Aller au contenu

Le travail au Québec pour les immigrants


Invité

Messages recommandés

Le Québec recherche des techniciens mais aussi métiers spécialisés sont particulièrement recherchés. Une quête facilitée par une équivalence de fait des diplômes entre la France et le Québec

Voilà ce que dit le discours officiel mais dans les faits l'expérience et les diplômes des immigrants ne sont pas reconnus au Québec. Finalement c'est la galère des petits boulots pour beaucoup d'entres eux.

Je m'inquiète pour ma femme qui viendra me rejoindre ici, en France, elle a un travail et elle est reconnue dans ses compétences.

Le gouvernement veut des immigrants mais la société québécoise veut-elle les recevoir ? ph34r.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 26
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

En effet Michel,

C'est là un problème auquel je suis, pour ma part, malheureusement confronté trop régulièrement dans ma pratique. Sur le terrain, la capacité d'absorption des immigrants par le marché du travail est assez limité en ce sens que rares sont ceux qui exercent la profession souhaitée une fois ici.

Une fois encore, de belles volontés politiques ne se concrétisent pas sur le plancher ou si lentement alors que c'en est décourageant pour les premiers concernés : les immigrants.

O'Hana

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

c'est pas très encourageant ce que vous dites là.. sad.gif je doute parfois moi aussi et le boulot étant le plus important je me demande si je vais en trouver là bas. pour l'instant je n'ai pas grand chose à perdre car même avec mes beaux diplomes je n'ai pas le poste escompté. je rêve de faire le métier que j'ai choisi au québec.il faut rester motiver. dites les immigrants, vous ne crevez pas de faim quand même et j'ai pas lu de témognages disant qu'il y a eu retour dans le pays d'origine.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ajouterais egalement les reponses que m'ont ete faites sur mon post "Emission Capital: pas que du faux sur l'emploi, nouveaux immigrants et 1er emploi":

de Redflag:

Ce qui est sûr :

- on trouve facilement une jobine mal payée.

- d'une manière générale, plus on est spécialisé et/ou diplômée, plus c'est long de se placer.

de Wlaf:

Si tu es vendeur ou manuel il y a une certaine demande, mais les postes de cadres "administratifs" ont l'air d'être sérieusement vérouillés pour les immigrants.

J'ai egalement lance un post "Emploi: transition France/Quebec, l'experience des forumistes", mais je n'ai eu pour l'instant que 2 reponses, positives il est vrai. Pourtant il me semble qu'une partie importante des nouveaux immigrants commencen bel et bien par un petit boulot.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Salut tt le monde

Post important,alors je le remonte.

C'est parmis les points sur lesquels Nina a mit l'accent lors de nos rencontres ( Rabat et casa).

Vos témoignages viennent appuyer ce qu'elle a dit.Elle est forte la Nina.Et Malheureusement pour elle ,elle est parmis les plus "hauts gradés" de nous tous.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il faut obsolument qu'il y est un débat de société au Québec sur l'immigration et la place que nous faisons aux immigrants, l'accueuil, l'intégration, les quotas...

Car je crois que nous allons vers l'impasse le gouvernement fait de la pub comme une entreprise pour vendre (le Québec) et trop de consommateurs (les immigrants) risquent de se sentir floués !

sad.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Pour ma part je vous dirais que passer par une jobine ici c'est plus pour tester votre ...endurance! wink.gif

Mais, si vous parler à peu près bien les 2 langues et que vous avez des diplômes et 2-3 ans d'expérience, une certaine polyvalence...après 1 mois de jobine vous pouvez trouvez qqchose de mieux payer.

Une chose: accrochez vous pour votre première jobine et faites BONNE IMPRESSION car c'est la seule référence québécoise que vous allez pouvoir soumettre!

TOut est question de détermination.

Le seul domaine où ça se gâte, c'est pour les métiers qui doivent s'en référer aux ordres..et moi, j'en ai ma claque! car c'est pour ça que je n'avance pas avec ma compagnie! mad.gif

Mais j'ai trouvé...un plan B...comme Red! wink.gif

Sarmisegetuza...J-1 pour son dernièr exam!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut,

La particularité avec le fait d'immigrer au Québec je pense, c'est qu'on immigre dans une nation à l'intérieur d'un pays (le Canada). Loin de moi l'idée de relancer un vieux débat mais cette particularité rend l'immigration ici parfois ... particulière wink.gif

Premier exemple : lorsque la SQDM (société québécoise de développement de la main-d'oeuvre) a fait place à Emploi-Québec en 97 je crois, DRHC a refusé de lui transmettre toutes ses statistiques et données sur l'emploi, la démographie, etc. Parce que dans cette nouvelle entité qu'était Emploi-Québec, on pouvait y sentir, du côté anglophone, une volonté forte de la province d'avoir la main prise sur son marché du travail. Ainsi, si officiellement DRHC et Emploi-Québec marche main dans la main pour apporter compétences et expériences sur le marché du travail québécois, les dissenssions et décalages entre les deux derrière tout cela ne permet pas à Emploi-Québec de bénéficier d'une politique d'employabilité vraiment efficace. Et les effets se font sentir et sur la population et sur les immigrants.

