Habitués Guinness Posté(e) 21 octobre 2009 Auteur Habitués Posté(e) 21 octobre 2009 Mais d'ici les choses sont différentes, on ne peut pas se passer des coups de fil sur un coup de tête en rentrant d'une longue journée de boulot, Tu exagéres, avec la freebox tu appelles quand tu veux. Ah non, merde, j'oubliais qu'on est au Québec Il s'agissait plus du décallage horaire je pense... Citer
Invité Posté(e) 22 octobre 2009 Posté(e) 22 octobre 2009 Mais d'ici les choses sont différentes, on ne peut pas se passer des coups de fil sur un coup de tête en rentrant d'une longue journée de boulot, Tu exagéres, avec la freebox tu appelles quand tu veux. Ah non, merde, j'oubliais qu'on est au Québec Il s'agissait plus du décallage horaire je pense... Ouais parce qu'on a un téléphone Skype donc ca nous coute pas trop cher c'est deja ca Citer
Habitués Gferdinio Posté(e) 22 octobre 2009 Habitués Posté(e) 22 octobre 2009 Beaucoup de gens souffrent de l'éloignement d'avec leurs proches, mais l'éloignement "français" et celui qu'on vit quand on est à 6000 km de là n'a absolument rien à voir !!! En France, où qu'on soit quasiment, on peut prendre sa voiture ou sauter dans un train pour aller voir sa famille ou ses amis le temps d'un week-end... quand on vit de l'autre côté de l'Atlantique, les vacances en France se résument à 2 semaines par-ci par-là (je suis rentrée deux fois en 4 ans personnellement) au cours desquelles il faut essayer de voir tout le monde, ce qui est rarement possible. Perso, j'en souffre de cet éloignement... ma mère, mon frère, mes nièces, mes amis d'enfance... et pourtant en France je vivais à plus de 600 de chez mes parents par exemple et 200 km de chez ma meilleure amie ! Mais d'ici les choses sont différentes, on ne peut pas se passer des coups de fil sur un coup de tête en rentrant d'une longue journée de boulot, on ne peut pas aller passer le week-end avec eux, etc. On maintient le contact par e-mail en règle général, et un peu de téléphone les week-end et le soir quand même pour les couche tard Immigration et éloignement sont sûrement les choses les plus difficiles à concilier, mais ça dépend des caractères de chacun Je connais des gens qui s'y font bien mieux que moi alors qu'ils n'ont jamais vécu sans leurs parents ou à moins de 10 km de chez eux ` Cela dépend du caractère de la personne... je pense que l'éloignement c'est difficile pour tout le monde mais après il y a un degrès souffrance.... Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 27 octobre 2009 Habitués Posté(e) 27 octobre 2009 Les 10 commandements d'une immigration ratée. Si vous vous retrouvez dans la majorité des points, je crois qu'il y a de quoi se poser quelques véritables questions. Si vous croyez que vos diplômes sont plus importants que votre expérience ou encore que votre attitude. 2. Si l'immigration est plus pour vous un calcul mathématique qu'un enjeu d'épanouissement personnel. 3. Si vous n'êtes pas prêt à vous remettre en question. 4. Si vous avez absolument besoin d'avoir une reconnaissance sociale selon vos diplômes ou vos origines sociales. 5. Si vous n'êtes pas prêt à prendre au début un emploi en dessous de vos capacités. 6. Si vous n'avez pas la patience d'attendre quelques années avant de retrouver le même niveau de vie que vous aviez dans votre pays d'origine avant votre départ. 7. Si vous pensez que le plus difficile dans l'immigration est la procédure. 8. Si vous pensez qu'il ne faut pas travailler si fort pour prendre sa place dans son nouveau pays. 9. Si vous avez une hantise de perdre votre boulot et cherchez absolument la sécurité. 10. Si vous n'êtes pas prêt à ce que vos enfants deviennent de véritables petits Québécois ou Canadiens. Je suis d'accord à 80% par contre la question 5 et 8 sont 50/50 5. Cela dépend vraiment du secteur de travail, en hôtellerie c'est international par exemple si t'es F&B Manager ou bien GM tu pourras l'être dans n'importe quels autres pays / cela dépend également de la demande d'un secteur précis. 8. Cela dépend du pays d'ou tu viens, je pense qu'en Suisse nous sommes des machines à travaillers les 35 heures c'est utopique.. si tu fais pas minimum 45 heures, c'est que t'es vraiment limite lazy... et cela dépend également du secteur. Après les heures ne font pas tout, l'importance c'est la qualité du travail mais ça c'est encore autre chose. Citer
Habitués Gferdinio Posté(e) 27 octobre 2009 Habitués Posté(e) 27 octobre 2009 Les 10 commandements d'une immigration ratée. Si vous vous retrouvez dans la majorité des points, je crois qu'il y a de quoi se poser quelques véritables questions. Si vous croyez que vos diplômes sont plus importants que votre expérience ou encore que votre attitude. 2. Si l'immigration est plus pour vous un calcul mathématique qu'un enjeu d'épanouissement personnel. 3. Si vous n'êtes pas prêt à vous remettre en question. 4. Si vous avez absolument besoin d'avoir une reconnaissance sociale selon vos diplômes ou vos origines sociales. 5. Si vous n'êtes pas prêt à prendre au début un emploi en dessous de vos capacités. 6. Si vous n'avez pas la patience d'attendre quelques années avant de retrouver le même niveau de vie que vous aviez dans votre pays d'origine avant votre départ. 7. Si vous pensez que le plus difficile dans l'immigration est la procédure. 8. Si vous pensez qu'il ne faut pas travailler si fort pour prendre sa place dans son nouveau pays. 9. Si vous avez une hantise de perdre votre boulot et cherchez absolument la sécurité. 10. Si vous n'êtes pas prêt à ce que vos enfants deviennent de véritables petits Québécois ou Canadiens. Je suis d'accord à 80% par contre la question 5 et 8 sont 50/50 5. Cela dépend vraiment du secteur de travail, en hôtellerie c'est international par exemple si t'es F&B Manager ou bien GM tu pourras l'être dans n'importe quels autres pays / cela dépend également de la demande d'un secteur précis. 8. Cela dépend du pays d'ou tu viens, je pense qu'en Suisse nous sommes des machines à travaillers les 35 heures c'est utopique.. si tu fais pas minimum 45 heures, c'est que t'es vraiment limite lazy... et cela dépend également du secteur. Après les heures ne font pas tout, l'importance c'est la qualité du travail mais ça c'est encore autre chose. Je pense que ce n'est pas en terme d'heures que Laurence parlait mais plus en terme d'efforts. Si tu n'es pas prêt à te battre chaque jour pour faire ta place ici, que ce soit en allant à l'épicerie où tu devras réapprendre les marques et la bouffe locales, en prenant le bus où tu apprendras si tu es montréalais à te mettre en ligne et à t'agiter en avant de la porte à ton arrêt, en allant dans des 5 à 7 de réseautage et à distribuer ta carte d'affaire en bonne et dûe forme, en prenant des cours payants ou non d'anglais pour atteindre le niveau minimal requis pour ton secteur d'emploi, en inscrivant ton enfant à la garderie en slalomant entre les privées, les publiques, les CPE, les familiales... Bref, si tu crois que tu peux te pogner le beigne et que tout t'aies dû... Ou si tu es prêt à te battre. Rien à voir avec le nombre d'heures que tu peux faire au boulot, crois-moi. C'est de la gnognote les heures de travail après ça! Citer
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