Combattre les gros préjugés contre les immigrants

[Laurent]

Un article dans le journal 24heures de septembre 2007

Comment venir à bout des préjugés

Les recruteurs ont tort dentretenir des préjugés envers les candidats immigrants, soutient Nadine Lavoie,conseillère en emploi pour lorganisme Accueil liaison pour arrivants,

à Montréal. Voici leurs principales idées préconçues et de bons arguments pour les renverser.

1 Les immigrants volent nos emplois

"Le ministère de lImmigration et des Communautés culturelles du Québec sélectionne la plupart des immigrants en tenant compte des besoins de main-duvre dici,note Mme Lavoie. Ainsi, en 2006, le Québec a accueilli beaucoup délectriciens étrangers pour répondre à la demande créée par la construction de parcs éoliens et de centrales hydroélectriques.»

2 À beau mentir qui vient de loin

Certains employeurs doutent des renseignements contenus dans les curriculum vitae des nouveaux arrivants.Ils prétendent ne pas pouvoir se fier à des institutions quils ne connaissent pas. « Fournissez des références, même si elles sont à létranger, conseille Mme Lavoie.Faites valoir au recruteur quun seul appel outre-mer pourrait le rassurer sur vos compétences

3 Les immigrants ne connaissent rien aux nouvelles technologies

La mondialisation a entraîné la mise au point de nombreuses normes et procédures internationales de fabrication, signale Mme Lavoie.« Il nest pas rare quun

immigrant ait travaillé dans son pays selon les mêmes règles quici.Si,par exemple, vous connaissez bien la norme ISO 9002, mentionnez-le dans votre CV et lors de lentrevue.»

4 Les immigrants ne se laissent pas facilement diriger

Certains professionnels immigrants postulent des emplois de techniciens, même si ces postes sont inférieurs à leurs capacités. Cest souvent le cas des ingénieurs étrangers, qui ne peuvent pratiquer leur métier ici. Les gestionnaires sont alors mal à laise de les diriger.« Expliquez à lemployeur que vous étiez au courant de cet état de fait avant dimmigrer et que vous lavez accepté. Parlez de votre motivation à vous tailler une place ici coûte que coûte. » (Les Éditions Jobboom)

source : http://www.jobboom.com/24heures/pdf/2007-09-17.pdf

[Angela]

Un article dans le journal 24heures de septembre 2007

Comment venir à bout des préjugés

Les recruteurs ont tort dentretenir des préjugés envers les candidats immigrants, soutient Nadine Lavoie,conseillère en emploi pour lorganisme Accueil liaison pour arrivants,

à Montréal. Voici leurs principales idées préconçues et de bons arguments pour les renverser.

1 Les immigrants volent nos emplois

"Le ministère de lImmigration et des Communautés culturelles du Québec sélectionne la plupart des immigrants en tenant compte des besoins de main-duvre dici,note Mme Lavoie. Ainsi, en 2006, le Québec a accueilli beaucoup délectriciens étrangers pour répondre à la demande créée par la construction de parcs éoliens et de centrales hydroélectriques.»

2 À beau mentir qui vient de loin

Certains employeurs doutent des renseignements contenus dans les curriculum vitae des nouveaux arrivants.Ils prétendent ne pas pouvoir se fier à des institutions quils ne connaissent pas. « Fournissez des références, même si elles sont à létranger, conseille Mme Lavoie.Faites valoir au recruteur quun seul appel outre-mer pourrait le rassurer sur vos compétences

3 Les immigrants ne connaissent rien aux nouvelles technologies

La mondialisation a entraîné la mise au point de nombreuses normes et procédures internationales de fabrication, signale Mme Lavoie.« Il nest pas rare quun

immigrant ait travaillé dans son pays selon les mêmes règles quici.Si,par exemple, vous connaissez bien la norme ISO 9002, mentionnez-le dans votre CV et lors de lentrevue.»