Second exemple : le Québec est l'une des rares provinces du pays, à ma connaissance, dont la capitale provinciale (Québec) n'est pas la première ville en importance (Montréal). Je crois que la CB connaît le même phénomène avec Vancouver et Victoria ou encore le NB avec Moncton et Fredericton. Pour le Québec, si c'est Québec qui détient le pouvoir politique, c'est Montréal qui détient le pouvoir économique. Là aussi je crois, peut se créer des dissenssions où Montréal cherche légitimement à obtenir les ressources dont elle a besoin mais doit constamment négocier avec Québec qui ne veut pas perdre son pouvoir. Là encore, les effets de ce décalage peuvent se faire sentir sur les immigrants.

Troisième exemple : les exigences, à la grandeur de la province, de préserver ses spécificités dans les formations et les professions et qui trouvent leur plus pure expression dans les ordres professionnels. En effet, vu de l'extérieur, on pourrait croire qu'avoir une formation par exemple d'enseignant reconnu par le Canada devrait également convenir pour le Québec. Logique, le Québec est dans le Canada. Erreur monumentale. La particularité identitaire du Québec se mesure jusque dans ces sphères. Le fait même d'être résident du Québec peut avoir une influence sur le montant de vos frais de scolarité et cela peut donner des aberrations - à mon sens - comme le fait que je payais par exemple beaucoup moins de frais de scolarité comme étudiant qu'une amie qui venait de la Nouvelle-Écosse alors qu'elle est canadienne et moi français et donc étranger ! Répercutez ce raisonnement dans tout le monde des études et le marché du travail et vous sentirez la particularité plus grande que d'immigrer au Québec.

Certains pourront y voir des obstacles, d'autres y verront que des particularités, ce qui est mon cas. Peut-être parce que j'ai réalisé que je n'immigrais pas dans une province mais dans une nation en marche vers ce qu'on appelle un pays.

O'Hana

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut à toutes et à tous,

Je suis heureux de participer à cette nouvelle car c'est une question qui me titillait depuis pas mal de temps.

Tout d'abord, je me demandais comment est-ce possible d'atteindre des postes bien payés d'entrée dans un pays noiuveau? Ensuite comment est-ce qu'on peut penser qu'on va être reconnu sans avoir fait quoi que se soit dans ce pays? Et enfin <en quoi est-ce que ce pays serait différent des autres en matière de travail et d'embauche?

Toutes ces interrogations pour dire que l'emploi est comme partout ailleurs une question de volonté, de remise en cause perpétuelle des compétences et méthodes ; et comme toute chose, il faut empreinter les ruelles pour atteindre les boulevards. Rien n'est acquis et les diplômes ne sont pas reconnus (ce qui est normal) mais l'expérience compte et le plus important est de rassurer l'employeur sur son 'investissement' (car c'est ce qu'on est).

Je commence lentement les démarches pour la recherche d'emploi et j'ai eu certains échos d'expériences qui m'ont rappelé à la réalité : On se base sur les consonnances des noms pour le classements des CV (on ne les jette pas mais on les met en bas de la pile), et le premier contact est trés important. De ce fait, il est primordial de ne pas hésiter à ce deplacer pour se vendre en même temps que sa brochure (son CV et sa lettre de présentation) et une fois sur place, on a plus de mal à vous placer en bas de la 'pile' et si vous l'êtes c'est que vous vous êtes mal vendus ou bien que le poste n'était pas pour vous. Et soit dit en passant, la France c'est pas mieux à ce niveau.

Un conseil pour tous, il ne faut pas être découragé et ne jamais douter de ses compétences et de sa capacité à évoluer ; il ne faut pas se mentir à sois-même et se dire 'ils n'attendent que moi' parce que ce n'est pas vrai !

Prenez le temps de préparer votre CV, renseignez-vous pour les équivalences (vous pouvez les faire avec le Centre Local Emploi au Québec mais il faut avancer de l'argent et attendre d'être remboursé), préparez vos lettres de présentations et allez même jusqu'à faire plusieurs types de CV et de lettres en fonction de vos spécialisations ou domaines de compétences.

