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  • 2 weeks later...
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La Presse Canadienne

Contrairement à ce qu'on raconte, il ne manque pas de médecins au Québec. Y'en a moins qu'en France mais plus qu'aux États-Unis. Le problème ici c'est que c'est gratuit, fait que les hypocondriaques ambitionnent sur le pain béni. En plus, faudrait informatiser le réseau ce qui améliorerait le système. Mais jusqu'ici toutes les tentatives ont échoué

http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201006/20/01-4291763-medecins-601-permis-dexercice-delivres-en-un-an.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B12_en-manchette_254_section_POS1

Le Québec a formé ou accueilli 601 nouveaux médecins au cours de la dernière année, soit du 1er juillet 2009 au 30 juin de cette année.

Le président-directeur général du Collège des médecins du Québec, Yves Lamontagne, présidera d'ici le 23 juin les cérémonies officielles d'assermentation des finissants des facultés de médecine du Québec. Le Collège a reçu 195 demandes des finissants en médecine pour la délivrance d'un permis d'exercice valide à compter du 1er juillet 2010. Parmi ces nouveaux médecins, on compte 131 femmes et 64 hommes, 119 médecins de famille et 76 médecins spécialistes.

Au cours de la dernière année, outre ces 195 nouveaux permis aux finissants, le Collège aura émis 406 autres permis d'exercice.

Selon le Dr Lamontagne, l'augmentation des admissions universitaires en première année de médecine décrétée par le gouvernement au début des années 2000 commence à porter fruit. Selon lui, cette mesure aura un impact encore plus significatif vers 2013 ou 2015 compte tenu du temps nécessaire à la formation.

Le pdg du Collège des médecins prévoit que d'ici quelques années, la pénurie de la main-d'oeuvre médicale s'atténuera et que les jeunes médecins pourront exercer leur profession dans de meilleures conditions que celles qui prévalent actuellement.

  • Habitués
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C'est un peu parcellaire comme information. Et le discours des politiques disant que nous sommes les mieux pourvu en médecins en Amérique du nord, est ancien. Je te joint un article du Devoir de 2002, qui est toujours d'actualité :

http://www.ledevoir.com/societe/1692/etude-du-college-des-medecins-de-moins-en-moins-de-medecins-a-temps-plein

D'autre part Mr Lamontagne, ne parle pas des médecins qui partent à la retraite. compte tenu de la moyenne d'age des médecins au Québec, même si 600 médecins ont été formé au Québec cet année, ça ne couvrira pas le déficit existant ( car il existe bel et bien, vient voir en Mauricie), mais l'aggravation du déficit continuera.

http://www.lactualite.com/sante/montreal-depart-la-retraite-de-500-medecins

Pour conclure : n'oublies pas que dans ces 600 médecins il y a 50% de femmes qui font le plus souvent un gros mi-temps, que très souvent ils exercent à l'urgence et en Hospitalisation (c'est plus payant) et que à peine 20 % vont exercer en clinique....

Alors tu peux penser que Bolduc and co sont les meilleurs, je pense qu'ils sont dans le champ complètement !

  • Habitués
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Pour conclure : n'oublies pas que dans ces 600 médecins il y a 50% de femmes qui font le plus souvent un gros mi-temps, que très souvent ils exercent à l'urgence et en Hospitalisation (c'est plus payant) et que à peine 20 % vont exercer en clinique....

Alors tu peux penser que Bolduc and co sont les meilleurs, je pense qu'ils sont dans le champ complètement !

D'accord avec toi sur le fond, ces chiffres sont de la poudre aux yeux, et on leur fait dire ce qu'on veut.

Mais, comment te dire, si je suis aussi d'accord avec la prédilection accrue des jeunes médecins pour les services hospitaliers,la notion de "gros mi-temps" féminin m'énerve un peu.

C'est une idée répandue dans pas mal de pays et quand on se penche sur la question, elle est finalement fausse.

