Aller au contenu

Laurent

Administrateurs
  • Compteur de contenus

    11 123
  • Inscription

  • Jours gagnés

    36

Tout ce qui a été posté par Laurent

  1. Et à Montréal aujourd'hui:
  2. Laurent

    extraction Novembre

    Invitations du 16 novembre 2023 Nombre d’invitations : la ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration a invité 1210 personnes à lui présenter une demande de sélection à titre permanent. Date et heure de l’extraction dans la banque d’Arrima : 13 novembre 2023 à 6 h 30 Ces invitations s’adressaient aux personnes répondant aux critères suivants : elles avaient une connaissance du français de niveau 7 ou plus dans les deux compétences orales selon l’Échelle québécoise des niveaux de compétence en français ou son équivalent (PDF 4.94 Mo); elles avaient un pointage (PDF 295 Ko) égal ou supérieur à 609 points. Ces invitations s’adressaient aussi aux personnes répondant au critère suivant : elles détenaient une offre d'emploi validée à l'extérieur du territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal.
  3. Laurent

    extraction Novembre

    Il semble que la dernière extraction d'Arrima a eu lieu le 13 novembre 2023, où 1210 personnes ont été invitées à postuler pour une sélection permanente. Ces invitations ont été adressées aux personnes répondant à des critères spécifiques, tels qu'une compétence orale en français de niveau 7 ou plus élevé, un score égal ou supérieur à 609 points, ou une offre d'emploi valide à l'extérieur du territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal. https://www.quebec.ca/immigration/travailler-quebec/travailleurs-qualifies/programme-regulier-travailleurs-qualifies/invitation
  4. Si vous détenez un visa de visiteur, vous ne serez pas autorisé à travailler au Canada sans un permis de travail. Vous pouvez consulter le site d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) pour en savoir plus sur les différentes catégories de permis de travail et les critères d'éligibilité.
  5. Le Certificat de sélection du Québec (CSQ) est effectivement un document important dans le processus d'immigration au Québec, notamment pour les étudiants étrangers. L'exemption de frais de scolarité supplémentaires pour les étudiants internationaux est une possibilité sous certaines conditions, mais elle n'est pas automatique avec l'obtention du CSQ. Voici quelques étapes que vous pouvez envisager : Vérifiez les critères d'exemption : Assurez-vous que vous remplissez tous les critères d'exemption de scolarité pour les étudiants internationaux. Ces critères peuvent inclure des aspects spécifiques liés à votre statut, au programme d'études, etc. Consultez la politique de votre école : Chaque établissement d'enseignement peut avoir des politiques différentes concernant les exemptions de frais pour les détenteurs d'un CSQ. Il est important de comprendre la politique spécifique de votre école. Dialogue avec l'administration de l'école : Si vous croyez répondre aux critères d'exemption, prenez rendez-vous avec l'administration ou le service des admissions de votre école pour discuter de votre situation. Apportez tous les documents pertinents, y compris votre CSQ et toute autre documentation qui pourrait appuyer votre demande. Renseignez-vous auprès d'Immigration Québec : Pour obtenir des clarifications sur les règles d'exemption de scolarité, vous pouvez contacter directement Immigration Québec. Ils pourront vous fournir des informations précises sur les conditions d'exemption liées au CSQ. Recherchez des aides financières alternatives : Si l'exemption n'est pas possible, renseignez-vous sur d'autres formes d'aide financière disponibles pour les étudiants internationaux, telles que des bourses, des prêts étudiants, etc. Consultation légale : Si vous pensez que vos droits ne sont pas respectés, vous pouvez consulter un avocat spécialisé en immigration pour obtenir des conseils juridiques. Il est important de se rappeler que les règlements et les politiques peuvent varier et sont souvent complexes en matière d'immigration et d'éducation. Assurez-vous de bien comprendre vos droits et obligations avant de prendre des mesures.
  6. Ça a pris 23 ans et 10 000 messages pour que tu le reconnaisses !
  7. ‌ Bonjour, Nous vous rappelons que cet événement essentiel se tiendra aujourd'hui à 13h00 (19:00 heure de France). Au programme de ce webinaire animé par Laurence Nadeau : 1. Recherche de logement - Conseils d'Antoine Schaefer, expert en immobilier. 2. Démarches administratives - Les étapes clés expliquées par Laurence Nadeau. 3. Emploi - Stratégies de Christophe Catherine pour percer le marché de l’emploi québécois. 4. Période de questions - Une session interactive pour répondre à toutes vos interrogations. C'est une occasion unique d'obtenir des informations précieuses et des conseils pratiques pour votre installation et intégration au Québec. N'oubliez pas de préparer vos questions et de nous rejoindre pour une session enrichissante, pleine d'apprentissages et d'échanges d'expériences. Nous avons hâte de vous y retrouver ! ‌ ‌
