Habitués Petit-Prince Posté(e) 12 mai 2006 Habitués Share Posté(e) 12 mai 2006 (modifié) Comme tous les vendredis, retrouvez les principaux événements de l'actualité de la semaine au menu du "Caribou Show"... - Les immigrants pourront plus facilement pratiquer leur profession au Québec- Métros de Montréal et de Chicago, les contrats vont à Bombardier- Protocole de Kyoto, le gouvernement Harper essuie une tempête- La Commission Scolaire de Montréal mise gros sur l'intégration, plus de 50 % des élèves n’ont pas le français comme langue maternelle à Montréal- Bilinguisme au Canada, Dyane Adam s'inquiète de l'engagement des conservateurs- Le Québec et le Vermont font front commun contre le passeport obligatoire- Les Québécois ne veulent pas d'un autre "beau risque"- Politique québécoise, Yvon Picotte présente ses excuses au chef péquiste- Le nom des stations de métro à vendre?- Environnement Canada, l'été sera chaud et secVos animateurs seront :- Isabelle Bédard- Jean-Philippe Rousseau- Jean-Claude Vasseur- Laurent Gigon Venez jaser avec nous à l'aide du clavardeur de "Fréquence Caribou" : http://www.frequencecaribou.com/ Modifié 12 mai 2006 par Petit-Prince Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués PHIL_H Posté(e) 12 mai 2006 Habitués Share Posté(e) 12 mai 2006 Qu'entends tu par "les québecois ne veulent pas d'un autre beau risque" ??Philippe qui vaoue son ignorance Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Petit-Prince Posté(e) 12 mai 2006 Auteur Habitués Share Posté(e) 12 mai 2006 Cela fait référence à l'idée de René Lévesque de profiter de l'élection de Brian Mulroney et des conservateur en 1984, qui prônait, tout comme Harper, un "fédéralisme d'ouverture". Lévesque, échaudé par la défaite référendaire de 1980, demanda aux péquistes de mettre de côté leurs ambitions souverainistes pour tenter ce "risque" afin de tirer parti de l'ouverture de Mulroney.Des mots même de Lévesque, il s'agissait d'un "beau risque"... le terme restera. Malgré tout, même si Mulroney tenta en 1990 de réparer l'insulte faite aux Québécois lors des négociations constitutionnelles en 1981, les accords du Lac Meech furent, eux aussi, un cuisant échec vu que cet accord ne permis pas de satisfaire ni les Québécois, ni les Canadiens. Le pari du "beau risque" fût aussi un échec pour Lévesque qui dû démissionner en 1985 devant le mécontentement des souverainistes.S'il y a des inexactitudes dans ce que j'ai dit, j'invite les participants à me corriger... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués rimouski29 Posté(e) 12 mai 2006 Habitués Share Posté(e) 12 mai 2006 (modifié) - Le nom des stations de métro à vendre?Pas entendu parlé de ça moi. Comment peut-on vendre un nom. Comprends rien du tout à cette affaire Modifié 12 mai 2006 par rimouski29 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Petit-Prince Posté(e) 12 mai 2006 Auteur Habitués Share Posté(e) 12 mai 2006 - Le nom des stations de métro à vendre?Pas entendu parlé de ça moi. Comment peut-on vendre un nom. Comprends rien du tout à cette affaireÉcoute l'émission ce midi ! Tu sauras tout ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués nelju Posté(e) 12 mai 2006 Habitués Share Posté(e) 12 mai 2006 - Les Québécois ne veulent pas d'un autre "beau risque"SondagesHarper et les Québécois en lune de miel Une série de sondages publiés samedi dans des quotidiens distincts indiquent que les Québécois sont favorables au premier ministre canadien, Stephen Harper.Selon un sondage de Léger Marketing réalisé pour Le Devoir, 70 % des Québécois sont satisfaits du travail qu'il a réalisé depuis son élection, en janvier dernier. Le taux de satisfaction chez les électeurs bloquistes, libéraux et néo-démocrates oscille entre 61 % et 65 %.Une deuxième enquête d'opinion de la firme Ipsos Reid, publiée dans le National Post, montre également que 70 % des Québécois considèrent que le gouvernement conservateur est « sur la bonne voie » depuis son accession au pouvoir: leur taux de satisfaction est à peine 1 % plus bas que celui atteint en l'Alberta, qui forme pourtant le coeur de l'électorat conservateur. Au niveau national, le taux de satisfaction est de 60 %.Un budget bien accueilliLe sondage du Post indique en outre que 60 % des Québécois approuvent le budget déposé mardi par le ministre des Finances, Jim Flaherty. Seuls les Albertains se réjouissent davantage, avec un taux de satisfacfion de 67 %. Un troisième sondage Léger Marketing, publié dans le Journal de Montréal, arrive à des conclusions similaires pour le Québec, où 56 % des électeurs sondés se disent favorables au budget.Les deux firmes diffèrent cependant quant à l'influence que peut avoir le budget sur les intentions de vote. Selon Ipsos Reid, le budget pourrait inciter 45 % des Québécois à voter conservateur, contre seulement 27 % selon Léger MarketingSelon le sondage réalisé pour le compte du Devoir, qui n'établit toutefois pas de lien entre budget et intentions de vote, le Parti conservateur obtient 27 % des intentions de vote, 5 % derrière le Bloc québécois, après répartition des indécis. Les libéraux recueilleraient 21 % des voix, contre 15 % pour le NPD et 4 % pour d'autres formations.Méthodologie des enquêtesLes trois enquêtes ont été réalisées avant que le premier ministre Harper et son homologue québécois, Jean Charest, n'annoncent, vendredi, que le Québec aura une présence permanente au sein de la délégation canadienne à l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).Le sondage Léger Marketing/Le Devoir a été réalisé entre les 26 et 30 avril auprès de 1002 Québécois. La marge d'erreur est de 3,1 %, 19 fois sur 20. le sondage Ipsos Reid/National Post a été réalisé par téléphone auprès de 1001 Canadiens entre le 2 et le 4 mai. Sa marge d'erreur se situe à 3,1 %, 19 fois sur 20. Enfin, le sondage Léger Marketing/Le Journal de Montréal, a été réalisé le 4 mai auprès de 704 Québécois. Sa marge d'erreur est de 3,7 %, 19 fois sur 20.Au Québec, les conservateurs ont réussi une percée surprise lors de la dernière élection, recueillant 10 sièges et 24 % des voix. Les analystes s'entendent pour dire qu'ils poursuivent depuis l'opération charme menée au cours de la campagne électorale auprès des Québécois.Source http://www.radiocanada.ca/nouvelles/Politi...er-quebec.shtml Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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