pour le moment je suis en mode dégout, va falloir ce remotiver.
     
    Voilà les glads j'espère sincèrement que pour les personnes en attente de prélèvements, tout se passe bien pour vous.
     
    Bonne journée
  17. J'aime
    noa a reçu une réaction de Besse dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Bonjour à tous
     
    Je tenais à vous faire partager ma mauvaise expérience. En fait notre dossier va nous être retourné car j'ai oublié de cocher la case 15.2 des tests d'anglais (je ne soumets pas de tests...) pour le requérant alors que nous n'avons pas fait de tests. Cet oubli nous côute cher car dossier renvoyé, même la dame du MIDI trouve que c'est assez gros comme refus, elle ne comprenait pas pourquoi cette décision mais bon elle ne peut rien y faire.
    Je m'en veux terriblement d'avoir zappé cette partie, je ne peux m'en prendre qu'à moi et je connais les exigences drastiques du MIDI mais là il y a un sentiment d'injustice qui prédomine, pour une case!!!!.
     
    Du coup nous serons dans la fournée des demandes en ligne même si pour le moment je suis en mode dégout, va falloir ce remotiver.
     
    Voilà les glads j'espère sincèrement que pour les personnes en attente de prélèvements, tout se passe bien pour vous.
     
    Bonne journée
  18. J'aime
    noa a reçu une réaction de cocomicka dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Bonjour à tous
     
    Je tenais à vous faire partager ma mauvaise expérience. En fait notre dossier va nous être retourné car j'ai oublié de cocher la case 15.2 des tests d'anglais (je ne soumets pas de tests...) pour le requérant alors que nous n'avons pas fait de tests. Cet oubli nous côute cher car dossier renvoyé, même la dame du MIDI trouve que c'est assez gros comme refus, elle ne comprenait pas pourquoi cette décision mais bon elle ne peut rien y faire.
    Je m'en veux terriblement d'avoir zappé cette partie, je ne peux m'en prendre qu'à moi et je connais les exigences drastiques du MIDI mais là il y a un sentiment d'injustice qui prédomine, pour une case!!!!.
     
    Du coup nous serons dans la fournée des demandes en ligne même si pour le moment je suis en mode dégout, va falloir ce remotiver.
     
    Voilà les glads j'espère sincèrement que pour les personnes en attente de prélèvements, tout se passe bien pour vous.
     
    Bonne journée
  19. J'aime
    noa a reçu une réaction de Katykat dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Bonjour à tous
     
    Je tenais à vous faire partager ma mauvaise expérience. En fait notre dossier va nous être retourné car j'ai oublié de cocher la case 15.2 des tests d'anglais (je ne soumets pas de tests...) pour le requérant alors que nous n'avons pas fait de tests. Cet oubli nous côute cher car dossier renvoyé, même la dame du MIDI trouve que c'est assez gros comme refus, elle ne comprenait pas pourquoi cette décision mais bon elle ne peut rien y faire.
    Je m'en veux terriblement d'avoir zappé cette partie, je ne peux m'en prendre qu'à moi et je connais les exigences drastiques du MIDI mais là il y a un sentiment d'injustice qui prédomine, pour une case!!!!.
     
    Du coup nous serons dans la fournée des demandes en ligne même si pour le moment je suis en mode dégout, va falloir ce remotiver.
     
    Voilà les glads j'espère sincèrement que pour les personnes en attente de prélèvements, tout se passe bien pour vous.
     
    Bonne journée
  20. J'aime
    noa a reçu une réaction de Tati-Lili dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Bonjour cocomicka et les glads.
    Pour nous ville de départ Montpellier (34)
    Merci et courage à tous
     
  21. J'aime
    noa a reçu une réaction de Katykat dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Bonsoir à tous.
    Pour mon cas dossier reçu le 4/11 à 9h27 et toujours pas ouvert, j'ai une nouvelle fois appelé le midi ce soir et que dalle. La majorité des personnes ayant les mêmes dates de réception que moi ont été prélevées, qui est dans mon cas?
    Désolé Dream je comprends ton désarroi et je suis de tt coeur avec toi
  22. J'aime
    noa a réagi à lanou83 dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Toi tu n'as pas le choix !!!!!! 
  23. J'aime
    noa a réagi à Céline190679 dans DCSQ Mai / Juin 2014   
    ah oui, mais bon la joie a été un peu ternie avec ce qui s'est passé !
    on a passé l'entrevue vendredi (13/11) et on a (enfin) décroché nos CSQ !!! 
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    noa a réagi à luna123 dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Bonjour les gladiateurs !!!
     
    Moi j'ai aussi appelé le MIDI hier et la dame que j'ai eue au téléphone m'a bien précisé (02 ou 03 fois), vu que j'ai beaucoup insisté sur ce point, que le quota n'a été atteint que le mardi 10/11 au moment de l'annonce sur le web!
    On peut alors continuer de polémiquer sur le sujet car ça peut réconforter certains, donner de faux-espoirs, être réaliste, traiter le projet sous un autre angle ou autre, c'est comme vous voulez...
    Pour ma part, j'arrête les spéculations et j'attends sagement mon mail qui me dira si je suis dans le quota ou pas.
    Après seulement cela, je saurai quelles nouvelles démarches faire et je reviens sur le forum pour partager mes soucis, mes expériences et mes questionnements !!!
     
    Passez tous une bonne journée sous le signe de la paix !!!
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    noa a réagi à Cassey514 dans Les Gladiateurs de la DCSQ 2015   
    Franchement, faire une tempête dans un verre d'eau, vous êtes forts.
    Rien est officiel, plutôt que de spéculer pour rien et faire peur aux autres. Attendons tout simplement l'information officielle et les mails de confirmation.

    Envoyé de mon SM-G928F en utilisant Tapatalk


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