  8. Options pour communiquer avec le Centre de soutien à la clientèle Communication Détails En ligne Utilisez notre formulaire web. 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 Service de téléphone automatisé (au Canada seulement) Si vous avez un téléphone à clavier, vous pouvez vérifier l’état de votre demande écouter des renseignements préenregistrés sur nos programmes 1-888-242-2100 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 Agents du Centre de soutien à la clientèle (au Canada seulement) les services sont offerts en français et en anglais les agents peuvent répondre à vos questions générales et à celles concernant votre dossier Ils ne peuvent pas rendre une décision à l’égard d’une demande accélérer le traitement d’une demande, à moins que vous ne répondiez aux critères s’appliquant au traitement urgent 1-888-242-2100 du lundi au vendredi, de 8 h à 16 h (votre heure locale) non disponible les jours fériés Service de téléscripteur (ATS) Appelez-nous à l’aide du service de relais Bell. 1-800-855-0511 (téléphone à téléscripteur) 711 (téléscripteur à téléphone) 1-800-855-1155 (téléscripteur à téléscripteur) du lundi au vendredi, de 8 h à 16 h (votre heure locale) non disponible les jours fériés
  9. Montréal, QC Canada filmé en 1930 et restauré. Source : https://www.facebook.com/nassrestoration/videos/2387006971503368/ nassrestoration_Montreal_1930.mp4
  10. Résumé : Le Canada : une destination finale potentielle pour les réfugiés de Gaza Un document de concept du ministère israélien propose de transférer les civils de Gaza vers le Sinaï en Égypte, le Canada étant une destination finale possible. Ce plan de guerre, élaboré par un ministère israélien, vise à déplacer 2,3 millions de personnes de la bande de Gaza vers le Sinaï, suscitant des critiques des Palestiniens et exacerbant les tensions avec Le Caire. Le bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a minimisé ce rapport, le qualifiant d'exercice hypothétique. Néanmoins, ses conclusions ont renforcé les craintes égyptiennes d’une tentative israélienne de faire du problème de Gaza un problème égyptien, rappelant aux Palestiniens le traumatisme de 1948 - le déracinement de centaines de milliers de personnes. Plus de 8 000 Palestiniens, principalement des civils, ont été tués depuis que Israël a déclaré la guerre au Hamas. Le document propose le déplacement de la population civile de Gaza vers des villes de tentes dans le nord du Sinaï, suivie de la construction de villes permanentes et d’un corridor humanitaire non défini. Une zone de sécurité serait établie en Israël pour empêcher l'entrée des Palestiniens déplacés. Le ministère des Affaires étrangères égyptien n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire sur le rapport. Le président égyptien, Abdel Fattah El-Sissi, a déclaré qu'un afflux massif de réfugiés de Gaza éliminerait la cause nationaliste palestinienne et risquerait d'apporter des militants dans le Sinaï. Le document mentionne également l’Égypte, la Turquie, le Qatar, l'Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis comme soutiens potentiels du plan, soit financièrement, soit en accueillant des résidents déracinés de Gaza. Les pratiques d'immigration "clémentes" du Canada le rendent également une cible potentielle de réinstallation. Le document reconnaît que cette proposition pourrait être compliquée en termes de légitimité internationale. Un responsable israélien a indiqué que le document n'est pas contraignant et qu'il n'a fait l'objet d'aucune discussion substantielle avec les responsables de la sécurité. Le bureau du Premier ministre a déclaré que la question du "jour d'après" n'a pas été discutée dans un forum officiel en Israël. Source : CTV News
  11. Le reportage de TF1 met en lumière la lutte acharnée des défenseurs de la langue française contre la montée des anglicismes en France. Plus de 320 millions de personnes parlent français dans le monde, mais l'omniprésence de l'anglais, même dans des secteurs comme la publicité et les administrations publiques, suscite l'inquiétude. Des initiatives telles que le collectif "Oser le français" s'efforcent de contrer cette tendance, en mettant l'accent sur la nécessité de préserver la langue française dans l'usage quotidien et institutionnel. Des exemples frappants de cette anglicisation incluent le choix de noms anglais pour des services publics et des marques comme OuiGo de la SNCF, IZIbyEDF d'EDF, ou MaFrenchBank de La Poste. Des personnages éminents tels que Jean-Marie Rouart, membre de l'Académie française, expriment leur désarroi face à cette "invasion" de l'anglais, la comparant à une maladie contagieuse. Même Rouart admet utiliser parfois des mots anglais comme "mail". L'impact des anglicismes est particulièrement notable chez les jeunes, qui intègrent couramment des mots anglais dans leur langage quotidien. Certains termes anglais, tels que "spoiler", sont adoptés en raison de l'absence de traductions françaises convaincantes, malgré les efforts de dictionnaires comme le Larousse. En dépit de ces défis, la langue française garde son attrait et sa valeur culturelle, notamment à l'étranger, où elle est perçue comme chic et raffinée. La résistance à l'anglicisation, bien que complexe, est un enjeu crucial pour les francophones désireux de préserver l'intégrité et la richesse de leur langue. https://www.tf1info.fr/societe/video-reportage-tf1-anglicismes-la-lutte-sans-repit-des-amoureux-de-la-langue-francaise-2274649.html
  12. Laurent