En France, des études ont montré que les jeunes femmes médecins de ville travaillaient autant que les jeunes hommes médecins, et que ce n'est qu'à partir du deuxième enfant qu'on observait une diminution d'activité hebdomadaire d'environ 1 h (on est loin du mi-temps).

Par contre, les jeunes tous sexes confondus travaillent un peu moins que leurs aînés (de l'ordre de 2 h hebdomadaires) : recherche de meilleure qualité de vie? baisse du revenu moyen du généraliste qui fait que l'homme médecin a généralement une conjointe qui travaille et accepte moins que monsieur se dédie corps et âme à ses patients?

Si tu as des études semblables au Québec, ou même qui démontrent l'inverse, ça m'intéresse.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Salut Lablonde!

As tu le nom des études dont tu parles? En tout cas on peut au moins dire que les avis divergent si on en croit tes sources!

Selon Niel et Perret 2004, le niveau d'activité des femmes généralistes augmentent, mais il est passé de 60% d'un homme en 1990 à 70% au début des années 2000.

Selon cette étude, d'un niveau de preuve pour le moins bas (n=114, pas de groupe controle masculin :c ) qui a étudié en 2002-2003 les femmes générélistes d'un département (ile et vilaine):

  • 6hrs de moins par semaine
  • 63% des actes des généralistes hommes
  • Niveau global d'activité inférieur de 25%

Une autre étude plus récente confirme la tendance:

Dans notre étude, leur durée de travail hebdomadaire est 46 heures sur 4,7 jours (en 1992, la moyenne était à 4,8 jours [5]). Celle des femmes généralistes d'Ille-et-Vilaine était de 46 heures en 2002 [9], celles de Rhône-Alpes, 42 heures en 2003 [10]. Sur l'ensemble du territoire français, en 2000, les femmes généralistes à temps complet travaillaient en moyenne 50 heures par semaine, contre 58 pour les hommes [11]. Elles travaillent plus souvent à temps partiel que les hommes (25 % vs. 2 %), et font, à temps plein, 10 heures de moins par semaine que les hommes (46 vs. 56) [12]. Dans une étude de la DRESS en 2002, l'activité moyenne d'une femme représentait plus de 70 % de celle d'un homme, contre 60 % dix ans avant [13].

Au Québec, les femmes médecins travaillent de même chaque semaine environ 7 à 8 h de moins que les hommes (44 heures vs. 52) [6].

En belgique, les femmes travaillent 9hrs de moins par semaine lorsqu'elles ont moins de 9 ans de pratique et 16hrs de moins ensuite.

Voilà, donc à priori certaines souces montrent une tendance différente du "préjugé" que tu énonçais...

Modifié par jeunejedi
  • Habitués
Posté(e)

Salut Lablonde!

As tu le nom des études dont tu parles? En tout cas on peut au moins dire que les avis divergent si on en croit tes sources!

Selon Niel et Perret 2004, le niveau d'activité des femmes généralistes augmentent, mais il est passé de 60% d'un homme en 1990 à 70% au début des années 2000.

Selon cette étude, d'un niveau de preuve pour le moins bas (n=114, pas de groupe controle masculin :c ) qui a étudié en 2002-2003 les femmes générélistes d'un département (ile et vilaine):

  • 6hrs de moins par semaine
  • 63% des actes des généralistes hommes
  • Niveau global d'activité inférieur de 25%

Une autre étude plus récente confirme la tendance:

Dans notre étude, leur durée de travail hebdomadaire est 46 heures sur 4,7 jours (en 1992, la moyenne était à 4,8 jours [5]). Celle des femmes généralistes d'Ille-et-Vilaine était de 46 heures en 2002 [9], celles de Rhône-Alpes, 42 heures en 2003 [10]. Sur l'ensemble du territoire français, en 2000, les femmes généralistes à temps complet travaillaient en moyenne 50 heures par semaine, contre 58 pour les hommes [11]. Elles travaillent plus souvent à temps partiel que les hommes (25 % vs. 2 %), et font, à temps plein, 10 heures de moins par semaine que les hommes (46 vs. 56) [12]. Dans une étude de la DRESS en 2002, l'activité moyenne d'une femme représentait plus de 70 % de celle d'un homme, contre 60 % dix ans avant [13].

Au Québec, les femmes médecins travaillent de même chaque semaine environ 7 à 8 h de moins que les hommes (44 heures vs. 52) [6].

En belgique, les femmes travaillent 9hrs de moins par semaine lorsqu'elles ont moins de 9 ans de pratique et 16hrs de moins ensuite.

Voilà, donc à priori certaines souces montrent une tendance différente du "préjugé" que tu énonçais...

Aïe Aïe Aïe !!! (j'ai sorti le fouet pour me flageller)

Un point pour toi, Niel et Perret en 2004 ont effectivement montré une différence hebdomadaire de 6h avec des disparités régionales et une tendance à la réduction des écarts sur 10 ans. Aucune grande étude depuis 2004, que des échantillons anecdotiques. Je ne sais plus où j'ai vu que l'écart s'était réduit pour les jeunes (mais je le retrouverai!!! :diablo:). En tous cas c'est prévu pour 2020-2025 d'après le rapport Berland (2002)

Un point étonnant : le temps de travail moyen déclaré du généraliste aurait augmenté, serait de 52 et 60h par semaine en 2009, rapport le temps de travail du généraliste de l'IRDES) contre 48h en 1990 ( 47h22mn dans Niel et Vilain 2001). Comment expliquer ça, alors que la féminisation et le temps partiel (qui ont flambé pendant la même période) "plombent" l'activité médicale?

Serait-ce que mes confrères masculins travaillent 80h par semaine pour compenser? (:rofl: pas les gars que je remplace en tout cas, ou alors ils additionnent mes heures aux leurs). Ou bien ils surévaluent un chouilla leur activité dans leurs déclarations?

Tiens d'ailleurs, comment détermine t-on l'indice d'activité? En nombre d'actes et/ou en jours travaillés? Un gros biais, quand on sait que la consultation par une femme dure 22mn en moy et 15mn par un homme (Note sur les conditions d'exercice et de revenus des médecins libéraux du HCAAM).

D'ailleurs le HCAAM, en multipliant le nombre d'actes par la durée moyenne de chaque acte ne trouve que 30h53 par semaine de travail libéral ( ce qui veut dire que les messieurs à 60h par semaine se tapent 29h de travail administratif? ou 29h d'actes gratuits? c'est louche moi je dis)

Bref, ce n'est pas pour demain qu'on aura un panorama fidèle de l'activité médicale.

Mais je persiste et signe : 6h de travail en moins par semaine sur 48h ou 52 ou 60, ce n'est pas à proprement parler du mi-temps, et ça reste largement au-dessus de la moyenne nationale! (sans même parler de ce qui reste à faire à la maison, mais c'est une autre histoire...)

  • Habitués
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Tout à fait d'accord pour dire que l'histoire du "mi-temps" n'est pas justifié!

Après sur le volume d'activité, aucune idée, encore un indice alakon crée et défini par un épidémiologiste fou dans un obscur papier...

Enfin homme ou femme la tendance est de toute façon vers une activité moindre, ce qui me parait de toute façon salutaire, m'interressant entre autre aux comorbidités psychiatriques chez mes confrères :D Je finalise une étude sur les internes en ce moment, et en ouvrant une consultation pour les internes/externes, avec la surprise de voir se remplir la consultation en une dizaine de jours...Dépression, troubles anxieux, TCA, suicide, ça y va...bref

Toi aussi tu réfléchis à faire le grand saut (de l'atlantique) pour aller voir si la forêt n'est pas plus verte au Quebec?

  • 3 weeks later...
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Bonjour à tous! Je pose mon drapeau, je suis en cours de discussion pour un recrutement sur un poste universitaire

Si ca n'aboutit pas je postulerais peut-être pour un poste avec l'entente franco-canadienne qui dispense de pas mal de tracasseries :c

Bonjour, Suis moi même intéressé par un recrutement sur la filière universitaire (uniquement intéressé par cette filière étant donné que je cherche à développer mon activité de médecin chercheur au Canada et non pas de pratiquer de façon habituelle la médecine générale ou spécialisée). Avez vous éventuellement plus de détails sur cette filière de recrutement? Conditions particulières ou alors cela dépend entièrement de la politique de recrutement des universités? Étendue des droits accordés en lien avec ce genre de recrutement? Toute autre formation utile? Merci d'avance, Carl

  • Habitués
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Bonjour

j'ai trouvé ceci pour le recrutement à l'université de montréal. Mais ça doit exister aussi pour mcGill, sherbrooke ou encore Laval à Québec.

http://www.med.umontreal.ca/recherche/informations_chercheurs/ethique_recherche/soumission_projet.html

Posté(e)

Bonjour

j'ai trouvé ceci pour le recrutement à l'université de montréal. Mais ça doit exister aussi pour mcGill, sherbrooke ou encore Laval à Québec.

http://www.med.umont...ion_projet.html

Merci!

Malheureusement cela ne concerne que les formalités de soumission de projets de recherche et non pas le recrutement par filière universitaire. Si quelqu'un a plus d'expérience (éventuellement personnelle) en la matière cela me serait très utile.

Bon courage à tous,

Carl

  • Habitués
Posté(e)

Le recrutement passe par un parrainage universitaire, il me semble que pour avoir ce parrainage, il faut avoir un projet de recherche. Je te conseille de passer par l'AQMPR, qui regroupe tous les médecins universitaire, spécialistes et de famille, tu auras une réponse plus précise.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Le recrutement passe par un parrainage universitaire, il me semble que pour avoir ce parrainage, il faut avoir un projet de recherche. Je te conseille de passer par l'AQMPR, qui regroupe tous les médecins universitaire, spécialistes et de famille, tu auras une réponse plus précise.

Je vais te donner mon expérience personnelle, je ne sais pas si ça va t'avancer:

Il y a 6 mois, participation à un congrès en Françe, avec présence de professeur de psychiatrie canadien (d'un peu partout)

Discussion informelle sur mon parcours au décours d'une rencontre, j'avais dans l'idée de tater le terrain pour un poste sur Montreal (qqsoit le statut, même fellow)

On m'a laissé des cartes de visites avec des personnes à contacter qui pourrait être interessés par mon profil

J'ai envoyé un CV formaté "canadien" + une lettre de motivation détaillant ma pratique quotidienne. 3 mois plus tard réponse d'une personne avec un mail très long et précis sur l'interet qu'il pouvait avoir à me recruter. De là plusieurs échanges de mail + demande de leur part que je les rencontre à Montreal, et je viens donc pour 1 mois en septembre.

A prioris ils ont plus recherchés l'aspect hyperspécialisation dans ma pratique clinique + enseignement que recherche (même si j'ai une activité de recherche, mais par ex j'ai donné plus de 120h de cours depuis 6 mois, ce qui semblait les interesser car pas mal de questions là dessus)

Modifié par jeunejedi
Posté(e)

Bonjour Equinox

Je m'adresse à toi car tu m'as tout l'air d'être la coqueluche de ce forum ! et un vieux routard...!

Pour mon cas, je suis interniste et infectiologue mais mon domaine d'exercice est plutôt l'infectiologie (prise en charge du VIH).

J'ai compris que je pourrai peut être bénéficer de l'Entente cordial sauf que je ne sais pas ce qu'ils entendent par "champ médical" de la médecine interne (l'infectiologie en France c'est beaucoup de médecine interne!).

Peux-tu préciser les délais moyens de demande ?

Je voudrais demander le permis restrictif et régulier et poyurquoi solliciter les doyens car mon profil pourrait être universitaire..

Connais-tu la prise en charge VIH au Québec ?

Si on prend la voie universitaire, peut-on exercer à l'hopital comme en France ?

Merci pour ton aide et ta disponibilité

Bonjour à tes oiseaux et vivve les castors !