Bon courage à toutes et à tous

Ch@Knet

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si tu veux des témoignages de retour aux pays pour des ingénieurs informaticiens très hautement qualifiés je viens de ramener à l'aéroport deux familles au complet (6 personnes) il y a 3 semaines.

Le premier était un des plus grand spécialiste Parisien sur Oracle Applications et Base de données Oracle venant directement d'Oracle France. Je lui ai demandé de m'accompagner ici mais nous n'avons en 3 mois pas réussi à lui trouver un job.

Faute de travail dans son domaine il a décidé de reprendre le chemin du retour. Dans la foulée il a passé 5 entretiens en une semaine en France et il a eu 5 contrats. Nomale le gars a paramétré les SGBD de France Télécom, Thales, la Direction Générale de l'Armement, Printemps et d'autre petits clients comme cela...

Le deuxième était une pointure en Java J2EE mais le seul boulot qu'on lui a trouvé avec un collègue Français était sur Boston, MA USA... rien pour lui au Québec. Alors étant donné leur expertise il eut été désolant de faire équipier chez McDo.

Non pas que faire un petit job est dégradant, et j'ai beaucoup de respect pour ceux qui arrivent à repartir à zéro mais là nous avons à faire à des cadors de haut de gamme, des gars qui ont 12 à 15 propositions tous les mois et qui sont du genre à doubler leur salaire tous les deux ans, des mercenaires qui changent de boîte tous les 7-8 mois.

Il viennent ici avec un savoir faire technologie à la pointe de ce qui se fait de mieux dans le monde, ces gens là sont susceptibles côté Ego car ils bossent 12 à 15 heures par jours depuis 5 ans pour arriver à ce niveau donc ils n'ont pas envie de perdre plus de 3 mois loin de leur domaine d'expertise.

Pour ma part je ne juge pas, je ne suis pas un ultra spécialiste dans un domaine ultra spécifique. Peut être qu'à leur place j'aurais tenté le coup et essayer de rester un petit peu plus afin de laisser du temps au temps. A voir.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Salut Candide,

Ton exemple montre cependant quelquechose de très troublant : pour des "plus grand spécialiste Parisien" et "pointure en Java J2EE", ils manquent singulièrement de lucidité et/ou de modestie, non ? On a beau être une grosse pointure dans son pays, sans contact on n'est souvent rien dans un autre, et ça, une "grosse pointure" devrait le savoir.

Toutes les "grosses pointures" dont j'ai entendu parler en sciences (des chercheurs) ne s'aventurent jamais très loin sans reconnaissance préalable. Un principe quasi-militaire. Ces gens-là changent de pays quand ils ont une promesse d'embauche en main, utilisent leur réseau ou bien des chasseurs de têtes. Ça a été le cas de Luc Montagnier (co-découvreur du Sida) qui travaille à la fois à Paris et New-York. Dans un autre domaine, une grande styliste française (ex-Renault je crois) travaille depuis peu sur le design intérieur des autos chez GM à Detroit. Encore une fois, elle n'est pas partie là-bas avec un visa sans job !

Redflag

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Redflag, si je me souviens bien, pour Montagnier il y avait un paradoxe du a son age. Mis a la retraite de force, et rehabilite a moitie par une procedure opportuniste.

Ceci dit, je trouve le developpement de O'hana brillant et clairvoyant. De meme que Chaknet et Candide ont intelligemment participe au debat; c'est tres utile pour chacun d'entre nous. Merci encore, j'en apprends 10 fois plus en une semaine de forum qu'en 2 mois de recherches d'emplois.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Bojour Michel,

dire qu'il y a qlq mois, je croyais que j'allais te dire mes félicitations pour ton immigration en France biggrin.gif, j’arrêtais pas de te poser la question biggrin.gif alors tu pars quand ? ? ? laugh.gif mais je vois que c'est ton épouse qui va te rejoindre au Québec, ce qui prouve que le Canada est un beau pays comme même rolleyes.gif je souhaite plein de bonheur à votre couple smile.gif

cela dit , la question que tu soulèves est très importante , la système de santé et la politique de l’emploi sont sujets à bémols dry.gif j’ai parlé il y a 2 jours avec un ami en France , avant je lui ai fait toute une pub pour le persuader d’immigrer au Québec , il a toutes les chances d’obtenir son visa de résident , je croyais naïvement que c’était gagné et qu’il était tenté par l’aventure mais à ma grande déception sad.gif dés que je lui ai posé la question :

alors , ca te dit d’immigrer au Canada , il t’a plut le reportage de M6 ?

il me réponde texto :

