Le prix à payer : sacrifier le français

[Régis_c#]

http://www.cyberpresse.ca/article/20060426...8/5019/CPSOLEIL

Québec manque cruellement de travailleurs, déplorent unanimement les chefs de file économiques de la région. Tellement que Germain Lamonde, président d?EXFO, suggère de laisser tomber la francisation des immigrants afin de les convaincre de venir... et de rester.

« Si les immigrants doivent absolument apprendre le français pour venir s?installer ici, oublions ça. L?immigration, c?est tout un défi pour une ville blanche et monolithique comme Québec. Mais c?est aussi une grande opportunité », dit-il. Selon lui, il est important de désigner une zone géographique où les immigrants se regrouperont. C?est de cette façon qu?ils pourront développer un sentiment d?appartenance à leur nouvelle ville, croit-il.

Les Québécois devront faire un effort pour « s?internationaliser de l?intérieur, poursuit M. Lamonde. Parler anglais, ça devrait être réglé pour tout le monde. Vous seriez surpris du nombre de finissants universitaires qui ne parlent pas une deuxième langue ».

Le président de Beenox, Dominique Brown, est confronté tous les jours à des problèmes de bilinguisme. « Je suis obligé de rédiger moi-même plusieurs documents en anglais. Ce n?est pas normal, dans une entreprise de 60 personnes»,explique-t-il.

[maestro]

http://www.cyberpresse.ca/article/20060426...8/5019/CPSOLEIL

Québec manque cruellement de travailleurs, déplorent unanimement les chefs de file économiques de la région. Tellement que Germain Lamonde, président d?EXFO, suggère de laisser tomber la francisation des immigrants afin de les convaincre de venir... et de rester.

« Si les immigrants doivent absolument apprendre le français pour venir s?installer ici, oublions ça. L?immigration, c?est tout un défi pour une ville blanche et monolithique comme Québec. Mais c?est aussi une grande opportunité », dit-il. Selon lui, il est important de désigner une zone géographique où les immigrants se regrouperont. C?est de cette façon qu?ils pourront développer un sentiment d?appartenance à leur nouvelle ville, croit-il.

Les Québécois devront faire un effort pour « s?internationaliser de l?intérieur, poursuit M. Lamonde. Parler anglais, ça devrait être réglé pour tout le monde. Vous seriez surpris du nombre de finissants universitaires qui ne parlent pas une deuxième langue ».

Le président de Beenox, Dominique Brown, est confronté tous les jours à des problèmes de bilinguisme. « Je suis obligé de rédiger moi-même plusieurs documents en anglais. Ce n?est pas normal, dans une entreprise de 60 personnes»,explique-t-il.

à mon avis c'est une erreure de céder à une immigration anarchique.

pour les ghettos il devrait se renseigner de la situation dans d'autres pays

[toutouille2005]

Selon lui, il est important de désigner une zone géographique où les immigrants se regrouperont.

Un ghetto ?!!

[Pocipsy]

http://www.cyberpresse.ca/article/20060426...8/5019/CPSOLEIL

Québec manque cruellement de travailleurs, déplorent unanimement les chefs de file économiques de la région. Tellement que Germain Lamonde, président d?EXFO, suggère de laisser tomber la francisation des immigrants afin de les convaincre de venir... et de rester.

« Si les immigrants doivent absolument apprendre le français pour venir s?installer ici, oublions ça. L?immigration, c?est tout un défi pour une ville blanche et monolithique comme Québec. Mais c?est aussi une grande opportunité », dit-il. Selon lui, il est important de désigner une zone géographique où les immigrants se regrouperont. C?est de cette façon qu?ils pourront développer un sentiment d?appartenance à leur nouvelle ville, croit-il.

Les Québécois devront faire un effort pour « s?internationaliser de l?intérieur, poursuit M. Lamonde. Parler anglais, ça devrait être réglé pour tout le monde. Vous seriez surpris du nombre de finissants universitaires qui ne parlent pas une deuxième langue ».

Le président de Beenox, Dominique Brown, est confronté tous les jours à des problèmes de bilinguisme. « Je suis obligé de rédiger moi-même plusieurs documents en anglais. Ce n?est pas normal, dans une entreprise de 60 personnes»,explique-t-il.

Waw, ils veulent encore plus d'immigrants alors qu'ils n'en sortent dèjà pas avec qu'ils ont maintenant .

Disons que la francisation était vraiment quelques chose qui permettait au Québec de rester français et de garder ses racines ! Si même les immigrants ne parlent qu'anglais, je serais curieux de voir la première langue parlée au Québec dans quelques années !

Sinon Régis, ca avance ton dossier fédéral ? On refait une mini rencontre i.com sur namur quand tu veux :)

Bien à toi,

quentin

[Pocipsy]

Selon lui, il est important de désigner une zone géographique où les immigrants se regrouperont.

Un ghetto ?!!

Sur une île déserte au milieu de la baie James avec des barrières autour bien sûr :)

@+

quentin

[petiboudange]

A pas l'air vite vite le monsieur là!

C'est bien connu que de "parquer" les gens dans des zones géographiques délimitées pour créer un sentiment "d'appartenance" fonctionne très bien. D'ailleurs les villes américaines, anglaises ou françaises pour ne citer que celles-là le prouvent! Ben voyons...

Hum

Maintenant je pense sincérement que la francisation pourrait être faite dans le cadre professionnel: on embauche un immigrant sur ses compétences professionnelles puis il suit des cours de français d'abord tous les jours pendant genre 5 semaines histoire d'acquérir les bases minimale, puis ensuite une demie journée genre le matin et l'après midi il bosse dans l'entreprise (une alternance en gros). Comme ça il est dans le bain tout de suite, voila un bon moyen de créer de l'appartenance et d'intégrer les immigrants!

Modifié 27 avril 2006 par petiboudange

[Régis_c#]

Quentin,

Pas de souci pour moi , je compte bien revisiter Namur avant ton départ .

Régis (Chaud boulette)

[Dali31]

Parler Français ou vivre en français??