4 Les immigrants ne se laissent pas facilement diriger

Certains professionnels immigrants postulent des emplois de techniciens, même si ces postes sont inférieurs à leurs capacités. Cest souvent le cas des ingénieurs étrangers, qui ne peuvent pratiquer leur métier ici. Les gestionnaires sont alors mal à laise de les diriger.« Expliquez à lemployeur que vous étiez au courant de cet état de fait avant dimmigrer et que vous lavez accepté. Parlez de votre motivation à vous tailler une place ici coûte que coûte. » (Les Éditions Jobboom)

source : http://www.jobboom.com/24heures/pdf/2007-09-17.pdf

Le problème, c'est que tout cela est bien beau à condition que le CV soit lu. Quand deux CV identiques avec des noms différents reçoivent deux traitements différents, alors là, bien malin celui qui trouvera la façon de rendre un nom comme N'Diaye acceptable aux yeux des Jacques Noël de ce pays ...

[cam]

Un article dans le journal 24heures de septembre 2007

Comment venir à bout des préjugés

Les recruteurs ont tort dentretenir des préjugés envers les candidats immigrants, soutient Nadine Lavoie,conseillère en emploi pour lorganisme Accueil liaison pour arrivants,

à Montréal. Voici leurs principales idées préconçues et de bons arguments pour les renverser.

1 Les immigrants volent nos emplois

"Le ministère de lImmigration et des Communautés culturelles du Québec sélectionne la plupart des immigrants en tenant compte des besoins de main-duvre dici,note Mme Lavoie. Ainsi, en 2006, le Québec a accueilli beaucoup délectriciens étrangers pour répondre à la demande créée par la construction de parcs éoliens et de centrales hydroélectriques.»

2 À beau mentir qui vient de loin

Certains employeurs doutent des renseignements contenus dans les curriculum vitae des nouveaux arrivants.Ils prétendent ne pas pouvoir se fier à des institutions quils ne connaissent pas. « Fournissez des références, même si elles sont à létranger, conseille Mme Lavoie.Faites valoir au recruteur quun seul appel outre-mer pourrait le rassurer sur vos compétences

3 Les immigrants ne connaissent rien aux nouvelles technologies

La mondialisation a entraîné la mise au point de nombreuses normes et procédures internationales de fabrication, signale Mme Lavoie.« Il nest pas rare quun

immigrant ait travaillé dans son pays selon les mêmes règles quici.Si,par exemple, vous connaissez bien la norme ISO 9002, mentionnez-le dans votre CV et lors de lentrevue.»

4 Les immigrants ne se laissent pas facilement diriger

Certains professionnels immigrants postulent des emplois de techniciens, même si ces postes sont inférieurs à leurs capacités. Cest souvent le cas des ingénieurs étrangers, qui ne peuvent pratiquer leur métier ici. Les gestionnaires sont alors mal à laise de les diriger.« Expliquez à lemployeur que vous étiez au courant de cet état de fait avant dimmigrer et que vous lavez accepté. Parlez de votre motivation à vous tailler une place ici coûte que coûte. » (Les Éditions Jobboom)

source : http://www.jobboom.com/24heures/pdf/2007-09-17.pdf

Le problème, c'est que tout cela est bien beau à condition que le CV soit lu. Quand deux CV identiques avec des noms différents reçoivent deux traitements différents, alors là, bien malin celui qui trouvera la façon de rendre un nom comme N'Diaye acceptable aux yeux des Jacques Noël de ce pays ...

L'autre Pb c'est en fait qu'aucun employeur de veut prendre de risques. Ainsi, on préfèrera un immigrant formé aux réalités locales (cursus fait au Canada).

A mon avis, l'immigration est certes un défi, mais, il faut inciter les employeurs à faire confiance aux immigrants. Si kelkun s'appelle Abdoulaye, et fait du bon boulot, ou est l'ennui?

Je commence à me demander si le Québec ne doit pas copier le modèle US en la matière..Et aussi cet adage Chinois qui affirme que, Peu importe la couleur du chat, l'essentiel c'est qu'il attrape la souris!

Cam

Modifié 6 novembre 2007 par cam

[lotfilol]

Bonjour,

et bien interessant ces conseils,

mais honnetement, je pense que le problème n'est pas les pré-jugé sur les nouveau immigrant faites par les employeurs. Mais tous simplement ca depend de l'offre et le demande, si on a besoin d'une personne pour marcher son affaire, on s'en fou de ce qu'il est.

et quand l'employeur a un choix a faire sur la marché du travail, et bien on sort les veilles histoires, comme 'oui et bien on se m'efie des competences etrangères, oui ya différences culturel, nanani nanana....).

tous simplement, je pense si on a pas besoin d'une personne, et bien meme s'il passe sa vie a se justifié, on trouve toujours des prétextes pour s'en passé de lui.... voilà.

en plus, c'est un sytème capitaliste, donc sa se passe à l'offre et la demande, point.

Un article dans le journal 24heures de septembre 2007

Comment venir à bout des préjugés

Les recruteurs ont tort dentretenir des préjugés envers les candidats immigrants, soutient Nadine Lavoie,conseillère en emploi pour lorganisme Accueil liaison pour arrivants,

à Montréal. Voici leurs principales idées préconçues et de bons arguments pour les renverser.

1 Les immigrants volent nos emplois

"Le ministère de lImmigration et des Communautés culturelles du Québec sélectionne la plupart des immigrants en tenant compte des besoins de main-duvre dici,note Mme Lavoie. Ainsi, en 2006, le Québec a accueilli beaucoup délectriciens étrangers pour répondre à la demande créée par la construction de parcs éoliens et de centrales hydroélectriques.»

2 À beau mentir qui vient de loin

Certains employeurs doutent des renseignements contenus dans les curriculum vitae des nouveaux arrivants.Ils prétendent ne pas pouvoir se fier à des institutions quils ne connaissent pas. « Fournissez des références, même si elles sont à létranger, conseille Mme Lavoie.Faites valoir au recruteur quun seul appel outre-mer pourrait le rassurer sur vos compétences

3 Les immigrants ne connaissent rien aux nouvelles technologies

La mondialisation a entraîné la mise au point de nombreuses normes et procédures internationales de fabrication, signale Mme Lavoie.« Il nest pas rare quun

immigrant ait travaillé dans son pays selon les mêmes règles quici.Si,par exemple, vous connaissez bien la norme ISO 9002, mentionnez-le dans votre CV et lors de lentrevue.»

4 Les immigrants ne se laissent pas facilement diriger

Certains professionnels immigrants postulent des emplois de techniciens, même si ces postes sont inférieurs à leurs capacités. Cest souvent le cas des ingénieurs étrangers, qui ne peuvent pratiquer leur métier ici. Les gestionnaires sont alors mal à laise de les diriger.« Expliquez à lemployeur que vous étiez au courant de cet état de fait avant dimmigrer et que vous lavez accepté. Parlez de votre motivation à vous tailler une place ici coûte que coûte. » (Les Éditions Jobboom)

source : http://www.jobboom.com/24heures/pdf/2007-09-17.pdf

Le problème, c'est que tout cela est bien beau à condition que le CV soit lu. Quand deux CV identiques avec des noms différents reçoivent deux traitements différents, alors là, bien malin celui qui trouvera la façon de rendre un nom comme N'Diaye acceptable aux yeux des Jacques Noël de ce pays ...

L'autre Pb c'est en fait qu'aucun employeur de veut prendre de risques. Ainsi, on préfèrera un immigrant formé aux réalités locales (cursus fait au Canada).

A mon avis, l'immigration est certes un défi, mais, il faut inciter les employeurs à faire confiance aux immigrants. Si kelkun s'appelle Abdoulaye, et fait du bon boulot, ou est l'ennui?

Je commence à me demander si le Québec ne doit pas copier le modèle US en la matière..Et aussi cet adage Chinois qui affirme que, Peu importe la couleur du chat, l'essentiel c'est qu'il attrape la souris!