    Chaines TV (IPTV)

    Ce sont des chaînes Télévision allemande, autrichienne et suisse, toutes en langue allemande il me semble.
  13. Le Salon de l'emploi et de la formation continue est de retour au Palais des congrès les 4 et 5 octobre prochains, et cette année, nous sommes ravis de vous présenter de nouveau une conférence spéciale au cours de laquelle vous pourriez apprendre à maîtriser votre carrière dans votre pays d'accueil. Laurence Nadeau, une experte renommée dans ce domaine, partagera ses précieux conseils sur « Les erreurs à éviter pour les nouveaux arrivants ». Un événement incontournable pour les chercheurs d'emploi Que vous soyez un nouveau diplômé, un nouvel arrivant sur le marché du travail, ou tout simplement en quête d'une nouvelle direction professionnelle, le Salon de l'emploi et de la formation continue est le lieu idéal pour explorer des milliers d'opportunités professionnelles stimulantes et épanouissantes. Avec plus de 300 exposants et 15 000 offres d'emploi, vous trouverez certainement une occasion qui correspond à vos aspirations. Laurence Nadeau : cofondatrice du site immigrer.com et auteure de plusieurs guides Laurence Nadeau est une experte dans le domaine de l'immigration. Sa conférence, prévue le 5 octobre au Palais des congrès, promet d'être une opportunité inestimable pour ceux qui cherchent à éviter les pièges courants qui peuvent entraver leur progression professionnelle dans leur nouveau pays. « Les erreurs à éviter pour les nouveaux arrivants » La conférence de Laurence Nadeau se concentrera sur les erreurs courantes que les nouveaux arrivants sur le marché du travail peuvent commettre, et comment les éviter. Elle abordera des sujets tels que les particularités dans la recherche d'emploi au Québec, la création d'un nouveau réseau professionnel solide, la gestion des entretiens d'embauche, et bien plus encore. Si vous êtes à la recherche d'informations précieuses pour démarrer votre carrière au Québec, cette conférence est un rendez-vous à ne pas manquer. Détails de la conférence : Date : Jeudi 5 octobre Heure : 14 h 30 - 16 h 00 Lieu : Palais des congrès Entrée : Gratuite (inscription préalable recommandée) Inscrivez-vous dès maintenant ! L'inscription à la conférence de Laurence Nadeau est gratuite, mais les places sont limitées. Réservez votre place dès maintenant pour avoir la garantie de ne pas manquer cette opportunité exceptionnelle d'apprendre des erreurs à éviter pour bâtir une carrière réussie. Pour vous inscrire à la conférence et en savoir plus sur le Salon de l'emploi et de la formation continue, rendez-vous sur le site officiel de l'événement. Ne laissez pas les erreurs entraver votre succès professionnel. Rejoignez-nous le 5 octobre au Palais des congrès et profitez des précieux conseils de Laurence Nadeau pour prendre votre carrière en main dans votre nouveau pays. Nous vous attendons nombreux pour cet événement incontournable !
  14. Le cuisinier français Lorenzo Elie Favilli, qui vit à Saint-Ferdinand, devra quitter le Canada le 28 août à moins d’un revirement de situation. La municipalité de Saint-Ferdinand et plusieurs membres de la petite communauté réclament l’intervention du ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté pour éviter le renvoi du cuisinier qualifié. L’homme de 33 ans vit au Québec depuis 2017. Il affirme que sa demande pour un permis de travail permanent, déposée en janvier 2020, fait partie des milliers de dossiers égarés durant la pandémie de COVID-19. Plusieurs restaurateurs de la région se sont dits prêts à lui offrir du travail à temps plein, une offre qui intéresse le cuisinier. source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2003590/renvoi-france-ministre-immigration
  15. Chaque semaine de l’été, nos journalistes partent à la rencontre de communautés québécoises d’adoption. Deuxième arrêt : une visite au sein de la communauté française. Mis à jour le 26 juillet La Presse LOUISE LEDUC Pas moins de 75 000 citoyens français* habitent au Canada. Selon les recensements de 2016 et de 2021, la France arrive en tête de liste en ce qui concerne le pays de naissance des nouveaux arrivants au Québec. On passe à table avec quelques-uns d’entre eux. « Les Québécois qui viennent ici disent qu’ils ont l’impression de se trouver sur une terrasse à Bordeaux ou à Paris ! », lance Max Rosselin, propriétaire du Bar Mamie, dans l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie. Et pour cause : 50 % des clients de l’établissement sont français, tout comme la presque totalité du personnel. Au menu : du fromage, du bon vin, des planches de charcuteries et aussi des plats typiques que la grand-mère du propriétaire ou que celles de ses employés cuisinaient. Au gré des saisons, la carte peut inclure une flamiche au maroilles ou un welsh, des spécialités du nord de la France – une raclette ou du poulet rôti « comme celui du dimanche, en famille ». Tel est le concept du Bar Mamie, explique Max Rosselin : rendre hommage aux grands-mères françaises et redonner « un petit bout de pays » aux clients. Qui, pour certains, viennent deux ou trois fois par semaine. Notre restaurant n’est pas trop, trop cher, alors on a nos fidèles. Max Rosselin, propriétaire du Bar Mamie Et de fait, on fait la file pour manger à son établissement. Une communauté tissée serré « Étant à l’extérieur de notre pays, j’ai l’impression qu’on est beaucoup plus tissés serré, qu’on a besoin de se réunir beaucoup plus souvent entre amis que les Québécois le font entre eux en général », avance le propriétaire. Max Rosselin est originaire du nord de la France. Ce Ch’ti a posé ses valises ici il y a 11 ans et assure n’avoir plus envie de les boucler de nouveau. J’aime trop l’état d’esprit au Québec, ce sentiment de liberté, ce sens de la communauté. Max Rosselin, propriétaire du Bar Mamie Il faut dire que son restaurant – qui devait ouvrir en mars 2020 – a été carrément adopté aussi bien par les Français d’ici que par Rosemont. Confinement il y a ? Qu’importe, on se fera livrer la France à la maison ! « Les gens du quartier ont été hyper présents, ils nous ont aidés et ils sont venus nous supporter dès qu’on a ouvert. C’était vraiment génial. » Parmi ceux-là : Julia Defossez, arrivée de Paris il y a quatre ans et qui a été séduite par le Québec. « Ici, j’ai toujours l’impression d’être en vacances, dit-elle. L’ambiance est vraiment conviviale. Il fait bon vivre au Québec, la vie me semble plus facile en général. » C’est aussi ce qui a plu à Gaspard Carrey, également de Paris, qui est arrivé avec sa conjointe. Ils ont acheté un condo ici, « et on a fait une petite fille ». Je ne sais pas si je vais y rester pour toujours, mais c’est sûr que nous serons au Québec encore au moins cinq ans. Ici, la vie est plus chill qu’à Paris, où il y a une certaine violence dans les rapports sociaux, sans doute liée au fait qu’il y a là-bas tellement plus de gens qui vivent entassés. Gaspard Carrey S’il a eu envie ce vendredi soir là d’une petite soirée chez Mamie avec la famille et les copains, à manger des plats typiques de son pays d’origine – car ça, oui, la cuisine française lui manque ! –, pas question pour lui de ne chercher que la compagnie de ses compatriotes. « Je ne suis pas parti de France pour recréer un microcosme français », assure-t-il. source : https://www.lapresse.ca/actualites/2023-07-26/montreal-multiple/s-etablir-ou-repartir-le-dilemme-des-francais-d-ici.php?
  16. Jean-Michel Clermont-Goulet 2 août 2023 10H53 MISE À JOUR 2 août 2023 10H53 Bouffe, langue française, énergie, sécurité: un jeune Français qui a habité à Montréal avant de déménager à New York n'a à peu près rien aimé de son passage au Québec. Dans une vidéo TikTok, il ne mâche pas ses mots en comparant Montréal à la Grosse Pomme. «Déjà, pour commencer, c’est presque une insulte pour la ville de New York de la mettre dans la même phrase que Montréal», lance le Français qui affirme avoir quitté Montréal pour aller s'installer aux États-Unis il y a six mois. Le tiktokeur, qui compte 50 000 abonnés, affirme d’emblée que l’énergie de Montréal est «inexistante», alors qu’elle est «tellement intense» à New York. «C’est simple. Pour moi, Montréal, il n’y a vraiment pas grand-chose à faire», poursuit le Breton qui, si l'on se fie à ses réseaux sociaux, a vécu au Québec en 2022. Dans sa vidéo, Mat affirme également que lorsqu'il habitait Montréal, il se faisait «poursuivre, tous les jours, par des crackheads qui [lui] demandaient de l’argent». Ça ne lui serait jamais arrivé de l’autre côté de la frontière. «Au niveau sécurité, Montréal, ça craint. Je me sens beaucoup plus en sécurité à New York», dit-il. Montréal, trop franco? Mat in NYC ne semble pas trop apprécié le fait que Montréal est une ville francophone, lui qui souhaitait «vivre une expérience à l’étranger». «J’avais des fois l’impression d’être en France», dit celui qui a habité quatre mois sur Le Plateau-Mont-Royal, affectueusement surnommé La petite France. Si Mat in NYC affirme ne pas avoir «kiffé» la métropole francophone d’Amérique, il assure dans une seconde vidéo qu'il n'a rien contre les Québécois qui l'ont bien accueilli. Le maudit feta canadien Le Français n'a pas été trop impressionné par la bouffe québécoise, en particulier le fromage feta «made in Canada», qui n’était pas terrible. En commentaire, il précise toutefois ne rien connaitre aux fromages québécois... En ce qui concerne les prix à l'épicerie, ils seraient moins chers à New York qu'à Montréal. suite et source: https://www.24heures.ca/2023/08/02/un-francais-qui-a-habite-au-quebec-demolit-montreal-en-la-comparant-a-new-york#:~:text=Pour moi%2C Montréal%2C il n,vécu au Québec en 2022.&text=Dans sa vidéo%2C Mat affirme,demandaient de l'argent».
  17. Laurent