« tu rigoles ou quoi ? dans le reportage on voit bien que la vie au Québec n’est pas donnée , l’Europe , particulièrement la France est meilleure ! tu sais , tu risques de vendre la peau des ours si tu ne trouves pas d’emploi au Québec ! laugh.giflaugh.gif »

moi huh.gif Nour blink.gif ... vendre la peau des ours ohmy.gif ca ne m’a pas fait rire alors là sad.gif pas du tout mad.gif mais la réflexion de mon ami , dit bcp de choses dry.gif

mais bon, on positive, on garde espoir avec bcp d'optimisme ….. et que la chance accompagne tout le monde rolleyes.gif

merci à tous pour vos infos et explications utiles , on en veut toujours des posts comme ca wink.gif

@+

Nour , qui prend des risques en immigrant !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut tout le monde,

Au sujet de ce que nous a dit Candide : sans mauvais jeu de mot, porquoi est-ce que 2 grosses 'pointures' de boites parisiennes ne trouvent pas de job ? peut être parce qu'elles ont les pieds trop enflés !!

Bon m'en va chercher du boulot moi tongue.gif

Ch@Knet

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Re-salut la gang,

Je profite de ce fil de discussion car il est pile (poil ?) dans le sujet : ce que deviennent les immigrants côté job. Comme certains le savent, j'ai perdu mon emploi il y a bientôt 3 semaines. J'ai un "plan B" qui "se déroule sans accroc" pour l'instant (comme dans l'Agence Tout risque). biggrin.gif

Je viens d'apprendre que je suis convoqué à l'entrevue finale ! Yessss ! smile.gif

Comme c'est un poste un peu spécial, j'aurai aussi droit à une enquête de la GRC et une visite médicale, qui, j'espère, se dérouleront elles aussi sans accroc.

Redflag

rolleyes.gif aux anges rolleyes.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut les amis, smile.gif

j'ai pris le temps de vous lire tous...

mais juste pour répondre un peu à daddy.

Nina a déjà réussi une première immigration (en France ) et a réussi à décrocher un boulot avec les conditions discriminatoires que tu connaîs.

et pour le canada (en général), elle a des plans d'études, de recyclage pour pouvoir mieux se vendre sur le marché de travail..

et s'il faut commencer au plus bas, je n'hesiterais pas, rien n'est acquis dans le vie mon chèr rolleyes.gif

Nina

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut RedFlag,

Je viens d'apprendre que je suis convoqué à l'entrevue finale ! Yessss !

Je te dis merde pour l'entrevue mon gars : ça sent ben bon la job à la clé tout ça wink.gif

O'Hana

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hi everybody,

En effet, comment des cadors font ils pour ne pas trouver de job, pieds trop enflés (ce qui va généralement avec la pointure), prise de risque inconsidérée comme le dit RedFlag, mauvaise approche du marché du travail (pas d'expérience Québécoise), sans doute faut il rajouter également situation plus morose qu'en Europe au niveau des projets informatique également.

Et puis cela reste avant tout ,selon moi, une question d'oportunisme et de volonté, il faut définir le but recherché lorsque l'on change de pays, si dés le premier mois on se dit : "je viens de démissionner d'un job à 5000 ou 6000 Euros, et il n'y a personne ici pour me faire bosser au même niveau..." cela polue l'esprit et de ce fait l'individu garde toujours un pieds un France et continu à rechercher un Job là bas au lieu de se concentrer sur sa recherche ici.

Pour s'installer ici je pense qu'il faut faire comme Cortez et brûler ses bâteaux en arrivant, comme cela le retour n'est pas envisageable avant d'avoir épuiser toutes ses cartouches.

A mon avis, la volonté combinée à l'expérience doit résoudre tous les obstacles.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour !

En fait l'expérience professionnelle d'un immigrant est reconnue, puisque vous présentez votre CV comme tout autre candidat (québécois ou autres). Si vous avez des lettres de références à l'appui, c'est excellent. Concernant les études françaises, il faut demander une équivalence ou une reconnaissance des études acquises car le système scolaire au Québec est un peu différent. Par exemple, pour nous un BAC, c'est universitaire, tandis que pour vous c'est autrement. Si j'ai bonne mémoire, cela coûte environ une centaine de dollars pour obtenir la demande d'équivalence. La plupart des entreprises le demandent mais j'ai eu connaissance de quelques entreprises qui ne le demandaient pas. C'est à voir!

voilà, si cela peut vous encourager! rolleyes.gif

Sunny

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je viens d'apprendre que je suis convoqué à l'entrevue finale ! Yessss !

Un gros merde pour toi RedFlag, on va croiser tout ce qui est possible de croiser pour ton plan B.

Tiens nous au jus...

Hicoune

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.



×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement