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Tout ce qui a été posté par Laurent
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Le Canada anticipe une vague massive de départs en 2025 Le Canada se prépare à une importante vague de départs de résidents, et certains ne voient pas cette décision d’un bon œil. Il y a quelques semaines, le gouvernement du Canada a annoncé son intention de réduire sa population, principalement en limitant les visas de résident permanent. Cela pose un sérieux problème pour les 1,2 million de visas de résident temporaire qui expireront l’année prochaine, entraînant une forte augmentation des demandes d’asile de la part des résidents concernés. Malgré les résistances à ce plan, le pays s’attend tout de même à voir des centaines de milliers de départs. Cette initiative, annoncée par le gouvernement canadien, fait suite à une augmentation spectaculaire de la population de résidents temporaires ces dernières années. Après avoir augmenté la population de résidents temporaires de 150 % depuis 2021, atteignant ainsi 2,96 millions de personnes, le gouvernement a annoncé une réduction de 891 000 visas temporaires, répartis à parts égales sur les deux prochaines années. Cela ramènera la population de résidents temporaires à un peu plus de 2 millions d’ici la fin de 2026, soit deux fois plus qu’en 2021. Une réduction nécessaire pour des raisons économiques et sociales Le ministre de l’Immigration, Marc Miller, a justifié cette réduction par la nécessité d’alléger la pression sur les infrastructures essentielles, telles que le logement, la santé et les transports publics. Le Canada fait face à une crise du logement accentuée par l’arrivée massive de travailleurs et étudiants temporaires. Limiter leur nombre permettra, selon le gouvernement, de mieux répondre aux besoins des résidents permanents et de maintenir un équilibre économique. Dans ce contexte, le gouvernement a annoncé une diminution de 891 000 visas temporaires sur deux ans. Cette réduction sera répartie de manière équitable pour éviter un choc brutal sur le marché du travail, qui dépend encore fortement de cette main-d’œuvre étrangère. Explosion des demandes d’asile au Canada Un des moyens attendus pour rester au pays semble être les demandes d’asile. Le Canada a enregistré 133 000 demandes d’asile au 30 septembre (cumul annuel), soit une hausse de 38 % par rapport à l’an dernier. Plus de 63,9 % de ces demandes ont été déposées dans des bureaux à l’intérieur du pays, ce qui signifie que les demandeurs étaient déjà présents sur le territoire. Ce pourcentage était auparavant proche de 50 %, ce qui indique une forte augmentation. Un segment particulier de résidents temporaires, les étudiants internationaux, a vu une hausse notable des demandes d’asile. Selon une analyse, environ 13 700 demandes cette année provenaient de personnes titulaires de permis d’étude, soit 4,5 fois la moyenne des années précédentes. Ce chiffre est sans précédent au Canada. Bien que certains étudiants puissent présenter des demandes valides, le gouvernement trouve leur timing suspect. « Il est évident qu’une personne qui est ici depuis un an ou plus, et qui demande soudainement l’asile alors que les conditions dans son pays d’origine n’ont pas changé, cela ne sent pas bon, cela ne donne pas une bonne impression », a déclaré Marc Miller, ministre de l’Immigration, au Globe and Mail. Ce genre de demande est difficile à justifier, offrant probablement au demandeur un peu plus de temps et générant un scepticisme accru sur son statut de résidence. Cependant, ces cas restent marginaux par rapport au grand nombre de personnes censées quitter le pays. Stabilisation des permis d’étude et des visas temporaires Pour répondre à cette situation complexe, le gouvernement a également décidé de plafonner le nombre de nouveaux permis d’études à environ 360 000 en 2024. Cette mesure vise à limiter l’impact des étudiants internationaux sur le marché du logement et les services publics. Bien que ces derniers contribuent significativement à l’économie canadienne, leur présence massive dans certaines régions, comme le Québec, a généré des tensions sociales et économiques. (onfr.tfo.org) Les défis d’une politique équilibrée L’objectif global de cette stratégie est de trouver un équilibre entre les besoins économiques du Canada et sa capacité d’accueil. Bien que le pays continue de promouvoir l’immigration permanente, il cherche à éviter les abus dans les programmes temporaires et à garantir des conditions de vie optimales pour tous les résidents. Ces politiques suscitent toutefois des débats sur leur impact à long terme sur l’économie et la diversité culturelle du pays.
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Nous avons organisé un webinaire intitulé "Suspension de l’immigration permanente au Québec", animé par Laurence Nadeau, cofondatrice du site, et Alexandre Hénaut, avocat en immigration. Ce webinaire a abordé les nouvelles mesures en matière d’immigration au Québec et au Canada pour 2024, notamment la suspension des programmes d’immigration permanente, la diminution du nombre d’immigrants, et les modifications concernant les travailleurs temporaires étrangers.
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quelque soit la façon que tu produis ton électricité, ça reste avantageux de rouler électrique puisque la quantité d'énergie par km est à 4 à 5 fois moins grande que dans une auto au pétrole.
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Les lois de la physique n'ont pas changé contrairement à ses allégeances, les voitures électriques consomment 4 à 5 fois moins d'énergie par distance parcourue par rapport aux véhicules traditionnels.
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Le Canada traverse une période de bouleversements majeurs. Alors que le pays continue d’accueillir des milliers de nouveaux arrivants chaque année, il est confronté à des crises interconnectées : logement, coût de la vie et immigration. Ces défis, autrefois masqués par une économie en plein essor, sont aujourd’hui visibles à tous les niveaux de la société. Dans une vidéo publiée dimanche sur son compte Youtube, le Premier ministre Justin Trudeau a présenté un nouveau plan visant à réformer et réduire les seuils d’immigration au Canada. Les déclarations de Justin Trudeau : des choix difficiles et un mea culpa Lors de cette allocution, le Premier ministre a abordé les enjeux complexes liés à l’immigration et à la planification démographique. Il a également admis qu’il aurait dû réagir plus rapidement pour éviter la pression actuelle sur les infrastructures et le marché du logement. Sur l’augmentation rapide de la population : Sur les erreurs commises et les retards : Trudeau a reconnu que la gestion de l’afflux massif de travailleurs temporaires et d’étudiants étrangers après la pandémie n’a pas été optimale, exacerbant les pressions sur les logements et les services publics. Un nouveau plan pour maîtriser la croissance : Ce plafonnement inclut aussi bien les résidents permanents que temporaires, un changement significatif dans la gestion de l’immigration. Sur la nécessité d’une approche coordonnée : Concernant le Québec : Une crise du logement et un coût de la vie insoutenable Le Canada connaît une flambée des prix du logement, particulièrement dans ses grandes villes. En seulement deux ans, le loyer moyen d’un appartement deux chambres à Toronto est passé de 2 400 $ à 3 300 $, une augmentation annuelle moyenne de 25 %. Les étudiants et travailleurs temporaires sont les premiers à en souffrir, comme en témoigne le cas de 25 étudiants vivant dans un sous-sol à Brampton. Cependant, ce plafonnement pourrait ralentir l’accès des étudiants étrangers aux institutions canadiennes, un moteur économique clé pour certaines provinces. Un modèle d’immigration remis en question Historiquement, le Canada a utilisé l’immigration pour stimuler sa croissance et occuper ses vastes territoires. Aujourd’hui, l’approche est confrontée à des défis nouveaux. Alors qu’en 2023, la population canadienne a augmenté à un rythme record grâce à l’immigration, l’opinion publique se retourne contre ces politiques. En 2022, seulement 27 % des Canadiens estimaient qu’il y avait trop d’immigrants. Ce chiffre a bondi à 58 % en 2024. Trudeau : un leadership contesté Alors qu’il a été élu en 2015 sur une vague d’espoir, Trudeau voit aujourd’hui sa popularité chuter à des niveaux historiques. Ses choix en matière d’immigration, bien qu’alignés sur des objectifs économiques, ont exacerbé les tensions sur le logement et le coût de la vie. Pour ses détracteurs, cependant, ce revirement arrive trop tard. La pression démographique sur les infrastructures aurait dû être anticipée bien avant. Un avenir incertain Le Canada doit désormais naviguer entre sa réputation de nation accueillante et les réalités économiques actuelles. Le plan de réduction de l’immigration de Trudeau, s’il vise à donner un répit aux infrastructures, risque de ralentir la croissance économique et de miner davantage la confiance du public. Avec des élections prévues en 2025, le succès ou l’échec de ce plan pourrait définir non seulement l’avenir du gouvernement Trudeau, mais aussi la trajectoire sociale et économique du Canada dans les décennies à venir. Un tournant décisif pour Justin Trudeau et son gouvernement Le discours de Justin Trudeau incarne un revirement spectaculaire dans la gestion de l’immigration au Canada. Après avoir défendu des cibles ambitieuses et un idéal de croissance massive, visant jusqu’à 100 millions de Canadiens, il est aujourd’hui rattrapé par une réalité implacable : une crise du logement qui frappe de plein fouet les citoyens. À l’approche des élections, son parti se retrouve contraint de démontrer son pragmatisme, en ajustant ses politiques pour répondre aux préoccupations croissantes des Canadiens. La capacité du gouvernement à résoudre ces enjeux pourrait bien déterminer son avenir politique.
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Le gouvernement canadien s’apprête à franchir une étape majeure en lançant un projet de train à grande vitesse (TGV) reliant Québec et Toronto, une première dans le pays. Annoncée dans les prochaines semaines, cette initiative vise à transformer le corridor ferroviaire en offrant des trajets plus rapides et plus fréquents, de quoi révolutionner la mobilité pour les résidents de l’est du Canada. Un projet ambitieux pour le transport et l’économie Le train atteindra une vitesse de 300 km/h, permettant de relier Montréal à Toronto en trois heures, contre 5 h 30 en voiture. Le parcours sera entièrement dédié à la haute vitesse avec des voies électrifiées, minimisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre. En plus des grandes villes comme Québec, Montréal et Toronto, le TGV desservira Trois-Rivières, Laval, Ottawa et Peterborough, faisant du projet un vecteur de développement économique majeur. https://www.immigrer.com/un-tgv-quebec-toronto-une-revolution-dans-le-transport-au-canada/
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Déménagement Québec vers autre province
Laurent a répondu à un(e) sujet de Yuki2024 dans Parrainages et Mariages
En résumé, oui, vous pouvez déménager dans une autre province même si vous avez obtenu votre résidence permanente via le Québec. Cependant, lors de votre demande, vous avez indiqué vouloir vivre au Québec, donc un déménagement pourrait susciter quelques questions de la part des autorités, même si c’est permis. -
J'ai envoyé un courriel à mon ancienne banque en France, on va voir ce qu'ils me disent.
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Je vais faire ma petite enquête...
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Un étranger non-résident en France peut ouvrir un compte dans une banque française. Pour ouvrir un compte bancaire en France, vous devez avoir la capacité juridique, vous devez prouver votre identité, justifier de votre domicile et déposer à la banque un spécimen de votre signature. En application des dispositions relatives à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement des activités terroristes, la banque est aussi tenue de demander des informations sur l’origine des revenus et du patrimoine du titulaire du compte. Si vous êtes non-résident fiscal français, vous devez déclarer cette situation fiscale à la banque. Votre compte sera un compte de non-résident. Vous pouvez vous adresser à une banque traditionnelle ou à une néobanque, qui accepte les non-résidents français. Vous ne pourrez pas bénéficier de comptes épargne tels que le livret d’épargne populaire, le livret jeune. En revanche, il est possible d’ouvrir un Livret A. https://www.lafinancepourtous.com/outils/questions-reponses/un-resident-fiscal-etranger-peut-il-ouvrir-un-compte-courant-en-france/
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Ouvrir un compte bancaire en France en étant résident fiscal et postal au Canada est tout à fait possible, mais il y a quelques étapes à suivre pour y arriver. Plusieurs banques françaises proposent des services à distance pour les non-résidents : Banques en ligne : Des banques comme Boursorama, Fortuneo, Hello Bank, N26 ou Revolut permettent d'ouvrir des comptes à distance pour les expatriés. Elles sont souvent plus flexibles que les banques traditionnelles en termes de procédure. Banques traditionnelles : Certaines grandes banques françaises, comme BNP Paribas ou Société Générale, La Banque Postale, HSBC France offrent des services pour les non-résidents, mais le processus peut être plus long et demander des documents supplémentaires. Documents nécessaires : Pièce d’identité valide (passeport de préférence). Justificatif de domicile (preuve de résidence au Canada). Justificatif de revenus (bulletins de salaire, avis d'imposition canadien, etc.). Preuve de résidence fiscale (pour éviter les doubles impositions).
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Peut-être possible de faire une évaluation comparative des études effectuées hors Québec via le Ministère de l'Immigration. Cela pourrait permettre de faire reconnaître le diplôme, même s'il n'est pas directement reconnu dans Arrima ?
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C'est choquant d'écrire mariage avec 2 "r"
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Pour ta préparation au déménagement au Canada, il est essentiel de bien te renseigner sur les différentes options de visa et sur les secteurs qui recrutent, surtout dans le domaine du transport. Le Canada a une forte demande pour les conducteurs de poids lourds, donc avec de l'expérience en France, tu seras bien positionné. Si tu as besoin d’informations spécifiques sur l’immigration au Canada ou si tu veux discuter des démarches à entreprendre, n’hésite pas à poster tes questions sur ce groupe, on est là pour s'entraider à chaque étape de son projet !
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Vous êtes un jeune Canadien de 18 à 35 ans et vous souhaitez explorer le monde tout en acquérant une expérience de travail internationale? Apprenez à naviguer facilement dans le processus de demande d’Expérience internationale Canada en regardant cette nouvelle vidéo étape par étape : EIC.mp4
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Lien des articles dans la news letter
Laurent a répondu à un(e) sujet de Sebastien747 dans Support technique
Je vous ai envoyé un message en privé. -
Une peur partagée par beaucoup «C’est la première fois de ma vie que quand je suis allé voter, j’ai pleuré, vraiment»: c’est ce que nous a confié Alexandre Zouaoui, un Français de 29 ans, rencontré à Québec quelques jours après la première ronde des élections législatives en France. «C’est pesant. On ne sait pas dans quoi on s’embarque et on sait ce qu’il se passe quand ils arrivent [l’extrême droite]», a ajouté le jeune homme qui doit retourner en France dans quelques semaines pour rendre visite à sa famille. Comme d’autres Français expatriés au Québec, Alexandre Zouaoui a participé mardi soir à une rencontre sur le parvis de l’église Saint-Jean-Baptiste organisée par Oussama Laraichi, le candidat du Nouveau Front Populaire pour la première circonscription des Français établis à l’étranger (au Canada et aux États-Unis). Un couple gai craint de retourner en France Florian Chastres a lui aussi assisté à l’événement politique avec son amoureux, Kevin Oneil Yeung. «Avec Kevin, on réfléchit beaucoup à retourner en France. Actuellement, les tensions politiques en Europe et en France, ça nous inquiète beaucoup, étant un couple de deux hommes», explique Florian Chastres. Une victoire du Rassemblement National, le parti d’extrême droite qui est sorti gagnant du premier tour, pourrait convaincre le couple, qui rêve de fonder une famille, de rester de ce côté-ci de l’Atlantique. Kevin Oneil Yeung, qui n’est pas d’origine française, craint d’ailleurs de ne pas pouvoir se trouver un travail s’il emménage en France, lui dont l’anglais est la première langue. Des positions qui dérangent Ilona Grentzmann, 28 ans, est venue s’établir au Québec pour faire un doctorat en biologie il y a quatre ans. Celle qui se plaît ici hésite à retourner en France. Si le Rassemblement National l’emporte, ses interrogations seront «vite résolues». «C’est hors de question que j’habite dans un pays raciste», déclare-t-elle. La jeune femme, qui a une triple nationalité (allemande, française et américaine), voit d’ailleurs d’un mauvais œil la position du RN qui souhaite interdire certains «emplois sensibles» dans la fonction publique à des citoyens binationaux. «Admettons que leur proposition de loi sur les fonctionnaires passe, je sais que je ne suis pas dans les nationalités les plus visées, mais admettons que ça dérive très très loin et que ça m’empêche d’être prof à l’université, c’est sûr que c’est un problème. Mais je m’en fais beaucoup plus pour les gens issus de l’immigration non blanche», mentionne-t-elle. Des parents inquiets Rodolphe Giorgis et Maude Cloutier ont également participé à l’événement du candidat Oussama Laraichi avec leur bébé, Léon. Les jeunes parents craignent que les positions du RN sur la naturalisation des étrangers ne viennent mettre des bâtons dans les roues de Maude qui souhaite obtenir la citoyenneté française, en plus de compliquer leur volonté de faire reconnaître leur union en France. «C’est sûr que ne pas être certain si ta famille peut rester en cas de catastrophe, de problèmes, nous, c’est une sécurité de savoir que tout le monde partage la même nationalité», souligne la mère de famille. D’après le texte original de 24 heures.
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Interdiction de territoire : problème à douane même après obtention de la citoyenneté
Laurent a répondu à un(e) sujet de Liv21 dans Obtenir la citoyenneté
Avez-vous la citoyenneté ou juste la résidence permanente? -
12 ans déjà ... ça passe vite
Laurent a répondu à un(e) sujet de valerie flamin dans Bilans et tranches de vie
@valerie flamin, merci pour ce nouveau bilan, j'invite ceux qui ne vous connaissent pas à aller lire votre précédent : -
Et c'était un fan de Diane Dufresne, j'ai eu la chance d'être assis à côté de lui pendant un de ses concerts à Montréal. Une autre anecdote que @JayJay a vécu :
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bizarre...
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Il est souvent nécessaire de prendre du recul et de bien réfléchir avant de prendre des décisions importantes, surtout quand il s'agit de changements de vie majeurs comme l'immigration. Les conseils que vous avez reçus semblent alignés sur la législation actuelle, ce qui rend la situation encore plus frustrante. C'est encourageant de savoir que votre enfant a une chance de revenir au Québec et de retrouver sa résidence permanente. Ce peut être une lueur d'espoir pour votre famille et peut-être une première étape vers un éventuel retour pour vous aussi à l'avenir. Je vous souhaite beaucoup de courage dans vos démarches et espère que votre situation s'améliorera avec le temps. Si vous avez besoin de discuter ou de conseils supplémentaires, n'hésitez pas à venir sur le forum où vous êtes toujours bienvenu!
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INSCRIPTIONS SUR LA LISTE ÉLECTORALE Le décret du 9 juin 2024 portant convocation des électeurs dispose que les listes électorales sont celles extraites du répertoire électoral unique telles qu’arrêtées à la date de publication du décret, c’est-à-dire au 10 juin 2024. Il n’est donc plus possible de s’inscrire sur la liste électorale, sauf dans les cas exceptionnels prévus par les articles L. 20 et L. 30 du code électoral et de la loi organique du 31 janvier 1976. https://montreal.consulfrance.org/Elections-legislatives-2024-3800