sophie.1940

Si besoin voici un guide que j'ai fait sur les différentes possibilités et procédures pour immigrer au Canada et au Québec!

Bonne lecture et bonne continuation!
Guide des différentes procédures d’immigration pour le Canada et le Québec.doc

Elle l'a été chez certaines personnes, comme on en a régulièrement la preuve chez les personnes qui ont réussi à se faire recruter dans leur domaine. C'est souvent quand il y a une belle expérience pro de plusieurs années dans un domaine en particulier.

Je suis arrivé à Montréal il y a cent jours et je réfléchis à présent à mon retour en France. Initialement, je pensais rester au moins deux ans et avais l'intention de reprendre des études en septembre. Malheureusement, l'administration québécoise me pose des problèmes pour mon inscription. Je dois présenter une étude comparative de diplômes délivrée par le ministère de l'Immigration. J'avais déposé ma demande début décembre (avant mon départ) mais elle ne sera pas traitée avant le mois de novembre, trop tard pour pouvoir m'inscrire pour la rentrée de septembre. On m'a proposé de passer un examen d'équivalence de niveau secondaire (classe de première) pour soixante dollars alors que le Québec a signé un accord avec la France pour reconnaître que "le baccalauréat français et le diplôme d’études collégiales québécois (DEC) - supérieur au niveau secondaire - sont reconnus réciproquement comme donnant accès au 1er cycle d’études supérieures au Québec et en France". Personne n'est capable de me renseigner à l'école, j'ai donc commencé à me renseigner sur les possibilités de formation en France.

Avant mon départ, je travaillais au ministère des Finances depuis trois ans. J'avais entrepris les démarches de demande de visa pour le Québec alors que je terminais mes études en Argentine (où, contrairement à ici, je n'ai eu aucun problème à m'inscrire en master après une licence française). Je pensais à l'époque qu'il me serait difficile de trouver un premier emploi en France. À mon retour à Paris, j'ai décroché un poste au ministère deux semaines après mon arrivée (en tant que contractuel). Un an et demi plus tard, j'ai repris les démarches pour l'obtention de mon visa (dépôt au niveau fédéral). J'ai attendu seize mois pour le recevoir. J'ai eu plusieurs phases de doute, m'interrogeant sur le bien-fondé de quitter un emploi intéressant et bien rémunéré pour partir au Québec. Deux jours après avoir reçu le visa, mon voisin a assassiné son épouse avant de se suicider dans le couloir, devant leurs deux enfants. J'étais malheureusement chez moi et ai tout entendu, cela m'a chamboulé et m'a conduit à remettre en cause ma vie professionnelle. Je ne me sentais pas épanoui dans mon travail et ai décidé de suivre une formation de tailleur de vêtements. J'ai posé ma démission quelques semaines après le double homicide et suis arrivé à Montréal un mois plus tard, avec l'intention de commencer les cours en septembre et de chercher du travail en attendant.

Pour le moment, je n'ai rien trouvé. Après ces trois mois de recherches infructueuses, j'ai commencé à chercher dans la vente. Je vis encore avec mes derniers salaires français, il n'est donc pas urgent pour moi de trouver un emploi. Je le vois comme un long congé sabbatique dont j'avais le plus grand besoin. Cela me permet également de découvrir une certaine réalité du Québec (l'expérience à l'étranger n'est pas valorisée, c'est bien vrai), sans toutefois en souffrir ou en être frustré. J'attends des réponses de formations de tailleur en France et il est fort probable que je rentre très prochainement. Je n'ai pas encore décidé si je rentrais fin mai (pour espérer trouver un job d'été) ou fin juin (pour valider les 183 jours de présence au Québec et, de ce fait, mon inscription à la RAMQ). Je ne suis pas un "déçu du Québec", ce séjour sur place était nécessaire pour moi. J'ai ainsi compris que j'avais surestimé l'industrie locale de la mode (les créateurs québécois s'entendent sur les difficultés qu'ils rencontrent ici, tant au niveau d'approvisionnement en textile qu'en débouchés pour leur production) et que la France restait un marché beaucoup plus porteur dans ce secteur. J'imaginais que Montréal serait une ville plus créative, plus bouillonnante culturellement, plus active dans les arts, mais la réputation de la ville est quelque peu exagérée. Apparemment, le milieu culturel aurait été durement frappé par les baisses de subventions votées par le gouvernement Harper. Je constate également un manque d'intérêt de la part des Montréalais pour l'artisanat et pour la création locale (comparativement à l'engouement des Français pour le "made in France").

En ce sens, ce séjour à Montréal est riche d'enseignements parce qu'il me permet d'observer la France de loin et de prendre conscience de nos atouts. Je pensais qu'il serait plus facile d'entreprendre ici, je m'aperçois que les difficultés sont différentes et, peut-être, plus grandes. Cela vaut pour le secteur de la mode et de la création en général. Ce n'est pas un échec pour moi, le Québec ne répond pas à mes attentes mais je n'aurais pu le comprendre avant d'être sur place. Je préfère rentrer avec cette certitude et construire sereinement mon projet en France plutôt que de continuer à fantasmer Montréal de loin, en surestimant le potentiel réel de la ville. Je retiens également des leçons constructives, particulièrement l'esprit positif des Québécois. Si nous étions moins critiques envers nous-mêmes et envers la France, nous prendrions conscience des formidables atouts de notre pays. Le Québec n'est pas la terre d'opportunités que l'on dépeint souvent mais leur confiance en l'avenir est un incroyable moteur. La morosité ambiante en France, entretenue par les médias, participe au découragement général et muselle les envies d'entreprendre. La France offre pourtant de réelles opportunités.

Si je pouvais donner un conseil aux candidats à l'immigration, ce serait de comprendre que la société québécoise est nord-américaine. Ils sont très éloignés de nous et le Québec n'est pas, comme j'ai pu le lire à plusieurs reprises, entre l'Europe et l'Amérique du Nord. Les Québécois ne sont pas moins Nord-Américains que les Texans, les Californiens, les New-Yorkais ou les Ontariens (ni davantage Européens qu'eux). L'Amérique du Nord, comme l'Europe, est diverse. Les Québécois sont Anglo-Saxons, ils sont très différents des peuples latins, ils n'ont pas le même humour ni le même rapport à l'autre. Ils ont peu de points communs avec nous et c'est probablement le point auquel on se prépare le moins lorsque l'on émigre ici. Ne sous-estimez pas cet aspect !

Pour ceux qui vivent en région parisienne et qui souhaitent gagner en qualité de vie, déménager en province est peut-être un meilleur choix que de traverser l'Atlantique et de devoir recommencer "en bas de l'échelle". La France est un pays suffisamment grand pour offrir des alternatives à Paris...

De toute façon c'est un mèteier difficil: les inf en chef sont à coté de la plaque, les patientes sont de plus en plus lourds, les familles aussi..donc je ne vois pas avantages. Je travaille dans le public et pour pouvoir changer de service c'est un affaire d'Etat. Je n'ai pas de horaires de bureau, ni je reste pas assise tout la journée comparé par exemple au métier de TS.....psychologiquement c'est très difficil à supporter:population agée, polypathologies....tout ce que tu veux...donc compare seulement ce qui est comparable..soit dans le public , soit dans le privé....alors pq penses tu qu'il y a au tant des congés maladies, pour depression chez les infirmières? de plus en plus il y a des jeunes infirmières que commencent le métier et finissent avant une année.....et combien des gens changent de mètier? La majorité des gens font ce mètier pour le marché du travail PAS POUR LA VOCATION!!!ça ne va pas plus, non plus. Réconversion professionnel----->problème pour trouver un emploi, on va faire soins infirmiers...pas de problème de travail......C'est pour qq chose que Récrutement Santé Québec va chercher les infirmières en France? problèmes de récrutement+++, la majorité des inf françaises rentrent avant 2 ans.....ça veut dire quoi pour toi?

Les infirmières d'Halifax comptent faire une grève de 30 heures... Les infirmières de la région d'Halifax, en Nouvelle-Écosse, se préparent à déclencher une grève légale jeudi matin, à 7 h. La présidente de leur syndicat, Joan Jessome, estime que la grève va durer 30 heures.
Mme Jessome affirme que les infirmières continueront d'offrir certains services durant la grève.
Le principal point en litige est la demande du syndicat pour un taux fixe de patients par infirmière. La Régie de la santé de la Capitale s'oppose à une telle mesure.
Le projet de loi sur les services essentiels qui mettrait fin à la grève sera vraisemblablement adopté vendredi, selon le ministre Michel Samson.
Les députés débattent de ce projet de loi à l'Assemblée législative depuis lundi soir. Mardi soir, le gouvernement libéral a essayé de faire cesser l'examen du document devant le comité des amendements, mais le NPD a refusé de coopérer.
L'arrêt de l'examen aurait empêché des douzaines d'infirmières de s'exprimer sur le projet de loi devant le comité, ce qui aurait accéléré l'adoption de la loi. M. Samson affirme que son gouvernement voulait prévenir la grève légale qui peut être déclenchée jeudi. Il accuse le NPD de tout faire pour que la grève ait lieu, mais le néo-démocrate Frank Corbett réplique que le gouvernement aurait pu présenter son projet de loi plus tôt, et que son parti ne ralentit pas les travaux.
Certaines infirmières ont débrayé illégalement, mardi, pour dénoncer le projet de loi. La Commission du travail de la Nouvelle-Écosse les a ensuite sommées de reprendre le travail. Le Syndicat général des employés du gouvernement de la Nouvelle-Écosse, qui représente les infirmières de la Régie de santé de la Capitale, a recommandé à ses membres d'obtempérer et de se présenter à leur prochain quart de travail.
Des dizaines de chirurgies ont été annulées mardi suivant le débrayage illégal.
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Les infirmières d'Halifax comptent faire une grève de 30 heures... Les infirmières de la région d'Halifax, en Nouvelle-Écosse, se préparent à déclencher une grève légale jeudi matin, à 7 h. La présidente de leur syndicat, Joan Jessome, estime que la grève va durer 30 heures.
Mme Jessome affirme que les infirmières continueront d'offrir certains services durant la grève.
Le principal point en litige est la demande du syndicat pour un taux fixe de patients par infirmière. La Régie de la santé de la Capitale s'oppose à une telle mesure.
Le projet de loi sur les services essentiels qui mettrait fin à la grève sera vraisemblablement adopté vendredi, selon le ministre Michel Samson.
Les députés débattent de ce projet de loi à l'Assemblée législative depuis lundi soir. Mardi soir, le gouvernement libéral a essayé de faire cesser l'examen du document devant le comité des amendements, mais le NPD a refusé de coopérer.
L'arrêt de l'examen aurait empêché des douzaines d'infirmières de s'exprimer sur le projet de loi devant le comité, ce qui aurait accéléré l'adoption de la loi. M. Samson affirme que son gouvernement voulait prévenir la grève légale qui peut être déclenchée jeudi. Il accuse le NPD de tout faire pour que la grève ait lieu, mais le néo-démocrate Frank Corbett réplique que le gouvernement aurait pu présenter son projet de loi plus tôt, et que son parti ne ralentit pas les travaux.
Certaines infirmières ont débrayé illégalement, mardi, pour dénoncer le projet de loi. La Commission du travail de la Nouvelle-Écosse les a ensuite sommées de reprendre le travail. Le Syndicat général des employés du gouvernement de la Nouvelle-Écosse, qui représente les infirmières de la Régie de santé de la Capitale, a recommandé à ses membres d'obtempérer et de se présenter à leur prochain quart de travail.
Des dizaines de chirurgies ont été annulées mardi suivant le débrayage illégal.
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Non avons là une nouvelle psychologue de comptoir de grande qualité

Una autre qui fait des reves sanc connaitre le métier!!!hihih!!!les TS sont aussi débordés...hihihi!!!je vois à l'hosto comme ils travaillent, pas l'air de débodement!!! inf heureses des conditions de travail!!hihihi!!excuse-moi..tu'es infirmière? Charge de travail dure avec les papiers ce n'est pas pareil qu'avec un patient!!!je te dis compare ce qui est comparable!!font trois dossier et sont fatigués.....

De toute façon c'est un mèteier difficil: les inf en chef sont à coté de la plaque, les patientes sont de plus en plus lourds, les familles aussi..donc je ne vois pas avantages. Je travaille dans le public et pour pouvoir changer de service c'est un affaire d'Etat. Je n'ai pas de horaires de bureau, ni je reste pas assise tout la journée comparé par exemple au métier de TS.....psychologiquement c'est très difficil à supporter:population agée, polypathologies....tout ce que tu veux...donc compare seulement ce qui est comparable..soit dans le public , soit dans le privé....alors pq penses tu qu'il y a au tant des congés maladies, pour depression chez les infirmières? de plus en plus il y a des jeunes infirmières que commencent le métier et finissent avant une année.....et combien des gens changent de mètier? La majorité des gens font ce mètier pour le marché du travail PAS POUR LA VOCATION!!!ça ne va pas plus, non plus. Réconversion professionnel----->problème pour trouver un emploi, on va faire soins infirmiers...pas de problème de travail......C'est pour qq chose que Récrutement Santé Québec va chercher les infirmières en France? problèmes de récrutement+++, la majorité des inf françaises rentrent avant 2 ans.....ça veut dire quoi pour toi?

Des avantages sociaux? où? je pense qu'on mérite très bien le salaire..que je ne trouve pas magnifique non plus, avec des horaires de travail soir et nuit, équipe volante, pas de poste fixe, pas avant un année ou deux....si tout va bien ......t'appel ça des excellentes conditions?
Pour répondre à ta question: tu dois faire la chimie et la biologie, si ta formation de base n'est pas scientifique...dit par mes collègues ce soir!!!Tu peux toujours contacter le collège de Rossemont et demander!!!

Cela dit, j'ai découvert que Vaseline, c'est une marque de crèmes ici (comme Nivea ou autres).

Premier essai avec Lubriderm car je n'ai pas trouvé la marque conseillée par bencoudonc au Jean Coutu. Contenance 480 ml, ça semble ok à utiliser en crème hydratante par contre ça n'a pas l'air de réparer grand chose. Pas chère par contre, je l'ai eu en special à 6 dollars.

Tu parles comme ça..parceque tu viens d'un des ces trois pays ( l'Espagne, l'Italie, la Pologne..)? Donc, tu dois bien connaitre..... Et je parle du déclin économique parceque c'est une vérité, le Québec n'est pas tout rose, comme tu veux faire voir dans tes commentaires, la crises économique frappe le Québec aussi. Mais, tu ne peux pas couvrir le soleil avec un de tes doigts seulement.

Le terme était probablement mal choisi mais je ne mettrais jamais de vaseline pure comme ça sur les mains, ça ne réussit pas à tout le monde, il ne faut pas croire
C'est pour ça que je comprends bien le problème de Caroline car quand tu trouves une crème pour les mains qui te convient (tout le monde n'a pas mal chance de tout supporter, moi la majorité de celles que mes mains supportent me font éternuer, au final il ne reste pas grand chose) tu fais en sorte de ne pas en changer, donc de la trouver à l'étranger (ou son équivalent)

de religion, politique et football..mieux pas parler!!!! Mais, je ne pense pas que Sam aimerai qu'on critique sa religion (je ne sais pas la quelle, c'est sa religion...)............il faut du respect pour tout le monde et toutes les religions......

Alors quand on veut poser une question on ne devrait pas l'accompagner de faux jugements et d'accusations tel que tu as utilisés dans ton texte:

.....'' En définitive, que savez-vous de lui pour le juger ainsi? À moins que vous soyez jaloux de lui qui ose ce que vous ne pouvez pas faire ? ''

Pour qui te prends-tu pour dire que je suis jaloux ou que je ne peux pas le faire? Sans doute que tu vas mettre ton chapeau de modérateur et censuré ce message! Au moins je n'ai pas eu besoin d'un parrainage pour être Canadien!

Caroline, oublies pas l'Helycobacter Pylori!!!

C'est parce que tu devais avoir une fragilité à ce niveau, mais dire que le stress crée des ulcères, c'est faux. Une fois que la lésion est là (l'ulcère), c'est en toute logique majoré par le stress (sécrétion acide de l'estomac majorée par le stress).

C'est intéressant, il ne va pas dire aux agent de l'immigration qu'il n'a pas l'intention de s'installer dans la province de Québec mais aussitôt qu'il aura mis les pieds au Canada comme RP il va quitter la province. Ceci représente des plus beaux exemples du non respect de son engagement sur l'honneur et de sa signature!

C'est un très bel exemple à donner à ses enfants. Mais que dira-t-il a ces derniers quand ils apprendront à l'école (dont il recherche des écoles en Alberta) ce qu'est un engagement sur l'honneur. Mais c'est sans doute vrai qu'il faut en avoir pour être capable de l'expliquer.

Il parle de pourrir un thème de discussion mais est-ce qu'il réalise avec Maxo qui explique comment déjouer les agents de l'immigration, qu'ils pourrissent eux-mêmes l'immigration et prennent la place dans la province de Québec de quelqu'un d'autre? Être obligé de demander comment détourner un système et de décrire comment le faire cela semble assez douteux.

Vivement que le gouvernement fédéral et provincial pénalisent ces personnes. Présentement, il reste quand même l'espoir que le fédéral vérifie comme il le fait assez régulièrement, ces RP avec engagement sur l'honneur, sur la base des déclarations mensongères.

Le non respect d'une signature et d'un engagement sur l'honneur est passible de peine au Canada.

Hey super!!
On se revoit vite


Envoyé par l'application mobile Forum IC

Quand tu reçois ton CSQ, tu dois signer une déclaration pour dire que tu vas virvre au moins 5 ans au Québec.....Et si tu ne veux pas vivre 5 ans au Québec, la première chose que tu ne dois pas faire est de dire des mensonges aux autorités québécoises...sans avoir possé tes pieds sur le territoire....t'as as fait une déclaration sur l'honneur!!! dentan a raison!!

J'attends la suite de ton récit....

J'attends la suite de ton récit....

Ce n'est pas de ces gants là qu'ils s'agissait.

J'imagine que mêmes les bons neuneus n'ont pas l'idée de sortir par -20°C sans gant.

Est-ce une raison pour payer les produits 500 % de leur prix normal ?

Sinon, en France, on gagnait 5000 euros par mois (ce serait plus aujourd'hui avec les augmentations de salaire), et je pouvais me faire des bains de crème à main si j'en avais envie.

Mais ce n'est pas le propos du jour. Le propos du jour, rappelons le pour les malcomprenants, c'est de trouver une crème à mains réparatrice à prix non booming.