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Ils sont pas aussi rares que ca. il suffit de filtrer les annonces d'emploi sur LinkedIn ou Indeed par 100% télétravail et tu ca va t'afficher des milliers d'offres emplois actifs. Puis rien qu'a Victoria avant la pandémie , a un moment donne il y avait des dizaines d'annonces d'emploi actives en informatique . Maintenant ca s'est réduit à 4 ou 5, parce que la plupart des entreprises ont fermé leurs bureaux ici et ont basculé en mode 100% télétravail, donc il n'y a plus de bureaux locaux parce que tout est virtuel.
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Ah tiens, les Québécois ne sont plus des immigrants maintenant ? Oufff, quel discours méprisant. Comme dans tous les pays et les peuples du monde, il y a des gens qui méprise leur propre peuple. On le voit souvent ici de la part d'immigrants qui quitte leur pays pour venir ici et qui n'ont que des commentaires négatifs au sujet de leur pays d'origine. Mais ne vous méprenez pas, un jour ou l'autre ces gens négatifs vont s'en prendre a vous immigrants aussi. Je vous laisse sur ces belles paroles de Jean-François Lisée: « Notre réputation, vous dites ? Lorsqu’on calcule que, ces dernières années, un demi-million de migrants temporaires — travailleurs, demandeurs d’asile, étudiants — ont franchi nos frontières, sans compter les permanents, ne doit-on pas en tirer la conclusion que nous sommes spectaculairement attractifs ? Car, vous l’aurez remarqué, sur votre globe terrestre, nous ne sommes pas exactement à la porte à côté, mais plutôt au bout du bout des circuits de migration. Il faut faire exprès, le vouloir très fort, pour atterrir ici. Ces migrants savent peut-être quelque chose sur nous, notre qualité de vie, notre filet social, nos libertés, que nous nous refusons peut-être de nous dire à nous-mêmes, entre deux tirades — justifiées — contre nos cônes orange, nos listes d’attente en chirurgie et nos écoles mal climatisées. Dans le fatras d’avancées et de reculs, de hauts faits et de ratages, que constitue l’histoire d’un peuple, se pourrait-il qu’on trouve dans notre récit un fil rouge qui atteste que la nation québécoise est (cramponnez-vous) exceptionnelle ? Je vous sens sceptique. J’appelle mon premier témoin : Charles de Gaulle. Saviez-vous que, réfugié à Londres après l’invasion allemande, il estimait que les Français devaient, dans cette épreuve dont on ne connaissait pas la durée, afficher une même farouche endurance que les 60 000 colons français abandonnés en 1759 sur les rives du Saint-Laurent ? Nous étions son étalon or de la résilience dans l’adversité. Il y reviendra plusieurs fois, évoquant avec admiration la « persévérance inouïe » des Québécois. Je ne prétends pas que nous sommes, en tout temps, exceptionnels. Mais songez qu’en 1960, les jeunes francophones de 21 ans affichaient une éducation moindre que celle des Noirs américains du temps, alors victimes d’un racisme sans nom. Puis, face à une cible montante chez tous nos voisins, nous avons porté notre taux de diplomation postsecondaire des 25-64 ans plus haut (71 %) que celui des Américains (50 %) et plus haut que tous les pays du G7. Tous. Si vous ne trouvez pas cela exceptionnel, je ne peux rien pour vous.
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LE MYTHE DANGEREUX DU « QUÉBEC LIBRE »
bencoudonc a répondu à un(e) sujet de SuperTrooper dans Québec
...bref c'est pas une crotte su'l'coeur que tu as, c'est la fosse septique au complet... -
LE MYTHE DANGEREUX DU « QUÉBEC LIBRE »
SuperTrooper a répondu à un(e) sujet de SuperTrooper dans Québec
Je préfère être immigrant que Québécois, si bien différence il y a. Les hommes Québécois sont des gens émotionnels et agressifs, incapables d'avoir une conversation éduquée et civilisée. Ils se croient meilleurs que les "immigrants", qu'ils méprisent au fond, sans réaliser qu'ils sont coupables de projeter leur complexe d'infériorité face aux anglophones, qui les méprisent à leur tour (avec raison). Ce complexe a donné naissance à une forme de narcissisme collectif qui procure aux Québécois un fond sentiment d'importance en leur vendant le discours anti-hamaniste qu'ils sont supérieurs aux immigrants. Si vous qui tenez le Quebec après plusieurs années vous réaliserez après peu de temps que vous étiez dans une prison mentale au Québec. Il n'y a aucune liberté au Québec à part celle de se conformer à une société matérialiste, superficielle et illettrée, sous peine d'être jugé ou rejeté par elle. -
De moins en moins vrai, en tout cas en télétravail à 100%. Beaucoup d'employeurs, de tous les domaines, ramènent leur monde au bureau, soit à temps plein, soit quelques jours par semaine. Même chez les GAFA, c'est maintenant présence obligatoire au bureau à chaque jour. Ceux qui ont commencé à distance, et sont loin d'un bureau, ont le choix : tu déménages ou tu t'en vas. Il reste des emplois à distance 100%, mais ils sont beaucoup plus rares.
