Personnellement, c'est le genre d'article que je prends avec des pincettes. Car, on le dit et on le redit, à chaque fois que l'on met en garde un futur immigrant, il ne préfère garder que le positif. Alors que ça devrait être l'inverse. L'euphorie de partir ne doit jamais enterrer une préparation claire, rigoureuse. Ça me rappelle une orthophoniste du NB qui se plaignait il y a plusieurs années d'avoir découvert sur place qu'elle ne pouvait pas exercer. Il lui suffisait de faire un simple coup de fil à l'ordre et elle aurait eu l'information.
Tout n'est pas parfait en termes d'organisation, surtout quand il s'agit de programmes montés à la hâte, avec plusieurs paliers gouvernementaux. Mais l'immigrant est aussi responsable de sa vie et de ses projets.