Amiesdescastors

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour Equinox

Je m'adresse à toi car tu m'as tout l'air d'être la coqueluche de ce forum ! et un vieux routard...!

Pour mon cas, je suis interniste et infectiologue mais mon domaine d'exercice est plutôt l'infectiologie (prise en charge du VIH).

J'ai compris que je pourrai peut être bénéficer de l'Entente cordial sauf que je ne sais pas ce qu'ils entendent par "champ médical" de la médecine interne (l'infectiologie en France c'est beaucoup de médecine interne!).

Peux-tu préciser les délais moyens de demande ?

Je voudrais demander le permis restrictif et régulier et poyurquoi solliciter les doyens car mon profil pourrait être universitaire..

Connais-tu la prise en charge VIH au Québec ?

Si on prend la voie universitaire, peut-on exercer à l'hopital comme en France ?

Merci pour ton aide et ta disponibilité

Bonjour à tes oiseaux et vivve les castors !

Amiesdescastors

Bonsoir, je n'ai rien d'une coqueluche smile.gif, mes copains me l'aurait dit, il n'ont pas l'air de chanter comme des coqs !

Je travaille avec des infectiologues de l'hôpital de 3R, il ne font que ça, pas de médecine interne...je leur adresse mes cas complexes de maladies infectieuses et les quelques VIH que je trouve. Cependant il existe des cliniques privés qui ne font que du VIH, situés surtout à Montréal :

http://www.cliniquelactuel.com/

Ensuite pour les délais, nous sommes pas mal dans le flou, les accords France/Québec t'ouvre la porte, mais tu seras soumis au PREM (Plan régionaux d'effectifs médicaux), tu feras un choix d'établissement en fonction des places proposées par le plan, et les établissements choisiront parmi la liste des candidats. Ainsi lorsque tu auras fait ta demande au CMQ et au RSQ, les délais, jusqu'à ton travail peuvent être de 18 mois à 2 ans, formalité d'immigration comprise.

Si ton profil est universitaire, le doyen va te proposer un poste universitaire, tu enseigneras et tu auras une pratique en hôpital ... Si tu as ce poste, tu auras un permis restrictif qui sera renouvelé tous les ans pendant 5 ans, et ensuite tu auras un permis du Québec... C'est la raison pour laquelle tu dois solliciter le doyen.

Pour le SIDA, c'est relativement simple : diagnostic , test et confirmation des tests, ensuite Infectiologue ou clinique de l'actuel :

Surveillance des lympocytes T et Charge virale fait mensuellement

Dès que la charge virale et les lympho sont en baisse (critères mondiaux)

Mis en place de trithérapie.

Je n'ai que 2 cas de VIH actuellement, et au même stade.

Ici il y a une expérimentation sérieuse sur le "vaccin"

Voilà n'hésite pas si tu a d'autres questions

  • Habitués
Posté(e)

Salut amie.., ton profil est pas mal hyperspecialise, et compte tenu de la structure de l'infectiologie au Quebec, je te conseillerais de viser le recrutemenf academique.

En dehors des centres U, les infectiologues sont tres polyvalents et meme microbiologistes.

Posté(e)

Merci pour les réponses précises !

Si je comprends bien il n'existe pas la profession de biologiste au Québec ! pour valider l'infectieux en France on fait 6 mois en bactério mais je ne me sens pas cap de remplacer un bactério !

Posté(e)

Ai-je intérêt dans ce cas de faire la demande permis restrictif via RSQ + demande aux doyens en même temps ou ce sont des trajets séparés ?

  • Habitués
Posté(e)

Ce sont deux parcours differents. Vu que la formation et la pratique des infectiologues sont tres differentes entre le Quebec et la France, tu devrais viser la voie du doyen qui peut etre interesse par un profil hyperspecialise. Pour rsq et une pratique generale en region, tu vas te heurter a la difficulte d'integrer une equipe car il faut aussi etre microbiologiste ici, donc si tu veux tu devrais etre infectiologue + biologiste. Les hemato-oncologues se heurtent au meme ecueil.

Bonne chance pour tes projets.

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