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Je suis d'accord qu'à Therford Mines y a pas grand chose niveau culturel bien que cela se soit amélioré un peu et disons la moyenne d'âge est très haute ! On a déménagé à Saint-Georges pour cette raison ca parait vite mort le soir et aussi meilleur emploi et aucun rapport c'est sans doute la ville la plus vivante du sud de la Beauce. Je venais aussi d'une ville en Belgique de cette taille. Ma blonde est aussi beauceronne. Autour de ma ville natale y avait d'autres petites villes sans grande activité bah ici c'est pareil avec Saint-Georges autour c'est un peu mort mais plein de choses à faire ici. Tout est tout près niveau activités.
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Tiens, Jimmy est de retour. Il parait que ton amie Danielle Smith compte organiser un referundum d’indépendance de l'Alberta l'an prochain. Est ce que tu vas t'allier avec elle puisque vous les deux vous voulez sortir du Canada.?
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J'habite dans un village en Colombie Britannique et je ne me plains pas il y a plein de nature sauvage aux alentours: des forets humides côtières, l’océan, des montagnes , des lacs . Et il y a aussi une culture autochtone vivante.
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Je ne travaille pas dans l'informatique, et je crois que 99% des gens ne le font pas non plus. À part le côté professionnel, t'as aussi ce que j'ai cité plus haut. En Amérique du nord (y compris les états-unis) faut vraiment aimer la vie rurale pour vivre dans des petites villes isolées (qui ne sont pas des banlieues de grosses villes). Ce n'est pas comme en europe oú même dans des gros villages tu te sens vivant.
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Tu crois que tout le monde travaille en présentiel ? Apres la covid la plupart des emplois en informatique sont en teletravail donc les employeurs peuvent s'installer ou ils veulent la ou il y a une connexion internet fiable
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Moi en Espagne j'habitais une petite ville de 12.000 habitants au pieds des pyrénnées et je ne pensais pas changer pour Barcelone à 100 kms. Içi je suis à 50kms de Montréal dans un "gros village" de 60.000 habitants, et je meurs d'envie de quitter ce trou perdu et de m'installer dans la ville. La différence? Ma petite ville catalane possédait une véritable âme urbaine: une densité humaine, des commerces de proximité, une vie sociale vibrante, des rues animées, une forte identité culturelle, un excellent réseau de transports publics,.... Ici, pourtant une capitale régionale, il n'y a même pas un marché de produits frais ni un véritable centre-ville. Dès 17h, les rues sont désertes. Sans voiture, on est bloqué. La ville n'est qu'un mélange monotone de vieux duplex en bois et de chalets en périphérie. Quant à la vie sociale, elle est confinée dans un strip mall entre le Walmart, le Canadian Tire, les fast-foods et le cinéma. C'est le vide absolu. Revenons à notre sujet. Oui, effectivement, des petites villes comme Saint-Georges ou Thetford Mines offrent toujours une excellente qualité de vie si tu arrives à y décrocher un bon emploi (et il y en a si tu travailles dans le secteur manufacturier ou la santé). Mais est-ce que tu pourrais y vivre ? Moi personnellement, non. Je trouve ça un peu déprimant entre le climat raide, le manque de culture et la morosité des gens. Se perdre dans le Québec profond, ça peut être fatal quand on n'est pas habitué. Par contre, il y en a qui aiment ça, vivre loin de la civilisation.
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Les canadiens n'ont plus rien à opposer aux américains pour faire concurrence ni culture, ni économie, ni armée ni même un mode de vie! Y a R c'est le néant... Donc ce qui leur reste c'est se pavoiser d'un système de santé gratuit qui ne fonctionne plus, d'une dégénérescence à tous les niveaux de la société qu'ils appellent ouverture et d'une sécurité qui se résume à priver les honnêtes gens d'armes et laisser faire les gangs. Ça sert à rien de raisonner avec ceux à qui il ne reste rien.
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Ce que fait Super Trooper ici avec ses textes c'est exactement ce dont parlait Kundera : Pour liquider les peuples, on commence par les priver de la mémoire. Ils détruisent tes livres, ta culture, ton histoire. Quelqu'un écrit d'autres livres, leur donne une autre culture, invente une autre histoire ; plus tard, les gens commencent à oublier lentement ce qu'ils sont et ce qu'ils étaient. Milan Kundera
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Ouf ! Quel ramassis de conneries et de fausses informations historique. "Nous sommes tous des immigrants" est un grossier bobard lancé par PET et le Parti libéral du Canada dans les années 70 qui n'a absolument aucun fondement. Je m'occupe d'immigration à divers titres depuis l’arrivée des réfugiés hongrois à Québec en 1956, notamment pour le Gouvernement du Canada et pour la Commission de l'immigration et du statut de réfugié du Canada, et je n'ai jamais rencontré un historien ou un avocat sérieux qui maintenait cette affirmation. Mettons que je serais bien curieux de connaître ses sources à ce sujet. Ce qui est reconnu et admis, et bien documenté, c'est qu'en fondant Québec, à l'invitation des Indiens et sans guerre d'invasion ou de conquête, fait unique dans l'histoire des colonisations on ne le répétera jamais assez, Champlain a établi une colonie française et que, comme dans toutes les autres colonies, les Français qui sont venus s'y établir et, ensuite, ceux qui y sont nés, sont restés ou sont devenus par la naissance des citoyens français relevant de l'administration française, tous sujets du roi de France. Il existe encore plus de 150 ans de documents administratifs confirmant ce fait, tant en France qu’au Québec et au Canada. C'est pour cela que, 150 ans plus tard, des 70 000 colons et administrateurs français sur place à la défaite de la Nouvelle-France ceux qui le voulaient, et qui le pouvaient, ont pu retourner en France. Les autres sont passés de sujets français à sujets britanniques sans avoir jamais immigré où que ce soit. Depuis au moins 500 ans, les Canadiens français n’ont jamais été "immigrants" ni en Nouvelle-France, ni au Canada. Et ils jouissent de titres parfaitement légitimes qui ne sont pas nécessairement les mêmes que ceux des "immigrants". André Sirois Ex-conseiller juridique de la Commission de l’immigration et du statut de réfugié
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Oui surement je pourrai. Par moyens je vous l'envoi ?
- La dernière semaine
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J'ai habité Thetford Mines ! Effectivement c'est pas cher ! En manufacturier ils ont des emplois puis plusieurs grosses entreprises vendant même partout dans le monde comme Technopieux y ont leur siège social tu serais étonné comme plus souvent d'ailleurs à Saint-Georges ou de grosses entreprises manufacturières y ont leur siège social Manac, Canam (St-Gédéon mais pas loin de St-Georges), Pomerleau. Les resto Salvatore ont débuté à Saint-Georges. L'économie dans la région est bien meilleure que dans le reste du Québec malgré quelques entreprises qui subissent les droits douaniers. Mon entreprise a vu sa production augmenter de 30% cette année et on entend des grosses productions un peu partout dans le coin.
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LE MYTHE DANGEREUX DU « QUÉBEC LIBRE »
bencoudonc a répondu à un(e) sujet de SuperTrooper dans Québec
Euh, tu me confonds avec crazy_marty, là. Qui lui est un «frère». -
LE MYTHE DANGEREUX DU « QUÉBEC LIBRE »
SuperTrooper a répondu à un(e) sujet de SuperTrooper dans Québec
Je viens de voir que t'es une femme, sorry. Merci pour la correction! haha j'ai essayé de supprimer un des topics mais je ne sais pas comment. -
LE MYTHE DANGEREUX DU « QUÉBEC LIBRE »
bencoudonc a répondu à un(e) sujet de SuperTrooper dans Québec
On dit «j'avais une crotte su'l'coeur». Une grosse dans ton cas. -
LE MYTHE DANGEREUX DU « QUÉBEC LIBRE »
SuperTrooper a répondu à un(e) sujet de SuperTrooper dans Québec
J’en avais gros sur le coeur, frère moi aussi je t’aime -
LE MYTHE DANGEREUX DU « QUÉBEC LIBRE »
crazy_marty a répondu à un(e) sujet de SuperTrooper dans Québec
Sinon es tu obligé de faire 4 posts différents pour dire la même chose ? -
La FIFA gère l'immigration temporaire en 2026
crazy_marty a répondu à un(e) sujet de fryggo dans Acheter, vendre ou créer une entreprise ou un commerce
Tu parles de la même organisation qui crée un prix de la paix bidon pour faire plaisir à Mr Orange ? -
@Djakaridja1004 - Je ne penses pas que je sois a la fin mais voici mes stats Biometrie OK VM Ok mais expirer depuis Juin 2025 Adminisibilte OK Antecedent - en cours CSQ - Recu depuis Septembre 2024 Demande depuis Avril 2024 BVC - Dakar Permit de travail ouvert - lancer depuis Juillet 2025 ( sans retour)
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LE MYTHE DANGEREUX DU « QUÉBEC LIBRE »
