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Posté(e) (modifié)

Au fait quel est ton profil exactement?

Juste le SAP avec ABAP language!

Decidement sans t'offenser j'ai du mal a croire ce que tu racontes. On te fait des offres dans d'autre province et tu dis non et tu restes Quebec pour conduire les taxis. Je crois personnellement que la balle est dans ton camp. Tu as la solution a ton probleme mais tu hesites. J'ai du mal a te comprendre. Apres tout tu as les papiers pour t'installer n'importe ou au Canada. On te fais des offres dans une province et tu dis je prefere conduire les taxis au Quebec. Soit ce que tu racontes n'est pas vrai ou tu as un serieux probleme.

En tout cas tu as le choix devant toi.

Bonne chance!

Lebec, je pense que tu as pas compris ce que je voulait dire. Quand je suis arrivé ici, je pensé seulement à rester au Québec, travailler et vivre à Québec.

Maintenant, je suis prêt à partir, et c'est pour ça que j'ai contacté avec des compagnies en Alberta et British Columbia pour aller là a travailler. Précisement, je ne veux pas rester ici si ce qui m'offront (ou moi, avec mon attitude peux obtenir) c'est de conduire taxis. Je suis à l'attente maintenant pour quelques postes de programmeur ABAP là.

Modifié par lebec
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Posté(e) (modifié)
Maintenant, je suis prêt à partir, et c'est pour ça que j'ai contacté avec des compagnies en Alberta et British Columbia pour aller là a travailler. Précisement, je ne veux pas rester ici si ce qui m'offront (ou moi, avec mon attitude peux obtenir) c'est de conduire taxis. Je suis à l'attente maintenant pour quelques postes de programmeur ABAP là.

Si tu sens que ton avenir est dans une autre province.

Alors je te dis : "Fonce pour ne pas avoir de regret".

Le principal est de réaliser ces rêves.

Bonne continuation

Modifié par Douhme
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Posté(e) (modifié)

Non, c'est SAP HR (8 ans) et un peu d'SD (1 an et demi). Mais je commençait comme programmeur ABAP, et j'ai travaillé comme ABAPer pendant 4 ans, plus ou moins.

Peut-être un facteur en contre c'est que le système de paie c'est très particulière, parce que chaque pays a ses règles, se système de taxation, securité sociale, annuation, ...

Et il y avait des postes qui demandaient un spécialiste SAP paie canadienne ou americaine. Si'ls sont pressés à combler le poste c'est logique qu'ils vont ne pas me donner le poste

si je ne connais comment ça fonctionne. Je suis en contact avec des autres SAPistes et c'est pas facile, il faut du temps et de la patiente.

Anecdote. Je suis allé à Sherbrooke pour un poste SAP, mais spécialiste production et materiaux. D'abord, quand mon cv était soumis par l'entreprise de consultation, ils ont dit, n'importe, on va le former. Ok, je suis allé là, je fait l'entrevue et le resultat était très positif (sic). Alors, ils ont decidé de me faire venir une deuxième fois. Le resultat était très bonne de nouveau (sic). Après une attente, la réponse à travers la firme de consultation... "non, vous n'étez pas spécialiste materiaux/production". On va continuer à chercher. C'est comprensible, ok, mais quand même, dites la verité, dites moi qu'il est le facteur qui a fait vous decider pour ne m'embaucher. S**t, fair play! Une bonne façon d'apprendre des erreurs c'est d'avoir un feedback dont que j'essaié d'obtenir, to no avail. Mais quand ils se cachent comme ça, à qui demander le feedback? Mais, comme je dis, c'est seulement une anecdote, quand même je visité Sherbrooke deux fois.

Merci douhme! There we go!!

Au fait quel est ton profile exactement?

Juste le SAP avec ABAP language!

Decidement sans t'offenser j'ai du mal a croire ce que tu racontes. On te fait des offres dans d'autre province et tu dis non et tu restes Quebec pour conduire les taxis. Je crois personnellement que la balle est dans ton camp. Tu as la solution a ton probleme mais tu hesites. J'ai du mal a te comprendre. Apres tout tu as les papiers pour t'installer n'importe ou au Canada. On te fais des offres dans une province et tu dis je prefere conduire les taxis au Quebec. Soit ce que tu racontes n'est pas vrai ou tu as un serieux probleme.

En tout cas tu as le choix devant toi.

Bonne chance!

Lebec, je pense que tu as pas compris ce que je voulait dire. Quand je suis arrivé ici, je pensé seulement à rester au Québec, travailler et vivre à Québec.

Maintenant, je suis prêt à partir, et c'est pour ça que j'ai contacté avec des compagnies en Alberta et British Columbia pour aller là a travailler. Précisement, je ne veux pas rester ici si ce qui m'offront (ou moi, avec mon attitude peux obtenir) c'est de conduire taxis. Je suis à l'attente maintenant pour quelques postes de programmeur ABAP là.

Modifié par jca
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Et tu ets dans quelle programmation? À la Rive-Sud j'ai fait 31 $ l'heure (dans SAP). C'est ça qui a permit d'allonger mon contrat pendant trois semaines en plus, à un taux horaire plus dans le marché (ce qui je ne demmande encore, j'suis réaliste) je doute qu'ils auront prolongé rien.

Tu as travaillé comme pigiste à 31$/heure?

Je fais du SAS (et non SAP) pour DMR Conseil(fujitsu consulting) à Québec avec un salaire aux alentours de 20$/heure. Je sais qu'en tant que pigiste je pourrais gagner beaucoup plus... mais pour un jeune tel que moi avec encore peu d'expérience(3 ans), je préfère la sécurité d'emploi, les avantages sociaux, vacances... les pigistes, j'en connais certains qui ont passé une année entière avec seulement de très petits contrats. Je n'ai pas encore, l'expérience, ni la solidité financière ni les contacts nécessaires pour risquer de me retrouver dans une telle situation.

  • Habitués
Posté(e)
Oh, Guinness, je serais perdu sans tes conseils! Est-ce que tu as un idée de mon marché de travail? Alors...

Tu peux toujours prendre les gens de haut, mais ce n'est pas cela qui t'aidera...

Quant aux conseils, tu as sur le forum une recruteuse de la plus grosse société de service en TI du Québec. De mon coté, je travaille dans la deuxiemme et je peux réferer des personnes...

Donc oui, je connais plutot bien ton secteur d'activité. En tous cas, assez pour savoir que de ne rien trouver au bout de deux mois, après 25 entrevues, en étant expérimenté SAP (quelque soit le module), il y a un réel problème...

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Bonjour,

Si tu as des propositions cote anglophone pourquoi ne pas y aller, plutot que de rester au Quebec ou a l'evidence les choses ne marchent pas comme tu le souhaites?

De plus, le fait d'etre bilingue, voir trilingue est un veritable atout dans les provinces anglophones.

Stephanie.

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Posté(e) (modifié)
Bonjour,

Si tu as des propositions cote anglophone pourquoi ne pas y aller, plutot que de rester au Quebec ou a l'evidence les choses ne marchent pas comme tu le souhaites?

De plus, le fait d'etre bilingue, voir trilingue est un veritable atout dans les provinces anglophones.

Stephanie.

Mais c'est ça que je viens de dire, Stéphanie, dans mes dernieres postes.

Donc oui, je connais plutot bien ton secteur d'activité. En tous cas, assez pour savoir que de ne rien trouver au bout de deux mois, après 25 entrevues, en étant expérimenté SAP (quelque soit le module), il y a un réel problème...

Alors tu connaits le secteur et tu me demandes à quoi ces chiffres par heure?

il y a un réel problème...

Bien sure, il y a. Peut être que le moteur qui était avant le Québec a perdu un 'peu' de puissance et maintenant les gens qui voulent travailler et ne pas vivre à l'air du temps vont ailleurs:

http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amnord/quebecdefi.htm

Selon le démographe Jacques Henripin, le Québec voit partir 28 % de ses immigrants en cinq ans; en 10 ans, ce sont 40 % des immigrants qui quittent le Québec, c'est-à-dire 50 000 personnes; en 20 ans, le pourcentage grimpe à 50 % et, en 30 ans, le taux des départs devient aussi élevé que 60 %.

Voilà un problème réel mon ami! Ce n'est pas une question de quoi rire, mais peut être qu'au lieu de blamer les immigrants des problemes et leur manque d'adaptation, vous pourriez vous regarder au miroir aussi.

Modifié par jca
  • Habitués
Posté(e)
Donc oui, je connais plutot bien ton secteur d'activité. En tous cas, assez pour savoir que de ne rien trouver au bout de deux mois, après 25 entrevues, en étant expérimenté SAP (quelque soit le module), il y a un réel problème...

Alors tu connaits le secteur et tu me demandes à quoi ces chiffres par heure?

Tes chiffres sont valide pour ton profil, mais pas pour quelqu'un qui vient d'arriver au Québec...

il y a un réel problème...

Bien sure, il y a. Peut être que le moteur qui était avant le Québec a perdu un 'peu' de puissance et maintenant les gens qui voulent travailler et ne pas vivre à l'air du temps vont ailleurs:

http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amnord/quebecdefi.htm

Le problème vient il du Québec ou bien de toi ?

Reponds à cette question et tu auras franchi un grand pas.

  • Habitués
Posté(e)
Le problème vient il du Québec ou bien de toi ?

Reponds à cette question et tu auras franchi un grand pas.

60% d'inadaptés ou des persones que ne trouvent pas ce qu'ils cherchent, et encore tu te demandes quel est notre problème.

Tu n'acceptes pas aucune critique, tout est perfect, tout est bien, ce sont les autres qui on le problème. Demande-tu pour quoi et tu auras franchi un grand pas aussi.

Écoute, le but d'un processus d'immigration, comme ils ont eu par centaines dans l'histoire, c'est de faire venir les gens d'ailleurs pour populer le pays et maintenir une piramide de population correcte pour ce que avec le temps, le système economic ne se'n va à la merde. Si ce processus d'immigration à Québec a ce pauvre résultat, peut être que les gens qui participent de ce processus, soit le gouvernement (qui semble faire bien son travail) et les gens, commencent reflechir quoi changer et quoi améliorer au lieu de blamer les 'clients'.

Posté(e)
Après deux mois sans trouver un emploi, en novembre, je suis allé à Emploi Québec pour voire qu'est-ce qu'ils peuvent faire pour m'aider trouver un emploi. Je parlait avec une agent là, qui m'a referé à un Club de Recherche d'Emploi (CRESOM du Boul. Newman, presqu'au coin La pierre). Avant commencer le cours de quatre jours, je parlait à des autres immigrants d'Argentine qui me disent que dans ces courses ils vous apprenent faire un cv! Ok, je sais qu'il y a beacoup des gents qui ont des problémes à faire un cv, peut etre ils n'ont jamais fait un, mais dan mon cas, quand je parlait avec l'agent d'Emploi Québec je l'expliqué mon métier, l'informatique, avec plus de huit ans d'expérience en multinationales et compagnies de consultation. Et la seul proposition c'est de faire un cours de 4 jours pour faire un cv. Aussi, chaque metier, chaque spécialisation a son prope style de cv, quand même en informatique il faut les faire longs, avec le detail des tâches, des reponsabilites... 3 ou 4 pages. Et generalmente les cv sont à une ou deux pages. L'style CRESOM.

Comme moi, beacoup des autres personnes avec des études, des carrieres, qui savaient faire des cv et tout ça, trouvent les courses d'Emploi Québec inutiles. Et je me demande, vraiement quelqu'un a eu une expérience positif avec Emploi Québec?

Ça sert vraiement pour conaitre la vraie "expérience nord-americaine"? Mmm, j'aime beaucoup des choses d'ici au Québec, mais des autres , il faut dire, sont vraiement un fracas, un trou dans le budget provinciale.

Je ne veux pas que ça semble un critique cruel contre une province qui offre des avantages pour les immigrants comme l'aide sociale et la prestation pour enfants. Mais après, si on voit la difficulté que beaucoup des immigrants avons pour trouver un emploi par ce que les quebecois preferent d'embaucher ses propes paysans, à quoi sert toute cette aide? À mantenir des bon vivants qui trouvent mieux de recevoir le chèque du gouvernement que d'aller travailler? Ou va le Québec? Pour quoi de plus en plus gens quittent la province pour aller dans les autres, dont que beaucoup des quebecois critiquent? Avant, je recomandait le Québec à mes amis et connus d'Espagne, maintenant, je suis plus prudent, et je leur parle de l'autre Canada.

Que-c'est que vous pensez?

Tu as un peu raison: un BS sur quatre est maintenant un immigrant. Pourtant les employeurs cherchent désespérement de la main-d'oeuvre. J'embauche presque chaque semaine.

  • Habitués
Posté(e)
Tu n'acceptes pas aucune critique, tout est perfect, tout est bien, ce sont les autres qui on le problème. Demande-tu pour quoi et tu auras franchi un grand pas aussi.

Pas de problème avec la critique, d'ailleurs tu ne me critiques pas, tu critiques le Québec :rolleyes:

Je ne peux pas inventer des problèmes de recherche d'emploi que je n'ai pas ou peu eu :innocent:

Je ne dis pas qu'il n'y a aucun problème au Quebec, mais qu'il faut savoir être humble et se remettre en cause pour s'intégrer.

En passant, j'ai sous les yeux le CV d'un chef de projets SAP que je vais référer au RH de mon entreprise...

  • Habitués
Posté(e)
Tu as un peu raison: un BS sur quatre est maintenant un immigrant. Pourtant les employeurs cherchent désespérement de la main-d'oeuvre. J'embauche presque chaque semaine.

Et fort de ce constat, j'espere que tu embauches des immigrants aussi.

Stephanie.

  • Habitués
Posté(e)
Je ne peux pas inventer des problèmes de recherche d'emploi que je n'ai pas ou peu eu :innocent:

Je ne dis pas qu'il n'y a aucun problème au Quebec, mais qu'il faut savoir être humble et se remettre en cause pour s'intégrer.

En passant, j'ai sous les yeux le CV d'un chef de projets SAP que je vais référer au RH de mon entreprise...

Tout à fait, il faut être humble, et ça inclut de baisser les attentes salariels. C'est fait! Mon prémier travail dans une entreprise manufacturier du premiere ordre à 31 $/heure, j'était content! Même si'l aurait était plus bas que mon dernière salaire dans mon pays.

Dans mon pays je rejeté des offres de travail qui me faisent voyager plus du 25% (comme SAPiste, je le fait avant, quand j'était sans famille, à 75%), mais maintenant même le 100%. C'est ça se remettre en cause, je pense.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

DESOLÉ, C'EST REPETÉ MON MESSAGE...

Je ne peux pas inventer des problèmes de recherche d'emploi que je n'ai pas ou peu eu :innocent:

Je ne dis pas qu'il n'y a aucun problème au Quebec, mais qu'il faut savoir être humble et se remettre en cause pour s'intégrer.

En passant, j'ai sous les yeux le CV d'un chef de projets SAP que je vais référer au RH de mon entreprise...

Tout à fait, il faut être humble, et ça inclut de baisser les attentes salariels. C'est fait! Mon prémier travail dans une entreprise manufacturier du premiere ordre à 31 $/heure, j'était content! Même si'l aurait était plus bas que mon dernière salaire dans mon pays.

Dans mon pays je rejeté des offres de travail qui me faisent voyager plus du 25% (comme SAPiste, je le fait avant, quand j'était sans famille, à 75%), mais maintenant même le 100% c'est bon pour commencer. C'est ça se remettre en cause, je pense.

Modifié par jca
  • Habitués
Posté(e)

Salut jca,

Je comprends que la recherche d'emploi n'est pas toujours facile à vivre, surtout quand après avoir défini un profil particulier et avoir passé des entrevues, cela semble n'aboutir à rien. Cependant, si ces recruteurs ont voulu te rencontrer, c'est qu'ils pensaient certainement que tu pouvais les intéresser. Aussi, il faudrait peut-être que tu réussisses à analyser ces entrevues pour voir où ça coince.

Et, de mon point de vue, passer par des clubs de recherche d'emploi n'est pas totalement dénué d'intérêt. Outre la rédaction (de CV, de lettres) et la dynamique de groupe qui se met en place, il doit y avoir des simulations d'entrevue. Je pense que c'est enrichissant de voir comment font les autres et d'avoir leurs avis sur ce que l'on fait soi-même. Il peut devenir ainsi possible de réajuster sa façon de faire, si besoin.

Mais après tout... Chacun sa route...

  • Habitués
Posté(e)

Je ne suis pas plus amusée que les autres quand j'entends quelqu'un se plaindre qu'il n'a pas de boulot après 2 mois de recherche, mais on doit admettre que la politique de formation professionnelle au Canada et au Québec est assez lamentable. Il n'y a aucun incitatif vers la formation, à part les quelques campagnes anti-décrochage qui "entrent" un peu dans cette classe. Déjà, quand on est au chômage, on n'a surtout pas le droit de suivre une formation sous peine de perdre les indemnités. On se retrouve avec un nombre effarant de personnes inemployables. L'inemployabilité (ça me rappelle trop un sketch des Guignols avec Chirac qui parlait de l'embauchitude... scusez-moi je rigole mais l'inemployabilité est un vrai mot), c'est ce qui se passe avec une personne qui est au chômage pour plus d'un an. L'absence d'expérience, d'apprentissage, de références, fait qu'il est de plus en plus difficile pour elle de se réinsérer dans le marché du travail. Et ça, dans notre pays, dans toutes les provinces, c'est un problème criant.

Il y a bien une loi québécoise qui prône l'accroissement de l'investissement dans la formation (par une action concertée des patrons, des syndicats, des écoles...), et les employeurs sont tenus de consacrer 1 % de leur masse salariale en dépenses de formation, mais c'est souvent une arnaque, ils "font semblant", disent qu'ils le font mais ne le font pas vraiment, ou donnent des formations gnangnans complètement superficielles. Il y a effectivement une pénurie de main-d'oeuvre, et les employeurs ne s'aident pas pantoute! Je pense que sans forcément se complaire dans le malheur, il est urgent que le gouvernement québécois fasse des campagnes de promotion auprès des employeurs privés afin 1) de les encourager à faire de la vraie formation pour compléter le profil de leurs employés et 2) les encourager à s'ouvrir aux diplômés étrangers.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Bon, c'est bon de voir que les choses finalement sont pas si terribles et ma façon d'affronter mes entrevues au Canada n'était stérile et convainquit au moins deux entreprises

de l'ouest, Victoria, BC, et Calgary. Processus qui restèrent à l'attente pendant quelques semaines mais que ont été rouvertes et pour lesquels ils m'ont contacté de nouveau aujourd'hui et j'aurai l'opportunité de connaître la semaine prochaine cette partie du pays. Je vois que d'après 4 contacts avec des entreprises d'ouest, 2 m'ont fait une offre et une troisième est encore en train de se décider.

Est-ce que les exigences du Québec sont plus hautes ou que les choses se font de façon différent, plus lentes à propos, mais différentes.

Modifié par jca
  • Habitués
Posté(e)
Bon, c'est bon de voir que les choses finalement sont pas si terribles et ma façon d'affronter mes entrevues au Canada n'était stérile et convainquit au moins deux entreprises

de l'ouest, Victoria, BC, et Calgary. Processus qui restèrent à l'attente pendant quelques semaines mais que ont été rouvertes et pour lesquels ils m'ont contacté de nouveau aujourd'hui et j'aurai l'opportunité de connaître la semaine prochaine cette partie du pays. Je vois que d'après 4 contacts avec des entreprises d'ouest, 2 m'ont fait une offre et une troisième est encore en train de se décider.

Est-ce que les exigences du Québec sont plus hautes ou que les choses se font de façon différent, plus lentes à propos, mais différentes.

Dans ces cas-la, il n'y a pas a hesiter! Direction l'Ouest Canadien! Mais attention au cout de la vie, meme a Victoria.

Stephanie.

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