    retraite

    Bonjour, Oui il y a des accords. Voici un témoignage récent sur les retraites : https://www.immigrer.com/la-retraite-au-quebec-ca-se-passe-comment/ Et FAQ sur la question : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Impots-retraites-taxes/
  18. Bravo pour votre parcours. Merci pour votre beau témoignage. Très belle famille. Bon 15 ans à vous ! Nous partagerons bientôt votre bilan avec la communauté en dehors du forum. Merci encore et bonne fin d'été à vous
  19. Le vigneron Sébastien Daoust raconte les déboires bureaucratiques qu'a connu son maître de chai depuis son arrivée au Québec. Salut l’ami! 20 juillet 2023 par Sébastien Daoust Juilllet 2023. En mai 2021 débarquait en sol québécois Thomas, notre maître de chai. Ça faisait plus d’un an que nous étions en démarche, à remplir papiers par-dessus papiers, formulaires par-dessus formulaires. J’avais déjà la chance de travailler avec Geneviève, qui s’occupait du champ et des cuves, mais on allait prendre le coup de main supplémentaire. De son village tout prêt de Montpellier, il allait maintenant connaître Hemmingford, connu pour le Parc Safari, le chemin Roxham et Burger Bob. Texte de Sébastien Daoust, du vignoble Les Bacchantes Thomas n’est pas arrivé ici seul. Il était accompagné de sa conjointe, Brigitte, et de ses filles, Justine et Sophie. Lorsque nous nous étions parlé la première fois, dans la panoplie de Zoom que nous avions eu depuis février 2020, les délais entre le fait de débarquer en sol québécois et devenir un résident permanent était entre 3 et 4 ans. Vous faites votre premier visa de travail – une formalité, puisque la formation de Thomas ne se donne pas au Canada. Puis, lors du renouvellement du visa, on demande son certificat de sélection, puis sa résidence. Tout ça, 3 ou 4 ans. Il y avait la pandémie, alors il a fallu faire la quarantaine, le déconfinement, le reconfinement. Thomas et sa famille n’ont pas perdu espoir. Ils ont acheté un condo, ont développé des liens avec les gens ici. Amateurs de ski, la famille a survécu amplement à son premier hiver. On dit que pour qu’un Français deviennent Québécois, il doit vivre son premier hiver et désirer rester après. Mission accomplie! Mais tranquillement, les délais se sont allongés. C’était plutôt quatre ans maintenant. Puis, c’était au-delà du deuxième visa de deux ans. On est rendu à cinq ans, avec un statut implicite entre la fin du deuxième visa, et la résidence permanente, un genre de trou juridique où vous êtes réputés comme étant résident, mais vous devez faire toutes les démarches comme si c’était un visa. Se retrouver dans un vide juridique, ce n’est pas rassurant. Quand on a 20 ans, et qu’on est seul, c’est une chose. Quand on est dans le milieu de la quarantaine, et qu’on a la famille à se soucier aussi, ça devient un stress. Surtout que Thomas, à chaque semaine, devait régulariser certaines situations. Assurance maladie, renouvellement des passeports, réémissions des visas. Appel à la RAMQ, à la SAAQ, un des dizaines de «guichets uniques» de Services Canada. Les délais sont « anormalement élevés » parce que, vous savez, il n’y a pas de main-d’œuvre. Thomas aura traversé à quatre reprises les douanes à Lacolle pour faire arrimer le visa de sa fille avec l’émission du nouveau passeport français. Il s’y est présenté à la suite d’une discussion téléphonique avec Service Canada. «Oui, vous allez à Lacolle, vous traversez aux États-Unis, vous revenez, vous demandé pour un changement de visa, ils vont vous le faire.» Et personne ne savait comment. À chaque fois. Ironiquement, quelques semaines plus tard, lors d’un voyage de ski, il tente sa chance à