Habitués Dariane Posté(e) 12 janvier 2006 Habitués Posté(e) 12 janvier 2006 (modifié) Bonjour à tous!Un autre article pigé sur le site www.journallesaffaires.comY'aurait-il une réelle volonté de la part des ordres d'enfin reconnaître les diplômes et l'expérience étrangère? Pourvu que ce soit vrai...Bonne Lecture à tous!D.DU PROGRES DANS LA RECONNAISSANCE DES DIPLOMES ETRANGERS 5 janvier 2006 René Vézina, Journal Les Affaires UN NOUVEAU RAPPORT LAISSE ENTREVOIR UNE ATTITUDE PLUS OUVERTE DE LA PART DES ORDRES PROFESSIONNELS AUTREFOIS MOINS CONCILIANTS. Il reste encore beaucoup à faire avant que le Québec parvienne à intégrer adéquatement les compétences venues d'ailleurs, mais le ciel commence pourtant à s'éclaircir.La ministre de l'Immigration et des Communautés culturelles (MICC), Lise Thériault, a dévoilé le 5 décembre le rapport fort attendu de l'Équipe de travail sur la reconnaissance des diplômes et des compétences des personnes formées à l'étranger.Présidé par André Bazergui, associé chez Innovitech, ce groupe de travail propose notamment d'offrir aux ordres professionnels un soutien concret pour faciliter l'évaluation et l'intégration des gens qui risquent de rester sur le carreau.Aider les ordres professionnels ? Eux qui se font traditionnellement accuser de mauvaise volonté quand vient le temps d'intégrer les étrangers dans leurs rangs ?"Leur attitude a changé, dit M. Bazergui. Ce sont les représentants des ordres, comme le Conseil interprofessionnel, qui ont été les plus proactifs, tout comme l'Office des professions. Il faudra maintenant les encourager en les appuyant, car ils sont débordés. Il leur faudrait idéalement embaucher du personnel pour répondre aux demandes et revoir leurs modes d'évaluation, ce qui va demander des fonds additionnels. Pour l'instant, on laisse trop souvent poireauter les gens qui font des demandes."IL FAUDRA DE L'ARGENTLe gouvernement sera certainement mis à contribution, même si le rapport ne fournit pas de chiffres sur le coût de ces interventions. M. Bazergui donne quand même des exemples de mesures inventives qui pourraient en inspirer d'autres."L'Ordre des chimistes a mis en ligne un examen interactif qui permet aux candidats immigrants de tester leurs connaissances a priori ce qui réduit de beaucoup le taux d'échec lorsque les demandes formelles sont soumises."Il constate aussi un progrès dans les maisons d'enseignement. "Souvent, l'immigrant doit s'inscrire à une session complète alors qu'il n'a besoin que d'un cours. Résultat ? Il abandonne les autres. On accepte maintenant de subventionner des cours spécifiques pour une formation d'appoint."Reste à inventorier les barrières systémiques qui empêchent tout déblocage. "Comment permettre à des gens de parfaire leurs connaissances lorsque l'accès à des programmes est contingenté, comme c'est le cas dans les facultés de pharmacie ? Pourquoi exiger des examens qui ne peuvent être suivis ?", demande M. Bazergui.Il demeure cependant convaincu que l'ouverture manifestée par les ordres est bien réelle. "Des pénuries sont imminentes, et il y a là une solution à portée de main."Aurait-il souhaité aller plus loin ? "Ce n'est pas aussi radical que je l'aurais souhaité, on aurait pu faire plus de place à l'expérience acquise, par exemple, mais globalement, c'est réaliste. On peut bâtir là-dessus." Le document est disponible en ligne à l'adresse : www.micc.gouv.qc.ca Modifié 12 janvier 2006 par Dariane Citer
Habitués Lleo Posté(e) 13 janvier 2006 Habitués Posté(e) 13 janvier 2006 Merci pour ces nouvelles, Dariane.À voir si ça marche. Citer
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