Habitués cherry Posté(e) 17 septembre 2007 Habitués Posté(e) 17 septembre 2007 Le lundi 17 septembre 2007Jean Charest souhaite plus d'immigrantsDenis LessardLa PresseQuébec devra se tourner davantage vers les travailleurs étrangers, estime le premier ministre du Québec Jean Charest. Quoi quen pense Mario Dumont.Le chef a ainsi mis la table pour une collision frontale avec le chef de lADQ sur la délicate question de limmigration. «Notre gouvernement a fait face au vent. Une girouette politique comme lADQ suit le vent. Ce nest pas ce que les Québécois méritent», a soutenu hier M. Charest dans un discours prononcé au conseil général du Parti libéral, qui se terminait hier, à Montréal. Il sest engagé à favoriser davantage lafflux de travailleurs étrangers. «Nous allons lever les obstacles qui nuisent à la reconnaissance des compétences et des acquis pour accueillir plus de main-duvre de létranger, entre autres dans les régions du Québec», a-t-il lancé devant les 600 congressistes.Le Québec a atteint son plus bas taux de chômage depuis 30 ans, a souligné le premier ministre minoritaire.Dans des régions comme le Lac-Saint-Jean, on commence même à manquer de main-duvre, a-t-il ajouté. Il a cité lexemple dun propriétaire de marché dAlma qui lui a fait part de sa difficulté de trouver des employés. «Ce nest pas de travail quil va manquer, cest de travailleurs», prévient Jean Charest. «Les économies qui roulent sont les économies qui ont du monde. Et, au Québec, avec 7,6 millions dhabitants, on a une base de population qui est petite, a-t-il précisé en point de presse par la suite. Il faut attirer du monde, il faut faire en sorte quon puisse accroître la population du Québec.»«On juxtapose ça à côté de M. Dumont qui dit : « Ah ! limmigration ! On a atteint notre limite ! « Alors les Québécois sont devant des choix bien clairs, résume M. Charest.«Linvestissement vient avec les cerveaux, avec les chercheurs, les investisseurs, les gestionnaires qui se promènent dans le monde entier. Il y a un coût économique à lintolérance !» a renchéri le ministre Raymond Bachand.Dans un entretien avec le chroniqueur Patrick Lagacé, publié dans La Presse à la mi-août, Mario Dumont avait soutenu que le Québec avait atteint sa limite, avec 45 000 nouveaux arrivants par année. Pour lui, les ressources destinées à favoriser lintégration de ces néo-Québécois limitent la capacité daccueil ; au-delà de celle-ci, les immigrés risquent de se retrouver en ghettos, sans relations avec la majorité francophone. Ouverture vers la FranceM. Charest souligne que Québec négocie avec la France une «entente globale» sur la reconnaissance des compétences entre les deux pays. «La prochaine frontière à franchir dans les accords de commerce, de partenariat économique, cest la mobilité de la main-duvre. Cest ce qui va permettre aux pays développés de tirer leur épingle du jeu», soutient le premier ministre. Dici au printemps 2009, lensemble des provinces canadiennes devraient avoir abattu toutes les entraves à la libre circulation de la main-duvre, qui touchent actuellement 25 % des travailleurs, a-t-il expliqué.La veille, bien des militants libéraux sétaient inquiétés de voir leur parti adopter un discours plus «identitaire», qui voudrait incarner davantage la reconnaissance du Québec comme nation. Bien des libéraux dorigine étrangère avaient souligné que le PLQ ferait fausse route en sengageant dans une démarche susceptible de souligner les différences entre les Québécois, de créer un clivage entre «nous» et «eux».Pour Jean Charest, ce débat existe dans la société, les libéraux nont donc pas à «se culpabiliser» den parler. La commission Bouchard-Taylor permet à la population de sexprimer . «Si cest vrai pour la population, cest vrai pour les militants», a-t-il dit.SondagesMême si son parti est sérieusement en panne dans les sondages, M. Charest sest dit déterminé à rester en poste. «On a réussi à convaincre les Québécois quon ne gouverne pas en fonction des sondages, a-t-il dit, ironique. Est-ce que je sens une pression supplémentaire ? Je me sens très bien. La politique, ce ne sera jamais un long fleuve tranquille. Il faut accepter ladversité, ce nest pas une mauvaise chose.»Le conseil général du PLQ, qui lavait accueilli un peu mollement vendredi soir, sest repris hier, lui donnant une très longue ovation au moment où il est monté sur la scène. Pour contrer ses détracteurs, qui chuchotent quil manque de détermination, il a soutenu quil aime beaucoup être premier ministre du Québec. Sur une note plus personnelle, en point de presse, il a souligné quil était normal quun politicien se transforme au tournant de la cinquantaine (il a eu 49 ans en juin). «Mais je me sens bien et jaime mon travail», a-t-il insisté.En mars prochain, Jean Charest fera lobjet dun vote de confiance des militants libéraux réunis en congrès. Hier, il na pas voulu préciser le pourcentage quil juge suffisant pour demeurer en selle. «Je nai pas établi de cible, a-t-il soutenu, je vais vivre avec le résultat que me donneront les militants.»À deux reprises, Jean Charest a évité de nier quil avait demandé à John Parisella et Michel Bissonnette de devenir chefs de son cabinet en remplacement de Stéphane Bertrand, ce que les deux auraient refusé. Ils feront toutefois partie du comité exécutif du PLQ. Le retour de ces deux militants de lère Bourassa est «très encourageant et bien reçu», a dit M. Charest.En réponse aux critiques formulées pendant ce conseil général sur la performance du parti aux dernières élections, Jean Charest sest montré positif . «Il y a des cycles dans la vie dun parti politique. On doit constamment se renouveler. Un parti politique qui arrive au gouvernement fait face à un certain nombre de pièges. Cest typique. Les élections du 26 mars nous envoient le message quil faut faire un effort supplémentaire. Cest le signal quon a reçu et je laccepte.»http://www.cyberpresse.ca/article/20070917...19/CPACTUALITESIl y a juste un «léger» problème dans sa façon de présenter les choses: il cite l'exemple d'un propriéraire de marché au Lac St-Jean qui peine à trouver des employés pour justifier le besoin grandissant d'immigrants. Euh, c'est pas des jobs de caissiers et d'emballeurs au salaire minimum ça? Wow, il y a vraiment urgences qu'on ouvre les valves et qu'on aille chercher plus d'universitaires, c'est clair! :ouafouaf: C'est moi ou Jean Charest se démène comme un diable dans l'eau bénite? Qu'il est en pleine phase de négation face aux critiques de son leadership? Qu'il se cale de plus en plus? Qu'il est complètement déconnecté? Qu'il va en manger toute une aux prochaines élections? Citer
Habitués Zetto Posté(e) 17 septembre 2007 Habitués Posté(e) 17 septembre 2007 Il y a juste un «léger» problème dans sa façon de présenter les choses: il cite l'exemple d'un propriéraire de marché au Lac St-Jean qui peine à trouver des employés pour justifier le besoin grandissant d'immigrants. Euh, c'est pas des jobs de caissiers et d'emballeurs au salaire minimum ça? Wow, il y a vraiment urgences qu'on ouvre les valves et qu'on aille chercher plus d'universitaires, c'est clair! :ouafouaf:Entièrement d'accord! ce qu'il n'ose pas dire (tout en étant conscient selon moi) c'est de faire venir des universitaires pour faire des jobs de caissiers... Citer
rayan Posté(e) 17 septembre 2007 Posté(e) 17 septembre 2007 Ce que je retiens moi, c'est que cette sortie est faite au moment où la commission Bouchard-Taylor consulte les citoyens sur les accommodements et l'immigration. Je ne sais pas si c'est osé de sa part. Je ne sais pas s'il joue son avenir politique. Ce que je sais, c'est qu'en tant que politique expérimenté, il ne se hasarderait à aller sur un terrain miné. A moins qu'il sache qu'au Québec, les immigrants on en veut encore pour une raison ou pour une autre. Citer
O'Hana Posté(e) 17 septembre 2007 Posté(e) 17 septembre 2007 Jean Charest n'a pas le choix que de promouvoir l'immigration contrairement aux discours péquiste et adéquiste :1) parce que c'est la tradition du PLQ - comme le PLC - de faire dans la prospérité économique et l'immigration multiculturelle2) il ne peut pas aller jouer dans le terrain identitaire comme le PQ et l'ADQ car non seulement ces deux-là sortiront gagnants mais en plus, cela obligerait le PLQ à renier sa tradition fédéraliste comme l'ont rappelé des militants libéraux en fin de semaine3) à noter que messieurs Bissonnette et Parisella ont refusé de quitter leur job actuel pour assurer à temps plein celle de conseiller spécial du PLQ : convaincus mais pragmatiques- O'Hana - Citer
Habitués Biztalk Posté(e) 17 septembre 2007 Habitués Posté(e) 17 septembre 2007 Charest, on va lui montrer la porte aux prochaines élections... Citer
quand? Posté(e) 17 septembre 2007 Posté(e) 17 septembre 2007 Le lundi 17 septembre 2007Jean Charest souhaite plus d'immigrantsDenis LessardLa PresseQuébec devra se tourner davantage vers les travailleurs étrangers, estime le premier ministre du Québec Jean Charest. Quoi quen pense Mario Dumont.Le chef a ainsi mis la table pour une collision frontale avec le chef de lADQ sur la délicate question de limmigration. «Notre gouvernement a fait face au vent. Une girouette politique comme lADQ suit le vent. Ce nest pas ce que les Québécois méritent», a soutenu hier M. Charest dans un discours prononcé au conseil général du Parti libéral, qui se terminait hier, à Montréal. Il sest engagé à favoriser davantage lafflux de travailleurs étrangers. «Nous allons lever les obstacles qui nuisent à la reconnaissance des compétences et des acquis pour accueillir plus de main-duvre de létranger, entre autres dans les régions du Québec», a-t-il lancé devant les 600 congressistes.Le Québec a atteint son plus bas taux de chômage depuis 30 ans, a souligné le premier ministre minoritaire.Dans des régions comme le Lac-Saint-Jean, on commence même à manquer de main-duvre, a-t-il ajouté. Il a cité lexemple dun propriétaire de marché dAlma qui lui a fait part de sa difficulté de trouver des employés. «Ce nest pas de travail quil va manquer, cest de travailleurs», prévient Jean Charest. «Les économies qui roulent sont les économies qui ont du monde. Et, au Québec, avec 7,6 millions dhabitants, on a une base de population qui est petite, a-t-il précisé en point de presse par la suite. Il faut attirer du monde, il faut faire en sorte quon puisse accroître la population du Québec.»«On juxtapose ça à côté de M. Dumont qui dit : « Ah ! limmigration ! On a atteint notre limite ! « Alors les Québécois sont devant des choix bien clairs, résume M. Charest.«Linvestissement vient avec les cerveaux, avec les chercheurs, les investisseurs, les gestionnaires qui se promènent dans le monde entier. Il y a un coût économique à lintolérance !» a renchéri le ministre Raymond Bachand.Dans un entretien avec le chroniqueur Patrick Lagacé, publié dans La Presse à la mi-août, Mario Dumont avait soutenu que le Québec avait atteint sa limite, avec 45 000 nouveaux arrivants par année. Pour lui, les ressources destinées à favoriser lintégration de ces néo-Québécois limitent la capacité daccueil ; au-delà de celle-ci, les immigrés risquent de se retrouver en ghettos, sans relations avec la majorité francophone. Ouverture vers la FranceM. Charest souligne que Québec négocie avec la France une «entente globale» sur la reconnaissance des compétences entre les deux pays. «La prochaine frontière à franchir dans les accords de commerce, de partenariat économique, cest la mobilité de la main-duvre. Cest ce qui va permettre aux pays développés de tirer leur épingle du jeu», soutient le premier ministre. Dici au printemps 2009, lensemble des provinces canadiennes devraient avoir abattu toutes les entraves à la libre circulation de la main-duvre, qui touchent actuellement 25 % des travailleurs, a-t-il expliqué.La veille, bien des militants libéraux sétaient inquiétés de voir leur parti adopter un discours plus «identitaire», qui voudrait incarner davantage la reconnaissance du Québec comme nation. Bien des libéraux dorigine étrangère avaient souligné que le PLQ ferait fausse route en sengageant dans une démarche susceptible de souligner les différences entre les Québécois, de créer un clivage entre «nous» et «eux».Pour Jean Charest, ce débat existe dans la société, les libéraux nont donc pas à «se culpabiliser» den parler. La commission Bouchard-Taylor permet à la population de sexprimer . «Si cest vrai pour la population, cest vrai pour les militants», a-t-il dit.SondagesMême si son parti est sérieusement en panne dans les sondages, M. Charest sest dit déterminé à rester en poste. «On a réussi à convaincre les Québécois quon ne gouverne pas en fonction des sondages, a-t-il dit, ironique. Est-ce que je sens une pression supplémentaire ? Je me sens très bien. La politique, ce ne sera jamais un long fleuve tranquille. Il faut accepter ladversité, ce nest pas une mauvaise chose.»Le conseil général du PLQ, qui lavait accueilli un peu mollement vendredi soir, sest repris hier, lui donnant une très longue ovation au moment où il est monté sur la scène. Pour contrer ses détracteurs, qui chuchotent quil manque de détermination, il a soutenu quil aime beaucoup être premier ministre du Québec. Sur une note plus personnelle, en point de presse, il a souligné quil était normal quun politicien se transforme au tournant de la cinquantaine (il a eu 49 ans en juin). «Mais je me sens bien et jaime mon travail», a-t-il insisté.En mars prochain, Jean Charest fera lobjet dun vote de confiance des militants libéraux réunis en congrès. Hier, il na pas voulu préciser le pourcentage quil juge suffisant pour demeurer en selle. «Je nai pas établi de cible, a-t-il soutenu, je vais vivre avec le résultat que me donneront les militants.»À deux reprises, Jean Charest a évité de nier quil avait demandé à John Parisella et Michel Bissonnette de devenir chefs de son cabinet en remplacement de Stéphane Bertrand, ce que les deux auraient refusé. Ils feront toutefois partie du comité exécutif du PLQ. Le retour de ces deux militants de lère Bourassa est «très encourageant et bien reçu», a dit M. Charest.En réponse aux critiques formulées pendant ce conseil général sur la performance du parti aux dernières élections, Jean Charest sest montré positif . «Il y a des cycles dans la vie dun parti politique. On doit constamment se renouveler. Un parti politique qui arrive au gouvernement fait face à un certain nombre de pièges. Cest typique. Les élections du 26 mars nous envoient le message quil faut faire un effort supplémentaire. Cest le signal quon a reçu et je laccepte.»http://www.cyberpresse.ca/article/20070917...19/CPACTUALITESIl y a juste un «léger» problème dans sa façon de présenter les choses: il cite l'exemple d'un propriéraire de marché au Lac St-Jean qui peine à trouver des employés pour justifier le besoin grandissant d'immigrants. Euh, c'est pas des jobs de caissiers et d'emballeurs au salaire minimum ça? Wow, il y a vraiment urgences qu'on ouvre les valves et qu'on aille chercher plus d'universitaires, c'est clair! :ouafouaf: C'est moi ou Jean Charest se démène comme un diable dans l'eau bénite? Qu'il est en pleine phase de négation face aux critiques de son leadership? Qu'il se cale de plus en plus? Qu'il est complètement déconnecté? Qu'il va en manger toute une aux prochaines élections?C'est un sujet très crucial de près et évasif de loin , il sait qu'il va partir après son mandat donc il faut jouer tout pour le tout , c'est ce sujet qui a pu conclure les éléctions précédentes par un gouvernement minoritaire une première dans son histoire et qui a fait la surprise d'une montée d'un parti minoritaire . on arrête pas là car ça va exploser plus aux prochaines éléctions. ça fait juste depuis peu de temps qu'on parle d'intégration , des accomodements .... etc et en plus l'intégration des étrangers ce n'est pas d'avoir de la famille ici comme le définit le gouvernement mais c'est d'accepter le mode de vie de la socièté d'accueil et ce n'est pas d'apporter une culture vestimentaire de l'ère des homo-sapiens ou des idées anciennes et se refermer dans sa coquille.je ne vais pas m'étaler sur ce sujet d'ailleurs.bien sur ça sera un grand débat ,tout le peuple sera concernés et il ne faut jamais penser ou argumenter avec une pensée sentimentale , c'est un sujet qui doit être réglementé comme le dit la minorité politique si je fais référence à quelques uns parce qu'il faut prendre des leçons de l'immigration française ou de grande Bretagne des années 50 à 70 .c'est que à cette époque , la france fait venir des illétrés pour des boulots de 13 H/jour avec salaire de misère et les logeant dans des ghettos aux alentours des villes sans éléctricité ni eau potable. d'ailleurs il en existent à ce jours et les conséquences sont là. mais aujourd'hui , au Québek , on modernise le sujet d'une manière à faire venir des universitaires pour des boulots de plongeurs ou de caissiers....Mais aucun choix pour chacun car les gouvernants des pays d'origines qui sont les plus responsables sans l'oublier bien sur .ça reste juste mon opinion et je suis ouvert à la critique pour ceux qui ne partagent pas avec moi ce que je viens de dire.Un bon développement vient d'un bon raisonnement bien sûr. 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quand? Posté(e) 17 septembre 2007 Posté(e) 17 septembre 2007 Jean Charest n'a pas le choix que de promouvoir l'immigration contrairement aux discours péquiste et adéquiste :1) parce que c'est la tradition du PLQ - comme le PLC - de faire dans la prospérité économique et l'immigration multiculturelle2) il ne peut pas aller jouer dans le terrain identitaire comme le PQ et l'ADQ car non seulement ces deux-là sortiront gagnants mais en plus, cela obligerait le PLQ à renier sa tradition fédéraliste comme l'ont rappelé des militants libéraux en fin de semaine3) à noter que messieurs Bissonnette et Parisella ont refusé de quitter leur job actuel pour assurer à temps plein celle de conseiller spécial du PLQ : convaincus mais pragmatiques- O'Hana -Je suis tout à fait d'accord , d'ailleurs il vaut mieux apprendre à pêcher du poisson que de le recevoir , donc il vaut mieux revoir sa copie au fond pour être objectif que de semer du vent pour récolté la tempête , le PLQ est entrain de prendre sa carte au hasard pour tenir au fédéralisme et préserver un gouvernement minoritaire puisque la vraie carte est prise par les autres parties. mais le vrai débat n'est pas là. le vrai débat est de définir la notion des libertés démocratiques pour que les gens ne croient jamais qu'ils sont toujours dans leurs coutumes d'origine et donner à la compétence sa juste valeur aussi.ça reste toujours ma pensée bien sur et j'espère que je n'ai pas touché la sensibilité de quiconque mais c'est ma façon de dire les choses car le progrès sur terre est une affaire de tout le monde bien sur. Citer
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