Cam

[Angela]

Bonjour,

et bien interessant ces conseils,

mais honnetement, je pense que le problème n'est pas les pré-jugé sur les nouveau immigrant faites par les employeurs. Mais tous simplement ca depend de l'offre et le demande, si on a besoin d'une personne pour marcher son affaire, on s'en fou de ce qu'il est.

et quand l'employeur a un choix a faire sur la marché du travail, et bien on sort les veilles histoires, comme 'oui et bien on se m'efie des competences etrangères, oui ya différences culturel, nanani nanana....).

tous simplement, je pense si on a pas besoin d'une personne, et bien meme s'il passe sa vie a se justifié, on trouve toujours des prétextes pour s'en passé de lui.... voilà.

en plus, c'est un sytème capitaliste, donc sa se passe à l'offre et la demande, point.

Je crois que tu auras quelques désillusions d'ici quelques jours, quand un poste marqué "URGENT À COMBLER" est réaffiché quelques jours plus tard, alors que tu as postulé dessus et que ton profil correspond parfaitement ...

Ne te fie pas toujours aux déclarations sur la pénurie de la main-d'oeuvre. Veux-tu un exemple: il y a plus de 100 médecins formés à l'étranger qui ont satisfait aux examens de l'ordre des médecins mais qui n'ont pas pu avoir de résidence. Nous manquons de médecins, il y en a qui ont démontré qu'ils étaient bons, le système ne veut pas leur faire franchir la dernière étape pour qu'ils travaillent. Alors ...

Modifié 7 novembre 2007 par Angela

[Invité]

1 Les immigrants volent nos emplois

- Faux les immigrants dans une certaine mesure sont créateurs demploi, par contre limmigration de masse et non contrôlée, autrement dit limmigration subie elle permet de faire baisser les salaires.

2 À beau mentir qui vient de loin

- Beaucoup demployeurs au Québec ne reoonnaissent pas les diplômes ou les expériences des immigrants. Une personne responsable dune agence demploi sur la rive-sud a confirmé cela a ma femme qui cherchait du travail, elle lui avait dit plusieurs employeurs préféraient des non immigrant.

3 Les immigrants ne connaissent rien aux nouvelles technologies

- Faux, les immigrants venant au Québec on un niveau déducation élevée en majorité donc ne sont pas effrayés par les nouvelles technologie.

4 Les immigrants ne se laissent pas facilement diriger

- Faux, les immigrants sont pleins de bonnes intentions et très motivés a réussir, par contre les illégaux et les sans papiers sont très vulnérables et acceptent tout et nimporte quoi.

[Nemesis]

4 Les immigrants ne se laissent pas facilement diriger

- Faux, les immigrants sont pleins de bonnes intentions et très motivés a réussir, par contre les illégaux et les sans papiers sont très vulnérables et acceptent tout et nimporte quoi.

C'est le cas également pour les "légaux". Beaucoup acceptent tout et n'importe quoi pour pouvoir payer leur loyer et nourrir leur famille. Beaucoup sont confrontés au problème de la reconnaissance des diplômes et le fait de ne pas avoir d'expérience québécoise n'aide pas vraiment à trouver une job en rapport avec leur formation initiale. Mais je suis d'accord sur le fait que les immigrants légaux sont très malléables et acceptent beaucoup (trop) de choses pour réussir dans le milieu professionnel.

[cam]

4 Les immigrants ne se laissent pas facilement diriger

- Faux, les immigrants sont pleins de bonnes intentions et très motivés a réussir, par contre les illégaux et les sans papiers sont très vulnérables et acceptent tout et nimporte quoi.

C'est le cas également pour les "légaux". Beaucoup acceptent tout et n'importe quoi pour pouvoir payer leur loyer et nourrir leur famille. Beaucoup sont confrontés au problème de la reconnaissance des diplômes et le fait de ne pas avoir d'expérience québécoise n'aide pas vraiment à trouver une job en rapport avec leur formation initiale. Mais je suis d'accord sur le fait que les immigrants légaux sont très malléables et acceptent beaucoup (trop) de choses pour réussir dans le milieu professionnel.

Dans un premier temps, on " accepte tout au début" pour avoir sa pitance, mais, à force de traîner la dedans, surtout si on job dans un domaine ki ne cadre pas forcément avec son domaine de compétence, on devient dépressif ou lol, on s'accroche et on continue..

Mais la question est de se demander, sil faut encore faire venir de gens tjrs plus qualifiés si les 3/4 ne seront employés qu'au rabais, ou alors imposer aux employeurs un certain cotas d'immigrants dans leurs boites?

Ou alors attendre la deuxième génération (enfants issus des immigrants) qui seront plus habiles aux us et coutumes du Bled...

That's the question?

Cam

Modifié 7 novembre 2007 par cam

[Invité]

4 Les immigrants ne se laissent pas facilement diriger

- Faux, les immigrants sont pleins de bonnes intentions et très motivés a réussir, par contre les illégaux et les sans papiers sont très vulnérables et acceptent tout et nimporte quoi.

C'est le cas également pour les "légaux". Beaucoup acceptent tout et n'importe quoi pour pouvoir payer leur loyer et nourrir leur famille. Beaucoup sont confrontés au problème de la reconnaissance des diplômes et le fait de ne pas avoir d'expérience québécoise n'aide pas vraiment à trouver une job en rapport avec leur formation initiale. Mais je suis d'accord sur le fait que les immigrants légaux sont très malléables et acceptent beaucoup (trop) de choses pour réussir dans le milieu professionnel.

Dans un premier temps, on " accepte tout au début" pour avoir sa pitance, mais, à force de traîner la dedans, surtout si on job dans un domaine ki ne cadre pas forcément avec son domaine de compétence, on devient dépressif ou lol, on s'accroche et on continue..

Mais la question est de se demander, sil faut encore faire venir de gens tjrs plus qualifiés si les 3/4 ne seront employés qu'au rabais, ou alors imposer aux employeurs un certain cotas d'immigrants dans leurs boites?

Ou alors attendre la deuxième génération (enfants issus des immigrants) qui seront plus habiles aux us et coutumes du Bled...

That's the question?

Cam

a mon avis, je trouve une forme de distrimination qui ne se laisse pas voir aux yeux de tous..

tenez, le 10 sept 2007, une firme pharmaceutique specialisée dans la grande distribution fait paraitre une offre d'emploi, comme koi, elle recherche urgemment 7 preposés aux commandes, elle precise bien que seuls les candidats ayant le profil du poste seront retenus et convoqués pour une entrevue.

chose faite, j'ai postulé, une semaine plutard on me convoque pour une entrevue, qui en fait etait juste une formalité documentaire, photocopie de pieces didentité et autres..

on dit, bonn ds les jours suivant une reponse sera donnée suite a ma candidature..

ouppppp, une semaine apres, plus de nouvelles.., 10 jours plus tard, je reapercois la meme annonce sur le site demploi quebec, la firme rechant tjrs 7 preposés aux commandes, je relance ma candidature a nouveau, depuis la, plus de nouvelle de la firme.....

ctait juste pour dire, eh bien, ya des firmes ici a montreal qui tiennent compte de la couleur de la peau, origine et autres lors de la selection definitive des candidats...

ohh chemo...

qui a dit que le racisme n'hexistait pas au quebec......

[lotfilol]

sans rentrer dans les détails,

voilà un bon exemple d'un employeur qui manque du bon sens proffesionnel.

on demande beaucoup de choses aux immigrants , et cet employeur ne prend meme pas la peine de suivre une réponse a ta candidature ( c'est le minimum a faire je pense).

et en ci concerne la fameuse idée, d'accepter n'importe quoi au départ et ensuite trouver un job qui correpond a sa formation initiale, d'aprés moi. Et bien je pense que ca marche pas a tous les couts ce genre d'idées, ya risque de ce coincé dans un petit boulot et de s'enfoncé encore un un point ou on aura ni le temps ni de la motivation de ce refaire une formation ou je ne sais pas quoi.

en fin et en résumé, je pense que se fou pas mal de la geule des immigrants, en leur faisons croire qu'ils peuvent réussir, mais en réalité tous le monde sais que c'est loin d'etre le cas.

Dans un premier temps, on " accepte tout au début" pour avoir sa pitance, mais, à force de traîner la dedans, surtout si on job dans un domaine ki ne cadre pas forcément avec son domaine de compétence, on devient dépressif ou lol, on s'accroche et on continue..

Mais la question est de se demander, sil faut encore faire venir de gens tjrs plus qualifiés si les 3/4 ne seront employés qu'au rabais, ou alors imposer aux employeurs un certain cotas d'immigrants dans leurs boites?

Ou alors attendre la deuxième génération (enfants issus des immigrants) qui seront plus habiles aux us et coutumes du Bled...

That's the question?

Cam

a mon avis, je trouve une forme de distrimination qui ne se laisse pas voir aux yeux de tous..

tenez, le 10 sept 2007, une firme pharmaceutique specialisée dans la grande distribution fait paraitre une offre d'emploi, comme koi, elle recherche urgemment 7 preposés aux commandes, elle precise bien que seuls les candidats ayant le profil du poste seront retenus et convoqués pour une entrevue.

chose faite, j'ai postulé, une semaine plutard on me convoque pour une entrevue, qui en fait etait juste une formalité documentaire, photocopie de pieces didentité et autres..

on dit, bonn ds les jours suivant une reponse sera donnée suite a ma candidature..

ouppppp, une semaine apres, plus de nouvelles.., 10 jours plus tard, je reapercois la meme annonce sur le site demploi quebec, la firme rechant tjrs 7 preposés aux commandes, je relance ma candidature a nouveau, depuis la, plus de nouvelle de la firme.....

ctait juste pour dire, eh bien, ya des firmes ici a montreal qui tiennent compte de la couleur de la peau, origine et autres lors de la selection definitive des candidats...

ohh chemo...

qui a dit que le racisme n'hexistait pas au quebec......

[Sexypants]

4 Les immigrants ne se laissent pas facilement diriger

- Faux, les immigrants sont pleins de bonnes intentions et très motivés a réussir, par contre les illégaux et les sans papiers sont très vulnérables et acceptent tout et nimporte quoi.

C'est le cas également pour les "légaux". Beaucoup acceptent tout et n'importe quoi pour pouvoir payer leur loyer et nourrir leur famille. Beaucoup sont confrontés au problème de la reconnaissance des diplômes et le fait de ne pas avoir d'expérience québécoise n'aide pas vraiment à trouver une job en rapport avec leur formation initiale. Mais je suis d'accord sur le fait que les immigrants légaux sont très malléables et acceptent beaucoup (trop) de choses pour réussir dans le milieu professionnel.

Dans un premier temps, on " accepte tout au début" pour avoir sa pitance, mais, à force de traîner la dedans, surtout si on job dans un domaine ki ne cadre pas forcément avec son domaine de compétence, on devient dépressif ou lol, on s'accroche et on continue..

Mais la question est de se demander, sil faut encore faire venir de gens tjrs plus qualifiés si les 3/4 ne seront employés qu'au rabais, ou alors imposer aux employeurs un certain cotas d'immigrants dans leurs boites?

Ou alors attendre la deuxième génération (enfants issus des immigrants) qui seront plus habiles aux us et coutumes du Bled...

That's the question?

Cam

a mon avis, je trouve une forme de distrimination qui ne se laisse pas voir aux yeux de tous..

tenez, le 10 sept 2007, une firme pharmaceutique specialisée dans la grande distribution fait paraitre une offre d'emploi, comme koi, elle recherche urgemment 7 preposés aux commandes, elle precise bien que seuls les candidats ayant le profil du poste seront retenus et convoqués pour une entrevue.

chose faite, j'ai postulé, une semaine plutard on me convoque pour une entrevue, qui en fait etait juste une formalité documentaire, photocopie de pieces didentité et autres..

on dit, bonn ds les jours suivant une reponse sera donnée suite a ma candidature..

ouppppp, une semaine apres, plus de nouvelles.., 10 jours plus tard, je reapercois la meme annonce sur le site demploi quebec, la firme rechant tjrs 7 preposés aux commandes, je relance ma candidature a nouveau, depuis la, plus de nouvelle de la firme.....

ctait juste pour dire, eh bien, ya des firmes ici a montreal qui tiennent compte de la couleur de la peau, origine et autres lors de la selection definitive des candidats...

ohh chemo...

qui a dit que le racisme n'hexistait pas au quebec......

Il y a plein d'immigrants noirs qui ont du succès au Québec(j'en connais personnellement), pourquoi ne serait-tu pas un de ceux là. Si une entreprise te dit non, d'autres entreprises te diront oui. C'est pas avec une mentalité défaitiste que tu vas réussir. Ceux qui réussisent sont des fonceurs. Alors fonce. Et les petits boulots peuvent être importants au début pour avoir une première expérience de travail canadienne et avec des références ici au Canada. Et ces références ici au Canada t'aideront à avoir un meilleur job à l'avenir.

[lotfilol]

oui, il a raison, ne baisse pas les bras à cause des cas comme cet employeur, y'aura toujours d'autres employeurs plus ouverts,

ne te coince pas la dessus, car ce ne te sert pas a grand chose,

va voir ailleur,

4 Les immigrants ne se laissent pas facilement diriger

- Faux, les immigrants sont pleins de bonnes intentions et très motivés a réussir, par contre les illégaux et les sans papiers sont très vulnérables et acceptent tout et nimporte quoi.

C'est le cas également pour les "légaux". Beaucoup acceptent tout et n'importe quoi pour pouvoir payer leur loyer et nourrir leur famille. Beaucoup sont confrontés au problème de la reconnaissance des diplômes et le fait de ne pas avoir d'expérience québécoise n'aide pas vraiment à trouver une job en rapport avec leur formation initiale. Mais je suis d'accord sur le fait que les immigrants légaux sont très malléables et acceptent beaucoup (trop) de choses pour réussir dans le milieu professionnel.

Dans un premier temps, on " accepte tout au début" pour avoir sa pitance, mais, à force de traîner la dedans, surtout si on job dans un domaine ki ne cadre pas forcément avec son domaine de compétence, on devient dépressif ou lol, on s'accroche et on continue..

Mais la question est de se demander, sil faut encore faire venir de gens tjrs plus qualifiés si les 3/4 ne seront employés qu'au rabais, ou alors imposer aux employeurs un certain cotas d'immigrants dans leurs boites?

Ou alors attendre la deuxième génération (enfants issus des immigrants) qui seront plus habiles aux us et coutumes du Bled...

That's the question?

Cam

a mon avis, je trouve une forme de distrimination qui ne se laisse pas voir aux yeux de tous..

tenez, le 10 sept 2007, une firme pharmaceutique specialisée dans la grande distribution fait paraitre une offre d'emploi, comme koi, elle recherche urgemment 7 preposés aux commandes, elle precise bien que seuls les candidats ayant le profil du poste seront retenus et convoqués pour une entrevue.

chose faite, j'ai postulé, une semaine plutard on me convoque pour une entrevue, qui en fait etait juste une formalité documentaire, photocopie de pieces didentité et autres..

on dit, bonn ds les jours suivant une reponse sera donnée suite a ma candidature..

ouppppp, une semaine apres, plus de nouvelles.., 10 jours plus tard, je reapercois la meme annonce sur le site demploi quebec, la firme rechant tjrs 7 preposés aux commandes, je relance ma candidature a nouveau, depuis la, plus de nouvelle de la firme.....

ctait juste pour dire, eh bien, ya des firmes ici a montreal qui tiennent compte de la couleur de la peau, origine et autres lors de la selection definitive des candidats...

ohh chemo...

qui a dit que le racisme n'hexistait pas au quebec......

Il y a plein d'immigrants noirs qui ont du succès au Québec(j'en connais personnellement), pourquoi ne serait-tu pas un de ceux là. Si une entreprise te dit non, d'autres entreprises te diront oui. C'est pas avec une mentalité défaitiste que tu vas réussir. Ceux qui réussisent sont des fonceurs. Alors fonce. Et les petits boulots peuvent être importants au début pour avoir une première expérience de travail canadienne et avec des références ici au Canada. Et ces références ici au Canada t'aideront à avoir un meilleur job à l'avenir.