SuperTrooper a répondu à un(e) sujet de SuperTrooper dans Québec
Le slogan « Québec libre » est devenu un mot d’ordre creux, et parfois un prétexte. Sous couvert de défendre la liberté, certains l’utilisent pour justifier la haine, l’exclusion et la suspension des droits fondamentaux d’autrui. Un Québec qui se dit « libre » mais qui veut empêcher des immigrants d’exercer des droits garantis par la Constitution (liberté de religion, liberté linguistique, liberté culturelle) n’est pas libre. Il est autoritaire. La liberté ne consiste pas à imposer une norme unique, une identité figée, une culture officielle sous surveillance. La liberté consiste à tolérer ce qui dérange, à protéger ce qui est minoritaire, à garantir des droits même, et surtout, quand on n’aime pas la manière dont ils sont exercés. Or, que voit-on aujourd’hui derrière le slogan « Québec libre » ? Des discours racistes présentés comme du courage politique Des propos haineux recyclés en « défense identitaire » Une obsession pour le contrôle des corps, des vêtements, des langues, des croyances Ce n’est pas de la liberté. C’est de la peur. C’est quoi, au juste, un Québec libre ? Les Québécois sont-ils réellement libres ? Libres quand ils paient plus d’impôts et de taxes que la majorité des Canadiens ? Libres quand ils dépendent entièrement d’un employeur, d’un État rigide, d’une bureaucratie lourde ? Libres quand leur quotidien se résume à travailler, obéir, survivre, se déplacer dans des transports saturés, pendant que la pauvreté et l’itinérance explosent dans l’indifférence politique ? Libres quand des décisions majeures sont imposées par décret, sous surveillance policière, au nom de la sécurité ou de la santé publique ? Est-ce cela, la liberté ? Si cette vie est une liberté, alors pourquoi tant de colère ? Pourquoi tant de besoin de désigner un bouc émissaire ? Le voile comme faux symbole Comment peut-on reprocher à une immigrante de porter un voile au nom d’un choix religieux, alors que la majorité se soumet quotidiennement à un système politique, économique et policier qu’elle ne contrôle pas ? Un voile n’est pas plus un signe de soumission qu’un tatouage, un uniforme ou un code vestimentaire imposé socialement. La différence, c’est que le voile dérange parce qu’il est visible, minoritaire, et féminin. Ce n’est pas la liberté qui est défendue ici. C’est la conformité. La liberté ne se divise pas Quand des personnes ont été assassinées dans une mosquée simplement parce qu’elles exerçaient leur liberté de prier, ce n’était pas un accident. C’était le produit d’un climat où certaines libertés sont jugées illégitimes, dangereuses, « pas d’ici ». La liberté ne fonctionne pas à géométrie variable. Soit elle est universelle, soit elle est un mensonge. La séparation est une illusion Il n’y a pas de « nous » pur et de « eux » menaçant. Il n’y a que des êtres humains, pris dans des systèmes qui les dépassent, cherchant dignité, sécurité et reconnaissance. Un Québec réellement libre ne serait pas obsédé par ce que portent les femmes, par la langue parlée à la maison, ou par la foi de ses citoyens. Il serait obsédé par la justice sociale, la redistribution, la dignité humaine, et la fin de la misère. Utiliser « Québec libre » pour justifier le racisme, ce n’est pas aimer le Québec. C’est trahir l’idée même de liberté. -
Le racisme québécois envers les immigrants n’est pas seulement hypocrite. Il est historiquement indéfendable. Accuser des immigrants de « détruire la société », de « ne pas être chez eux », de « menacer l’identité » quand on vit sur une terre volée est une obscénité morale. Le Québec n’est pas une civilisation autochtone millénaire. C’est une société coloniale issue de l’immigration européenne, installée par la force sur des territoires autochtones, construite grâce à leur dépossession, et maintenue par leur effacement. Traiter aujourd’hui des immigrants comme des envahisseurs alors que la société québécoise est elle-même le produit d’une invasion coloniale, c’est refuser d’assumer sa propre histoire. Et ce qui rend la chose encore plus indécente, c’est ceci : les Québécois se plaignent (à juste titre) d’avoir été dominés, méprisés et marginalisés par les anglophones… tout en reproduisant exactement les mêmes mécanismes de rejet, de soupçon et de déshumanisation envers les nouveaux arrivants. Même discours. Même peur. Même violence symbolique. L’histoire ne se répète pas par hasard. Elle se répète parce que certains refusent d’apprendre. « Je me souviens » ne signifie rien s’il ne s’applique qu’à soi. Se souvenir, ce n’est pas se victimiser éternellement. Se souvenir, c’est reconnaître qu’on a été opprimé et refuser de devenir oppresseur à son tour. Si les immigrants sont des envahisseurs, alors le Québec doit commencer par se regarder honnêtement dans le miroir. Parce que l’oubli volontaire n’est pas de l’ignorance. C’est un choix.