Stanstead. «Bien sur monsieur, nous faisons ça, comme tous les postes frontaliers d’ailleurs.» Thomas a perdu confiance dans le système. Il a perdu confiance que la main tendue par nos gouvernements provinciaux et fédéraux n’était, en fait, que de l’apparat, un écran de fumée bureaucratique – bureaucratie qui continue de blâmer son inefficience par le manque de main-d’œuvre. La bureaucratie doit croître pour remplir les besoins constants requis par l’accroissement de la bureaucratie. suite et source: https://cariboumag.com/2023/07/salut-lami/?mibextid=Zxz2cZ
  20. Bonjour, Cet article concerne le Québec en effet. Comme il existe 10 provinces canadiennes et 3 territoires, il faudrait voir dans les autres législations. Si vous êtes d'origine française, sachez qu'il y a des prix préférentiels pour les étudiants français au Québec mais ce n'est pas le cas ailleurs au Canada. Les Belges ont aussi des avantages : https://www.immigrer.com/desormais-presque-2-fois-moins-cher-pour-les-belges-detudier-au-quebec/ Aussi il y a une telle pénurie dans certains types d'emploi que les programmes d'étude peuvent même être gratuits. Depuis l’automne 2022, les étudiants internationaux du Québec qui étudient à temps plein, en français, dans des CEGEP (niveau collégial) et des universités hors de Montréal dans des domaines en pénurie pourront bénéficier de réduction sur leur frais de scolarité. https://www.immigrer.com/gratuite-scolaire-pour-les-etudiants-etrangers/
  21. La page Facebook du bar Le Gaulois est tellement populaire en France que des touristes ont effectué un pèlerinage jusqu'au Centre-du-Québec pour le visiter. Le bar le Gaulois, à Victoriaville. PHOTO : CAPTURE D'ÉCRAN - GOOGLE MAPS Jeff Yates Ses publications génèrent des milliers de « j'aime » et de commentaires. Des milliers d'admirateurs étrangers rêvent d'un jour venir faire un tour. Un seul problème : la propriétaire du bar Le Gaulois, à Victoriaville, ne sait pas pourquoi sa page Facebook est subitement devenue l'une des plus populaires au Québec. Je n’ai sérieusement aucune idée de ce qui est arrivé. J’ai fait des changements sur la page et c'est là que ça a commencé, lance la nouvelle propriétaire du bar le Gaulois, Cynthia Labonté. Au début de mai, Mme Labonté a pris possession du bar et de sa page Facebook. Elle a fait quelques petites modifications sur la page du Gaulois pour changer les heures d'ouverture et le courriel de contact. Et pour une raison mystérieuse, les publications de la page se sont mises à exploser en popularité. Le Gaulois a l'habitude de publier chaque jour un égoportrait de la serveuse qui se retrouve derrière le bar. Avant le mois de mai, ces publications généraient en moyenne une dizaine de mentions j'aime ou de commentaires. Mais après le 9 mai, tout a changé. Une photo de Cynthia Labonté a généré 604 commentaires et 3500 mentions j'aime. Au début, je me disais, il faut arrêter ça, on a été hacké ou quelque chose, raconte-t-elle en riant. Depuis, les publications quotidiennes du bar suscitent régulièrement des centaines de commentaires. La publication la plus populaire que nous avons recensée a cumulé 4600 mentions j'aime et 2800 commentaires. Suite et source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1997531/bar-gaulois-victoriaville-viral-france
  22. Cela dit, sa cause est perdue, il aurait probablement mieux fait de payer le 650$ sur le champ. Je ne vois pas quel angle de défense pourrait le sauver, mais je soupçonne qu'il va dire que le montant est ridicule par rapport au prix du saucisson, sauf que l'infraction est une fausse déclaration aux douanes.
×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement